Carhaix : manipulation anarcho-communiste contre la nation bretonne le 27 août

Carhaix : manipulation anarcho-communiste contre la nation bretonne le 27 août

[PNB] L’Emsav, comme mouvement ethno-nationaliste, est depuis longtemps l’objet de tentatives de subversion diverses, mais c’est indubitablement les marginaux de la mouvance anarcho-marxiste qui ont tenté avec le plus de régularité de le détruire, pour en faire, par opportunisme, un véhicule de leur délire idéologique.

Après l’effondrement d’Emgann suite à la catastrophique fuite en avant gauchiste de Gaël Roblin (alcoolique revendiqué) au début des années 2000, suivi de près par la farce que fut “Breizhistance”, la même micro-nébuleuse rouge-noire tente de se redonner un semblant de contenance, cette fois, sous le nom de “Douar ha Frankiz”, énième faux-nez communiste de ces agitateurs aux côtés des “Disuj”, “Dispac’h” ou du pseudo collectif “un ti da bep hini”.

Complaisamment relayé par le régionaliste de gauche Erwan Chartier dans le Poher Hebdo, plumitif antinational et ennemi déclaré du Parti National Breton, ce petit ramassis de saboteurs, alliés objectifs de l’état colonial, ressurgit d’entre les morts pour évoquer pudiquement “l’autonomie” à Carhaix, le 27 août. En fait “d’autonomie”, il ne sera question que de promouvoir les obsessions petites-bourgeoises d’importation parisienne de l’heure – LGBTisme, soutien à l’islam radical et à l’immigration antibretonne totale, collectivisme noir-rouge, etc. -, le tout sous couvert d’un verbiage régionaliste usé jusqu’à la corde. Se trouve à la tête de ce petit rassemblement sectaire l’élément marxiste Alan Cloarec, agitateur que le Parti National Breton a récemment dénoncé comme agent ennemi de la cause nationale après sa reprise en main des éditions Yoran Embanner.

L’action nationale bretonne suppose rigueur dans l’analyse politique, une connaissance ample des acteurs et des motivations, et une détermination sans faille de l’Emsav à défendre sans faillir la cause de l’indépendance nationale bretonne et de l’Etat breton. Cela suppose de démasquer et combattre la gauche coloniale française et ses pseudopodes gauchistes.

Les Emsaverien, qui combattent pour l’Etat breton, peuvent avoir confiance : après 40 ans d’existence, si l’histrionisme anarcho-communiste avait une once de crédibilité, ils le sauraient depuis beau temps. C’est une raison de plus pour le Parti National Breton de poursuivre son travail dédié à la cause d’une Bretagne fière, forte et libre, débarrassée des scories de la société hexagonale finissante, extrême-gauche régionaliste incluse.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Breizh n’est pas la République française : la nationalité bretonne, une ethno-nationalité fondée sur la filiation de sang !

Breizh n’est pas la République française : la nationalité bretonne, une ethno-nationalité fondée sur la filiation de sang !

[PNB] Par son action ethno-nationaliste, le Parti National Breton, fer de lance politique de l’Emsav, permet d’ores et déjà de clarifier les lignes et de démasquer l’imposture d’inspiration hexagonale qu’est le “régionalisme” en Bretagne.

Une Française établie en Bretagne a réagi avec le réflexe colonial habituel à la vue de la communication offensive de réaffirmation nationale du Parti National Breton.

Un colon français d’Algérie n’aurait pas réagi différemment face à un slogan nationaliste algérien dans les années 1950. Le Français, en se donnant simplement la peine de s’établir sur notre terre grâce à l’ordre colonial français qui le lui permet, s’estime “breton”, à égalité avec les véritables Bretons. De cette prétendue “égalité” entre colons et colonisés découle logiquement une conséquence : le colonisé doit se taire face à celui qui le colonise “en toute égalité”.

Derrière cette prétention perfide à “l’égalité” que brandissent les colons français se cache une vérité simple : les Bretons ne sont pas les maîtres chez eux et doivent faire face à l’agressive colonisation française sur la base des termes de la puissance française. Les Français nous volent notre terre, notre liberté nationale, mais revendiquent encore de nous déposséder de notre nationalité en la vidant de sa substance pour la réduire à une simple notion géographique que le moindre inconnu débarqué en Bretagne peut revendiquer. En néantisant les Bretons comme groupe ethno-national, la question nationale bretonne est “magiquement” résolue au profit du pouvoir étranger qui nous occupe.

Ce poison de l’impérialisme français est encore rendu plus mortifère par le jeu du fils bâtard de la Révolution française en Bretagne qu’est le régionalisme de gauche. On retrouve systématiquement ces idiots utiles de l’ordre hexagonal aux premières loges pour répandre leur haine de la nationalité bretonne et poursuivre de leurs insultes les patriotes bretons qui refusent de voir cette nationalité être dénaturée par les Français grâce à leur tropisme impérial-géographique.

La réaction régionaliste française, en combattant activement l’ethno-nationalité bretonne pour lui substituer une somme de divagations abstraites (“ressentir”, “se projeter ensemble”, “affronter les défis”), joue activement le jeu du statu quo français, pour le compte de la bourgeoisie française et de ses intérêts en Bretagne.

Les nationalistes bretons, contrairement à ces escrocs à la botte de la France, savent et réaffirment que Breizh est le produit historique du sang breton qui a conquis et ordonné l’Armorique sous la direction des chefs bretons, la receltisant et l’organisant en corps d’état indépendant. Sans le sang brittonnique et la conscience ethnique bretonne qu’il porte, Breizh n’existerait pas et notre terre ne serait pas différente du Limousin. De cette évidence découlent les droits naturels de la nation bretonne à régner en maîtresse sur sa terre, comme toutes les nations du monde. Le nationalisme breton, contrairement au nationalisme factice de l’impérialisme français, n’est pas une auberge espagnole faite de débris de peuplades exotiques gouvernées d’une main de fer par une bureaucratie métèque, c’est une nationalité réelle, appartenance exclusive à la famille élargie qu’est la nation.

“Est breton qui peut, est français qui veut” (Mordrel) : telle est et telle sera toujours la nature de la nationalité bretonne, par opposition au bric à brac français.

Les nains insolents de l’UDB (extrême-gauche française) ou de l’anarcho-marxisme régionaliste démontrent chaque jour un peu plus la nécessité pour le Parti National Breton de mener sans faiblir le combat contre ces supplétifs du régime français, pour la liberté de notre nation. Ce combat, en réveillant la conscience ethno-nationale du Peuple Breton, amènera inévitablement la victoire de notre nation face à l’occupant étranger.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Receltisation : donner un prénom breton ou celtique est un devoir de tout parent breton ! En voici une grande liste !

Receltisation : donner un prénom breton ou celtique est un devoir de tout parent breton ! En voici une grande liste !

