Notre mission

 

Notre mission

La nation bretonne, peuple celte fort d’une histoire nationale de 2,500 ans déployée sur les deux rives de la Manche, doit faire face au XXIe siècle à une lutte existentielle qui déterminera sa disparition ou sa renaissance.

Après mille ans d’indépendance jalouse inspirant le respect de l’Europe entière, le peuple breton a été soumis à partir de 1488 à la brutalité de l’ordre colonial français, occupation sauvage faite d’assassinats, de pillages et d’exploitation féroce des travailleurs bretons. Cette occupation sanglante, marquée par l’écrasement de la révolte bretonne des Bonnets Rouges en 1672, est devenue paroxystique avec l’avènement de la barbarie révolutionnaire en 1789 et l’abolition unilatérale de la dernière institution politique de notre nation : le parlement de Bretagne. Sa paysannerie entièrement livrée à la volonté tyrannique de l’impérialisme français, le cataclysme devait culminer pour le peuple breton avec la mort de plus de 200,000 de ses meilleurs fils, jetés contre l’Allemagne lors de la première mondiale pour protéger l’ogre français. Cette guerre criminelle a coûté à la Bretagne la fine fleur de son stock racial, une perte du meilleur sang dont elle ne s’est jamais remise. En parallèle, la féroce politique ethnocidaire française parachevait la destruction systématique de la langue bretonne tandis que les jeunes Bretons survivants du conflit, privés d’avenir par le régime colonial, étaient contraints à un exil massif hors de leur patrie pour faire la fortune du capitalisme parisien.

L’acte d’accusation est accablant : pour le peuple breton, la France n’a été qu’une immense et sanglante catastrophe.

Depuis cette date funeste de 1789, la nation bretonne est un fantôme dans son propre pays, sommée de laisser préséance à l’occupant français partout sur la terre sacrée de Bretagne. L’homme breton est du même mouvement devenu un domestique au service d’un ordre étranger qui se donne pour mission de le piller, de l’humilier et de le réduire à l’état de sujet perpétuel.

De seigneur et maître en son pays, l’homme breton est devenu le domestique de l’occupant.

A l’enseignement glorieux des mérites de notre race qui faisaient la fierté de chaque Breton, a succédé celui de la honte de soi inculquée par le parti français pour rendre toujours plus docile et malléable notre peuple subjugué. Cette rééducation impitoyable a pris de telles proportions que l’honneur d’être libre sur la terre de ses ancêtres a été remplacé par l’avilissant empressement à servir la marâtre française, ennemie séculaire et autoproclamée de notre peuple.

Car la France ne feint d’aimer les Bretons que lorsqu’ils sont vaincus et soumis. Libres et fiers, elle les hait.

La mensongère mystique égalitaire a été brandie par le parti parisien pour légitimer sa politique d’anéantissement culturel de notre peuple, décrété d’interdit par l’Etat Français sur sa propre terre. L’idéologie terroriste invoquée par les fanatiques de l’Une-et-Indivisible se donne pour but revendiqué de briser le peuple breton en le privant de sa conscience nationale et d’y parvenir en cassant son intégrité ethnique, pilier de la solidarité filiale qui en découle. C’est par un lavage de cerveau de masse entrepris dès le plus jeune âge dans ses écoles que le régime français apprend au peuple breton à renier sa nationalité et à se soumettre.

La France n’aime que les peuples faibles, car c’est sur de tels peuples que son joug peut s’établir avec morgue et arrogance. C’est en brisant la fierté raciale du peuple breton que la France veut lui faire accepter l’avilissement de la servitude.

La France est désormais engagée dans la conclusion de son projet impérialiste et sera bientôt irrémédiablement submergée par les masses prolifiques du monde afro-islamique, prélude à sa balkanisation finale. Le dernier but de ce régime criminel est d’entraîner le peuple breton dans sa déchéance raciale et de remplacer notre peuple par les masses de son ancien empire colonial. 

Parce qu’un peuple se doit de vivre ou de disparaître, nous, membres du Parti National Breton, opposons notre droit à la vie et proclamons que la date de 1789 est nulle et non avenue, et que, tout comme celle de 1488, nous l’effacerons de la page de notre histoire nationale. Nous engageons dès à présent la lutte pour la restauration de la nation bretonne dans ses droits nationaux et internationaux, la défense de sa personnalité ethnique et la conquête de son indépendance totale comme toute nation qui défend sa dignité. S’inscrivant dans la défense de l’Europe face au péril existentiel représenté par une France devenue une excroissance de l’Afrique islamique, le Parti National Breton engage la rupture définitive de Breizh avec l’Etat Français.

Au contrat social mensonger de cette république étrangère, nous opposons la communauté ethno-nationale bretonne, unie par les liens millénaires et fraternels du sang. De cette lutte doit naître Breizh, l’état celtique de la nation bretonne, seul état représentant la nation bretonne comme chacun des membres de la communauté populaire bretonne.

Le Parti National Breton brandit à nouveau la vieille bannière du combat frappée du triskell ! S’inspirant avec assurance de l’héroïque héritage de l’Emsav historique, il n’acceptera aucun compromis avec l’Etat Français occupant la Bretagne et ses militants n’auront de cesse de lutter contre l’occupant jusqu’à ce que Breizh soit à nouveau libre, se tenant avec honneur aux côtés des autres nations d’Europe au sein d’une grande Europe européenne.

Pour mener cette guerre d’indépendance jusqu’à la victoire finale, le Parti National Breton appelle chaque Breton à le rejoindre. C’est l’ultime appel.

Breizh Atav !

Proclamation du Parti National Breton

Pour nous rejoindre : [email protected]

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