Colonisation à Moëlan : privée de logement par les retraités français et l’immigration allogène, Sylvie finit à la rue et perd son emploi

Colonisation à Moëlan : privée de logement par les retraités français et l’immigration allogène, Sylvie finit à la rue et perd son emploi

[PNB] Les Bretons sont progressivement chassés de leurs terres par les migrants français et extra-européens. Résultat : les populations bretonnes ne peuvent plus se loger.

Dernier exemple à Moëlan-sur-Mer.

Le Télégramme

Sylvie n’a plus de domicile depuis fin mars. L’habitante de Moëlan-sur-Mer a pourtant multiplié les démarches depuis des mois. Cette situation lui a fait perdre son travail.

Sylvie a pourtant cherché partout durant des mois, anticipant le moment où elle allait devoir quitter le logement qu’elle partageait avec son ex-compagnon. Après la séparation, elle ne pouvait plus assumer seule leur maison en location de Moëlan-sur-Mer malgré son salaire d’auxiliaire de vie, qu’elle qualifie de « confortable ». « J’ai fait une demande de logement social il y a deux ans et demi. J’ai renouvelé la demande régulièrement. J’ai envoyé mon dossier à plein de propriétaires mais il y a toujours un meilleur dossier. D’ailleurs, pour une annonce qui paraît, il y a cinquante dossiers », raconte-t-elle avec exaspération.

« J’ai cherché partout. Même dans les terres, il n’y a rien à louer. J’ai appelé tous les campings pour trouver un mobile home mais avec la saison touristique qui arrive, ce n’est pas possible. Quand je vois au Pouldu toutes les maisons avec les volets fermés… Les annonces pour les locations courte durée, ça ne manque pas non plus », ajoute-t-elle avec une pointe de colère dans la voix.

Fin mars, après des mois de recherches intenses, elle a rendu son logement sans en avoir trouvé un autre derrière. Ses meubles sont partis dans un box. Sylvie, 62 ans, et son chien, élisent domicile dans sa voiture. « Je n’arrivais plus à aller au travail après les nuits dans la voiture. C’était trop dur. Je m’occupais d’une personne âgée handicapée six heures par jour par tranche de deux heures. J’ai dû arrêter de travailler. C’est encore plus dur de trouver quelque chose maintenant que je suis au chômage. Je suis arrivée à l’âge de la retraite, pas à celui de dormir dans ma voiture », soupire celle dont la famille vit loin.

Elle finit finalement par être hébergée quelque temps par une famille dans les Côtes-d’Armor avant de recevoir une proposition d’un couple de Moëlanais, Pascal et Helda, où elle vit depuis trois semaines. « C’était une évidence. On ne pouvait pas la laisser dans sa voiture. Tout le monde peut tomber dans la rue », témoigne Helda.

Sylvie est reconnaissante. Mais se sent gênée aussi. « Je culpabilise un peu. Dans ces moments-là, on a tendance à se renfermer un peu », admet-elle. « C’est une belle aventure pour nous. On restera en contact après. On paie une politique de logements qui a créé une pénurie. On a fait jouer notre réseau. Tout le monde cherche », complète Pascal, qui a peut-être une piste à Rosporden.

Marie-Louise Grisel, vice-présidente en charge de l’habitat à Quimperlé Communauté et maire de Moëlan-sur-Mer, est consciente du problème. « Dans le pays de Quimperlé, des personnes sont obligées de dormir au camping ou dans leur camping-car. Mais la politique de logements est en train de changer. Nous allons construire en moyenne 100 logements sociaux par an dans le pays de Quimperlé pour arriver à 549. Dans ma commune, j’ai mis en place une taxe sur les logements vacants », annonce la première édile, qui demande un peu de temps pour que la politique fasse effet. « C’est un travail de longue haleine ».

Contrairement à ce qu’affirme le maire de Moëlan-sur-Mer, la réponse n’est pas dans la bétonisation accélérée de la Bretagne, surtout par le truchement du logement social, par principe réservé aux allogènes extra-européens que l’Etat Français impose en Bretagne dans le cadre de sa politique coloniale de remplacement des Bretons.

La solution réside dans l’arrêt immédiat de la colonisation de peuplement et l’instauration de la priorité bretonne pour le logement !

Face à la double colonisation de peuplement qu’organise l’Etat Français en Bretagne – par le haut, avec la colonisation franco-parisienne, et par le bas, avec la colonisation extra-européenne – le Parti National Breton va prochainement lancer sa campagne sur le thème de la priorité bretonne pour le logement, social et privé.