[PNB] Le devoir de tout Breton est de receltiser les futures générations. Pour un Breton, il est un devoir patriotique de refuser catégoriquement tout nom prénom français, c’est-à-dire latin. L’Etat français a essayé, pendant des siècles, de détruire la conscience ethnique du Peuple Breton en imposant ses prénoms méditerranéen à nos enfants. En lieu et place, un Breton fier de son sang et de son peuple doit donner un prénom celtique à ses enfants, breton ou gallois (brittonnique), éventuellement irlandais ou écossais (gaélique).

Le Parti National Breton appelle tous les Bretons à se montrer dignes de leur glorieuse race et l’honore en choisissant un prénom parmi ceux qu’il propose.

Prénoms bretons (garçons)

Ael, Aelig
Alan, Alanig
Alar, Alarig ; Aler, Alerig
Alberzh
Andrev
Aodren, Aodrenig
Aofred
Aouregan
Arzhel
Arzhur
Avel
Aza

Beltram
Beltrig (Beltram)
Benead
Benniged
Benoni
Benouig (Benead)
Bernez
Bertele
Bili
Blaez ; Blêz
Bleiz
Brendan
Brevalaer
Briag
Brieg
Budig
Budog

Cheun (Erwan)

Denez
Denig (Maden)
Derc’hen
Dider
Divi ; Dewi
Donasian
Drenig (Aodren)
Drev (Andrev)
Drevig (Andrev)

Edern
Eflamm
Ehouarn
Elar, Elarig ; Eler, Elerig (Alar)
Eliaz
Elouan
Eneour
Enogad
Enori
Envel
Eozen (Erwan)
Ergad
Erle
Erwan
Ewen ; Even ; Ewan (Erwan)

Fañch (Frañsez)
Fragan
Frañsez
Fulup

Gael
Gaoter
Garan
Gireg
Glenn ; Glen
Goneri
Gouenoù
Goulc’hen ; Goulven, Goulvenig ; Goulwen,
Goulc’hwenig ; Golven
Gralon
Gregor
Guntiern
Gurvan ; Gurwant
Gwegen
Gweltaz
Gwenc’hlan
Gwendal
Gwennael ; Gwenhael ; Gwenael ; Gwenn-Ael
Gwenneg ; Gwennog
Gwennin
Gwenn
Gwennole ; Gwenole
Gwenvael
Gwereg
Gwezhenneg ; Gwezheneg
Gwilherm
Gwilhom
Gwiomarc’h (Gwioñvarc’h)
Gwion
Gwioñvarc’h
Gwivarc’h (Gwioñvarc’h)
Gwiziav ; Gwizio

Hegareg
Helouri
Heneg
Henori
Herri
Herve, Herveig
Hoel, Hoelig
Huon

Iduned
If, Ifig (Erwan)
Ildud (Iltud)
Iltud, Iltudig
Iwan (Erwan)
Izaouen

Jafrez
Jagu ; Jegu (Yagu)
Jalm
Jelvestr
Jermen
Jili
Jord

Kadeg ; Kadog
Kadioù
Kado ; Kadoù
Kadvael
Kadvoz
Kaelig (Mikael)
Kaelig (Yezekael)
Kann, Kannig
Karadeg
Karanteg
Kavan, Kavanig ; Kadvan
Kenan
Klaoda
Klemañs
Klet
Konan
Koneg ; Konog
Kongar
Konogan
Konvarc’h
Konvelen
Koulm
Koulman

Lan, Lanig (Alan)
Laorañs
Laouenan
Larig (Alar)
Leon
Leri, Lerig
Loeiz, Loeizig
Loig
Lukian ; Lusian
Luner

Madeg
Madenn, Madennig
Mael, Maelig
Maelan (Mael)
Malo ; Maloù
Maner
Maodan, Maodanig
Maodez
Marzhin
Matelin ; Matilin
Mazheaz
Mazhev ; Mazhe
Mazho, Mazhoig (Mazhe)
Mereg
Meriadeg
Meven, Mevenig
Milig (Maodez)
Modan, Modanig
Moran, Moranig
Mordiern
Morgad
Morgan ; Morgann
Morvan, Morvanig
Morvanoù (Morvan)

Nan, Nanig (Ronan)
Nedeleg
Nenan, Nenanig
Nerin
Neven, Nevenig
Nevenoù ; Nevenoe (Neven)
Neventer
Nouel, Nouelig, Noelig
Nuz

Olier, Olierig
Omnez
Owen

Pabu ; Paban (Tudal)
Padern, Padernig ; Pedern, Pedernig
Padrig
Peran, Peranig
Pereg
Preden, Predenig
Privel, Privelig ; Prevel
Privelin (Privel)

Raoul
Renan
Reun, Ren
Reunan, Reunanig (Ronan)
Rieg ; Riog (Rioù)
Rioù
Riwal, Riwalig
Riwan, Riwanig
Riware
Ronan, Ronanig
Roparzh, Roperzh
Ruvon, Ruvonig, Rumon

Saig, Soig, Soaig (Frañsez)
Salaun
Samzun
Segal
Selaven (Salaun)
Sulian ; Sulien

Tadeg
Tadoù (Tadeg)
Tanig (Tristan)
Taran
Tegoneg (Koneg)
Telo, Thelo
Tenenan
Tepaod
Tivizo ; Tivio (Gwiziav)
Treveur
Trifin
Tristan, Tristanig ; Trestan, Trestanig
Tudal, Tudalig ; Tual, Tualig ; Tudwal
Tudeg

Tudi, Tudig
Tudig (Ildud)
Tujan
Tuniav
Turio, Turiav

Urien
Urloù

Veig (Herve)
Venig (Neven)

Walig (Riwal)

Yagu
Yakob
Yann
Yannig (Yann)
Yannoù (Yann)
Yestin
Yezekael
Youenn (Erwan)

Prénoms bretons (filles)

Aela, Aelaig
Aelez, Aelezig (Aela)
Aelwenn
Alana ; Alanez
Alara ; Elara
Albina ; Albinenn
Alwena
Ambroaza
Andreva
Anjela
Anna
Annaig (Anna)
Antoneta
Aodrenell ; Aodrena ; Aodrenez
Aogustin ; Aogustina
Aourell, Aourellig
Aourgen
Aourwenn
Argantael
Arzhela
Awen ; Awena
Azenor
Aziliz

Barba
Bel (Izabel)
Berc’hed
Bina (Albina)
Binenn (Albinenn)
Blaeza ; Bleza
Bleuñvenn
Bleuzenn
Blezoù, Blezaouig ; Blaezoù, Blaezaouig
Brec’hed
Brendana

Chan, Chanig ; Jan, Janig
Charlota
Cheva (Jenovefa)

