“Demain la France n’aura même plus d’influence sur la Bretagne” : le juste constat de l’écrivain Boualem Sansal sur la fin de l’Etat français

[PNB] L’écrivain algérien Boualem Sansal a dressé un constat pertinent du recul inexorable de l’influence française. “Elle (la France, ndlr) vient de perdre son influence en Afrique, alors que va-t-il lui rester ? Demain elle n’aura même plus d’influence sur la Corse, sur la Bretagne et sur l’Alsace” déclare M. Sansal.

Si beaucoup de Bretons croient encore que l’Etat français est l’horizon indépassable pour leur pays, au point de se croire Français pour les plus honteux, les esprits les plus aiguisés ont parfaitement mesuré la phase de désintégration de la France post-coloniale et post-occidentale. 

Le Parti National Breton veut préparer le démantèlement progressif dans lequel est entré l’Etat français en éveillant la conscience nationale des Bretons, en les tirant de leur léthargie, pour qu’ils réalisent que l’heure de la renaissance de l’Etat breton approche.

Dans tous les domaines, les Bretons devront devenir une nation adulte et apprendre à organiser les conditions de sa survie dans un environnement géopolitique, économique, culturel, ethnique radicalement différent de celui qui a gouverné l’annexion (1532) et l’assimilation (1789) de leur pays par l’état impérialiste français.

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23 septembre 1943 : bombardement de terreur allié sur Nantes, 1463 tués

23 septembre 1943 : bombardement de terreur allié sur Nantes, 1463 tués

⚫️ [ CRIME DE GUERRE ] Il y a 80 ans, les 16 et 23 septembre 1943, les terroristes alliés, soutenus par les gaullo-communistes français, bombardent Nantes.

Cet acte de terreur fait 1463 morts et plus de 2500 blessés dans la population bretonne.

Le Parti National Breton – Strollad Broadel Breizh se souvient.

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Rennes : action d’affirmation nationale du PNB !

Rennes : action d’affirmation nationale du PNB !

[PNB] Les militants du Parti National Breton du Pays Rennais ont mené une action d’affirmation nationale dans le nord de la capitale administrative bretonne. Un message clair : la Bretagne aux Bretons !

Vous êtes rennais ou habitez le Pays Rennais ? Rejoignez le Parti National Breton et passez à l’action de terrain pour une Bretagne fière, forte et libre !

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PODCAST : Mouezh ar Vroad n°10

PODCAST : Mouezh ar Vroad n°10

[PODCAST] L’épisode n°10 de MOUEZH AR VROAD est sorti (mois de septembre)

Pour l’écouter, CLIQUEZ sur le lien ci-dessous ! 👇

00:00 Générique
00:41 Introduction
01:39 Actualité : L’état catastrophique du système médical
23:17 Pause Musicale : Beaj da Avalon – Gwennyn
27:14 Politique : Réflexion politique sur la santé
50:54 Pause musicale : An distro eus a Vro-Saoz – Barzaz-Breiz
53:04 Culture : Janed ar Flamm – la politisation de la santé
1:10:58 Conclusion
1:14:43 Générique

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Le socialiste français Chesnais-Girard veut ABOLIR le pétrole : un danger mortel pour l’économie bretonne

[PNB] La démagogie “climato” alarmiste du socialiste hexagonal Loïg Chesnais-Girard représente une grave menace pour l’avenir de la Bretagne.

Malgré ses affirmations, il n’y a aucune alternative au pétrole pour les foyers bretons ou les entreprises bretonnes. C’est encore plus vrai pour notre pays qui est une péninsule.

Breizh, dont la dépendance énergétique est organisée par Paris, serait encore plus prisonnière de la production électrique française si son économie est privée de pétrole. Même en l’état, la production nécessaire n’existe pas, tant que l’Allemagne et la Chine consomment des records de charbon.

Pour le Parti National Breton, l’indépendance est une urgence.

