Colonialisme franco-latin : les adeptes français du patois angevin-gallo attaquent violemment la langue bretonne

Colonialisme franco-latin : les adeptes français du patois angevin-gallo attaquent violemment la langue bretonne

[PNB] Après avoir ciblé les panneaux en langue bretonne dans l’est de la Bretagne, la petite poignée d’adeptes de la secte gallomaniaque a revendiqué son action en déposant un certain nombre de panneaux volés à Carhaix, ville de Kristian Troadeg, vice-président du Conseil “régional” de Bretagne pour la langue bretonne. 

Les quelques gallomaniaques à l’origine de ce types d’actions contre la langue bretonne en Bretagne sont inspirés par un élément français peu connu des Bretons : Ronan Buis, ennemi de l’Emsav et de Breizh.

Les quelques gallomaniaques hexagonaux derrière cette action ont explicitement exigé que la langue bretonne soit interdite d’affichage public dans la moitié orientale de la Bretagne et que le patois gallo, un parler français dégénéré venu d’Anjou, soit imposé comme doublon du français dans l’espace public. 

De rares communes se sont aventurées à mettre en place cette politique anti-bretonne avec les résultats grotesques auxquels on doit toujours s’attendre. Ainsi de la ville de Sant-Brieg, fondée par le moine breton Sant Briog, dont le nom de la ville est déjà francisé en “Saint-Brieuc”, mais qui a été francisé une seconde fois avec un simple ajout de lettres.

Brieuc devient Berrieu, le “c” ne sonnant pas en français.

Le reste de cette forme de français dégénéré est à l’avenant.

Rappelons que le patois gallo, aujourd’hui disparu, était un dialecte de français qui n’a pu s’étendre en Bretagne que sous l’effet de l’affaiblissement de la nation bretonne face à l’impérialisme franco-latin. Depuis toujours ce parler est intrinsèquement une sécrétion coloniale franco-latine.

La promotion du patois gallo d’importation angevine consiste donc à mettre deux fois plus de français dans l’espace public breton sur la base d’une ligne linguistique depuis longtemps disparue.

La raison de cette nouvelle attaque française contre le Peuple Breton et sa langue nationale est la receltisation des populations bretonnes, lesquelles soutiennent la libération linguistique de l’ensemble de la Bretagne. Malgré l’agressive politique menée contre la langue bretonne par l’Etat français, celle-ci s’est remise en mouvement de manière ordonnée sur l’ensemble du territoire national. Si l’Emsav n’en est qu’au début du processus de reconquête linguistique, 20,000 enfants bretons sont scolarisés en langue bretonne, contre moins de 4,000 il y a 20 ans. 

Le patois exogène qu’est le parler gallo, séquelle de la domination française en Bretagne, ne rencontre à l’inverse que l’indifférence des Bretons. Aucune demande sociale existe. Il n’y a pas davantage de littérature dans ce patois, ni de culture d’aucune sorte, ce que savent et comprennent également les Bretons. Ce patois disparu n’existe que dans l’esprit dérangé de quelques éléments pro-coloniaux qui placent leur agitation dans un rapport exclusif de confrontation avec la langue bretonne.

En s’appuyant sur les idiots utiles du régionalisme de gauche via leurs habituels relativisme et égalitarisme culturels, les agents du latinisme français en Bretagne qui sont embusqués derrière le patois gallo veulent enrayer la dialectique qu’a créé l’Emsav entre langue d’état française et langue d’état bretonne dans le cadre plus général de la lutte de libération nationale de Breizh.

Cette action subversive d’inspiration franco-latine a accouché de la mystification que représente l’expression “langueS de Bretagne” promue logiquement par le Conseil “régional” de Bretagne, instrument de l’administration coloniale. Avec pour objectif avoué de semer la confusion dans l’opinion bretonne, la promotion absurde du patois gallo au rang de “langue” a eu pour effet dialectique de faire régresser le statut politique objectif de la langue bretonne. De langue nationale se dressant face à la langue de l’état colonial français, la langue bretonne se retrouve réduite au rang folklorique de “patois parmi d’autres” privé du rapport de force exclusif face au français. Cette triangulation opérée par les Français a bien sûr pour objectif d’empêcher la receltisation de la Bretagne et la réémergence de la conscience nationale bretonne, prélude à la libération de notre nation.