Dafne
Dahud
Deneza
Dominig
Dunvel ; Tunvel

Elibouban
Enora
Envel
Erell

Fant, Fantig (Frañseza)
Flammenn, Flammell

Gaid, Gaidig, Gaedig (Margaid)
Gid (Margaid)
Gladez
Glannon
Glaoda
Glaodina
Godig (Margaid)
Gog (Margaid)
Goulvena ; Goulwena
Goulvenez ; Goulwenez

Gwellaouen
Gwenn
Gwennan
Gwennig (Gwennoal)
Gwennoal, Gwennoalig (Nolwenn)
Gwenvaela
Gwenvred

Heodez
Hervelina
Hoela ; Hoelenn

Iltuda ; Iltudez ; Iltudenn
Ivona
Izabel

Janed (Chan, Jan)
Janig, Chanig (Chan, Jan)

Kanna, Kannaig
Katell, Katellig
Katoù (Katell)
Kavanez ; Kavanenn
Klervi ; Klervia
Koulm, Koulmig
Koulma ; Koulmez ; Koulmenn (Koulm)
Koupaia
Kristell

Laig (Aela)
Laig (Maela)
Lanwenn
Lara (Alara)
Lennig (Maelenn)
Levenez, Levenezig
Leveneza (Levenez)
Lezig (Aelezig)
Lezig (Maelez)
Lid, Lidig (Margaid)
Liz, Lizig (Loeiza)
Lizaig (Loeiza)
Loeiza, Loeizaig
Lupita
Lusia

Madenn, Madennig
Madez, Madezig
Madezoù (Madez)
Madin ; Madina (Madenn)
Maela, Maelaig
Maelenn, Maelennig (Maela)
Maelez, Maelezig (Maela)
Magod (Margaid)
Maodana ; Maodanez
Marc’harid ; Marc’haid
Margaid (Marc’harid)
Marzhina
Mazheva ; Mazhevenn
Metig
Mevena ; Mevenez
Modana ; Modanez
Mona
Morana ; Moranez ; Moranenn
Morgana ; Morganez ; Morganenn
Morvana ; Morvanez ; Morvanenn
Morwenna

Nellig (Oanell)
Nenog ; Nenoga ; Nenega (Ninog)
Nevena ; Nevenez
Nezig (Levenez)
Nezig (Nevena)
Nezig (Oanez)
Ninog ; Neneg ; Ninnog ; Ninoga ; Ninogan
Noal (Nolwenn)
Nolwenn, Nolwennig

Oanell, Oanellig (Oanez)
Oanez, Oanezig
Onenn ; Onenna

Padernez ; Pederna
Padriga
Perezig
Plezota ; Plezouta (Plezoù)
Plezoù
Predena
Privela ; Primela
Privelez ; Primelez

Reunana ; Reunanez ; Reunanenn
Reunea
Riwalenn ; Riwalez
Riwana ; Riwanenn ; Riwanez
Riwanon
Ronana ; Ronanez ; Ronanenn
Rozenn, Rozennig
Ruvonenn ; Ruvona ; Ruvonez

Servan
Sklaerenn ; Sklaera ; Sklaerder (Sklaerijenn)
Sklaerijenn ; Sklêrijenn
Soaz, Soazig (Frañseza)
Solen ; Solenez ; Solena
Steredenn, Steredennig
Sterenn, Sterennig

Teila
Tekla
Trifina
Tuala ; Tualenn ; Tudalenn ; Tudalez
Tunvel ; Dunvel
Tunvez

Uriell ; Uriella
Ursula

Vefa (Jenovefa)
Venaig (Nevena)
Vetig (Erwan)
Virjinia
Vonig (Ivona)

Yannez ; Yanna
Yona
Youna ; Youena
Yuna

Zaig (Loeiza)

 

Prénoms gallois :

Aeron : Nom d’une rivière comme dans Aberaeron *
Afan : Saint celtique et nom d’une rivière à Glamorgan *
Aled : Nom d’une rivière dans le Denbighshire ****
Aidan : Pupille de Dewi (vieil irlandais) **
Alan : Ancien saint gallois ****
Alun : Rivière dans le Flintshire ***
Alwyn : Grand blanc ou béni. La version masculine d’Alwen *
Amlodd : Le grand-père du roi Arthur *
Andreas : Nom gallois d’Andrew *
Aneirin : Prince des poètes du 6e siècle *
Arawn : Du Mabinogi *
Arfon : Terre galloise proche d’Anglesey
Arnall : Nom gallois d’Arnold *
Arthur : Nom celtique ***
Arwel : Nom gallois pour “éminent” ***
Arwyn : Belle ou beau ***

Baglan : Un saint et un lieu situé près de Port Talbot *
Bedwyr : Un chevalier du roi Arthur. *
Beynon, Beinon : Dérivé de “ap Einion”, fortitude, stabilité
Berian : Nom de lieu dans le Pembrokeshire*
Berwyn : Saint et montagnes dans le centre du Pays de Galles *
Bleddyn : Loup issu du mot gallois ‘blaidd’ **
Brân : Du Mabinogi *
Bryn : Le mot gallois pour colline ****
Brychan : Un saint qui a donné son nom à Brecon *
Brynmor : Le sens gallois est une grande colline **
Brython : Ethnonyme du peuple breton en brittonnique

Cadfael : Ancien saint gallois *
Cadoc : Forme de Cadfael *
Cadwy : Fils de Geraint dans les contes du roi Arthur *
Cadwaladr Cadwaladr : était le roi de Gwynedd au 7ème siècle *
Caerwyn : Signifie fort blanc en gallois *
Cai : Des contes du Roi Arthur ****
Caio : Un endroit près de Carmarthen. Une variante de Caeo. **
Caradog : Signifie aimable en gallois et dérivé de Caratacus un chef breton**
Caron : Le nom du saint dans le lieu Tregaron *
Carwyn : Signifie en gallois blanc/amour béni ***
Cecil : Du vieux mot gallois Seisyllt ***
Cayo : Ou connu sous le nom de Caeo – une paroisse du Carmarthenshire (voir Caio) *
Cedwyn : Un saint gallois *
Cefni : Rivière dans la localité de Llangefni *
Celyn : Signifie “houx” en gallois *
Cennydd : Un ancien saint gallois. Se trouve dans le nom de lieu Senghennydd *
Cenwyn : De wyn qui signifie béni ou blanc **
Ceredig : De la localité de Ceredigion *
Ceri : Du terme “caru” signifiant aimer ***
Carian : Variante de Ceri *
Cled : Forme abrégée de Cledwyn *
Cledwyn : Une rivière dans le Denbighshire **
Crwys : Signification galloise de la croix *
Cybi : Saint gallois qui a fondé Caergybi *
Cynog : Saint celte ***

