Eurovision : le sinistre spectacle de la Bretagne folklorique, soumise et colonisée par la marâtre française

Eurovision : le sinistre spectacle de la Bretagne folklorique, soumise et colonisée par la marâtre française

[PNB] Cette année, le régime français se faisait “représenter” à l’Eurovision par un groupe de musiciens bretons.

L’aliénation ethnique organisée par l’Etat Français a logiquement entraîné des manifestations de pseudo “fierté” bretonne sur les réseaux sociaux. Les éléments régionalistes ainsi que des Bretons aliénés ne se concevant que comme des sujets acculturés de la France, n’ont pas été les derniers à alimenter ce simulacre.

Point d’orgue de l’imposture : les interprètes bretons ont brandi à de nombreuses reprises le drapeau tricolore du régime républicain français, c’est-à-dire le régime qui a livré la Bretagne aux massacres à grande échelle en 1793, en 1870 ou en 1914, massacres qui ont systématiquement été accompagnés d’une méthodique entreprise de destruction de sa culture et de sa langue.

“Le folklore est la honte d’une ethnie encore vivante et qui n’ose pas s’affirmer souveraine.” Saint Loup

Les intentions de l’Etat Français sont évidentes. Alors qu’il continue de poursuivre une politique d’éradication de la langue bretonne comme l’a démontré la décision du Conseil constitutionnel français d’interdire l’enseignement en breton, déjà marginal, dans les écoles de Bretagne, la France veut donner l’image d’un état qui respecterait les droits ethno-linguistiques des nations qu’elle domine. Ainsi, au moment où elle veille à parachever la destruction de la dernière langue celtique du continent, la France fait parader des chanteurs bretons devant les caméras d’Europe pour donner le change et mystifier un public européen sciemment désinformé. Elle a logiquement trouvé des domestiques pour l’y aider.

Par comparaison, si la Grande-Bretagne n’a jamais présenté un chanteur gallois à l’Eurovision, elle accorde l’autonomie politique au Pays de Galles qui a permis l’enseignement obligatoire de la langue galloise dans les écoles du pays, assurant de fait le sauvetage de cette langue sœur du breton.

La nation bretonne paie là le prix de son manque de détermination et de courage dans l’éducation politique du Peuple Breton. Faute d’une mobilisation de tous les instants pour désigner l’ennemi fondamental des Bretons, l’Etat Français et sa politique fondamentalement ethnocidaire, les Bretons acceptent encore de jouer le rôle de laquais aux ordres de Paris et de singer le maître français, affichant le visage honteux de la sujétion à l’oppresseur. 

Non, la nationalité bretonne n’est pas réductible à la nationalité française, bric à brac faite de toutes les peuplades de la terre, ni au statut infâmant de région colonisée par la France. Il n’y a pas plus odieux pour un Breton que de hisser le drapeau de l’état étranger qui opprime son peuple et organise son anéantissement.

La tâche du Parti National Breton est d’éclairer les masses bretonnes sur cette vérité fondamentale, de la rappeler inlassablement jusqu’à ce que les Bretons soient intégralement nationalisés et enfin prêts à chasser le pouvoir français hors de Breizh. Il en va de notre honneur ethno-national et de notre liberté.

Un Breton ne peut hisser qu’une seule bannière nationale : la sienne, noire et blanche.

Que maudit soit le tricolore en Bretagne, torchon sanglant de la Gueuse !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Quimper : un migrant clandestin devant être expulsé tente d’assassiner un passant au couteau

Quimper : un migrant clandestin devant être expulsé tente d’assassiner un passant au couteau

[PRESSE] Nouveau miracle multiculturel à Quimper, ville sous domination socialiste française où l’immigration clandestine est devenue endémique et, avec elle, les richesses traditionnelles que ces populations charrient.