A chacune de ses revendications concrètes, la petite poignée de gallomaniaques stipendiés par les intérêts français en dénoncera la légitimité ou, lorsque ce ne sera pas possible, exigera l’équivalent au profit de l’imposture franco-patoisante. Un dialecte paysan d’importation, sans locuteurs, mais promu par la machine médiatique coloniale, pourra saturer l’espace de cette confusion et permettre au régime colonial français de s’en servir pour couvrir ses mesures dilatoires contre la langue bretonne. Le breton sera donc prochainement attaqué dans ces financements et sa visibilité publics au niveau le plus officiel.

Cette évolution n’a rien de surprenant. Elle est le résultat de la régression régionaliste en Bretagne qui a méthodiquement entraîné une baisse qualitative de la conscience nationale bretonne contre l’Emsav en l’escamotant au profit d’un conservatisme culturel passéiste au sein de la société française. Il a ainsi pavé la voie à l’imposture franco-patoisante contre la langue bretonne à laquelle nous assistons. Conserver le fatras dialectal français n’a jamais été le projet de l’Emsav, mouvement révolutionnaire ethnonational qui veut créer un état breton d’esprit et de langue celtique contre le franco-latinisme étranger.  De ce point de vue, par leur attaque contre la langue bretonne, les escrocs gallomaniaques à la botte de la France permettent une clarification dialectique rapide.

Les militants de la langue bretonne doivent opérer cette clarification selon les termes explicités supra. Il ne s’agit pas d’alimenter une réaction sociétale issue de la ruralité provinciale du 19ème siècle, ni de juxtaposer le wolof et le turc avec le patois gallo et le dialecte vannetais au nom du nihilisme culturel vomi par la gauche hexagonale. Une telle hypothèse aurait parue délirante à un Roparz Hemon. Il s’agit de créer une langue d’état nationale pour un état national. Faute de le faire pour mieux continuer de végéter dans le relativisme culturel comme le font les geignards de l’égalitarisme linguistique, la subversion étrangère continuera et fera régresser la capacité de la langue bretonne a être enseignée et diffusée avec efficacité.

Bien entendu le gallo est mort et enterré, ce qui rend l’entreprise actuelle encore plus outrancièrement anti-bretonne, mais grâce à une poignée d’agents le zombie peut être agité par un exercice médiatique régulier qui servira de justification à toutes les attaques menées par l’Etat colonial français contre une politique linguistique bretonne conséquente.

En d’autres termes, les militants de la langue bretonne doivent rompre avec le poison incapacitant du régionalisme, politique et sociétal, agir en activistes de l’Etat breton et adopter une politique d’extrême agressivité contre les promoteurs hexagonaux de l’imposture du patois gallo. Sans regard pour le temps qui sera nécessaire à la victoire finale, ils doivent s’organiser pour la domination de la langue bretonne partout et tout le temps en Bretagne, dans la société comme dans les instances officielles. Seuls seront à même de le réaliser des Bretons conscients de leur nationalité, sûrs de leur volonté collective, avec une parfaite connaissance de l’ennemi et de ses buts, pleinement animés de leur droit à la domination ethnonationale sur leur terre ancestrale.

En Bretagne, la suprématie bretonne est désormais à l’ordre du jour.

Breizh Atav !

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Pâques 1916 : insurrection des nationalistes irlandais à Dublin

Pâques 1916 : insurrection des nationalistes irlandais à Dublin

[PNB] La révolution irlandaise de Pâques 1916 a été l’un des évènements les plus significatifs de l’histoire irlandaise. Cette insurrection armée a commencé le lundi de Pâques, le 24 avril 1916, lorsque les rebelles irlandais ont occupé plusieurs bâtiments clés à Dublin, dont la Poste centrale, la gare ferroviaire de Dublin et plusieurs sièges de compagnies d’assurances. Les rebelles ont hissé le drapeau de la République irlandaise sur le toit de la Poste centrale, annonçant ainsi leur intention de prendre le contrôle de la ville. Malgré l’échec militaire, la répression britannique va entraîner un soulèvement générale de l’Irlande.