Ses 4 exigences d’application immédiate pour le logement :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

Le Parti National Breton veut rendre la Bretagne aux Bretons, à tous les niveaux de la société.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Désinformation d’état : “Mourad le réfugié ukrainien s’intègre à Fouesnant” (Le Télégramme)

Désinformation d’état : “Mourad le réfugié ukrainien s’intègre à Fouesnant” (Le Télégramme)

[PNB] Pour les besoins de leur promotion du remplacement de la population bretonne par les masses afro-musulmanes, les médias d’état français en Bretagne ne reculent devant aucun acte de désinformation, quitte à innover génétiquement.

Le journal d’état français “Le Télégramme” a ainsi découvert un nouveau concept : les musulmans ukrainiens d’Afrique.

Pour peu que Mourad soit prochainement logé à Pontanézen, à Brest, ou à Malakoff, à Nantes, il n’éprouverait aucune difficulté “d’intégration”, et pour cause : c’est déjà Dar al Islam.

Le Parti National Breton veut pousser plus loin ce concept d’intégration en rapatriant Mourad l’Ukrainien en terre d’Islam. 

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Le Parti National Breton dénonce la promotion de la pathologie du travestissement sexuel par la municipalité de Rennes

Le Parti National Breton dénonce la promotion de la pathologie du travestissement sexuel par la municipalité de Rennes

[PNB] La municipalité franco-socialiste de Rennes, dirigée par Nathalie Appéré, a annoncé son intention de poursuivre son travail de propagande en faveur de la pathologie du travestissement sexuel.

Elle veut ainsi donner le nom d’un passage à un ancien militant normand du Parti communiste français, vétéran du stalinisme, qui aimait se déguiser en femme : Jean-Pierre Voidies dit “Ovida Delect”.

Le communiste Jean-Pierre Voidies souffrait de graves troubles sexuels

Les hôpitaux psychiatriques sont remplis de gens qui pensent être Napoléon Bonaparte ou Jules César, il n’échoie pas pour autant à la société de les croire ou de modifier ses normes sur la base de tels troubles comportementaux.

Le bon sens breton commande de refuser la promotion politique agressive de telles déviances sexuelles par les autorités françaises d’occupation qui, dans le cas du travestissement, a des conséquences graves au plan médical : 40% des individus qui se travestissent se suicident.

Alors que l’islamisation fulgurante de la ville de Rennes sous l’effet du remplacement de population rend la ville de plus en plus inhospitalière et dangereuse, les lubies marginales d’une bourgeoisie ultra-urbaine représentée par Nathalie Appéré sont le symptôme d’une dégénérescence avancée. Ces obsessions bouffonnes témoignent en outre du déphasage complet de la classe politique française qui prétend occuper la Bretagne.

Le Parti National Breton réaffirme son intention de défendre les pulsions vitales du Peuple Breton par l’effacement méthodique des atteintes à l’ordre hétérosexuel et patriarcal, garant de la santé biologique d’une nation libre. Les pathologies sexuelles seront invariablement réintégrées dans le champ psychiatrique et médical par l’Etat Breton, tandis que les déséquilibrés sexuels porteurs d’un passeport français seront fermement invités à rejoindre leur pays d’appartenance.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Piqûres sauvages: à Nantes, Aymen B. (16 ans) et Ahmed M. (41 ans) piquent avec une seringue une femme avant d’être interpellés

Piqûres sauvages: à Nantes, Aymen B. (16 ans) et Ahmed M. (41 ans) piquent avec une seringue une femme avant d’être interpellés

[PRESSE] Le fléau du remplacement de population organisé par l’Etat Français en Bretagne encore une fois illustré à Nantes.

La population nantaise paie le prix de l’administration de la ville par la gauche hexagonale menée par Johanna Rolland.

Le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance de l’ethno-état breton, en rupture radicale avec le régime français, permettra de mettre un terme à la catastrophe migratoire. D’ici là, la spirale de la tiers-mondisation migratoire se poursuivra.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Eurovision : le sinistre spectacle de la Bretagne folklorique, soumise et colonisée par la marâtre française

Eurovision : le sinistre spectacle de la Bretagne folklorique, soumise et colonisée par la marâtre française

[PNB] Cette année, le régime français se faisait “représenter” à l’Eurovision par un groupe de musiciens bretons.