Ouest-France :

Interpellé à Quimper (Finistère), en train de poursuivre un homme avec un couteau, un homme de 33 ans devait purger six mois de prison pour des faits qui n’ont pas été précisés. Il a été placé en détention à la maison d’arrêt de Brest (Finistère).

Dans la nuit du mercredi 11 mai au jeudi 12 mai 2022, les policiers ont été appelés rue Élie-Fréron, à Quimper (Finistère), pour une personne, munie d’un couteau, qui courait après une autre.

Il se trouve que cet homme de 33 ans devait purger six mois de prison pour des faits qui n’ont pas été précisés. Il a été placé en détention à la maison d’arrêt de Brest.

Placé en garde à vue pour détention d’arme, il est par ailleurs sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français étant en situation irrégulière.

La Bretagne sous occupation française est transformée en déchèterie multi-ethnique par Paris. La gauche hexagonale facilite son action.

Le Parti National Breton entend y mettre bon ordre en application de son exigence immédiate n°2 pour la Bretagne qui prévoit :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Pour le Peuple Breton, il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard, c’est-à-dire avant qu’il ne devienne minoritaire sur sa terre.

La seule solution qui s’offre à chaque Breton est de rejoindre au plus vite le Parti National Breton, pour organiser la libération de notre patrie du joug étranger.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Immigration franco-allogène : deux Bretonnes de Fougères constatent la tiers-mondisation fulgurante de la ville

Immigration franco-allogène : deux Bretonnes de Fougères constatent la tiers-mondisation fulgurante de la ville

[PRESSE] Le remplacement de population organisé en Bretagne par les autorités coloniales françaises touche sévèrement Fougères, dans le Pays Rennais. La ville médiévale se tiers-mondise rapidement sous l’effet de l’implantation de populations extra-européennes indésirables.

Des habitantes témoignent, sans oser dire l’évidence, de peur d’être traînées devant les tribunaux français.

La Chronique Républicaine

Simone et Marie ne veulent pas pousser un coup de gueule ni émettre une critique agressive, « nous venons simplement vous faire part de notre réflexion ».

La voici, accompagnée de photographies qu’elles ont prises en fin de semaine dernière :

« Fougères était considérée comme une petite ville où il faisait bon vivre, une ville calme loin du tumulte des grandes métropoles. Cela fait 50 ans que nous vivons ici et brusquement nous nous rendons compte que nous ne reconnaissons plus notre ville. Certes, il y a des choses autrement plus graves, surtout en cette période de crise, mais voir sa ville se détériorer petit à petit cela nous fait mal au cœur. Nous sommes maintenant confrontés à des cambriolages, des détériorations de toutes sortes allant des containers à papiers incendiés à plusieurs reprises, des feux déclenchés à multiples endroits en ville ou en dehors de la ville, ainsi que des dépôts d’ordures sauvages aux quatre coins de la ville et à proximité de grandes surfaces. Bref, une dégradation évidente de Fougères.

Que peut-on faire pour retrouver notre jolie petite ville comme on l’aimait auparavant ? Que peut-on mettre en place pour que Fougères retrouve sa réputation de ville sereine ? Voilà l’objet de notre réflexion aujourd’hui. »

Le Parti National Breton a la réponse à la question posée par ces deux habitants :  l’expulsion vers la France des populations extra-européennes inassimilables qui sont importées arbitrairement par l’Etat Français en Bretagne, et ce dans les plus brefs délais.

Le Parti National Breton le fera.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Suscinio : les militants du Parti National Breton célèbrent le Jour des Travailleurs Bretons

Suscinio : les militants du Parti National Breton célèbrent le Jour des Travailleurs Bretons

 

[PNB] Le samedi 7 mai 2022, le Parti National Breton organisait au pied de la forteresse de Suscinio la journée du Parti dédiée aux travailleurs bretons. Les militants se sont retrouvés pour marquer ce moment important de la vie nationale bretonne comme de la vie du Parti National Breton.

Voici le discours prononcé à cette occasion sous les bannières de combat du mouvement.