La planification de l’insurrection

Patrick Pearse

Les rebelles irlandais avaient planifié leur insurrection pendant plusieurs mois. Leur plan était ambitieux : ils comptaient prendre le contrôle de Dublin et proclamer la République irlandaise. Les dirigeants de l’insurrection étaient le poète Patrick Pearse, l’homme politique James Connolly et le militant socialiste James Larkin.

James Connolly

Les rebelles avaient formé l’Armée républicaine irlandaise (IRA) en janvier 1916, dans le but de mener une insurrection armée contre la domination britannique. L’IRA était composée de plusieurs groupes différents, notamment l’Association des volontaires irlandais, la Ligue gaélique, et la Fédération socialiste irlandaise.

Les rebelles avaient également stocké des armes et des munitions dans plusieurs endroits de Dublin, notamment dans le Liberty Hall, le quartier général de James Larkin, et dans le dépôt de l’usine Guinness. Au total, près de 1,250 révolutionnaires irlandais participent à l’insurrection.

Les événements de l’insurrection

Le soulèvement a commencé tôt le matin du lundi de Pâques, le 24 avril 1916. Les rebelles ont occupé plusieurs bâtiments clés à Dublin, dont la Poste centrale, la gare ferroviaire de Dublin et plusieurs sièges de compagnies d’assurances. Les rebelles ont hissé le drapeau de la République irlandaise sur le toit de la Poste centrale, annonçant ainsi leur intention de prendre le contrôle de la ville.

Les premières heures de l’insurrection ont été marquées par une certaine confusion et des difficultés pour les rebelles. Leur plan initial était de prendre le contrôle des principales artères de la ville, mais cela n’a pas été possible en raison de la faible participation de la population et des forces de sécurité britanniques qui ont rapidement réagi. Quatre divisions sont acheminées en urgence en Irlande, soit 50,000. A la fin de la semaine, 16,000 soldats britanniques encerclent les insurgés.

Les combats les plus importants ont eu lieu dans la zone de la Poste centrale, qui a été l’un des bâtiments clés occupés par les rebelles. Les combats ont duré plusieurs jours, avec des tirs intenses entre les rebelles et les forces britanniques.

Malgré la résistance des rebelles, les forces britanniques ont finalement réussi à reprendre le contrôle de la ville. Les rebelles ont été forcés de se rendre après six jours de combats. L’IRA a perdu 64 tués et un peu moins de 1,200 soldats se rendent. 

Les conséquences de l’insurrection

L’insurrection de Pâques 1916 a eu des conséquences significatives pour l’Irlande et pour l’histoire de l’Empire britannique.

Tout d’abord, les dirigeants de l’insurrection, dont Patrick Pearse et James Connolly, ont été exécutés par les autorités britanniques. Cette décision a suscité une forte réaction en Irlande et dans le monde entier, contribuant à renforcer le mouvement nationaliste irlandais.

Ensuite, l’insurrection a marqué le début d’une période de troubles en Irlande, avec une montée de la violence entre les forces nationalistes et les forces britanniques. Les évènements de 1916 ont inspiré d’autres mouvements nationalistes en Irlande, notamment la Guerre d’indépendance irlandaise de 1919 à 1921.

Enfin, l’insurrection a eu un impact significatif sur l’Empire britannique, en contribuant à remettre en question la légitimité de la domination britannique sur ses colonies et en encourageant d’autres mouvements de libération nationale dans le monde.

Un point de vue pro-irlandais

Du point de vue des nationalistes irlandais, l’insurrection de Pâques 1916 a été un évènement fondamental dans la lutte pour l’indépendance de l’Irlande.

Les rebelles ont été motivés par une vision idéaliste de la République irlandaise, fondée sur des principes de liberté, d’égalité et de justice pour tous les citoyens irlandais. Ils ont combattu courageusement pour leur cause, faisant preuve d’un engagement inébranlable envers l’indépendance de l’Irlande.

Les exécutions des dirigeants de l’insurrection ont été perçues comme un acte de barbarie par les nationalistes irlandais, qui ont vu dans ces actes une preuve de la cruauté et de la brutalité de l’Empire britannique.

L’insurrection a également eu des conséquences positives pour l’Irlande, en contribuant à renforcer le mouvement nationaliste et à mobiliser la population en faveur de l’indépendance. Les évènements de 1916 ont également inspiré de nombreux Irlandais à rejoindre le mouvement pour l’indépendance et ont contribué à la création d’un État indépendant en 1922.