L’aliénation ethnique organisée par l’Etat Français a logiquement entraîné des manifestations de pseudo “fierté” bretonne sur les réseaux sociaux. Les éléments régionalistes ainsi que des Bretons aliénés ne se concevant que comme des sujets acculturés de la France, n’ont pas été les derniers à alimenter ce simulacre.

Point d’orgue de l’imposture : les interprètes bretons ont brandi à de nombreuses reprises le drapeau tricolore du régime républicain français, c’est-à-dire le régime qui a livré la Bretagne aux massacres à grande échelle en 1793, en 1870 ou en 1914, massacres qui ont systématiquement été accompagnés d’une méthodique entreprise de destruction de sa culture et de sa langue.

“Le folklore est la honte d’une ethnie encore vivante et qui n’ose pas s’affirmer souveraine.” Saint Loup

Les intentions de l’Etat Français sont évidentes. Alors qu’il continue de poursuivre une politique d’éradication de la langue bretonne comme l’a démontré la décision du Conseil constitutionnel français d’interdire l’enseignement en breton, déjà marginal, dans les écoles de Bretagne, la France veut donner l’image d’un état qui respecterait les droits ethno-linguistiques des nations qu’elle domine. Ainsi, au moment où elle veille à parachever la destruction de la dernière langue celtique du continent, la France fait parader des chanteurs bretons devant les caméras d’Europe pour donner le change et mystifier un public européen sciemment désinformé. Elle a logiquement trouvé des domestiques pour l’y aider.

Par comparaison, si la Grande-Bretagne n’a jamais présenté un chanteur gallois à l’Eurovision, elle accorde l’autonomie politique au Pays de Galles qui a permis l’enseignement obligatoire de la langue galloise dans les écoles du pays, assurant de fait le sauvetage de cette langue sœur du breton.

La nation bretonne paie là le prix de son manque de détermination et de courage dans l’éducation politique du Peuple Breton. Faute d’une mobilisation de tous les instants pour désigner l’ennemi fondamental des Bretons, l’Etat Français et sa politique fondamentalement ethnocidaire, les Bretons acceptent encore de jouer le rôle de laquais aux ordres de Paris et de singer le maître français, affichant le visage honteux de la sujétion à l’oppresseur. 

Non, la nationalité bretonne n’est pas réductible à la nationalité française, bric à brac faite de toutes les peuplades de la terre, ni au statut infâmant de région colonisée par la France. Il n’y a pas plus odieux pour un Breton que de hisser le drapeau de l’état étranger qui opprime son peuple et organise son anéantissement.

La tâche du Parti National Breton est d’éclairer les masses bretonnes sur cette vérité fondamentale, de la rappeler inlassablement jusqu’à ce que les Bretons soient intégralement nationalisés et enfin prêts à chasser le pouvoir français hors de Breizh. Il en va de notre honneur ethno-national et de notre liberté.

Un Breton ne peut hisser qu’une seule bannière nationale : la sienne, noire et blanche.

Que maudit soit le tricolore en Bretagne, torchon sanglant de la Gueuse !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

 

Quimper : un migrant clandestin devant être expulsé tente d’assassiner un passant au couteau

Quimper : un migrant clandestin devant être expulsé tente d’assassiner un passant au couteau

[PRESSE] Nouveau miracle multiculturel à Quimper, ville sous domination socialiste française où l’immigration clandestine est devenue endémique et, avec elle, les richesses traditionnelles que ces populations charrient.

Ouest-France :

Interpellé à Quimper (Finistère), en train de poursuivre un homme avec un couteau, un homme de 33 ans devait purger six mois de prison pour des faits qui n’ont pas été précisés. Il a été placé en détention à la maison d’arrêt de Brest (Finistère).

Dans la nuit du mercredi 11 mai au jeudi 12 mai 2022, les policiers ont été appelés rue Élie-Fréron, à Quimper (Finistère), pour une personne, munie d’un couteau, qui courait après une autre.

Il se trouve que cet homme de 33 ans devait purger six mois de prison pour des faits qui n’ont pas été précisés. Il a été placé en détention à la maison d’arrêt de Brest.

Placé en garde à vue pour détention d’arme, il est par ailleurs sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français étant en situation irrégulière.

La Bretagne sous occupation française est transformée en déchèterie multi-ethnique par Paris. La gauche hexagonale facilite son action.

Le Parti National Breton entend y mettre bon ordre en application de son exigence immédiate n°2 pour la Bretagne qui prévoit :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Pour le Peuple Breton, il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard, c’est-à-dire avant qu’il ne devienne minoritaire sur sa terre.

