Le seul drapeau à retirer en Bretagne, c’est le drapeau de l’occupant français !

Le seul drapeau à retirer en Bretagne, c’est le drapeau de l’occupant français !

La polémique autour du pavoisement de l’Arc de Triomphe à Paris aux couleurs du drapeau européen est révélateur d’un climat sur lequel le Parti National Breton doit apporter un éclairage à destination des masses bretonnes.

Le Parti National Breton n’a pas vocation, en cohérence avec son idée indépendantiste, à commenter les choix des autorités françaises en France. Toutefois, compte tenu du contexte et des implications de ce pavoisement et des réactions politiques qu’il engendre, le Parti National Breton ne peut pas ignorer, au regard de l’occupation politico-administrative de la Bretagne par l’Etat Français, que le peuple breton est directement impliqué.

Le Parti National Breton souligne tout d’abord que l’unité européenne est une avancée historique majeure après des siècles d’affrontements sanglants sur le continent. Exploitées par les impérialistes britanniques et américains, les divisions entre empires européens ont finalement mené à la catastrophe de 1914. Cette guerre impérialiste s’est traduite par la destruction de plus de 200,000 Bretons, pour l’essentiel d’origine paysanne. Notre peuple, pourtant discriminé par l’Etat impérialiste français, a été mobilisé pour permettre à la France d’étancher sa soif de revanche chauvine habilement excitée par les puissances impérialistes anglo-saxonnes qui voulaient détruire l’empire allemand concurrent.

Cette guerre, menée en contradiction totale avec les intérêts de la nation bretonne dont la politique constante, la géographie et les sentiments la portent à une stricte neutralité,  a été, de par l’ampleur des souffrances subies, un tournant majeur pour la conscience bretonne. Elle a démontré que l’annexion de la Bretagne par la France a fait de celle-ci un réservoir colonial de bêtes de somme à mener à l’abattoir pour le compte de l’armée française et de ses projets bellicistes. Pour le peuple breton colonisé, acculturé de force et occupé par l’Etat Français, le comble de l’aliénation a été d’aller mourir sous le drapeau français pour permettre à la France impérialiste d’occuper toujours plus de territoires et de peuples à l’est.

Cet épisode de barbarie sans précédent qu’a été le premier conflit mondial a démontré à une écrasante majorité de Bretons que l’impérialisme français était une menace fondamentale et que l’unité européenne permettait d’écarter le péril impérialiste. Depuis, les Bretons s’affirment comme les amis de l’Europe et souhaitent pour eux-mêmes comme pour chaque peuple européen le droit de vivre en paix, librement, dans une Europe unie.

Pour le Parti National Breton, cet acquis historique ne serait être marchandé ni compromis par la nostalgie bestiale des tenants de l’impérialisme français qui se nourrissent de l’illusion d’une résurgence de l’empire colonial français, même sous une forme bâtarde. Ceci d’autant plus que la France est désormais un état de peuplement afro-islamique.

Le Parti National Breton attire ensuite l’attention des Bretons sur les réactions de la gauche radicale française menée par Jean-Luc Mélenchon. En opposition avec les conclusions tirées au lendemain de la Première Guerre Mondiale suite au ralliement des socialistes de la Deuxième Internationale aux bourgeoisies impérialistes de leur pays respectif dans le cadre des “unions sacrées”, les militants de la gauche radicale française ont affiché un nationalisme totalement débridé à l’occasion de cette polémique sur la place du drapeau européen sous l’Arc de Triomphe.

L’Arc de Triomphe n’est pas n’importe quel monument. Il a été édifié par Napoléon Bonaparte pour célébrer les guerres de rapine menées par l’armée française à travers l’Europe qui ont coûté la vie à 4 millions d’Européens. L’Arc de Triomphe porte le nom de deux criminels de guerre ayant fait couler le sang en Bretagne et en Vendée lors de la campagne génocidaire de 1793 : Louis-Marie Turreau, le planificateur des colonnes infernales, et François Amey, qui fit brûler des femmes dans des fours aux Herbiers, en Vendée. Ce monument est depuis étroitement associé aux guerres d’agression menées par la France contre les autres nations.