L’insurrection a également eu un impact sur l’histoire de l’Empire britannique. Elle a mis en lumière les contradictions de l’Empire et la nécessité de reconnaître les droits des colonies à l’autodétermination. De nombreux mouvements de libération nationale dans le monde ont été inspirés par les évènements de 1916 en Irlande, et l’insurrection a contribué à la décolonisation progressive de l’Empire britannique au cours du XXe siècle.

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Cornouaille : le PNB en action sur les ports de pêche menacés par l’Etat français !

Cornouaille : le PNB en action sur les ports de pêche menacés par l’Etat français !

[PNB] Les militants cornouaillais du Parti National Breton ont mené une large opération d’affirmation nationale dans les ports durement touchés par la politique de l’Etat français, notamment le Guilvinec, Loctudy, Lechiagat ou Treffiagat. 

De nombreux tracts adressés aux pêcheurs bretons ont été distribués pour les appeler à la seule et unique solution possible pour l’avenir de la pêche bretonne : l’indépendance nationale de notre patrie, Breizh.

 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Brest : le régime colonial français remplace le nom breton du lycée Kerhallet par celui d’une militante noire hexagonale hostile aux peuples de souche européenne

Brest : le régime colonial français remplace le nom breton du lycée Kerhallet par celui d’une militante noire hexagonale hostile aux peuples de souche européenne

[PNB] Le pouvoir colonial franco-républicain mène une agressive campagne d’éradication ethnique contre le Peuple Breton et sa culture à Brest.

En parallèle à leur politique de remplacement ethno-démographique, les autorités coloniales ont débaptisé le lycée Kerhallet du quartier du même nom pour imposer celui de l’allogène Josephine Baker, activiste noire hexagonale connue pour sa haine des peuples de souche européenne.

Pour le régime colonial français, l’éradication de la culture et la langue bretonnes sont indissociables de l’éradication physique du Peuple Breton par l’implantation généralisée de sujets coloniaux. Le quartier de Kerhallet et son lycée en sont l’exemple le plus récent.

Ce régime d’occupation intrinsèquement ethnocidaire ne cessera ses agissements criminels contre le Peuple Breton que lorsqu’il aura été vaincu et chassé de Bretagne.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Ecosse : conversion de l’église d’Ardrossan en mosquée, symbole de l’islamisation rampante

Ecosse : conversion de l’église d’Ardrossan en mosquée, symbole de l’islamisation rampante

[BRO-SKOS / ECOSSE] L’église Saint-Jean de la commune écossaise d’Ardrossan sera convertie en mosquée suite à son rachat par le groupe islamique “Al Farooq” qui veut étendre l’islam à l’ensemble de l’Ecosse.

Les habitants qui ont manifesté leur opposition ont été sommés de se taire par le journal local qui a conclu par un “salam aleykum” adressé aux militants musulmans.

Comme dans les autres nations celtiques, notamment l’Irlande et la Bretagne, le système libre-échangiste organise le remplacement des peuples autochtones par une brutale colonisation extra-européenne.

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Immigration clandestine : Paris, la Bretagne n’est pas ta poubelle !

Immigration clandestine : Paris, la Bretagne n’est pas ta poubelle !

[PNB] Fidèle à son hypocrisie historique, le gouvernement français a décidé de masquer la tiers-mondisation de la capitale de l’Hexagone deux ans avant les Jeux Olympiques de Paris en déversant son immigration clandestine en Bretagne.

Europe 1 :

Alors que l’examen du projet de loi asile et immigration a été repoussé, le gouvernement cherche une solution pour héberger temporairement les migrants en dehors de l’Ile-de-France. Selon la Place Beauvau, 500 places vont être ouvertes dès ce mois-ci dans dix régions. L’objectif est de mieux répartir la pression migratoire sur le territoire. Europe 1 s’est procurée les chiffres de l’accueil des migrants en Côtes-d’Armor, un département plutôt préservé jusqu’à présent par ce défi migratoire.