Darren : Signifie terre brûlée, du mot gallois tarren ***
Deiniol : Saint gallois ayant des liens étroits avec Bangor ***
Delwyn : Provient des mots gallois pour joli et blanc **.
Derfel : Un ancien saint gallois ****
Deri : De Derw qui signifie chêne *
Derwen : Mot gallois désignant le chêne.
Deryn : Mot gallois désignant un oiseau.
Derwyn : Variante de Derwen *
Dewi : Le saint patron du Pays de Galles. Une forme de David ****
Drystan : Relié au nom de Tristan *
Dyfed : Une région du Pays de Galles **.
Dyfi : Rivière dans le nord du Pays de Galles *
Dyfan : Nom d’un saint gallois *
Dyfri : Nom d’une rivière *
Dylan : Du Mabinogi – Était considéré comme un héros de la mer *****

Edryd : Signifie d’ascendance ou de restauration galloise *
Edwyn :  Forme galloise de Edwin **.
Efrog : Signification galloise de York *
Eifion : Vieux nom gallois, fils de Cunedda *
Eirwyn : Signifie neige blanche en gallois *
Elfyn : Nom bardique *
Elgan : Signifie cercle lumineux en gallois *
Elgar : Nom originaire de Drefelgarn dans le Pembrokeshire *
Elwyn : Une forme d’Alwyn *
Emlyn : Lieu situé à Dyfed **
Emyr : Variante de Ynyr ***
Eurion : Du mot gallois “aur” or *

Fychan : Signifiant petit en gallois *

Gareth : Forme de Garaint ou ‘gwaraidd’ signifiant civilisé ****
Garth : Forme de Gareth ou crête *
Gawain : Forme galloise de Gavin *
Gerallt : Forme galloise des mots vieil allemand pour Lance et Règle *
Gerwyn : Signifie rugueux et blanc *
Gethin : Du mot celte Cethin signifiant “sombre”. Également chevalier d’Owain Glyndwr *****
Glanmor : Des mots glan (propre) et mor (grand) *
Glyn : Forme courte de Glynd^wr *****
Glyndwr : Signifie vallée d’eau (d^wr). Un héros de l’histoire galloise **
Goronwy : Était un poète d’Anglesey **
Griff : de Gruffudd *
Gruffudd : De Griphuid – la poigne forte du seigneur **
Gruffydd : Une forme de Gruffudd **
Guto : Une forme de Gruffudd **
Gwaun : Signifie lande en gallois *
Gwenallt : Inconnu *
Gwern : Du Mabinogi *
Gwili : Rivière dans le Carmarthenshire *
Gwilym : Forme galloise de William ***
Gwion : Nom d’enfance de Taliesin *
Gwri : Nom du fils adoptif de Teyrnon dans la mythologie galloise.
Gwydion : Un magicien du Mabinogi *****
Gwyn : signifie blanc ou clair ***
Gwyndaf : était un saint celte ***
Gwynfor : signifie grand blanc **
Gwynlais : Rivière dans le Glamorgan *

Harri : Forme galloise de Harry ****
Hedd : signifie paix en gallois *
Hefin : signifie été en gallois *
Heini : Signifie plein d’entrain **
Hopcyn : Forme galloise de Hopkin **
Huw : Orthographe galloise de Hugh ou peut-être dérivé du nom gallois Hywel ****
Huwcyn : De Huw ou Hywel *
Hywel : Hywel Dda fondateur des lois galloises ****

Ianto : De Ifan ou Ieuan **.
Idris : De la montagne Cader Idris **
Idwal : Signification de chef gallois *
Ifor : De un saint gallois **
Iolo : De Iorwerth ***
Iorath : Forme de Iorwerth **.
Irfon : Une rivière près de Builth Wells *
Islwyn : Montagne dans le Gwent **
Iwan : Forme de Ifan *****

Kyffin : Forme anglicisée de Cyffin *

Lloyd : Du mot gallois pour gris ***
Lyn : Forme courte de Llewelyn/Llywelyn ****
Lleu : Provient du Mabinogi et signifie beau ou léger *.
Llew : signifie lion dans la forme galloise de Llywelyn/Llewelyn ***.
Llion : De Caerleon *
Llyr : Dieu gallois de l’océan.
Llywelyn : De Llyw qui signifie chef en gallois ****
Llwyd : Nom gallois pour gris et saint.

Mabon : Dieu celtique de la jeunesse *
Madog : Saint élève de Dewi *
Maelog : Peut signifier bataille ou prince *
Maelon : Dans la queue de Saint Dwynwen *
Maelor : Une partie de Clwyd *
Mal : Diminutif du nom gallois Maldwyn **
Maldwyn : Version galloise de Baldwin *
Maredudd : Signifie grand seigneur ***
Medwyn : Un saint gallois *
Meic : Nom masculin gallois de Mike **
Meilir : Forme de Meilyr *
Meilyr : Poète primitif **
Meirion : Petit-fils de Cunedda ***
Merion : Nom d’une partie de Gwynedd *
Meredith : Relié au nom Maredudd *
Meredudd : Voir Maredudd *
Merfyn : Était le roi de Gwynedd *
Mervyn : Du nom Merfyn *
Meurig : Rivière dans le Ceredigion *
Morgan : Des mots gallois m^or(mer) ou mawr (grand) et can (brillant) ****
Morlais : Rivière dans le Carmarthenshire *
Myrddin : Version galloise de Merlin *

Ninian : Saint gallois *
Nudd : Version galloise de Nuada (brouillard) *

Osian : Poète irlandais ****
Oswallt : Version galloise d’Oswald *
Owain : Signifie bien né en vieux celte ****
Owen : Variante d’Owain ****

Pennant : Nom de lieu Cwm Pennant *
Pryderi : Du Mabinogion *
Prys D’ap Rhys (fils de Rhys) **

Rhain : Mot gallois désignant une lance ou un javelot **
Rhion : De rhi qui signifie roi *
Rhisiart : Version galloise de Richard **
Rhobat : Version de Robat *
Rhodri : était le roi de Gwynedd ****
Rhun : De la queue de Taliesin *
Rhydian : Un saint gallois ***
Rhys : était le nom d’un certain nombre de souverains gallois. Anglicisé en Rees *****
Samlet : Un saint gallois *
Selwyn : Vieil anglais pour ami ***

Taliesin : Poète gallois *
Tecwyn : Saint gallois ***
Teifion : Variante de Teifi, la rivière à Aberteifi **
Teilo : Un saint gallois *
Telor : Du mot telori, chanter **
Terfel Variante de Derfel**.
Tewdwr : Nom gallois de Tudur *.
Trahaearn : Signifie grand fer *
Trefor : Une signification provenant des mots gallois de tre (ville) et m^or (mer) ***
Tristan : Une variante du nom gallois Trystan ****
Trystan : Une montagne dans le Gwynedd ***
Tudful : Un saint gallois et le nom de la ville de Merthyr Tudful *
Tudur : Nom celtique ***
Twm : Forme abrégée de Tomos **