En invitant à exalter la “patrie” en enlevant le drapeau européen de l’Arc de Triomphe pour le remplacer par le drapeau tricolore, la gauche mélenchoniste dévoile sa nature chauvine et se livre à l’exaltation assumée de la barbarie impérialiste sous prétexte de patriotisme. En fait d’Union Européenne, cette rhétorique chauvine vise bien plus largement l’Europe comme communauté des peuples organisée dont la légitimité est attaquée par les mélenchonistes qui rêvent de la restauration d’une bureaucratie stato-nationale agressive. Le Parti National Breton y voit l’influence funeste du tandem Mélenchon/Corbière, venus du national-trotskisme lambertiste, dont la tendance républicaine-impérialiste n’est plus à démontrer. Il insiste également sur la haine raciale tournée contre les peuples blancs d’Europe qui motive implicitement cette hypocrite exaltation jacobine de la part de Mélenchon.

Le Parti National Breton est favorable à la critique radicale de la politique menée par la Commission Européenne, le parlement européen et les diverses institutions de l’UE lorsque ces politiques menacent les peuples européens. Il récuse en revanche toute attaque en bloc des symboles de l’unité européenne dont l’objet ne peut être qu’une remise en cause du principe même de communauté de destin des peuples d’Europe. Une telle tentative est invariablement le fait de révisionnistes qui souhaitent restaurer à leur avantage l’impérialisme français et avec lui, ses projets expansionnistes contre les nations du continent. En outre, l’impérialisme français s’appuie toujours sur la démographie africaine pour parvenir à ses fins et toute tentative en ce sens ne se fera qu’en la mobilisant contre l’Europe européenne.

Les Bretons le savent, quand l’impérialisme français s’en prend à l’idée de fraternité européenne, c’est pour mieux s’en prendre à l’Europe et soumettre ses peuples à sa botte. Victimes historiques de l’impérialisme français, les Bretons ne peuvent que rejeter avec la dernière énergie cette rhétorique belliciste contre notre commune civilisation. Si le Parti National Breton sait que l’Union Européenne n’est pas l’amie des peuples européens, comme l’a démontré le soutien de l’UE aux états occupants espagnol et britannique en Catalogne et en Ecosse, il fait une claire distinction entre l’orientation actuelle de l’UE et l’Europe des peuples enfin réconciliée.

En réponse aux forces coalisées de l’impérialisme français de gauche et de droite qui font campagne contre le drapeau européen, le Parti National Breton affirme que le seul drapeau dont le retrait est aussi urgent que légitime en Bretagne est celui de la seule puissance occupante : le drapeau français. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le Parti National Breton dénonce les mesures liberticides du régime français en Bretagne

Le Parti National Breton dénonce les mesures liberticides du régime français en Bretagne

Suite aux annonces illégitimes, liberticides et unilatérales faites par le gouvernement français le 27 décembre 2021, le Parti National Breton déclare nulles et non avenues ces annonces en Bretagne occupée. 

Le Parti National Breton dénonce l’état de siège décrété par l’Etat Français en Bretagne, ainsi que toutes les restrictions imposées au peuple breton par l’occupant.

Le Parti National Breton appelle chaque Breton à résister aux menées tyranniques du régime français qui n’ont pour seul but que d’enchaîner davantage notre peuple.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Bâtir le Parti National Breton, c’est bâtir l’Etat Breton !

Bâtir le Parti National Breton, c’est bâtir l’Etat Breton !

Libérer la nationalité bretonne, organiser son peuple en corps de nation, édifier un état national d’esprit breton : telles sont les missions que se fixe le Parti National Breton.

L’Etat Breton n’est pas une lointaine réalité, il existe par l’action même du Parti National Breton dont il est l’avant-garde combattante. La tâche qui s’impose aux nationalistes bretons est d’établir partout la présence du futur Etat Breton, de l’organiser dans la longue durée, d’en faire un organisateur des masses bretonnes.

Les militants nationalistes doivent s’avancer partout en Bretagne avec la confiance des conquérants, animés par la certitude de ceux qui savent que le sang de la vieille race est à nouveau brûlant d’action.

Le temps est venu pour que notre peuple, éduqué par l’Etat ennemi, l’Etat Français, retrouve sa fierté ethnique, se dresse jalousement sur sa terre, se proclame, à l’exemple des autres nations, maître chez lui. Comment ? En arrachant un à un les Bretons à l’emprise mortifère du pouvoir étranger.

C’est par l’exemple de son audace que le Parti National Breton suscitera chez son peuple la volonté de s’affirmer nationalement, en toute indépendance, par et pour l’Etat Breton. Il doit devenir une réalité visible pour chaque Breton.