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Le régional-loyalisme : un vieux piège de la France contre la nation bretonne

Le régional-loyalisme : un vieux piège de la France contre la nation bretonne

[PNB] La clarification dialectique est la première tâche du Parti National Breton dans sa lutte pour l’émergence d’une conscience nationale en Bretagne. Cet effort découle, sur le chemin vers le libération nationale, de la nécessité de rompre avec la société française et ses factions en Bretagne qui instrumentalisent le sentiment ethnique breton à leurs fins pour y acclimater et légitimer les intérêts de l’Etat français car, il faut le rappeler, la société française, malgré ses contradictions, est subordonnée à cet état.

Une réponse récente du président de l’association régionale-loyaliste An Tour Tan à un nationaliste breton, évoquant la “francophobie maladive” des patriotes bretons, illustre cette instrumentalisation opportuniste du sentiment ethnique breton et sa subordination aux intérêts français. Elle est l’occasion d’une utile clarification.

La “francophobie maladive”, une métaphore hyperbolique en forme de pléonasme puisqu’une phobie appartient par définition au champ médical, serait un problème aux yeux d’une association locale s’étant très brièvement décrite comme “nationaliste bretonne” avant de dégénérer par droitisme vers le régionalisme francophile – pudiquement nommé “autonomisme” – afin d’accommoder le parti français qu’elle a courtisé puis intégré. 

Nous pensons pouvoir affirmer avec un certain degré de confiance que la “francophobie” n’a jamais été une problématique du nationalisme breton. C’est plutôt la haine ethnique très enracinée des Français envers les Bretons, dès lors qu’ils cessent de se comporter en dociles sujets coloniaux, qui a été l’objet de l’attention du nationalisme breton depuis sa création. Si une association s’affirmant “bretonne” en Bretagne se lamente de la “francophobie” c’est que cette association n’est pas bretonne, mais française. Cela, tout le monde en conviendra sans difficulté, Français en tête. Ajoutons que le nationalisme breton, en raison de ses buts politiques, qui sont par définition antagonistes aux intérêts français, sera toujours identifié comme “francophobe” par le parti colonial français. Cette déclaration du président de l’association régionale-loyaliste An Tour Tan constitue en tous points une inversion de la réalité, par acculturation ou cynisme.

Remettons les choses à l’endroit. En 2023, l’Etat français poursuit une politique systémique d’écrasement de la personnalité nationale de la Bretagne qui est un pays occupé par l’Etat français, privé d’un gouvernement libre, dont le territoire est partitionné, l’enseignement de son histoire nationale interdite dans les écoles tout comme celui de sa langue millénaire. La Bretagne occupée et désarmée subit au surplus une intense colonisation de peuplement française sur son littoral par une bourgeoisie hexagonale prédatrice qui la met en coupe réglée. Ce à quoi s’ajoutent les supplétifs post-coloniaux que cette bourgeoisie française importe avec elle. Si un phénomène est à observer en Bretagne, ce n’est pas la “francophobie”, mais une politique de ségrégation systématique des Bretons dans leur propre pays.

Aux nationalistes bretons qui expriment cette réalité, M. Mercier répond que la France est la victime des Bretons en Bretagne (?!), cela en raison d’une “maladie”, produit baroque dérivé de l’antiracisme hexagonal, la “francophobie” (?!). Comble de l’inversion, les Bretons qui lèvent la voix face aux Français qui saccagent leur pays seraient ceux qui adopteraient une posture “victimaire”. Il faut être français pour occuper un pays et avoir le front de se dire la victime des autochtones qui se défendent. S’il y a une politique d’agressivité et d’hostilité en Bretagne, c’est celle des Français qui l’occupent contre les Bretons. Les Bretons qui y résistent contre les Français agissent en état de légitime défense. Le devoir de tout Breton est de combattre sans faiblir cette occupation et cette sujétion.

Nous le voyons, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, les Bretons doivent rester pour le parti français des auxiliaires dociles. Comme jadis lors de la guerre civile française entre monarchistes et républicains, les Bretons sont sommés de se cantonner au rôle de réservistes de l’un ou l’autre camp. Ensuite, dans un futur lointain, leurs aspirations à la liberté, très encadrée, seront peut-être un sujet de débat. 