Camarades du Parti !

En cette journée du Parti National Breton dédiée aux travailleurs bretons, nous sommes rassemblés au pied d’une des forteresses emblématiques de notre vieille nation, édifiée par nos ducs héroïques, chefs successifs de l’état le plus puissant d’extrême-Occident de leur temps : l’Etat Breton. Huit siècles après son édification, la bannière frappée du triskel flotte sous ses murs, portée par les combattants de l’Etat Breton. 

Pour nous, nationalistes bretons, la puissance de travail de notre peuple est indissociable de l’Etat Breton. L’Etat Breton est la culture bretonne consciente d’elle-même, c’est-à-dire l’instrument de la volonté bretonne. Cette volonté bretonne qui s’exprime chaque jour par le travail du peuple breton.

Pour nous, Bretons, le travail est le principe fondamental de la vie. C’est par le travail que chaque Breton gagne non seulement sa vie, mais son honneur. C’est un principe qui puise à la source du sang breton, après des millénaires de lutte pour la survie. C’est ce sang façonné par l’effort quotidien pour la vie qui a forgé l’esprit breton et son besoin d’action créatrice permanente.

Les Bretons, aujourd’hui privés d’état propre, voient cette puissance de travail détournée de sa finalité émancipatrice par les forces parasitaires qui les oppriment. Sans Etat Breton, toute la force de travail du peuple breton est réduite à celle d’une bête de somme dont le travail ne crée plus sa liberté ethno-nationale. Au contraire, la force de travail du peuple breton est utilisée par l’Etat Français qui l’occupe et l’opprime pour le priver toujours plus de sa liberté. Par ce retournement pervers, les Bretons ne se libèrent plus par leur travail, mais, au contraire, deviennent les collaborateurs de leur propre aliénation. Ainsi, plus les Bretons travaillent courageusement, plus ils renforcent l’Etat Français qui utilise leur travail, leur sueur et leur sang pour étouffer et écraser la nation bretonne, c’est-à-dire les travailleurs bretons eux-mêmes.

Retourner le travail breton contre la liberté bretonne en faisant payer aux Bretons le coût de l’oppression française, c’est l’action quotidienne de l’Etat Français en Bretagne. 

C’est la raison pour laquelle l’Etat Français parasitaire mène une action permanente de destruction de la culture bretonne et des droits nationaux de Breizh. L’avilissement de notre peuple et sa marginalisation dans la honte et la culpabilisation permanente sont indispensables à son exploitation par l’ennemi. L’Etat Français n’aime les Bretons que soumis, serviles et acculturés pour s’en servir comme simples domestiques dans leur propre pays. 

D’où cette vérité d’évidence : dans une Bretagne sous occupation française, le travailleur breton ne peut qu’être un prisonnier.

L’Etat Français n’est qu’exploitation pure, outil des prédateurs capitalistes de Paris comme des parasites improductifs du tiers-monde importés par eux. Ces deux classes de vampires sont unies contre notre peuple pour sucer l’énergie vitale des travailleurs bretons jusqu’à ce que mort s’en suive.

Pour le Parti National Breton, il n’existe donc qu’un seul état et cet état est la condition même de la survie de notre peuple et de sa liberté : l’Etat des travailleurs bretons, par les travailleurs bretons, pour les travailleurs bretons !

L’Etat Breton annule le principe d’oppression que fait régner l’Etat Français en Bretagne : il rend à l’homme breton tout le fruit émancipateur de son travail en faisant de l’homme breton et de sa force créatrice le centre de la pensée et de l’action de l’Etat Breton. Contre la préférence métèque dictée par l’Etat Français, l’Etat Breton redonne sa dignité à l’homme breton en lui rendant, et à travers lui, à son pays, la liberté personnelle et la souveraineté collective, fondée sur les liens du sang. Terre des ancêtres, sang et travail sont ainsi les principes fondateurs de la Bretagne libre que l’Etat Breton rend aux travailleurs bretons.

