Le PNB dénonce l’attaque terroriste commise par 2 islamistes contre le patriote norvégien Lars Thorsen

Le PNB dénonce l’attaque terroriste commise par 2 islamistes contre le patriote norvégien Lars Thorsen

[PNB] Le Parti National Breton dénonce l’attaque terroriste perpétrée hier, à Oslo, par deux musulmanes contre le SIAN, groupe patriotique norvégien dirigé par Lars Thorsen. L’attaque, qui a été filmée, montre le véhicule occupée par les deux terroristes musulmanes percuter sciemment celui des patriotes norvégiens, peu après une manifestation qui avait lieu dans la capitale norvégienne contre l’invasion islamique de l’Europe. Cinq blessés légers sont à déplorer.

De telles attaques se multiplieront aussi en Bretagne sous l’effet de l’immigration de remplacement organisée par l’Etat français. Se constituent déjà, depuis des années, de véritables enclaves islamiques dans toutes les villes bretonnes, conséquence logique de l’importation massive d’allogènes par les préfectures du système colonial français sur l’ensemble du territoire breton.

Le Parti National Breton apporte son soutien aux patriotes norvégiens et souhaite un prompt rétablissement aux victimes de cette attaque de l’impérialisme islamique.

Le Parti National Breton réitère son intention de mettre un terme à l’immigration de remplacement organisée par l’Etat français en Bretagne, invasion qui menace l’existence même du Peuple Breton. Il réaffirme son programme d’expulsion des étrangers indésirables vers la France ainsi que l’interdiction définitive de toute activité liée au prosélytisme islamique sur le territoire breton. 

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton se félicite de l’intention de l’Allemagne de se doter de la première armée conventionnelle d’Europe

Le Parti National Breton se félicite de l’intention de l’Allemagne de se doter de la première armée conventionnelle d’Europe

[PNB] Le Parti National Breton relève avec satisfaction que le gouvernement fédéral allemand, par la voix de son chancelier, Herr Scholz, a annoncé son intention de prendre la tête de l’organisation de la sécurité de l’Europe en faisant de l’armée allemande la première armée conventionnelle du continent grâce à un vaste projet de modernisation.

Le Parti National Breton voit dans cette ambition un retour à la position naturelle de l’Allemagne en Europe, position conférée par sa centralité géographique, son poids démographique et son influence économique. L’anomalie actuelle, héritage accidentel de 1945, doit être soldée au plus vite. L’Europe ne peut tolérer que la France exerce illégitimement un quelconque ascendant, dans quelque domaine que ce soit, au risque de laisser cet état contaminer toujours plus le continent.

L’ampleur des efforts à consentir par l’Allemagne pour atteindre cet objectif est considérable, mais le Parti National Breton l’estime réaliste si la volonté politique allemande ne faiblit pas. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le Gwenn ha Du, drapeau national de l’Etat Breton

Le Gwenn ha Du, drapeau national de l’Etat Breton

[PNB] Si l’Emsav a une vision claire du drapeau national breton, puisqu’il l’a créé, des tendances réactionnaires, heureusement marginales, nourrissent stérilement des débats sur sa légitimité, affirmant, par exemple, que le Kroaz Du lui serait préférable. Ce type de discussions traduit la tendance permanente de certains Bretons à basculer dans la réaction provincialiste contre laquelle le Gwenn ha Du a précisément été créé et brandi.

Le drapeau national breton a été conçu dès son origine par Breiz Atao pour affirmer consciemment la nationalité bretonne relevée contre les forces hostiles, intérieures et extérieures, voulant son écrasement. Contrairement à des bannières d’un ordre ancien, qui a par définition démontré son incapacité politico-historique, le Gwenn ha Du est le produit de la conscience nationale bretonne contemporaine, portée par son avant-garde nationaliste, pour créer un nouvel ordre de réalité en Bretagne et non pas pour végéter dans une vaine nostalgie.

Drapeau au champ d’hermines plain lors d’un rassemblement de l’URB

C’est justement pour dépasser le drapeau d’hermines ducal associé à la réaction monarchiste française dont procédait l’Union Régionaliste Bretonne que le Gwenn ha Du, le drapeau moderne de la nation bretonne redressée, a été créé sur demande d’Olier Mordrel par Morvan Marchal.