La seule solution qui s’offre à chaque Breton est de rejoindre au plus vite le Parti National Breton, pour organiser la libération de notre patrie du joug étranger.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Immigration franco-allogène : deux Bretonnes de Fougères constatent la tiers-mondisation fulgurante de la ville

Immigration franco-allogène : deux Bretonnes de Fougères constatent la tiers-mondisation fulgurante de la ville

[PRESSE] Le remplacement de population organisé en Bretagne par les autorités coloniales françaises touche sévèrement Fougères, dans le Pays Rennais. La ville médiévale se tiers-mondise rapidement sous l’effet de l’implantation de populations extra-européennes indésirables.

Des habitantes témoignent, sans oser dire l’évidence, de peur d’être traînées devant les tribunaux français.

La Chronique Républicaine

Simone et Marie ne veulent pas pousser un coup de gueule ni émettre une critique agressive, « nous venons simplement vous faire part de notre réflexion ».

La voici, accompagnée de photographies qu’elles ont prises en fin de semaine dernière :

« Fougères était considérée comme une petite ville où il faisait bon vivre, une ville calme loin du tumulte des grandes métropoles. Cela fait 50 ans que nous vivons ici et brusquement nous nous rendons compte que nous ne reconnaissons plus notre ville. Certes, il y a des choses autrement plus graves, surtout en cette période de crise, mais voir sa ville se détériorer petit à petit cela nous fait mal au cœur. Nous sommes maintenant confrontés à des cambriolages, des détériorations de toutes sortes allant des containers à papiers incendiés à plusieurs reprises, des feux déclenchés à multiples endroits en ville ou en dehors de la ville, ainsi que des dépôts d’ordures sauvages aux quatre coins de la ville et à proximité de grandes surfaces. Bref, une dégradation évidente de Fougères.

Que peut-on faire pour retrouver notre jolie petite ville comme on l’aimait auparavant ? Que peut-on mettre en place pour que Fougères retrouve sa réputation de ville sereine ? Voilà l’objet de notre réflexion aujourd’hui. »

Le Parti National Breton a la réponse à la question posée par ces deux habitants :  l’expulsion vers la France des populations extra-européennes inassimilables qui sont importées arbitrairement par l’Etat Français en Bretagne, et ce dans les plus brefs délais.

Le Parti National Breton le fera.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Rejoindre le PNB : [email protected]

Suscinio : les militants du Parti National Breton célèbrent le Jour des Travailleurs Bretons

Suscinio : les militants du Parti National Breton célèbrent le Jour des Travailleurs Bretons

 

[PNB] Le samedi 7 mai 2022, le Parti National Breton organisait au pied de la forteresse de Suscinio la journée du Parti dédiée aux travailleurs bretons. Les militants se sont retrouvés pour marquer ce moment important de la vie nationale bretonne comme de la vie du Parti National Breton.

Voici le discours prononcé à cette occasion sous les bannières de combat du mouvement.

Camarades du Parti !

En cette journée du Parti National Breton dédiée aux travailleurs bretons, nous sommes rassemblés au pied d’une des forteresses emblématiques de notre vieille nation, édifiée par nos ducs héroïques, chefs successifs de l’état le plus puissant d’extrême-Occident de leur temps : l’Etat Breton. Huit siècles après son édification, la bannière frappée du triskel flotte sous ses murs, portée par les combattants de l’Etat Breton. 

Pour nous, nationalistes bretons, la puissance de travail de notre peuple est indissociable de l’Etat Breton. L’Etat Breton est la culture bretonne consciente d’elle-même, c’est-à-dire l’instrument de la volonté bretonne. Cette volonté bretonne qui s’exprime chaque jour par le travail du peuple breton.

Pour nous, Bretons, le travail est le principe fondamental de la vie. C’est par le travail que chaque Breton gagne non seulement sa vie, mais son honneur. C’est un principe qui puise à la source du sang breton, après des millénaires de lutte pour la survie. C’est ce sang façonné par l’effort quotidien pour la vie qui a forgé l’esprit breton et son besoin d’action créatrice permanente.