Le Parti National Breton, contre les intérêts du capitalisme hexagonal exploiteur, contre les phraseurs marxistes partisans de la destruction du travail breton, contre les parasites étrangers, oppose à ces ennemis du peuple breton ligués derrière l’Etat Français la libération du travailleur breton par la restauration de son état national, dont il est par définition le seul maître.

C’est le sens profond du slogan du Parti National Breton : la Bretagne aux Bretons !

Camarades, faites flotter la bannière du Parti partout, c’est la bannière du travailleur breton dont l’effort inlassable, comme le soleil dont elle est frappée, ne cesse jamais de garantir la liberté de notre peuple.

Longue vie au PNB !

Bevet Breizh !

Breizh Atav !

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Michel Marion, héros de l’indépendance bretonne et libérateur de Nantes

Michel Marion, héros de l’indépendance bretonne et libérateur de Nantes

[HISTOIRE NATIONALE DE BRETAGNE] Michel Marion, négociant, armateur et héros de l’indépendance bretonne à l’honneur. Après avoir été armateur, Michel Marion collectait les taxes du port de Quimper, notamment à Locmaria où les Romains avaient déjà développé une petite agglomération portuaire. C’est là qu’il arma un navire pour rejoindre une flotte d’une cinquantaine de vaisseaux afin de porter secours au duc assiégé dans Nantes.

Quartier de Locmaria, Quimper, sur les rives de l’Odet

Lors de la folle guerre entre le duché de Bretagne et le royaume de France, le Quimpérois Michel Marion s’est distingué en armant un navire de guerre pour venir secourir Nantes assiégée. Ce geste lui a attiré le courroux de quelques seigneurs acquis au roi de France, mais également la reconnaissance d’Anne de Bretagne.

En ces années 1486-1487, les menaces s’accumulent sur le duché de Bretagne. Sous le gouvernement de François II, ce dernier n’a cessé de renforcer son indépendance vis-à-vis du royaume de France. Il s’est doté d’administrations modernes pour leur temps. Il possède sa propre armée et une diplomatie.

Mais cette dernière est contingentée par les grands équilibres européens. Or, à cette époque, le royaume de France monte en puissance. Il est sorti vainqueur de la guerre de Cent Ans et l’Angleterre se remet à peine de la guerre civile des Deux Roses, opposant Lancastre et Tudor. À l’est, la France a aussi éliminé la menace bourguignonne, cette puissante principauté qui s’étendait des Flandres au Rhône. Le nouveau roi Charles VIII a désormais des vues sur le duché de Bretagne.

Prétentions du roi de France

Le conflit va partir d’une querelle successorale. À l’issue de la guerre de succession de Bretagne, plus d’un siècle auparavant, les Penthièvre avaient renoncé au duché, mais pouvaient toujours y prétendre si les Montfort n’avaient pas d’héritiers. Or, le duc François II n’a que deux filles et aucun héritier mâle. En 1480, Louis XI avait racheté leurs droits aux Penthièvre. Les juristes bretons arguent que le duché est une terre de franc-alleu, soit une Terre Libre, sa souveraineté ne vient que de Dieu. Ce que contestent les juristes du roi de France qui affirment que la Bretagne a juré hommage à la France. Charles VIII se pose donc en prétendant au duché en cas de décès de François II. L’argent français coule à flot pour acheter de grands aristocrates. Cinq grands seigneurs bretons reconnaissent la légitimité de Charles VIII. L’affrontement militaire est inévitable.

La folle guerre de Bretagne

Château des Ducs de Bretagne, Nantes

En mai 1487, l’armée française pénètre en Bretagne avec plus de 15.000 hommes. À Malestroit, le duc de Bretagne rassemble près de 16.000 hommes, avec 600 lances et de nombreux paysans armés. Mais l’avancée française est fulgurante. Comme nous l’avons vu précédemment, Plusieurs forteresses des Marches tombent, dont Ancenis, Châteaubriant, La Guerche et Redon.