Du haut de nos millénaires d’histoire nationale et celtique, nous, Bretons, devons forger un parti enfin digne de la glorieuse histoire de notre peuple. Nous ne pouvons plus tolérer l’état de sujétion et d’apathie actuel. C’est en cultivant l’honneur breton par le combat que nous réveillerons la fierté de notre nation sans laquelle il est impossible de chasser l’étranger de nos terres et de bâtir notre état nouveau, forgé de nos mains. 

Confiance dans le Parti !

Foi dans notre peuple !

Certitude absolue dans la victoire de l’Etat Breton !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Sant Youenn Drezen ha al leued

Sant Youenn Drezen ha al leued

Dibaoe un nebeud devezhioù eo bet savet kevredigezh « Mignoned Youenn Drezen » a zo en he fal brudañ oberenn ar skrivagner-veur ha difenn e enor. Ha perak difenn enor paotr Pont-A’ad emit-hu ? Ha dizenoret eo bet oberour « Itron-Varia Garmez » ? Bez’ eo bet.

E bloaz 1999 e oa bet dalc’het prezegennoù diwar ar skrivagner e Pont-A’ad. Met n’eo ket gant prezegennoù e doare ar skol-veur e vez anavezet un den hag ar pezh en deus broudet anezhañ skrivañ ha skrivañ e yezh e bobl ouzhpenn. Dre lenn romantoù, danevelloù, barzhonegoù, pezhioù- c’hoari savet gantañ ne lâran ket. Pal aotrouieñ-meur skol-veur Roazhon ha Brest ne oa ket sankañ ar c’hoant seurt c’hoant e kreizig-don ar vigouterien hag ar vretoned dre vras. Pismiget e oa bet war an den hag e skridoù. Rezenn-hir da heul rezenn-hir da dorrañ deoc’h ho penn… Ha kement-se evit petra ? Evit lakaat soñj e revrioù ar sokialourien e veze e penn an ti-kêr da neuze, evit plantañ soñj en ho revrioù ‘ta divadeziañ ar ru nemeti e koun Youenn.

(Foto : Rafael Urien)

Soñjit ervat ‘ta evel ma veze skrivet e dibenn « Buhez ar Sent » gwechall, soñjit ervat e oa bet Youenn emellet en emsav « Breiz Atao » hag « SBB ». Che ! Kavet ganto an « nadoz brein-se » e bloavezh 2000 ! Ha Youenn da vezañ bet un « nasionalist breton ». Ma ! Ha da vezañ prechet enep mod-bevañ ar Frañsizien, Frañs al lotiri, Frañs an « apero », Frañs « Viens poupoule… ». Frañs politikajoù ar radikaled, ar sokialourien, ar « volchevisted » ar re-mañ deuet da voud jakobined toueet. Ha Youenn da dreiñ a-du gant an Alamaned : Mil gwech Ma ! Ne c’helled ket dizouarañ relegoù ar skrivagner memes tra ! Kement-se n’eo ket prop’ d’o’r ! Mat evit republikaned Spagn e- kerzh ar brezel diabarzh… Ni sokialourien, ni komunourien, ni Glas evel an oabl pa vez Glas an oabl, ni skolaerien ha kelennerien ar skolioù publik, ni arzourien a liv, a skriv, a gan, a ziskan, a adkann, a vramm e-doare peurarzel ar sonerien… Ni tud siviliset eus Pont-A’ad ne yimp ket e bered da zizouarañ « Drezenazi ».

Divadeziet e vo ar blakenn-ru a oa merket e anv warni. Ha mat pell’zo ! Kontant vo Annick Al Lochenn, kontant e vo kelennrien ar skolioù divyezhek « a zesk ar brezhoneg met nement evit ma vo digoret ho spered war ar bed ha e lâromp krenn evit ar c’hantvet gwech n’on ket broadelourien met Frañsizien mat a zouj ouzh ar Republik, an demokratiezh, Gwirioù mab-den …. », kontant e vo an « Amicale Laïque » ne ouie o izili piv e oa Youenn Drezen met pa’ z eo bet lâret dezho ne oa ket aet da beuriñ en tachenn vrav en em gav en tu-kleiz ‘ ta ! Divadeziañ. Ober evel ma vefe bet eus Youenn Drezen biskoazh, morse, james. Skrivagner-meur ? Ha ne oa ket trawalc’h gant Pêr-Jakez Helias ? Hennezh ne yae ket da blañtañ e reuz en ti breinet ar C’hwec’hkogn. Hennezh a veze leun a anaoudegezh en e galon (kalon a skrivañ ha n’eo ket ene evel- just) evit an Ao. Le Bail « depute Finister a reas kement-all evit ar baotred a faote krenn dezho boud deskidi da er skolioù-meur ar C’hallaoued. »