Le constat est le même sur les mineurs non accompagnés. Au total, 230 migrants isolés sont pris en charge par le conseil départemental. 93% d’entre eux sont des hommes. Ces derniers mois, ils venaient principalement d’Égypte. Dans une récente note policière, il est indiqué que “le système d’hébergement est actuellement à quasi-saturation” dans ce département.

Résultat, plusieurs groupes de mineurs sans papier zonent dans les centres des villes, “de nature à créer un sentiment d’insécurité auprès des riverains et des commerçants”.

En parallèle, des phénomènes de délinquance d’appropriation émergent au niveau local mais aussi départemental. Selon un bilan qu’Europe 1 s’est procuré, les atteintes aux biens ont progressé de 25% dans les Côtes-d’Armor l’année dernière, et +27% pour les atteintes volontaires à l’intégrité physique.

Vidéo :

Le Parti National Breton dénonce l’arrogance du régime colonial français qui veut faire de la Bretagne une poubelle ethnique où Paris déverse ses éléments indésirables pendant que sa bourgeoisie s’empare de nos côtes.

Plus que jamais, il est temps de rendre la Bretagne aux Bretons et de rompre avec un état en voie de putréfaction aussi avancé qu’irréversible. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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“Naturalisations” du régime français à Rennes : l’Etat breton expulsera les sujets coloniaux vers la France

“Naturalisations” du régime français à Rennes : l’Etat breton expulsera les sujets coloniaux vers la France

[PNB] Les autorités représentant le régime colonial français à Rennes mettent en scène l’implantation illégale de ses nouveaux sujets hexagonaux en Bretagne occupée. La terre de Bretagne appartient à son peuple.

Le régime français ne dispose d’aucun droit sur elle, encore moins de la livrer à ses colons. Le Parti National Breton – Strollad Broadel Breizh peut déjà annoncer que l’Etat breton veillera à ce que ces ressortissants regagnent la France après l’indépendance retrouvée de la Bretagne.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Action d’affirmation nationale bretonne

Action d’affirmation nationale bretonne

[PNB] Le Parti National Breton – Strollad Broadel Breizh est toujours présent sur le terrain ! Ci-dessous action d’affirmation nationale menée cette semaine dans le nord du Pays Rennais ! Breton, rejoins-nous pour bâtir la Bretagne nouvelle que nous voulons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Naufrage du SNP : le Musulman radical Humza Yousaf, connu pour son racisme antiblanc, désigné premier ministre de l’Ecosse

Naufrage du SNP : le Musulman radical Humza Yousaf, connu pour son racisme antiblanc, désigné premier ministre de l’Ecosse

[PNB] Le Scottish National Party a désigné comme chef du parti Humza Yousaf, un Pakistanais musulman. Sa désignation en fait automatiquement le nouveau premier ministre de l’Ecosse puisque le SNP dispose de la majorité au parlement écossais.

Yousaf s’est illustré à de nombreuses reprises par sa haine raciale contre les Blancs en général et ceux d’Ecosse en particulier, déclarant par exemple qu’il y avait trop d’Ecossais en Ecosse et que le nettoyage ethnique contre eux devait s’intensifier au profit des colons du tiers-monde importés par le régime britannique.

Yousaf a également fait adopter une loi de censure radicale destinée à empêcher les populations écossaises de s’exprimer librement à propos de l’immigration de remplacement et de ses conséquences, la première du genre en Ecosse.

Cette dérive antinationale du SNP démontre que le néo-marxisme, même sous couvert d’indépendantisme, est une subversion hostile de la cause des peuples européens qui luttent pour leur liberté et, à ce titre, est un allié du système oligarchique occidental pour lequel il joue le rôle de dissolvant des nationalités.

Le Parti National Breton forme le vœu que la nation écossaise rompra avec le SNP anti-écossais au profit d’une alternative réellement ethno-nationaliste. 

Kevarc’h Breizh !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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La faiblesse politique de la Bretagne a une solution : l’exaltation à outrance de la conscience nationale bretonne

La faiblesse politique de la Bretagne a une solution : l’exaltation à outrance de la conscience nationale bretonne

[PNB] Une question revient régulièrement : pourquoi, contrairement à de nombreux peuples d’Europe qui luttent pour leur état et le font avec détermination, la nation bretonne est-elle si faible ? 

