[PNB] Nouvel exemple des conséquences de l’immigration extra-européenne organisée par l’Etat Français en Bretagne avec la complicité de la classe politique compradore : à Guingamp, une attaque sauvage a été commise contre un Breton innocent par une bande allogène qui a manqué de peu de tourner au meurtre.
Actu.fr :
Frédéric, 45 ans, est marqué. Physiquement d’abord, et psychologiquement aussi.
Pourtant, les faits remontent à la nuit du 26 au 27 décembre 2021, à Guingamp. Mais l’agression a été violente, très violente même. Tout s’est passé très rapidement, aux alentours de 23h ce jour-là.
« J’étais allé voir ma compagne à Ploumagoar, et je rentrais chez moi, dans le centre-ville de Guingamp. Alors que je me garais, j’ai été abordé par trois jeunes, qui m’ont demandé des cigarettes. Je leur ai dit que je n’en avais pas. Très vite, ils ont commencé à m’injurier. Je suis donc sorti de ma voiture. Ils ont alors pris la fuite, mais ont commencé à me lancer des cailloux à distance. À chaque fois que m’approchais d’eux, ils reculaient. J’ai pu les repousser ainsi jusqu’à la gare. Mais là, ils ont été rejoints par le reste de leur bande. Ils étaient alors une dizaine. Ils se sont tous jetés sur moi. L’un d’eux m’a frappé par-derrière à la tête. Je suis alors tombé au sol. Ils se sont mis à me donner des coups de pied alors que j’étais à terre. Je tentais de me protéger la tête avec mes mains. Je me suis vu mourir. Par miracle, un voisin, alerté par le bruit, est sorti de chez lui et les a mis en fuite. Sinon, je crois bien qu’ils auraient continué à me frapper, et je ne sais pas si j’aurais survécu. »
Ce terrifiant récit d’une agression gratuite fait froid dans le dos. À l’hôpital de Guingamp, le médecin constate l’étendue des blessures subies par Frédéric : fracture de la clavicule gauche, fracture des côtes, ainsi que des blessures à la cuisse et au thorax. Le médecin lui délivre 21 jours d’ITT, preuve de la violence des coups reçus.
Dès le lendemain, Frédéric va déposer plainte à la gendarmerie de Guingamp.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Quelques jours plus tard, alors qu’il marche en ville, Frédéric, repère une bande de jeunes. Il croit reconnaître l’un de ses agresseurs parmi les membres de ce groupe. Une intuition confirmée lorsque, l’apercevant, le groupe se disperse en criant : « C’est lui ! C’est lui ! »
Cette rencontre lui permet d’identifier un des agresseurs. Ce dernier, dans le viseur des gendarmes, devrait être bientôt entendu dans le cadre de l’enquête qui est en cours.
Reste chez Frédéric un sentiment de colère face à cette violence gratuite dont il a été victime. Et l’espoir que justice sera faite : « J’espère que leur condamnation sera à la hauteur de ce qu’ils m’ont fait. La justice doit être sévère avec ces agressions sauvages. Le risque, sinon, c’est que l’on soit tenté de se faire justice soi-même ».
Il espère que son appel sera entendu, pour que l’injustice qu’il a subie soit, en partie, réparée.
Une nouvelle fois, la presse d’état suit sa ligne de désinformation imposée par le régime français : il n’a jamais été question de “jeunes”, mais d’envahisseurs hostiles d’origine afro-musulmane importés et imposés par l’Etat Français au peuple breton.
Le Parti National Breton dénonce cette politique de remplacement agressive mise en place par la puissance occupante française. A Guingamp, cette politique est aggravée par l’action délétère du maire Philippe Le Goff, agent du socialisme français.
Conformément à son principe cardinal “La Bretagne aux Bretons”, le PNB entend organiser la défense de la population bretonne pour repousser efficacement le fléau de colonisation de peuplement allogène soutenue par la France en Bretagne.
Le PNB rappelle sa seconde exigence d’application immédiate pour la Bretagne :
2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
Pour rejoindre le PNB : [email protected]