(Foto : Rafael Urien)

Pêr-Jakez, Sant Pêr-Jakez, Sant-Pêr ar Vro-Vigouden alc’hwezh paradoz skrivagnerien ar vro gantañ en e zouarn… Ni a zo taget gant an droug-sant. Krediñ a reomp ec’ h eus bet eus Youenn-Drezen. Krediñ a reomp ivez ec’h eus bet eus Paol Tirili, delwenner Pont-A’ad a c’hwitas ken delwenniñ an Itron-Varia… Krediñ a reont e oa ur wech un paotr eus ar Vro-Vigoudenn a vagas karantez-tomm ouzh ur plac’h eus Wened a ziskouezhas dezhañ kaerded e Vammvro. Ha krediñ a reomp ouzh Veitig Trebern ar mous ar yae gant henchennoù kleuz al louarned. Krediñ a reomp ouzh ar C’hornog entanet er serr- noz pa lak Sent Breizh o c’houloù da splannañ war ar Vro.

Krediñ a reomp e mec’hed Keltia, gwenn- kann o c’hroc’hrennoù, melenn-aour o blev, drant o daoulagad, brav ken eo brav flourañ anezho e skeud porchedoù ilizoù ar Garmez pe Sant-Vouga. Krediñ a reomp. Ar re a gred a zo trec’h atav. Ra vo trec’h hon huñvreoù kaer, ra vint trec’h d’ar bed e vev ennañ ar bilpouserien, laerion ene ma c’henvroidi, muntrerien ma gouenn, toulloù-ludoù a liv hag a skriv gant kaoc’h-spered. Ra adsavo ar Vro-Vigouden evel e tle bezañ e soñj-veur an Aotrou. Dre hanterouriezh Sant Youenn Drezen e pedomp Anezhañ.

Tudi Preder

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Incendie en série à Lannion : le Parti National Breton appelle à l’expulsion des gangs ethniques

Incendie en série à Lannion : le Parti National Breton appelle à l’expulsion des gangs ethniques

Comme le prouve la vague d’incendies du 21 décembre 2021 à Ker Uhel (Lannion), l’anarchie et le crime générée par l’immigration extra-européenne n’épargnent plus aucune commune bretonne. 

Les médias d’état français opèrent une stricte censure de guerre sur l’origine ethnique de ces actes criminels. Cette censure de guerre vise à mener coûte que coûte le projet de remplacement de la population bretonne imposé par Paris.

Le Parti National Breton entend rappeler cette vérité cardinale : le parasitisme allogène doit être brisé par une méthodique politique d’expulsion à grande échelle. 

Le point n°2 de ses dix mesures d’application immédiate pour la Bretagne exige :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Un Etat Breton fondé sur les principes du nationalisme breton sera en mesure de parachever cette politique de reconquête bretonne de la Bretagne. Il renverra en masse les étrangers indésirables vers leur état d’appartenance : la France.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

A Nantes, le bilan effrayant de l’Etat Français et de ses partis politiques en matière de crime ne peut plus être dissimulé, même pas par la presse d’état loyaliste.

Toutefois, cette presse d’état impose la censure de guerre sur l’origine de la catastrophe : l’immigration extra-européenne, très majoritairement afro-musulmane, organisée par Paris en Bretagne.

Le Télégramme :

Cent cinquante-six fusillades recensées en trois ans. À Nantes, le trafic de stupéfiants génère de tels profits, et la concurrence est telle, que les places de deal s’arrachent désormais à coups de kalachnikov. Les pouvoirs publics tentent de briser cette dynamique mortifère.

Fin septembre, dans l’Ouest nantais. En ce mercredi après-midi, des ados tapent la balle sur un terrain de football pour leur entraînement hebdomadaire. Soudain, un tac-tac-tac-tac retentit dans les quartiers avoisinants. Comme un seul homme, l’équipe se fige. Difficile d’être catégorique, mais tous pensent à un tir de pistolet-mitrailleur. Un bruit qui deviendrait presque familier aux Dervallières, au Breil ou à Bellevue*, spots emblématiques du trafic de stupéfiants à Nantes.

*Enclaves afro-musulmanes formées par la politique de repeuplement imposée par l’Etat Français et le Parti Socialiste.