Watcyn : Version galloise du mot flamand Gwatcyn *
Wil : Forme abrégée de Gwilym ****
Wmffre : Nom gallois de Humphrey **
Wyn : Une version de Gwyn ****
Wynn : Une version de Gwyn (voir Wyn)

Prénoms gallois (filles)

Aelwen : Signifie “front clair” en gallois **.
Aerona : Version féminine d’Aeron *
Aeronwen : Dérivé du nom Aeron avec la terminaison Gwen signifiant beau *.
Alaw : Nom d’une rivière à Anglesey qui signifie aussi nénuphar en gallois **.
Aeres : Nom gallois pour “héritière” *
Alys : Du nom de fille allemand Adalheidis *
Alwen : Rivière dans le Clwyd. ***
Alwena : Variante d’Alwen *
Aneira : Basé sur le mot gallois pour la neige *
Angharad : Du mot gallois pour amour Caru et dans le Mabinogion ***
Annest : Fille de Gruffdd ap Cynan, roi de Gwynedd *
Anest : Variante du dans l’orthographe de Annest *
Anwen : Signifie très beau ou béni **
Anwyn : Variante de Anwen *
Arianwen : Provient des mots gallois argent et blanc/pur **
Arwen : Version féminine de Arwyn *
Aures : Nom issu de Aur qui signifie or *

Begw : Forme abrégée de Megan ***
Bethan : Fille de Brychan Roi du 5ème siècle *****
Betrys : Version galloise de Beatrice *
Beti : Version galloise de Betty **.
Betsan : Forme abrégée d’Elisabeth **
Blodeuwedd : Du Mabinogion *
Blodwen : Signifiant ‘fleur blanche’ **
Blodwyn : Signifie ‘fleur blanche’ **.
Braith : Signifie “taches de rousseur” *
Brangwen : Signifie “corbeau beau” *
Branwen : Sœur de Br^an dans le Mabinogion *
Brenda : Dérivé du saint irlandais Brendan *
Briallen : Briallen signifie primevère *
Bronwen : Signifie blanc ou poitrine pure ***
Bronwyn : Signifie blanc ou poitrine pure *
Buddug : Version galloise du nom Boudicca *
Cari : Diminutif de Ceridwen *
Caron : Du mot gallois caru qui signifie aimer *
Callwen : Fille de Brychan Roi du 5ème siècle *
Car :wen : Signifie en gallois amour blanc/bienheureux *
Caryl : De c^ar qui signifie amour ***
Carys : De c^ar qui signifie amour **.
Ceinwen : Du mot gallois “Lovely and fair” **
Ceri : Du mot gallois pour amour Caru ***
Cerian : Variante de Ceri *
Ceridwen : Figure du manuscrit gallois Taliesin, qui signifie “chant béni”.
Cerys : Du mot gallois pour amour Caru *****
Clwyd : Comme dans le lieu dans le nord du Pays de Galles *
Ceirios : Nom gallois de la cerise *
Cothi : Rivière dans le Carmarthenshire *
Cranogwen : Un nom de femme lié au lieu Llangrannog *

Dafina : L’orthographe galloise du nom Davina *
Delwen : Version féminine de Delwyn *
Delyth : Dérivé du mot gallois pour Pretty ***
Deryn : Signifie oiseau en gallois **
Dilwen : De la forme féminine du nom Dilwyn **
Dilys : Du mot gallois pour parfait **
Donna : Déesse celtique *
Dwynwen : Le saint patron gallois des amoureux *
Dwysil : orthographe galloise de Dulcie *

Ebrill : Le mot gallois pour avril *
Efa : orthographe galloise du prénom Eva **.
Eiddwen : D’après un lac de l’ouest du Pays de Galles *
Eilian : Nom d’un saint gallois *
Eiluned : Variante de Eilun *
Eilwen : De ail (comme) et wen (juste/beauté) **
Eira : Du mot gallois eira (neige) **
Eirian : Signifie splendide en gallois *
Eiriana : Du nom Eirian *
Eirianedd : Variante du nom Eirian *
Eirianwen : Dérivé des mots eirian, et gwen *
Eiriol : signifie “enneigé” en gallois *
Eirlys : Signifie perce-neige *
Eirwen : Ce nom signifie neige blanche *
Elan : Fille de la déesse celte Do^n **
Elain : Mot gallois pour ‘un fauve’ **
Elenydd : Forme galloise de Lynette *
Eleri : Fille de Brychan Roi du 5ème siècle ****
Elliw : D’après les récits du roi Arthur *
Enid : Du vieux mot gallois “eneit”, qui signifie “pureté” *.
Eluned : Forme galloise de Lynette **
Enfys : Du mot gallois enfus qui signifie arc-en-ciel *
Erin : Ce nom gallois a des liens avec l’Irlande ****
Eryn : Variante du nom Erin *
Esyllt : Variante du nom Iseult *
Eurwen : Des mots pour or et blanc *

Fanw : Forme masculine du nom Myfanwy**.
Ffion : Nom gallois de la digitale *****
Fflur : Trouvé dans le nom de lieu Ystrad Fflur ***
Ffraid : Du saint Ffraid *

Gaenor : Forme galloise de Gaynor **
Garwen : Une maîtresse du roi Arthur **
Gaynor : Variante de Gaenor **
Glain : Signifie bijou en gallois *
Gladys : Signifie “qui porte le sens de la royauté”.
Glenda : Mot gallois signifiant “pur bien” ***.
Glenys : Mot gallois Gl^an signifiant “pur” ***
Glesni : Mot gallois glas signifiant bleu ***
Glynis : Variante de Glenys **.
Goewyn : Du Mabinogion *
Grug : Signifie bruyère en gallois *
Gwawr : Mot gallois signifiant “aube”.
Gwen : signifie belle en gallois ***
Gwenant : Signifie “beau ruisseau” *
Gwenda : signifie “beau” (ou “blanc”) et “bon”.
Gwendolen : Femme du roi Arthur – anneau blanc en gallois **.
Gwendoline : Variante de Gwendolen *
Gwendolyn : Variante de Gwendolen *
Gweneth : Variante de Gwyneth *
Gwyneth : Variante du nom Gwynedd **
Gwenfrewy : Un saint gallois associé à Holywell *
Gwenhwyfar : Version galloise du nom de Guenièvre *
Gwenith :De gwenith, mot gallois signifiant “blé”.
Gwenllian : Dérivé de Gwen (blanc, saint) et Lliant (inondation, flux) ***
Gwennan : Fille de Brychan *
Gwenno : Forme alternative du nom Gwen *
Gwenyth : Différente orthographe du nom de fille Gwenith *
Gwlithen : Signifie goutte de rosée *
Gwylan : Signifie mouette *
Gwyn : Le mot gallois Gwyn signifie (blanc, pur, juste). ****
Gwynedd : D’après le comté du nord du Pays de Galles **.
Gwynn : Variante de Gwyn *
Haf : Mot gallois signifiant été **
Hafren : Nom gallois pour la Severn *
Heledd : D’après une princesse galloise
Ifanna : Version féminine du nom Ifan *
Ina : Fille de Ceredig *
Iola : Forme féminine de Iolo *
Iona De Ionawr : mot gallois pour janvier *
Irwen : Version féminine du nom Irwyn *