François II s’enfuit vers Vannes puis rejoint Nantes. Nantes était donc assiégée le 19 juin. Michel Marion utilise aussi son argent pour monter une véritable flotte bretonne (notamment avec le Morlaisien Jehan de Coatanlem), ce qui représente une soixantaine de bateaux (120 hommes). Et c’est par un stratagème (il transforme son bateau à l’image d’une des îles de la Loire et arrive par surprise) qu’il casse le siège de la ville. En passant devant le camp des assiégeants, il tire une bordée de ses canons, avant d’aller accoster au port de Nantes et ce Malgré les menaces de certains aristocrates bretons qui penchaient pour le parti français, notamment les Rohan, les Rostrenen, les du Quélennec, il a décidé de se battre pour sa patrie.

Violents combats

Les Cornouaillais vont rapidement s’employer et participer à la majeure partie des combats livrés autour de la ville. Quand on se bat sur l’île de Biesse, le bateau de Marion vient attaquer et bombarder le camp des Français, les forçant à rapatrier des troupes. Les pertes sont importantes, le navire sévèrement touché. La moitié des hommes de Marion perdront leur vie dans l’aventure. Devant la résistance acharnée des Bretons, les Français en difficulté, lèvent le siège de Nantes le 6 août 1487. En se retirant, ils prennent les forteresses de Vitré et Saint-Aubin-du-Cormier. Mais, lors d’une contre-attaque durant l’automne, les Bretons ont repris la grande majorité des places fortes au début de 1488. Ils seront cependant vaincus lors de la bataille de Saint-Aubin, en juillet. Au cours d’un accrochage lors du siège de Nantes, Michel Marion est blessé grièvement. Il meurt peu de temps après, laissant sa fille criblée de dettes, « À ce faire avait employé tout son bien, vendu et aliéné grande partie de ses héritages », dit la chronique. mais après avoir exprimé sa satisfaction du devoir accompli.

Par lettre du 8 décembre, 1490, la duchesse Anne de Bretagne annule la totalité de sa dette, soit 3.000 livres, estimant qu’il n’avait pu exercer ses fonctions de fermier général chargé du recouvrement des taxes dans le port de Quimper. Michel Marion semble représentatif de cette bourgeoisie urbaine et de cette petite noblesse qui avaient au XVe siècle, adhéré au projet indépendantiste des ducs de la maison de Montfort et resteront attachées aux libertés et franchises de la Bretagne sous l’Ancien Régime.

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“Espèce de Blanc” : à Binic, un couple agressé à l’armée blanche par un allogène venu de France

“Espèce de Blanc” : à Binic, un couple agressé à l’armée blanche par un allogène venu de France

[PRESSE] Il se baladait avec un nunchaku, dans les rues de Binic, quand il a agressé verbalement un couple se rendant au restaurant. En proférant des insultes « à caractère raciste », a retenu le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc ce mercredi.

Le prévenu n’était pas à l’audience du tribunal correctionnel, ce mercredi 4 mai 2022 à Saint-Brieuc. « Et c’est dommage car on se pose des questions, notamment sur sa santé mentale », a résumé la présidente, au sujet de ce dossier un peu étonnant.

L’homme est poursuivi pour deux faits de violence, mais aussi pour des menaces. Ses premières victimes : un couple, qui cherche tranquillement un restaurant, à Binic, le 28 mai 2021. Ils se souviennent parfaitement de cet individu, qui se promenait avec un nunchaku, et qui tapait dans les poubelles. « Toi espèce de blanc, tu votes FN » a-t-il hurlé à leur intention, avant de menacer de les planter au couteau.

Le Télégramme

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Immigration, spéculateurs français : un couple breton avec deux enfants privé de logement à Lorient !