La conscience nationale

Il faut déjà s’entendre sur ce que l’on entend par faiblesse. Si cette faiblesse s’exprime d’abord politiquement par une inexistence institutionnelle, puisque la Bretagne ne dispose d’aucune liberté ou autonomie, et électorale, faute de participation nationaliste, ce n’est que le résultat d’une faiblesse beaucoup plus profonde.

La première cause de cette faiblesse profonde est évidente. On ne peut attendre d’une nation qu’elle soit forte si, en premier lieu, elle n’a aucune conscience nationale forte. S’il existe objectivement une nation bretonne, les Bretons en restent au stade infantile de l’inconscient national qui ne produit que très épisodiquement, et de façon éphémère, des manifestations d’une conscience nationale. 

La profusion très récente historiquement de l’usage du drapeau national de la Bretagne, le Gwenn ha Du de Breizh Atav, dans les évènements sociétaux en atteste. 

Le venin antinational du régionalisme

Pour que la nation bretonne soit forte, elle a besoin d’une organisation nationaliste forte, qu’il s’agisse de la force du nombre, mais surtout, et c’est là l’essentiel, de la force de la conscience. Or, ce que nous avons connu depuis 1944, c’est un écrasement du nationalisme breton organisé par l’Etat français occupant et une subversion cosmopolite des revendications nationales (culturelle, territoriale, politique) portée par la gauche hexagonale avec l’aide d’indigènes acculturés pour les réduire à une agitation provinciale.

Sous le poids de ces deux phénomènes, l’Emsav a brutalement régressé dialectiquement pour laisser la place à un parasite particulièrement nocif pour la nation bretonne : le régionalisme. Le régionalisme est par définition un concept français d’inspiration jacobine. Il réduit d’emblée la Bretagne à un simple sous-espace géographique de la France qui serait seule en mesure de revendiquer le privilège du statut national. Cette dégradante subordination de la nation bretonne dans laquelle se complaisent les faibles et les timides agit puissamment sur l’imaginaire du Peuple Breton qui voit chez ceux qui prétendent organiser un semblant de résistance au centralisme parisien une soumission de principe à la domination française. Le régionalisme est la Ligue 2 des peuples qui, par honte et faiblesse, ont peur de combattre pour leurs droits nationaux.

En détournant la question de la lutte de libération de la Bretagne de son cadre national, donc en capitulant par avance face à l’Etat français, le régionalisme n’a rien fait d’autre en un siècle que de démobiliser les masses bretonnes au lieu de les raffermir. Le tropisme économiste a très souvent marqué le régionalisme en raison de la commodité de ce dernier pour une bourgeoisie francisée voulant défendre ses intérêts face à l’Etat français sans oser franchir le cap politique de la révolte. Nous voyons encore aujourd’hui cette mauvaise plaisanterie en action derrière “Produit en Bretagne” qui ne voit dans le glorieux drapeau de Breizh Atav qu’un moyen pour vendre du pâté ou des biscuits. Que ce label soit cornaqué par le vieux maçon socialiste français Le Drian résume tout.

La bourgeoisie bretonne a été trop ménagée en dépit de ses reptations devant Paris et ce comportement honteux n’a encore jamais été activement combattu et dénoncé pour ce qu’il est : un ralliement à l’ordre colonial français.

L’impasse du fédéralisme

Nous avons vu également le régionalisme se dissimuler sous le masque du fédéralisme, une autre imposture démocratisante issue de 1789 qui, par faiblesse et stupidité, cherche à gommer la question nationale bretonne pour sombrer dans les arguties juridiques sur la forme “correcte” de l’Etat français, comme si la forme de la puissance coloniale française pouvait être un sujet pour des Bretons redressés. Ce réformisme absurde prétend avec sérieux ne rien pouvoir faire en Bretagne seule, mais, dans le même temps, changer l’Etat français du sol au plafond… depuis la Bretagne. 

Aujourd’hui, le régionalisme est si inoffensif qu’il a répandu ses germes d’impuissance jusque dans les partis français en Bretagne qui n’hésitent pas à s’en revendiquer explicitement puisqu’il ne menace pas les intérêts de la puissance française qu’ils représentent. 