Leri : Forme diminutive de Meleri, Eleri et Teleri *
Liliwen : Signifie lys blanc *
Llian : Forme diminutive de Gwenllian **.
Llinos : Linnet en gallois **
Llion : Forme familière de Gwenllian *
Lona : Forme diminutive de Moelona *
Luned : De Eluned **
Lyn : Variant pour de Lynn **
Lynn : Du mot gallois pour lac, llyn **
Lynne : Variante de Lynn **

Rhoswen : Rhoswen signifie rose blanche *

Mabli : Le nom gallois de Mable **
Mai : Nom gallois du mois de mai ***
Mairwen : Combinaison de Mair et de wen (juste) *
Manod : Montagne dans l’ouest du Pays de Galles *
Manon : Ce nom signifie reine *
Medi : Nom gallois de septembre **
Meinir : Signifie élancé et grand ***
Meleri : Grand-mère de St David **
Men : Forme masculine de Menna *
Mererid : Signifie perle *
Mona : Nom de lieu à Anglesey *
Myfanwy : Dérivé de annwyl, “bien-aimé”. Chanson populaire galloise. ***
Myfi : Diminutif du nom de fille gallois Myfanwy **.
Nerys : Dérivé de Generys ***
Nia : Forme galloise du prénom irlandais Niamh. Signifiant “brillance”. *****
Non : Mère de St David **

Olwen : Des histoires mythiques du roi Arthur **
Olwenna : Variante du prénom gallois de fille Olwen *
Owena : Version féminine d’Owen *

Prydwen *
Rhiain : Signifie jeune fille *
Rhian : Du mot gallois “rhiain” qui signifie jeune fille ****
Rhiannon : Du Mabinogion ***
Rhona : Forme pet du nom Rhonwen *

Seren : Nom gallois pour étoile *****
Siani : Variante de Sian **
Siriol : Signifie contenu **

Tanwen : Signifie blanc (gwen) feu (t^an) en gallois *
Tagwen : Version féminine de Tegwyn *
Tegan : Du mot gallois “teg”, qui signifie juste. Mot gallois désignant également un jouet ***
Teleri : Variante d’Eleri **
Tirion:  Signifie “doux et heureux”.

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Après leur ralliement à l’extrême-gauche franco-régionaliste, le Parti National Breton appelle au boycott des éditions Yoran Embanner

Après leur ralliement à l’extrême-gauche franco-régionaliste, le Parti National Breton appelle au boycott des éditions Yoran Embanner

[PNB] L’Emsav, une nouvelle fois victime de la pollution marxiste d’inspiration hexagonale, perd une maison d’édition de qualité, avec la transformation des éditions Yoran Embanner en succursale du gauchisme intersectionnel français. Le militant d’extrême-gauche français Alain Cloarec reprend en effet cette entreprise, comme nous l’apprend le journal d’état Ouest-France.

Il suffit de lire ce qu’écrit Cloarec dans la publication du groupe régionaliste d’extrême-gauche “UDB” pour mesurer que cet individu n’a rien à voir avec l’Emsav et sa juste lutte pour l’indépendance de la nation bretonne.

Avant cela, le monde, la société, la Bretagne et la France ayant changé depuis les années 1970, il nous faudrait nécessairement nous reposer la question de notre être propre. Qui sommes-nous, que voulons-nous, d’où venons-nous ? À cette dernière question, il ne faut pas répondre que nos origines remontent aux migrations bretonnes du IVème et Vème siècle. Certes, il est toujours amusant de rappeler cette vérité à certains nationalistes dont le fantasme du mythe national naissant d’immigrés peine à dépasser l’actuelle phobie de l’immigration. Mais ce ne sont là que des réalités historiques qui n’inclinent en rien à une quelconque définition individuelle ou collective contemporaine. C’est là l’Histoire de la Bretagne, pas celle des Breton-ne-s. Est-ce un détail, une provocation ou un crachat à la figure du militantisme breton bas de plafond ? Un peu de tout cela, mais c’est surtout au cœur du questionnement la volonté de savoir si l’on cherche plus à lutter pour la liberté de la Bretagne ou pour les libertés du peuple breton.

Le peuple breton qui a forgé la Bretagne – dont elle porte le nom – en venant massivement de Grande Bretagne ? Un fait “amusant” qui doit être mentionné aux “militants bretons bas de plafond”, mais uniquement pour appeler à l’intensification de l’immigration afro-islamique dans notre pays au nom du sans-frontiérisme néo-communiste.

Comprenez le message implicite : nous, Bretons, sommes pour cet individu de trop sur notre terre et devons apprendre à disparaître en silence, submergés par l’envahisseur, afin de répondre aux rêves d’unification planétaire de cet esprit manifestement atteint d’ethno-masochisme, un trait récurrent des Bretons colonisés, acculturés et aliénés sous le poids de l’influence française.

Alain Cloarec (droite), militant d’extrême-gauche français

L’Emsav a pour mission de sauvegarder l’essence ethnique du peuple breton, pas de faciliter son érosion et sa disparition pour le compte de l’Etat français et de sa bourgeoisie. Défendre notre personnalité ethnique est notre combat depuis deux siècles face à l’ennemi de l’humanité qu’est l’égalitarisme révolutionnaire, pas de lui prêter la main.

C’est ici l’occasion pour nous d’interroger Cloarec : qui, des “militants bretons bas de plafond” ou des dealers et proxénètes originaires d’Afghanistan, arrivés de fraîche date sur le territoire breton avec l’aide des autorités françaises, sera susceptible de commander des ouvrages portant sur la Bretagne bretonne ? Qui, des Bretons, ou des migrants du tiers-monde importés par l’Etat français sous les vivats du grand patronat, porteront une maison d’édition bretonne ? Poser la question, c’est y répondre.

Nous ne voulons pas de la tiers-mondisation que cet illuminé, contaminé par la folie du gauchisme hexagonal, prétend nous imposer. Nous ne sommes pas des adeptes de l’église universaliste et millénariste du sans-frontérisme. Nous sommes un peuple et cela nous suffit. Aucune hallucination abstraite, péteuse et moralisante, n’a de prise sur nous. Nous ne voulons pas de la prétention “morale” de ces curetons de gauche étrangers à l’esprit de Breizh. Nous voulons notre nationalité, notre terre, notre sang, notre état. Nous voulons être une nation fière, forte et libre, pas un club de sodomites socialistes interchangeables avec n’importe quel autre club de sodomites socialistes de la planète. Notre sang et notre sol, c’est-à-dire Breizh, voilà ce que l’Emsav veut et rien d’autre.