« Des coups de feu ? J’en entends au moins deux fois par mois », témoigne ce Nantais habitant à proximité de l’un de ces quartiers, qui assure « faire la différence entre un coup de feu de pistolet, avec son bruit sec, et un tir de feu d’artifice », sport devenu national, le soir venu.

« Ça s’est accéléré depuis deux ans, confie cette habitante de Bellevue, qui affirme ne plus vraiment y prêter attention. C’est le soir mais aussi en journée… » Comme ce mercredi, « jour des enfants », en plein après-midi, dans le quartier du Breil, au nord-ouest de Nantes, fin septembre dernier. Un individu descend d’une voiture et tire en rafale en direction de trois jeunes adultes assis sur un banc. Les trois seront blessés, dont l’un très grièvement. Depuis 2019, 156 fusillades ont été recensées dans la cité des ducs*, faisant cinq morts et une cinquantaine de blessés.

*Cité des Ducs de Bretagne, précision sciemment effacée par la propagande française pour détruire l’identité bretonne de Nantes.

Le phénomène se serait ancré ici, il y a cinq ans. La marque caractéristique d’un trafic de stupéfiants arrivé à un stade très avancé ? Le lot réservé à toute ville qui franchit le cap des 200 000 à 300 000 habitants ? C’est plutôt oui aux deux questions. Le patron de la PJ nantaise, le commissaire divisionnaire Marc Perrot, pointe aussi d’autres facteurs. Un : l’irruption d’une multitude d’équipes, « plus jeunes, peu réfléchies, impulsives, attirées par l’argent facile, dans un secteur devenu archi concurrentiel », et « un accès très facilité aux armes ». Deux : une « balkanisation » du trafic. « Avant, trois ou quatre équipes tenaient le marché, rapporte Marc Perrot. Aujourd’hui, on ne les compte plus. Certaines sont affiliées aux bandes historiques. Mais tout est brouillé. Dans un même quartier, on peut trouver des membres appartenant à plusieurs clans… et qui peuvent en changer au gré des stratégies et opportunités. »

Aucune mention de la véritable cause par la Police Judiciaire hexagonale : l’immigration non-blanche, africaine et musulmane.

Dans ce milieu, pas de tribunal de commerce pour trancher un litige commercial. Les enjeux financiers sont également devenus tels que les différends se règlent à coups de feu. Soit pour prendre une part de marché – un point de deal -, soit pour le défendre.

Impossible, pour autant, de comparer Nantes à Marseille, qui comptait 15 morts dans des règlements de comptes pour les seuls huit premiers mois de 2021 (un à Nantes).

« Et, à Nantes, on est davantage sur des violences armées que sur des règlements de comptes, relève Marc Perrot. Il y a peu de préparation. C’est souvent de la réaction à chaud, ou de la surenchère. » Les tireurs sont de plus en plus jeunes : 17 ans pour le plus jeune interpellé. « Ils ne savent pas se servir des armes qu’ils ont entre les mains (…). Ce n’est pas comme dans Gomorra (une série TV sur la mafia napolitaine ; NDLR). On ne leur dit pas : tiens voilà un flingue, va buter untel. Non, un de leurs chefs leur en donne en leur disant qu’ils sont menacés et que, s’il se passe un truc, ils devront s’en servir », rapporte une autre source policière. Résultat : ça défouraille à tout va, avec de très nombreuses balles perdues. « Au Breil, en septembre dernier, on en a retrouvé jusqu’en haut des arbres », rapporte Marc Perrot.

Le trafic a pris la ville, et tout retour en arrière semble jusqu’à présent vain. Même si des équipes tombent, si « chaque jour, les services de police nantais interpellent cinq à six personnes », si de nouveaux moyens ont été mis en œuvre et commencent à porter leurs fruits, le nombre de points de deal recensés à Nantes – une soixantaine – reste désespérément « stable ».

Sur le plan des règlements de comptes, la PJ a fait les siens. Depuis 2019, elle a interpellé 124 personnes, dont 55 ont été écrouées. Et 125 armes à feu ont été saisies, dont une majorité d’armes de calibre 9 mm et 7,62 mm (munitions de fusil d’assaut). À ce jour, une trentaine d’enquêtes sont toujours en cours.

Le Parti National Breton entend régler à la source la catastrophe sécuritaire en soldant la question ethnique générée par l’immigration de remplacement mise en place par l’Etat Français.

Le Parti National Breton restaurera l’ordre breton en Bretagne en procédant à une expulsion de masse de tous les étrangers indésirables vers leur état d’origine : la France.