Les Bretons, aujourd’hui privés d’état propre, voient cette puissance de travail détournée de sa finalité émancipatrice par les forces parasitaires qui les oppriment. Sans Etat Breton, toute la force de travail du peuple breton est réduite à celle d’une bête de somme dont le travail ne crée plus sa liberté ethno-nationale. Au contraire, la force de travail du peuple breton est utilisée par l’Etat Français qui l’occupe et l’opprime pour le priver toujours plus de sa liberté. Par ce retournement pervers, les Bretons ne se libèrent plus par leur travail, mais, au contraire, deviennent les collaborateurs de leur propre aliénation. Ainsi, plus les Bretons travaillent courageusement, plus ils renforcent l’Etat Français qui utilise leur travail, leur sueur et leur sang pour étouffer et écraser la nation bretonne, c’est-à-dire les travailleurs bretons eux-mêmes.

Retourner le travail breton contre la liberté bretonne en faisant payer aux Bretons le coût de l’oppression française, c’est l’action quotidienne de l’Etat Français en Bretagne. 

C’est la raison pour laquelle l’Etat Français parasitaire mène une action permanente de destruction de la culture bretonne et des droits nationaux de Breizh. L’avilissement de notre peuple et sa marginalisation dans la honte et la culpabilisation permanente sont indispensables à son exploitation par l’ennemi. L’Etat Français n’aime les Bretons que soumis, serviles et acculturés pour s’en servir comme simples domestiques dans leur propre pays. 

D’où cette vérité d’évidence : dans une Bretagne sous occupation française, le travailleur breton ne peut qu’être un prisonnier.

L’Etat Français n’est qu’exploitation pure, outil des prédateurs capitalistes de Paris comme des parasites improductifs du tiers-monde importés par eux. Ces deux classes de vampires sont unies contre notre peuple pour sucer l’énergie vitale des travailleurs bretons jusqu’à ce que mort s’en suive.

Pour le Parti National Breton, il n’existe donc qu’un seul état et cet état est la condition même de la survie de notre peuple et de sa liberté : l’Etat des travailleurs bretons, par les travailleurs bretons, pour les travailleurs bretons !

L’Etat Breton annule le principe d’oppression que fait régner l’Etat Français en Bretagne : il rend à l’homme breton tout le fruit émancipateur de son travail en faisant de l’homme breton et de sa force créatrice le centre de la pensée et de l’action de l’Etat Breton. Contre la préférence métèque dictée par l’Etat Français, l’Etat Breton redonne sa dignité à l’homme breton en lui rendant, et à travers lui, à son pays, la liberté personnelle et la souveraineté collective, fondée sur les liens du sang. Terre des ancêtres, sang et travail sont ainsi les principes fondateurs de la Bretagne libre que l’Etat Breton rend aux travailleurs bretons.

Le Parti National Breton, contre les intérêts du capitalisme hexagonal exploiteur, contre les phraseurs marxistes partisans de la destruction du travail breton, contre les parasites étrangers, oppose à ces ennemis du peuple breton ligués derrière l’Etat Français la libération du travailleur breton par la restauration de son état national, dont il est par définition le seul maître.

C’est le sens profond du slogan du Parti National Breton : la Bretagne aux Bretons !

Camarades, faites flotter la bannière du Parti partout, c’est la bannière du travailleur breton dont l’effort inlassable, comme le soleil dont elle est frappée, ne cesse jamais de garantir la liberté de notre peuple.

Longue vie au PNB !

Bevet Breizh !

Breizh Atav !

Rejoindre le PNB : [email protected]

Michel Marion, héros de l’indépendance bretonne et libérateur de Nantes

Michel Marion, héros de l’indépendance bretonne et libérateur de Nantes

[HISTOIRE NATIONALE DE BRETAGNE] Michel Marion, négociant, armateur et héros de l’indépendance bretonne à l’honneur. Après avoir été armateur, Michel Marion collectait les taxes du port de Quimper, notamment à Locmaria où les Romains avaient déjà développé une petite agglomération portuaire. C’est là qu’il arma un navire pour rejoindre une flotte d’une cinquantaine de vaisseaux afin de porter secours au duc assiégé dans Nantes.

Quartier de Locmaria, Quimper, sur les rives de l’Odet

Lors de la folle guerre entre le duché de Bretagne et le royaume de France, le Quimpérois Michel Marion s’est distingué en armant un navire de guerre pour venir secourir Nantes assiégée. Ce geste lui a attiré le courroux de quelques seigneurs acquis au roi de France, mais également la reconnaissance d’Anne de Bretagne.

En ces années 1486-1487, les menaces s’accumulent sur le duché de Bretagne. Sous le gouvernement de François II, ce dernier n’a cessé de renforcer son indépendance vis-à-vis du royaume de France. Il s’est doté d’administrations modernes pour leur temps. Il possède sa propre armée et une diplomatie.