Morvan Marchal

Il s’agissait pour l’Emsav de rompre dialectiquement avec la nation française, ainsi qu’avec toute forme de passéisme paralysante, pour que le Peuple Breton ne reste pas prisonnier du mouvement national français qui voyait s’affronter partisans de l’Ancien Régime et partisans de jacobinisme républicain. Il fallait donc à la fois s’écarter du confusionnisme régionaliste, toujours désireux, sous les oripeaux de la nostalgie de terroir, de subordonner l’inconscient national breton aux intérêts français, et du nationalisme hexagonal produit par 1789.

Ce drapeau national moderne a été créé par les nationalistes bretons, pour les nationalistes bretons, afin d’édifier Breizh, la nation bretonne nouvelle. Ce projet national est un projet étatique révolutionnaire.

Le Gwenn ha Du et son acceptation par l’ensemble du Peuple Breton en moins d’un siècle est une des plus grandes victoires historiques de l’Emsav et de sa matrice, Breiz Atao. Sans Olier Mordrel, Fransez Debauvais et Morvan Marchal, cette matrice n’aurait pas réussi le tour de force d’imposer ce drapeau, inauguré comme bannière nationale lors du congrès du Parti Autonomiste Breton de Rosporden, en 1927.

Congressistes du P.A.B., Rosporden (1927)

Dès l’origine, les forces coloniales françaises tentèrent d’éradiquer ce drapeau, expression à ses yeux insupportables de la nationalité bretonne, comme lors du congrès nationaliste de Châteaulin de 1928. 

Interdit pendant des décennies, ce n’est que par l’adhésion du Peuple Breton à sa fonction nationale que le Gwenn ha Du s’est finalement imposé à l’Etat français. Il est désormais partout, porté par un peuple entier. Mais c’est bien une poignée de jeunes idéalistes bretons réunis autour de Breiz Atao qui, il y a un siècle, en eut la vision, en fit la promotion envers et contre tout, y compris jusqu’à risquer leur vie pour lui et l’idée ethno-nationale qu’il représente.

Les pères fondateurs de l’Emsav seraient atterrés de voir cet acquis historique sans précédent dans l’histoire de la Bretagne contesté au profit d’une bannière médiévale; pour des motifs de nostalgie incapacitante, ou pire, car plus superficiel, par esthétisme.

Il ne s’agit pas de dénigrer les symboles patrimoniaux de la Bretagne, mais de les contextualiser et surtout de ne pas confondre leur nature. Le Kroaz Du est certes le symbole tragique, proto-national, des soldats bretons morts à Saint Aubin du Cormier, en 1488, pour l’indépendance de la Bretagne. Si l’on peut imaginer que le Kroaz Du devienne la bannière de la future armée bretonne ou qu’il serve de trame aux bannières des cités et provinces de l’Etat Breton restauré, il n’incarne pas la conscience révolutionnaire d’une nationalité bretonne relevée, organisée en corps de nation par un état moderne. C’est cette synthèse entre tradition et modernité, entre archaïsme et futurisme, qu’incarne l’Emsav et son drapeau, tous les deux fondés par Breiz Atao.

Les nationalistes bretons seraient-ils les seuls à rejeter leur propre drapeau, celui de Mordrel, Marchal, Debauvais, quand il est désormais adopté par l’entièreté du Peuple Breton ? Non, à l’évidence.

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Adam Mahmoud viole 2 femmes dans le Finistère : le Parti National Breton rappelle son intention d’instaurer la peine de mort pour les violeurs

Adam Mahmoud viole 2 femmes dans le Finistère : le Parti National Breton rappelle son intention d’instaurer la peine de mort pour les violeurs

[PNB] Ce nouvel épisode de prédation ethnique d’origine extra-européenne préfigure ce qui attend la Bretagne si aucun renversement nationaliste n’a lieu.

Ouest-France :

Pendant trois jours, la cour d’assises du Finistère a jugé un homme pour viol. 

Jeudi 23 et vendredi 24 juin 2022, la cour d’assises du Finistère, à Quimper (Finistère), jugeait Adam Mahmoud pour des viols commis sur deux femmes, en 2019 dans le Sud-Finistère.

Il est condamné à 8 ans d’emprisonnement pour viol et une interdiction définitive du territoire français.

Le Parti National Breton rappelle que, conformément au point n°5 de son programme de libération nationale, il entend instaurer la peine de mort automatique pour les crimes les plus graves (trafic de drogue, assassinat, pédophilie), notamment pour les viols de femmes européennes par des infiltrés allogènes, une menace existentielle pour la continuité biologique de la communauté du Peuple Breton.