Immigration, spéculateurs français : un couple breton avec deux enfants privé de logement à Lorient !

[PNB] Nouvel exemple de l’effet catastrophique de la double colonisation de peuplement que subit la Bretagne sous l’effet de l’occupation française : par le haut avec la prédation de la bourgeoisie hexagonale sur le littoral breton, par le bas avec l’immigration non-européenne qui bénéficie prioritairement des logements sociaux pourtant payés par les contribuables bretons.

Un couple breton de la région de Lorient en est la dernière victime.

Le Télégramme :

Tatiana et Romain Briset doivent trouver une nouvelle location d’ici novembre. Un vrai casse-tête pour ces jeunes parents qui espèrent désormais décrocher un logement social.

« C’est vraiment la galère de se reloger ». Tatiana et Romain Briset, installés à Larmor-Plage depuis novembre 2019, doivent déménager dans six mois. « Notre propriétaire vient de nous signifier la fin de notre bail pour récupérer sa maison en novembre ». Une échéance qui coïncide avec le terme de la grossesse de la jeune femme, déjà maman du petit Marlon, 18 mois.

Depuis un mois, le couple ne trouve rien. « On a répondu à une vingtaine d’offres. On ratisse large, ce n’est pas le moment de faire les difficiles : maison ou appartement, jusqu’à Pluvigner et même Baud ». « Le principal, c’est d’avoir un toit. Pas question de se retrouver à la rue avec nos enfants ». À quatre, compliqué aussi de squatter la famille ou les amis.

Ces locataires ont pourtant tout pour plaire : les deux travaillent (Tatiana est secrétaire dans une concession automobile, lui est intérimaire) et ont des garants solvables. « On nous explique que les maisons sont très convoitées. Les propriétaires, de plus en plus nombreux à récupérer leur bien pour les vendre, ont l’embarras du choix. Autant dire que ce n’est même pas la peine de chercher à Lorient ou Lanester ».

Les Larmoriens ont donc décidé de s’adresser à une assistance sociale. S’ils ne rentrent pas dans les cases pour bénéficier d’aides financières, ils peuvent prétendre à un logement social. « J’ai appelé tous les bailleurs sociaux de l’agglo en expliquant notre situation. Ils ont compris qu’il y avait urgence mais sans pour autant nous promettre quoi que ce soit ». Là aussi, beaucoup de demandes mais peu de logements.

« Ce serait bien qu’on trouve un logement avant l’été, pour préparer l’arrivée du bébé sereinement et enfin se projeter ». En finir avec ces incertitudes. « Ne pas savoir où on va aller est assez stressant. Inconfortable, démoralisant et surtout injuste. On n’est pas les seuls dans ce cas-là. On ne demande quand même pas la lune… »

Le logement social est tout simplement inaccessible aux Bretons : l’Etat Français le réserve aux migrants afro-musulmans dont il organise la colonisation en Bretagne. Ainsi, dans la ville socialiste de Saint-Nazaire, plus de 72% des demandes en liste d’attente pour un logement social sont constituées d’allogènes expédiés sur place par Paris dans le cadre du Grand Remplacement.

L’Etat Français, responsable de cette double colonisation dont souffrent gravement les Bretons victimes de ce nettoyage ethnique à bas bruit, ne sera jamais la solution aux crises dramatiques dont il est l’origine. Paris, qui traite la Bretagne comme une dépendance coloniale, ne mettra à l’évidence aucun frein à la prédation de la bourgeoisie parisienne qui achète pour une bouchée de pain les terres bretonnes, pas plus qu’il ne stoppera la fulgurante afro-islamisation des villes bretonnes.

Seul le Parti National Breton propose les solutions radicales susceptibles de briser cette spirale destructrice de l’expulsion des Bretons de leur propre terre.