Après avoir frappé d’interdit le peuple breton, parce qu’ethniquement trop européen pour la gauche d’inspiration hexagonale dont il provient, Cloarec poursuit ses provocations en faisant passer son socialisme cosmopolite en contrebande. Une fois Breizh vidée de sa substance sous sa plume, il prétend y substituer le foutoir sociétal en vogue au sein de la bourgeoisie parisienne:

Comment donc peut-on toujours être Breton-ne aujourd’hui et demain ? En vivant et en luttant au cœur de la société bretonne pour y constituer un nouveau pays plus juste, solidaire et défenseur acharné de toutes les dignités. La Bretonne et le Breton n’ont pas de couleur de peau, pas de genre, ni de religion, ils ont une adresse et une volonté.

Si l’on en croit l’histrion Cloarec, les Bretons sont “indéfinissables”. Curieux – et unique – peuple qu’on ne saurait définir. On ne pourrait pas les distinguer de la faune islamique de Saint-Denis ou de celle l’arrière souk d’Alger, encore moins de la population du Bronx. Bretagne, Madagascar ou Bagdad, c’est indifférent. Nous sommes sommes de nous effacer, de faire place nette, de nous laisser remplacer sur notre terre ancestrale.

Trêve de plaisanterie.

Nous avons affaire à un névrosé du marxisme culturel doublé d’un mégalomane qui croit pouvoir remplacer notre nationalité millénaire par l’imposture contractualiste-rousseauiste d’importation française dont le nihilisme de la gauche post-moderne est le chancre le plus récent. Si cela est conforme à l’idéologie de l’indifférentisme et du relativisme culturel (culturel et racial) propre à l’empire des démocraties finissantes, cela n’a rien à voir avec l’ethno-nationalisme de l’Emsav.

Les Bretons ont plus qu’une couleur de peau, ils ont un profil ethno-racial. Ils sont hétérosexuels, comme le prouvent leur postérité et leur phénotype qu’ils se transmettent de génération en génération, depuis des millénaires.

“Les Bretons n’ont pas de religion”, Alain Cloarec, gauchiste et nouveau commerçant chargé de vendre “Troménies bretonnes”

Quant à leur religion, seul un crétin ou un charlatan peut prétendre, après avoir sillonné le vieux pays, ne jamais avoir remarqué chapelles et calvaires, ni même la Troménie, qu’a produit leur spiritualité. Notre pays n’est pas borné de mosquées, n’en déplaise à ce furoncle.

Si l’exaltation de l’anomie de la petite bourgeoisie individualiste correspond à sa vision du monde, nomade et égocentrique, elle n’a aucun rapport avec celle de notre peuple face à son histoire et son devenir, comme communauté ethnique nationalement consciente et agissante. 

Cloarec donne une piste sur cette obsession étrange, en évoquant le grand non-dit de l’extrême-gauche régionaliste en Bretagne qu’est le vice bourgeois par excellence : l’homosexualité de ses cadres sur fond de rhétorique gauchisante, usée jusqu’à la corde.

De cela, nous ne pouvons que considérer les combats de la Bretagne libre et insoumise dans la famille des luttes des droits civiques, des homosexuels, des peuples autochtones à travers le monde, des mouvements paysans et ouvriers, en somme de toutes les luttes pour la dignité humaine.

Nous le voyons, Yoran Embanner ne sera plus qu’un faux-nez de l’extrême-gauche française, infecté des thèmes obsessionnels de la bourgeoisie hexagonale : LGBTisme, submersion migratoire, haine de la race blanche.

Le devoir de l’Emsav est l’exact inverse : fortifier l’instinct de survie du peuple breton au plan anthropologique et de combattre la glorification des ratés, des faibles, de la culture de l’échec.

Ceux qui trahissent le sang breton, doivent recevoir une réponse du sang breton. Il est de la responsabilité du Parti National Breton de combattre la subversion marxiste antibretonne à chaque fois qu’elle se manifeste. Le boycott de cette maison d’édition sera à présent la règle et la consigne sera largement distributée par le Parti afin de prévenir tout achat et toute collaboration. Par un travail inlassable de mise en garde, il détournera les patriotes de cette maison d’édition, jusqu’à ce qu’elle disparaisse, faute de clients. Car ce que les rouges oublient un peu vite, enivrés par leur insolence, c’est que ce monde est régi par la loi de l’offre et de la demande et qu’insulter la nation bretonne quand on prétend animer une maison d’édition héritière de l’Emsav n’est pas un modèle économique viable.

Le temps de l’insulte est passé, l’ère du marxisme et de la démocratie libérale est révolue, l’époque où les idiots utiles de la gauche coloniale française pouvaient provoquer l’Emsav a vécu. Désormais, chaque insulte recevra sa riposte et cette riposte sera coûteuse.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Incendie criminel à Brocéliande : le Parti National Breton veut la peine de mort pour les incendiaires

Incendie criminel à Brocéliande : le Parti National Breton veut la peine de mort pour les incendiaires

[PNB] Après les Monts d’Arrée, un nouvel incendie d’origine criminelle frappe la Bretagne. La Forêt sacrée de Brocéliande a été ciblée par des pyromanes où un foyer a été allumé dans la nuit.

Pour le Parti National Breton, l’absence de peine exemplaire pour des actes à caractère terroriste comme le sont les incendies de masse explique le sentiment d’impunité qui précipite le passage à l’acte.

Un nouveau cadre légal doit être forgé pour la nation bretonne afin de restaurer un ordre pleinement breton en Bretagne. Le Parti National Breton a proclamé dans son programme sa ferme intention d’instaurer la peine de mort pour les crimes les plus graves dans le futur Etat breton. De tels actes entraîneront automatiquement la condamnation à la peine capitale pour les incendiaires.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Brest : une voiture en flammes projetée contre une piscine municipale de l’enclave afro-islamique de Bellevue !

Brest : une voiture en flammes projetée contre une piscine municipale de l’enclave afro-islamique de Bellevue !

[PNB] Brest, tout comme l’ensemble des villes bretonnes soumises à l’immigration extra-européenne imposée par l’Etat français et la gauche coloniale hexagonale, est désormais une ville en état de putréfaction sociale avancée. Les quartiers de la ville, gangrenée par le pourrissement allogène, se transforment en kystes du crime, de la violence, de la radicalisation islamique.