On ne mène pas une révolution ni ne meurt pour une “région” administrative. Ce n’est pas une cause existentielle pour un peuple ou pour un membre de ce peuple. On s’engage à la vie et à la mort pour sa nation, réalité absolue et totale de l’histoire humaine qui est invariablement venue à bout de toutes les illusions sans-frontiéristes.

Régionalisme, facteur aggravant du colonialisme

Le nationalisme breton, réprimé, a largement souffert de l’empoisonnement régionaliste de l’opinion bretonne, mais aussi de son corolaire qu’est la francisation idéologique. Si la Bretagne est une “région”, un sous-ensemble d’un tout plus vaste, à savoir l’Etat français et sa société, alors le régionalisme se doit d’acclimater à la Bretagne les concepts hexagonaux qui ont cours à Paris. C’est ce qu’il a fait. Nous l’avons vu avec le marxisme, le socialisme, le démocratisme, l’écologisme. La liste des boutiques inoffensives qui ont tenté de s’accaparer le capital historique de l’Emsav – drapeau, langue unifiée, etc. – tout en le combattant est interminable. Loin de s’affirmer avec force, le régionalisme accélère la subordination de la nation bretonne en ouvrant à la politicaillerie hexagonale des niches locales nouvelles au sein du Peuple Breton. 

La poussée brittonique vers l’est

Le nationalisme breton, comme expression de la pulsion de vie du Peuple Breton, consiste à maintenir et accentuer, dans tous les domaines de l’activité humaine, le mouvement d’expansion brittonique débuté au 5ème siècle en Armorique. Il a pour politique fondamentale d’inverser cette dynamique dégénérative qu’est la franco-latinisation et avec elle la pénétration des idées étrangères venues de France. Le nationalisme breton s’oppose au mouvement d’influence qui vient de l’est pour pousser en sens inverse et étendre l’influence spirituelle et politique de l’ouest brittonique vers la frontière française. 

Cela implique pour lui de développer un imaginaire, une vision du monde et une politique indigènes qui combattent explicitement l’influence française.

Cela suppose d’activer la mémoire la plus longue du Peuple Breton pour réveiller la conscience nationale bretonne sans laquelle le pouvoir colonial étranger ne peut être chassé de Bretagne. Comment un peuple qui ne sait pas qu’il existe pourrait vouloir quoi que ce soit pour lui-même, surtout s’il implique de combattre ?

Lutte de libération : abattre l’idole française de l’égalité

On comprend dans ces conditions que l’influence délétère sur les Bretons de mystifications hexagonales comme l’égalitarisme, l’universalisme et l’internationalisme érode leur conscience nationale pour subordonner notre peuple à ces idoles abstraites orientales. On comprend encore mieux qu’en les acclimatant à la Bretagne, le régionalisme dédouble la capacité de l’Etat français et de sa société à pénétrer l’esprit des masses bretonnes pour les garder captives de sa domination sans-culottarde. 

Le nationalisme breton combat toutes les sectes religieuses du cosmopolitisme hexagonal qui cherchent à dénationaliser le Peuple Breton pour vampiriser sa puissance de travail et de pensée afin de les mettre objectivement au service de l’Etat français et de son courant historique dont elles dépendent spirituellement en leur qualité d’enfants bâtards de 1789.

A cet égard, nous pouvons identifier la neutralisation du Troisième Emsav par la dégénérescence contagieuse d’éléments gauchistes bretons ralliés, à partir des années 1960, au courant historique français. Ce courant historique est consubstantiellement de gauche depuis 1789 puisqu’il a créé la gauche comme concept philosophique organisateur. Là aussi, le nombre d’éléments gauchistes ralliés aux partis de gauche français illustre parfaitement cette évolution : ce sont les Alan Stivell, les frères et soeurs Louarn, etc..

Si la gauche française organisée est l’élément actif du courant historique français moderne, puisqu’elle a créé la révolution française, la droite française en est l’élément passif que vient souder ensemble le régime républicain. Depuis la défaite de la contre-révolution en 1815 suite au ralliement de Louis XVIII aux acquis du jacobinisme, le régime français est fondamentalement sénestrogyre avec une droite qui agit en qualité de voiture-balais de la révolution. C’est aussi à ce moment-là que l’autonomisme légitimiste initié par la Rouërie a atteint ses limites dialectiques, limites qui devaient accoucher un siècle plus tard, en 1911, du nationalisme breton avec la fondation du Parti Nationaliste Breton par Camille Le Mercier d’Erm.