Dans ses 14 exigences, le Parti National Breton exige :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

Le Parti National Breton est la dernière chance du Peuple Breton face aux forces qui l’oppriment et organisent son éradication physique. Les Bretons doivent le rejoindre pour libérer leur pays de l’ennemi qui veut les asservir et les détruire.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Voiture de police incendiée par des allogènes à Brest : le Parti National Breton veut des solutions radicales

Voiture de police incendiée par des allogènes à Brest : le Parti National Breton veut des solutions radicales

[PNB] Un véhicule de la police coloniale française a été incendié, jeudi 28 avril 2022, aux environs de 16 h 30, à côté de la mairie de quartier de Saint-Marc, à Brest.

Ouest-France :

Le feu a démarré peu avant la sortie des élèves de l’école voisine. Il a pu être en partie maîtrisé par un témoin. Contrôlées à proximité, trois personnes ont été conduites au commissariat.

« On repasse un cap, soupire Éric Kerbrat, pour le syndicat Unité-SGP FO. On n’a jamais eu ça sur Brest, la délinquance évolue. »

Alors que le syndicat de la police nationale a, à de nombreuses reprises, alerté sur le déficit dans les effectifs de police à Brest, le policier brestois poursuit : « La police nationale doit être partout et au même moment. Or, nous rappelons que nous avons un gros manque d’effectif. On sollicite une trentaine de policiers en renfort, comme déjà demandé en début d’année. Toute la circonscription doit être surveillée de la même façon, de jour comme de nuit, du lundi au dimanche. »

Le quartier de Saint-Marc avait connu, le dimanche 24 octobre 2021, un précédent incendie de véhicules : trois voitures avaient brûlé sur le parking d’un immeuble de Brest Métropole Habitat, rue Louis-Pidoux, en contrebas du jardin Poul-ar-Bachet. « La sécurité des policiers reste notre priorité, conclut Éric Kerbrat, celle de la population aussi. »

Augmenter les effectifs de la police française à Brest pour gérer l’augmentation du nombre de colons afro-musulmans organisée par le ministère de l’intérieur français relève de l’absurde, ou de la provocation.

Aucun pansement policier hexagonal sur la jambe de bois du remplacement de population ne résoudra les problèmes liées à l’immigration extra-européenne en Bretagne. Pas plus à Brest qu’ailleurs.

Le Parti National Breton dispose d’une stratégie économe des impôts des Bretons et d’une efficacité radicale : l’indépendance de la Bretagne et l’expulsion vers la France de tous les allogènes disposant de titres de séjour français ou ayant transité par la France, en plus des ressortissants français indésirables sur le territoire national breton.

Le Parti National Breton le fera.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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« Ça m’a agacé » : à Rennes, pour un “mauvais regard”, Anli Deza agresse un passager du métro  à l’arme blanche

« Ça m’a agacé » : à Rennes, pour un “mauvais regard”, Anli Deza agresse un passager du métro à l’arme blanche

[PRESSE] Dans la soirée du 21 avril 2022 à Rennes (Ille-et-Vilaine), vers 22 h 45, alors que la victime rentrait d’un spectacle, son agresseur l’avait violentée sous la menace d’un couteau, et lui avait volé sa sacoche.

Un jeune homme de 20 ans, Anli Deza, a été condamné à un an de prison avec maintien en détention par le tribunal correctionnel de Rennes pour avoir agressé un homme dans le métro. Jugé mardi, en comparution immédiate, le prévenu a reconnu les faits, mais ses explications sont restées floues.

Ouest-France

Le Parti National Breton sur le terrain dans le nord du Pays Rennais !

Le Parti National Breton sur le terrain dans le nord du Pays Rennais !

[PNB] Les militants du Parti National Breton ont mené une action d’affirmation nationale bretonne dans 12 communes du Pays Rennais lors du weekend du 23 et 24 avril 2022.

Le Parti National Breton récuse l’agenda politique de l’Etat Français en Bretagne et entend éduquer le Peuple Breton pour qu’il ne vive plus à l’heure parisienne.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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