L’Etat breton ne tolèrera pas la présence sur son territoire d’ennemis du Peuple Breton et ne gaspillera aucune ressource nationale pour entretenir des bouches inutiles reconnues coupables par les tribunaux bretons. La justice bretonne, par son traitement radical des ferments criminogènes, entend instaurer un climat général de paix civile en Bretagne.

Le Parti National Breton rappelle ensuite qu’il entend stopper l’immigration extra-européenne organisée par l’Etat français en Bretagne et procéder à l’expulsion vers la France de tous les étrangers indésirables dont la présence a été imposée par Paris à la nation bretonne.

La colonisation de peuplement supervisée par l’Etat français doit prendre fin et la Bretagne redevenir la terre exclusive du Peuple Breton. Tel est l’esprit du slogan : “La Bretagne aux Bretons !”.

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton se félicite de la tenue d’un nouveau référendum pour l’indépendance de l’Ecosse

Le Parti National Breton se félicite de la tenue d’un nouveau référendum pour l’indépendance de l’Ecosse

[PNB] Le gouvernement autonome écossais a annoncé la tenue d’un référendum le 19 octobre 2023 portant sur l’autodétermination nationale de l’Ecosse.

Le Parti National Breton apporte son plein soutien à la nation écossaise et souhaite que ce référendum d’autodétermination mette un terme à l’occupation de l’Ecosse par le système britannique. L’indépendance nationale écossaise aura un impact profond en Europe de l’Ouest où les nations opprimées par les état impérialistes continuent de lutter pour leur libération.

Le Parti National Breton constate que la nation bretonne reste quant à elle politiquement désorganisée, écrasée par un système colonial français déterminé à détruire le Peuple Breton avec l’aide d’une classe de notables serviles à la botte de l’Etat français. Ce retard sur la voie de l’indépendance est inacceptable.

Pour parvenir à l’impérative indépendance nationale de la Bretagne, une rupture ethno-nationaliste complète doit être constituée. C’est ce qu’entend réaliser le Parti National Breton.

Breizh Atav !

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Immigration : 25 millions d’euros pour restaurer la cathédrale de Nantes incendiée par le clandestin rwandais qui avait assassiné un prêtre

Immigration : 25 millions d’euros pour restaurer la cathédrale de Nantes incendiée par le clandestin rwandais qui avait assassiné un prêtre

[PNB] Protégé par le diocèse de Nantes, le migrant clandestin rwandais Emmanuel Abayisenga avait incendié la cathédrale des Ducs de Bretagne le 18 juillet 2020, détruisant un orgue d’une valeur inestimable du 17e siècle. Une information strictement censurée par le média d’état français Ouest-France qui évoquait dans un article du 27 juin 2022, à propos du chantier de restauration de 25 millions d’euros, un “incendie”, sans rappeler sa dimension criminelle et sans préciser qu’il a été commis par un migrant clandestin d’Afrique.

Ouest-France tait également le fait que ce migrant clandestin, libéré en attente de son jugement, a assassiné Olivier Maire, le prêtre qui avait décidé de continuer à le protéger en dépit de son attaque contre le patrimoine spirituel et national breton.

Cette désinformation active en faveur des infiltrés allogènes, même les plus sauvages, ne doit échapper à personne :  elle fait partie d’une stratégie globale en faveur du nettoyage ethnique par remplacement organisé par l’Etat français contre le Peuple Breton.

Breizh Atav !

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Négation de l’identité bretonne du Pays Nantais : le Parti National Breton met en garde les révisionnistes de “France 3 Pays de la Loire”

Négation de l’identité bretonne du Pays Nantais : le Parti National Breton met en garde les révisionnistes de “France 3 Pays de la Loire”

[PNB] Vendredi 24 juin 2022, Emmanuel Faure, animateur de l’émission “Ca se passe ici” sur la chaîne France 3 “Pays de la Loire”, a qualifié à plusieurs reprises le Château des Ducs de Bretagne de Nantes de “Château des Ducs de Nantes”.

Le Château des Ducs de Bretagne à Nantes est l’un des plus puissants symboles de l’histoire nationale de la Bretagne. Loin d’être une confusion accidentelle, cette entreprise révisionniste traduit un effort systématique de destruction de l’identité et de l’histoire bretonnes du Pays Nantais par un média d’état français au service de la structure administrative coloniale dont la région artificielle “PdL” est le bras armé.