Par delà ses formes et ses antagonismes, le parti français en Bretagne a toujours combattu le sentiment national breton pour domestiquer les Bretons et les utiliser à ses propres fins. Les aristocrates légitimistes  français, voulant exploiter l’opposition de nombreux Bretons à la révolution française, ont amplement utilisé la Bretagne comme réserve de votes et d’auxiliaires pour ses propres besoins durant tout le 19ème siècle. Les nationalistes bretons se rappellent de l’agitation de l’organisation régionaliste et catholique ADSAV, dans les années 1930, que Breiz Atao combattait avec force, organisation supplétive qui prétendait au “pragmatisme” du régional-loyalisme avant de finir par disparaître et d’aller se fond dans le brouet politique fransquillon. Entretemps, c’est Breiz Atao qui a été la matrice révolutionnaire de laquelle tout est sorti en Bretagne.

Ce besoin de supplétifs est un invariant des factions coloniales françaises en Bretagne. Que les Français aient pu trouver des lâches, des traîtres ou des opportunistes pour jouer les Théodore Botrel et mener cette lamentable et honteuse politique ne la disqualifie pas moins pour autant du point de vue national breton.

Le nationalisme breton, comme conscience nationale en action, a pour première base doctrinale d’affirmer que l’intégration forcée de la Bretagne à la France ne l’a pas rendue “plus forte”, mais plus faible puisque cette intégration a été obtenue par une annexion sanglante puis poursuivie par une politique brutale de répression ethnique et de colonisation. Résumons un axiome simple : de par son caractère intrinsèquement impérialiste, de par la présente occupation, que cela plaise ou non, ce qui affaiblit la France renforce Breizh et inversement. French difficulties, breton opportunities : telle est la politique de l’Emsav et elle le sera toujours.

Le nationalisme breton distingue deux camps : le camp national breton, en lutte contre l’état français occupant, et le camp colonial français. Le premier lutte pour dégager le Peuple breton de l’Etat français et de sa société afin d’opérer une révolution devant aboutir, comme toutes les luttes de libération nationale, à la création d’un état national indépendant. Il en découle que les deux sont des ennemis existentiels, sans compromis possible.

Comme contradiction interne de la société française, le régional-loyalisme français exprimé ci-dessus est un petit pendant du régionalisme français de gauche exprimé par les régionaux-loyalistes de l’Union Démocratique Bretonne ou d’autres succursales du même acabit. Les deux se subordonnent à la société hexagonale, ses antagonismes et factions pour faire “masse” contre d’autres Bretons de factions opposées. Pendant que ces auxiliaires se divisent, s’affrontent et se neutralisent dans le cadre horizontal de la société hexagonale, ils laissent au seul état français la primauté du politique, seule verticalité qui produit l’histoire. C’est le résultat de la guerre civile importée en Bretagne par les Français depuis 1789 et le rôle de supplétifs que jouent, volontairement ou non, des Bretons dans cette guerre.

Le nationalisme breton organisé se donne au contraire pour objectif d’unir les Bretons nationalement contre l’Etat français occupant pour que la nation produise sa propre histoire grâce à son état indépendant. Le politique, c’est la guerre, la guerre c’est la désignation de l’ennemi. En Bretagne, l’ennemi est et sera toujours la France, les colons français et leur parti, le reste n’en étant que le pus coulant de la plaie. 

Pour opérer ce saut de conscience nationale dont la Bretagne est privée depuis trop longtemps par rapport à d’autres nations européennes, à l’instar de la Catalogne, de l’Ecosse, du Pays de Galles ou de la Flandre, le Parti National Breton entreprend de réaffirmer et de raffermir l’Emsav en récusant l’opposition entre la droite et de la gauche hexagonales qui ne sont que les deux faces de la même pièce qu’est l’impérialisme français. Pour les nationalistes bretons, l’impérialisme français est un et indivisible, qu’il prenne un versant “de droite” ou “de gauche”. Cette approche d’unification nationale bretonne froisse les différents segments de la bourgeoisie francophile en Bretagne qui ne raisonnent qu’en termes d’alignement sur Paris, son état et ses factions. 