Mais cette dernière est contingentée par les grands équilibres européens. Or, à cette époque, le royaume de France monte en puissance. Il est sorti vainqueur de la guerre de Cent Ans et l’Angleterre se remet à peine de la guerre civile des Deux Roses, opposant Lancastre et Tudor. À l’est, la France a aussi éliminé la menace bourguignonne, cette puissante principauté qui s’étendait des Flandres au Rhône. Le nouveau roi Charles VIII a désormais des vues sur le duché de Bretagne.

Prétentions du roi de France

Le conflit va partir d’une querelle successorale. À l’issue de la guerre de succession de Bretagne, plus d’un siècle auparavant, les Penthièvre avaient renoncé au duché, mais pouvaient toujours y prétendre si les Montfort n’avaient pas d’héritiers. Or, le duc François II n’a que deux filles et aucun héritier mâle. En 1480, Louis XI avait racheté leurs droits aux Penthièvre. Les juristes bretons arguent que le duché est une terre de franc-alleu, soit une Terre Libre, sa souveraineté ne vient que de Dieu. Ce que contestent les juristes du roi de France qui affirment que la Bretagne a juré hommage à la France. Charles VIII se pose donc en prétendant au duché en cas de décès de François II. L’argent français coule à flot pour acheter de grands aristocrates. Cinq grands seigneurs bretons reconnaissent la légitimité de Charles VIII. L’affrontement militaire est inévitable.

La folle guerre de Bretagne

Château des Ducs de Bretagne, Nantes

En mai 1487, l’armée française pénètre en Bretagne avec plus de 15.000 hommes. À Malestroit, le duc de Bretagne rassemble près de 16.000 hommes, avec 600 lances et de nombreux paysans armés. Mais l’avancée française est fulgurante. Comme nous l’avons vu précédemment, Plusieurs forteresses des Marches tombent, dont Ancenis, Châteaubriant, La Guerche et Redon.

François II s’enfuit vers Vannes puis rejoint Nantes. Nantes était donc assiégée le 19 juin. Michel Marion utilise aussi son argent pour monter une véritable flotte bretonne (notamment avec le Morlaisien Jehan de Coatanlem), ce qui représente une soixantaine de bateaux (120 hommes). Et c’est par un stratagème (il transforme son bateau à l’image d’une des îles de la Loire et arrive par surprise) qu’il casse le siège de la ville. En passant devant le camp des assiégeants, il tire une bordée de ses canons, avant d’aller accoster au port de Nantes et ce Malgré les menaces de certains aristocrates bretons qui penchaient pour le parti français, notamment les Rohan, les Rostrenen, les du Quélennec, il a décidé de se battre pour sa patrie.

Violents combats

Les Cornouaillais vont rapidement s’employer et participer à la majeure partie des combats livrés autour de la ville. Quand on se bat sur l’île de Biesse, le bateau de Marion vient attaquer et bombarder le camp des Français, les forçant à rapatrier des troupes. Les pertes sont importantes, le navire sévèrement touché. La moitié des hommes de Marion perdront leur vie dans l’aventure. Devant la résistance acharnée des Bretons, les Français en difficulté, lèvent le siège de Nantes le 6 août 1487. En se retirant, ils prennent les forteresses de Vitré et Saint-Aubin-du-Cormier. Mais, lors d’une contre-attaque durant l’automne, les Bretons ont repris la grande majorité des places fortes au début de 1488. Ils seront cependant vaincus lors de la bataille de Saint-Aubin, en juillet. Au cours d’un accrochage lors du siège de Nantes, Michel Marion est blessé grièvement. Il meurt peu de temps après, laissant sa fille criblée de dettes, « À ce faire avait employé tout son bien, vendu et aliéné grande partie de ses héritages », dit la chronique. mais après avoir exprimé sa satisfaction du devoir accompli.

Par lettre du 8 décembre, 1490, la duchesse Anne de Bretagne annule la totalité de sa dette, soit 3.000 livres, estimant qu’il n’avait pu exercer ses fonctions de fermier général chargé du recouvrement des taxes dans le port de Quimper. Michel Marion semble représentatif de cette bourgeoisie urbaine et de cette petite noblesse qui avaient au XVe siècle, adhéré au projet indépendantiste des ducs de la maison de Montfort et resteront attachées aux libertés et franchises de la Bretagne sous l’Ancien Régime.

Pour rejoindre le PNB : [email protected]