Le Télégramme

Une Alfa Roméo enflammée a été découverte contre l’entrée principale de la piscine de Kerhallet, à Brest, ce mercredi 10 août 2022, vers 21 h 15. Il a fallu l’intervention rapide des pompiers de Brest, épaulés par les marins pompiers, pour éteindre promptement l’incendie du véhicule et éviter que l’équipement public de Bellevue ne subisse des dégâts au-delà de la porte. La voiture est entièrement calcinée. À l’arrivée des secours et de la police, aucun individu n’a été aperçu. Il pourrait s’agir d’un véhicule volé.

La cause de cette sauvagerie est connue : le caractère inassimilable des masses extra-européennes. Plus le temps passera, plus la submersion migratoire organisée par Paris avec l’aide de ses relais politiques locaux, à l’instar du socialiste Cuillandre à Brest, détruira des pans entiers de la Bretagne.

Seule une réponse radicale, à la hauteur de la menace existentielle que représente cette invasion, sera de nature à solder une fois pour cette crise menace.

Le Parti National Breton a une position claire sur cette question : l’expulsion en masse des sujets coloniaux vers la France, leur état de tutelle.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Agissez pour sauver la Bretagne ! Adhérez au Parti National Breton !

Agissez pour sauver la Bretagne ! Adhérez au Parti National Breton !

[PNB] La libération de la nation bretonne et la restauration de son état, l’Etat breton, supposent de franchir le pas de l’engagement direct. Cet engagement ne peut se faire que par l’adhésion au seul parti national en Bretagne : le Parti National Breton.

Le Parti National Breton constate avec satisfaction l’accroissement régulier de son audience, d’abord par le recrutement que par sa propagande de terrain et l’élargissement de sa présence sur internet. Toutefois, commenter ou “aimer” un contenu sur les réseaux sociaux n’est pas en soi ce qui sauvera la nation bretonne des dangers mortels qui la menacent; à commencer par l’Etat français de peuplement afro-musulman. Ces marques de sympathie sont un début vers l’engagement, pas une fin en elles-mêmes.

*Crédit photos : Jean Romegaire

Adhérer au Parti National Breton et militer dans ses rangs sont les seuls actes susceptibles de changer le présent statu quo en Bretagne en dotant la nation bretonne de l’outil révolutionnaire dont elle a besoin pour briser l’occupation française et restaurer l’ordre breton en Bretagne : son parti national.

D’ici à 2030, la république française se sera effondrée sur elle-même.  Il importe de préparer 2032, année charnière pour la nation bretonne après l’annexion de 1532.

Si vous êtes un patriote breton, vous ne devez pas rester un consommateur passif : rejoignez nos rangs, immédiatement, votre avenir et celui de vos enfants en dépend ! Vous aurez diverses façons de servir la cause nationale. Pour que l’émergence de la conscience nationale bretonne atteigne le stade révolutionnaire, il faut que cette conscience soit importée dans les masses bretonnes par un travail permanent d’activisme. C’est votre rôle que d’y participer, en tant que nationaliste breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Destruction du monument de la honte à Rennes : le torchon colonial “Le Télégramme” glorifie l’annexion sanglante de la Bretagne par la France et attaque la résistance nationale bretonne

Destruction du monument de la honte à Rennes : le torchon colonial “Le Télégramme” glorifie l’annexion sanglante de la Bretagne par la France et attaque la résistance nationale bretonne

[PNB] Dans un article inqualifiable publié le 7 août 2022, le torchon colonial “Le Télégramme” se livre à une ignoble apologie de l’annexion et de l’occupation de la Bretagne par le régime français en condamnant, à 90 ans de distance, l’héroïque destruction par les patriotes bretons de la statue glorifiant la sujétion de la nation bretonne à la France.

Utilisant les pires accents de l’exaltation nationaliste française, la feuille de chou de Coudurier ose :

La frange nationaliste qui magnifiait les héros de l’histoire de la Bretagne ne supportait pas cette prétendue offense au particularisme régional (sic) […] La capitale Bretonne conservera longtemps dans son histoire les stigmates de cet acte brutal. Ce creux devant lequel défilent tous les jours les Rennais porte en lui l’absence d’un monument prônant la réconciliation et la vacuité d’un acte qui n’avait pas lieu de se produire.

Dans l’enceinte du parlement national breton, une statue mettant en scène l’annexion sanglante de la Bretagne par l’Etat français, annexion qui sera suivie – jusqu’à nos jours – d’une campagne ethnocidaire de destruction de la langue et de la culture bretonnes par cet état étranger, est qualifiée de monument de la “réconciliation” par ce torchon colonial français. Tel est l’état de la virulente propagande révisionniste française en Bretagne, en 2022. 

Sur ce sujet, le Parti National Breton rappelle la nécessité pour chaque Breton de lire le Petit Livre Bleu de la Bretagne du Professeur Melennec sur l’annexion armée de la Bretagne par la France et l’état d’occupation de notre patrie par la puissance étrangère française. Aujourd’hui, la Bretagne demeure une nation occupée par la France en violation du droit international.

Cet article ne surgit pas par hasard. Les intérêts coloniaux français savent que le temps de la République française est compté et que la Cinquième république n’en a plus que pour quelques années. Ils savent également que le réveil de la nationalité bretonne sera parallèle à cet effondrement, comme celui d’autres nationalités, d’où les attaques contre la nation bretonne par la clique Coudurier, infâme laquais de Paris en Bretagne. 

Le Parti National Breton avertit le valet Coudurier : à jouer avec le feu, on finit par se brûler. La subordination à l’impérialisme français ne permet pas tout, surtout pas face à des patriotes bretons en ordre de marche pour libérer leur pays. Dans la Bretagne nouvelle qui approche, il n’y aura plus de place pour la propagande française et ses relais : ces gens peuvent d’ores et déjà le tenir pour acquis.

Après 1532 vient 2032. Pour le Parti National Breton, cette année sera une année placée sous le signe de bouleversements révolutionnaires pour la nation bretonne. La décennie qui nous en sépare sera marquée par la débâcle finale de la France, ruinée et submergée par la démographie afro-islamique, la fin de l’humiliation du Peuple Breton et la libération de Breizh. Ceux qui auront osé insulter la nation bretonne du temps de son asservissement répondront alors politiquement de leurs actes face à l’Etat breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

[PNB] La capitale bretonne a une nouvelle fois été le théâtre de l’ultra-violence des gangs ethniques implantés par l’Etat français dans la ville avec l’appui de la gauche coloniale hexagonale, représentée sur place par Johanna Rolland.

Cette violence, outre l’immigration extra-européenne, a pour racine le trafic de drogue.

Le Parti National Breton a une ligne programmatique claire pour la Bretagne nationalement redressée. Sous sa direction, l’Etat breton procèdera automatiquement à la condamnation à mort de tout individu arrêté en possession de drogue, à raison de 500 grammes pour le cannabis, et 15 grammes pour l’héroïne.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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