Tous les Bretons qui veulent empêcher l’Etat Français de détruire la Bretagne par sa politique sauvage de remplacement ethnique doivent immédiatement rejoindre ses rangs.

Breizh Atav !

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Enseignement immersif du breton “autorisé” par Paris : le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance permettra de sauver la langue bretonne

Enseignement immersif du breton “autorisé” par Paris : le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance permettra de sauver la langue bretonne

La censure par le Conseil Constitutionnel français, il y a quelques mois, de l’apprentissage de la langue bretonne par immersion a gravement mis en danger le réseau d’écoles Diwan. Spécifiquement ciblées par le ministre français de l’Education, Jean-Michel Blanquer, les écoles Diwan vivent depuis dans l’incertitude, résultat de l’accentuation des pulsions autoritaires d’un état jacobin fragilisé.

La promulgation par l’Etat Français, le 16 décembre 2021, d’une circulaire reconnaissant l’enseignement par immersion a été salué par certains comme un “progrès”.

Le Parti National Breton, lucide sur les intentions de l’Etat Français pour tout ce qui touche la nation bretonne, n’est pas dupe de la manœuvre de Paris. Il dénonce un leurre politique peu coûteux qui ne vise qu’à calmer temporairement la colère du peuple breton à la veille d’élections présidentielles françaises. Ce texte n’a aucune valeur juridique définitive, si ce n’est celle que veut bien lui prêter le gouvernement français qui l’a rédigé.

Le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance de la Bretagne permettra d’apporter une réponse globale à la question de la survie de la langue bretonne. L’Etat Breton, en rendant l’enseignement du breton obligatoire à tous les niveaux d’enseignement, garantira la survie de la dernière langue celtique du continent européen.

Dans l’immédiat, le Parti National Breton exige :

  • le transfert par Paris de toutes les compétences relatives à l’éducation vers l’actuel “Conseil Régional de Bretagne”.
  • la constitution d’un enseignement public en langue bretonne de la maternelle à l’université placé sous l’autorité du président de “région” dans le cadre de ces compétences transférées.
  • l’enseignement obligatoire du breton à l’ouest de la ligne Loth.
  • l’allocation d’urgence de 10% du budget annuel (160 millions d’euros) du “Conseil Régional de Bretagne” aux écoles du réseau Diwan afin de poser les fondations du futur enseignement public national en langue bretonne.

L’enseignement de la langue bretonne en Bretagne n’est pas quelque chose que la nation bretonne peut marchander avec l’oppresseur français. C’est un droit sacré pour lequel le Parti National Breton combattra sans relâche.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le Parti National Breton s’oppose au quota de femmes dans les entreprises. Le mérite seulement !

Le Parti National Breton s’oppose au quota de femmes dans les entreprises. Le mérite seulement !

Soumise aux lois françaises par la force de l’occupation actuelle, l’économie bretonne devra subir une nouvelle forme d’ingérence stato-marxiste hexagonale dans ses entreprises. Une loi proclamée par Paris impose la sélection des membres des directions d’entreprises de plus de 1,000 salariés sur la seule base de leur sexe.

Capital :

Concrètement, l’article 7 de cette nouvelle proposition de loi prévoit d’instaurer des quotas dans les instances dirigeantes des entreprises de plus de 1.000 salariés : 30% de femmes dans les cinq ans suivant la promulgation du texte (d’ici à 2027), puis 40% trois ans plus tard, soit huit ans après la promulgation de la loi (d’ici à 2030). 

Le Parti National Breton s’oppose fermement à l’ingérence de l’Etat Français et de sa bureaucratie incompétente dans la vie des entreprises bretonnes, dans la composition de leur structure ou dans leur supervision. Cette mesure d’inspiration néo-marxiste vise à s’emparer du contrôle politique de ces entreprises pour les mettre au pas idéologiquement et économiquement.

Pour le Parti National Breton, la liberté d’entreprendre et le mérite sont les deux seuls principes qui doivent gouverner la vie des entreprises bretonnes. Ces deux principes ne sont pas négociables et ne seront pas négociés.

Le Parti National Breton souligne l’urgence nécessité de l’indépendance pour que l’Etat Breton, libre des ferments autoritaires du néo-marxisme, libère l’économie bretonne de ses chaînes hexagonales, qu’elles soient fiscales, règlementaires ou idéologiques. Faute de quoi, c’est la ruine qui attend le peuple breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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