[PNB] L’Emsav, comme mouvement ethno-nationaliste, est depuis longtemps l’objet de tentatives de subversion diverses, mais c’est indubitablement les marginaux de la mouvance anarcho-marxiste qui ont tenté avec le plus de régularité de le détruire, pour en faire, par opportunisme, un véhicule de leur délire idéologique.
Après l’effondrement d’Emgann suite à la catastrophique fuite en avant gauchiste de Gaël Roblin (alcoolique revendiqué) au début des années 2000, suivi de près par la farce que fut “Breizhistance”, la même micro-nébuleuse rouge-noire tente de se redonner un semblant de contenance, cette fois, sous le nom de “Douar ha Frankiz”, énième faux-nez communiste de ces agitateurs aux côtés des “Disuj”, “Dispac’h” ou du pseudo collectif “un ti da bep hini”.
Complaisamment relayé par le régionaliste de gauche Erwan Chartier dans le Poher Hebdo, plumitif antinational et ennemi déclaré du Parti National Breton, ce petit ramassis de saboteurs, alliés objectifs de l’état colonial, ressurgit d’entre les morts pour évoquer pudiquement “l’autonomie” à Carhaix, le 27 août. En fait “d’autonomie”, il ne sera question que de promouvoir les obsessions petites-bourgeoises d’importation parisienne de l’heure – LGBTisme, soutien à l’islam radical et à l’immigration antibretonne totale, collectivisme noir-rouge, etc. -, le tout sous couvert d’un verbiage régionaliste usé jusqu’à la corde. Se trouve à la tête de ce petit rassemblement sectaire l’élément marxiste Alan Cloarec, agitateur que le Parti National Breton a récemment dénoncé comme agent ennemi de la cause nationale après sa reprise en main des éditions Yoran Embanner.
L’action nationale bretonne suppose rigueur dans l’analyse politique, une connaissance ample des acteurs et des motivations, et une détermination sans faille de l’Emsav à défendre sans faillir la cause de l’indépendance nationale bretonne et de l’Etat breton. Cela suppose de démasquer et combattre la gauche coloniale française et ses pseudopodes gauchistes.
Les Emsaverien, qui combattent pour l’Etat breton, peuvent avoir confiance : après 40 ans d’existence, si l’histrionisme anarcho-communiste avait une once de crédibilité, ils le sauraient depuis beau temps. C’est une raison de plus pour le Parti National Breton de poursuivre son travail dédié à la cause d’une Bretagne fière, forte et libre, débarrassée des scories de la société hexagonale finissante, extrême-gauche régionaliste incluse.
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
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