Les éléments aliénés par la société française en Bretagne combattront toujours l’Emsav dont le Parti National Breton est aujourd’hui la seule voix véritablement consciente. Le nationalisme breton organisé, en s’opposant à l’effort de mobilisation des Bretons au profit des factions françaises, suscitera toujours l’opposition des éléments aliénés, peu importe leur position au sein du spectre politique hexagonal, davantage même que des Français qui, eux, s’attendent à une attitude sans compromis de la part des nationalistes bretons.

Cette clarification n’est pas un détail ou une vaine polémique, pas plus que la critique du régionalisme formulée par le PNB depuis l’origine, notamment au sujet de l’UDB et de l’impasse qu’elle a incarné pendant 60 ans. Elle est au contraire essentielle. Tous les échecs de l’Emsav découlent d’une déficience théorique importante qui a empêché l’identification correcte de l’ennemi qu’est l’Etat français et la compréhension de sa stratégie, de ses réflexes et de l’acculturation induite par la francisation. Pour ne pas perdre de temps et d’énergie et agir avec pertinence, le Parti National Breton doit inculquer aux patriotes bretons la cohérence doctrinale sans laquelle tout échoue sous le poids de l’aimantation française qui, en raison de l’occupation, tente constamment de ramener les Bretons à des positions loyalistes. 

Le Parti National Breton sait que ce chemin est beaucoup plus difficile à emprunter que de se couler par domestication dans le sillage de la France, mais il sait également que chaque acquis sur cette voie est un acquis infiniment plus durable car historiquement indépendant de la France et de sa société. En arrachant un à un les Bretons de la société française et de ses polarités, en les nationalisant petit à petit, notre Parti réalise l’indépendance nationale qui doit aboutir à la proclamation de l’Etat breton.

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Le Pouliguen : nouvelle agression sexuelle commise par un migrant clandestin contre une Bretonne !

Le Pouliguen : nouvelle agression sexuelle commise par un migrant clandestin contre une Bretonne !

[PNB] Nouvel exemple du danger sécuritaire que la politique de repeuplement migratoire de l’Etat français fait peser sur la Bretagne, cette fois au Pouliguen (Bro Naoned, Pays Nantais).

Ouest-France :

Un Libyen a été condamné, jeudi 24 août, à six mois de prison avec sursis, pour exhibitionnisme. Dans la soirée du 25 juin, au Pouliguen.

Il la fixait en exhibant son sexe, pantalon baissé, témoigne la jeune femme. De retour à son domicile, elle s’est sentie suivie. Lorsqu’elle a ouvert sa fenêtre au rez-de-chaussée, pour fumer une cigarette, elle s’est retrouvée face au même homme qui a recommencé. Deux amis, appelés à la rescousse, l’ont coursé alors qu’il fuyait et l’ont entravé jusqu’à l’arrivée de la police. 

La défense espère « que sa situation irrégulière – il fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire depuis mars 2022 – n’explique pas qu’on aille au maximum du plafond de la peine encourue pour un primo-délinquant. »

La victime, pas rassurée depuis les faits, a réclamé 1 400 € de dommages, demande qui sera jugée sur intérêts civils ultérieurement.

Le Parti National Breton rappelle l’une de ses revendications d’application immédiate : l’arrêt de toute immigration en Bretagne et l’interdiction du territoire sur les cinq départements bretons pour tout individu condamné pour un délit ou un crime commis en Bretagne.

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Cornouaille : action d’affirmation nationale bretonne du PNB dans le Pays Bigouden !

Cornouaille : action d’affirmation nationale bretonne du PNB dans le Pays Bigouden !

[PNB] Les militants cornouaillais du Parti National Breton – Strollad Broadel Breizh ont mené une action d’affirmation nationale bretonne dans le Pays Bigouden.

Pour une Bretagne fière, forte et libre, rejoignez le PNB !

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