L’Emsav, courant historique breton

Le nationalisme breton organisé, porteur du courant historique breton, s’oppose au courant historique français en récusant depuis la chouannerie contre-révolutionnaire les sophismes de la religion hexagonale de substitution issus de l’imposture des “droits de l’homme”. Le nationalisme breton n’a pas comme tâche première de remporter des élections, mais de briser un processus historique d’acculturation totale généré par la colonisation française de la Bretagne qu’a massivement aggravé le systématisme révolutionnaire depuis 1789. Il s’agit pour le courant historique breton, c’est-à-dire l’Emsav, de libérer l’esprit breton actuellement encagé par l’Etat français, ses structures étatiques et sociétales, mais aussi ses médias, pour parvenir à l’émancipation du Peuple Breton.

On voit donc que l’Emsav n’a rien à voir avec le “mouvement breton”, constellation hétéroclite de groupes et d’idées inspirés du courant historique français. Le “mouvement breton” n’est qu’une contradiction interne de la société française en Bretagne. Il exprime en permanence la schizophrénie du Breton acculturé dont l’inconscient ethnique est constamment réprimé par son surmoi égalitariste et universaliste acquis au contact des idées françaises.

Le nationalisme libère l’inconscient ethnique de l’homme breton pour en faire une conscience nationale en action.

L’Emsav et la volonté de puissance bretonne

Pour que la faiblesse politique du Peuple Breton soit résorbée, le Peuple Breton doit être placé sur son courant historique national, celui de l’Emsav, en opposition au courant historique français, à son état et à sa société. Cela implique d’identifier les causes de la paralysie ethno-psychologique des Bretons qui les empêche d’avoir une pleine conscience d’eux-mêmes et de détruire les obstacles politique,  qui empêche à la force vitale brittonique de s’exprimer et de vouloir dominer.

Contrairement à ce qu’enseigne le misérabilisme victimaire de la gauche égalitariste française, le Peuple Breton doit être éduqué pour renouer avec les vérités réelles de ce monde et ses lois naturelles. Il doit réapprendre la fierté ethnique qui découle de la pulsion de vie et assumer la volonté de dominer. Le nationalisme breton enseigne au Peuple Breton à redevenir une race forte, à vouloir une politique de puissance et les outils nécessaires à cette politique, à commencer par un état national.

Le rôle du Parti National Breton est de développer cette conscience nationale implacable, radicale, à la fois chez ses militants et dans le peuple. Le Peuple Breton dispose désormais d’une organisation politique qui a opéré le travail de critique historique nécessaire à la constitution d’une ligne politique puissante, clairement identifiée et identifiable dont le but est de faire de la race bretonne une race de maîtres et non une race d’esclave comme la France et ses églises idéologiques l’inculquent à notre peuple dès l’enfance.

Après cet exposé, le lecteur comprendra que la Bretagne folklorique, féminine, docile, geignarde, demeurée, française en un mot, n’a rien à voir avec l’Emsav qui la combat activement. L’Emsav, courant historique breton, est tout de force vitale, de fierté ethnique, de création historique et de domination de sa terre et de son avenir par la race bretonne. Aujourd’hui, le Parti National Breton est l’Emsav en pensée et en action, seul parti révolutionnaire breton dont l’objectif est de rendre la Bretagne aux Bretons, intégralement.

Que faire ? Arracher un à un les Bretons aux conceptions françaises pour les éduquer dans les conceptions révolutionnaires de l’Emsav telles qu’exposées ci-dessus. Par centaines, puis par milliers, une colonne nationaliste doit émerger de cette action qui ne soit plus accessible à l’Etat français ni à ses partis. Avant-garde révolutionnaire, ils seront ceux qui créeront le nouvel état breton, d’esprit brittonique et celtique, en radicale opposition à la dégénérescence franco-latine dont nous voyons les effets chaque jour. D’abord la formation de l’avant-garde révolutionnaire, ensuite l’annexion par cette avant-garde de segments toujours plus larges du Peuple Breton jusqu’à la bascule politique et la défaite finale de la France en Bretagne. 

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