L’objectif de cette propagande ethnocidaire vise à empêcher l’inéluctable réunification nationale de la Bretagne, plébiscitée année après année par les Bretons du Pays Nantais.

Cet effort ethnocidaire de la part du système médiatique français n’échappe pas au Parti National Breton, ni aux Bretons. La patience de la nation bretonne a ses limites : si ces provocations françaises contre l’identité du Peuple Breton se poursuivent, une réponse politique sera inévitable.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton 

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Le Parti National Breton se félicite de l’abstention bretonne massive aux élections legislatives hexagonales

Le Parti National Breton se félicite de l’abstention bretonne massive aux élections legislatives hexagonales

[PNB] Le Parti National Breton constate avec satisfaction que le Peuple Breton a largement boycotté le simulacre électoral organisé par l’Etat français le dimanche 19 juin 2022. Avec 47,6% d’abstention en Bretagne administrative et 46,3% dans le Pays Nantais, c’est près de la moitié des Bretons qui ont refusé de légitimer un suffrage parisien dont l’unique fonction est de justifier l’ordre colonial français en Bretagne.

Par ailleurs, le Parti National Breton prend acte de la disparition politique de Richard Ferrand, un intrus venu de France notoirement hostile aux intérêts du Peuple Breton. 

Le Parti National Breton relève également que l’autonomiste de gauche Paul Molac, avec 73% des suffrages exprimés, a déjoué les plans de Paris contre sa candidature indépendante et ce en dépit du soutien apporté à sa concurrente par le Duguesclin de notre époque, Jean-Yves Le Drian. L’engagement législatif de Paul Molac pour l’enseignement de la langue bretonne et ses positions en faveur une large autonomie de la Bretagne ont été plébiscités.

Le Parti National Breton observe enfin qu’en appelant à soutenir la gauche française coalisée au sein du NUPES, les régionalistes d’extrême-gauche de l’UDB ont une nouvelle démontré leur nature de rabatteurs à la solde des partis coloniaux français.

Cette abstention de masse systémique et la montée en puissance de la contestation de l’ordre établi doivent être transformées en rupture avec l’Etat français. Le Parti National Breton s’y emploiera.

Breizh Atav !

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Guerre pour le contrôle de la dope entre gangs ethniques à Rennes : l’appartement d’une famille visée par erreur à l’arme automatique

Guerre pour le contrôle de la dope entre gangs ethniques à Rennes : l’appartement d’une famille visée par erreur à l’arme automatique

[PNB] La Bretagne sous influence de l’Etat français se transforme en coupe-gorge : une seule cause, l’immigration extra-européenne que Paris impose au peuple breton par le truchement de ses préfets et des partis fransquillons. Dernier exemple à Rennes, ville sous direction franco-socialiste.

France 3 Bretagne :

Samedi 11 juin, 4 heures du matin, un appartement de Thorigné-Fouillard est pris pour cible par des tirs d’armes automatiques. 18 impacts de balles criblent le logement d’un père famille et ses garçons heureusement absents au moment des faits. Les auteurs des faits se sont trompés de cible…

Davis -le prénom a été changé à sa demande – est “désabusé, comme tout le monde dans cette histoire”. Alors que l’homme était en weekend dans le Morbihan, il doit rentrer en toute urgence à Thorigné-Fouillard… son appartement a été pris pour cible de tirs d’armes automatiques.

18 impacts de balles seront en tout relevés par la police. Certains sur la façade de l’immeuble, d’autres à l’intérieur même de l’appartement : “Certaines balles ont franchi l’appartement de part en part. Trois projectiles ont transpercé la chambre des enfants, dont l’un est resté fiché à 50 cm de la tête de lit.”

La raison de cette attaque ? Les fils de l’ancienne occupante de l’appartement. Ils seraient liés à des trafics de drogue et se sont faits visiblement des ennemis. Des personnes “qui ont quitté cet appartement deux ans auparavant“. David se considère comme une “victime collatérale d’une guerre de gangs“.

(…) David lui essaye aujourd’hui de retrouver une vie normale avec ses enfants. L’ancien sapeur-pompier de Paris aujourd’hui conducteur de transport collectif à Rennes, a vécu 3 jours dans son van avant d’être hébergé par des amis dans un studio. Après un petit retard au démarrage, son bailleur, Archipel Habitat s’occupe de lui trouver une solution de relogement. “Ils font le nécessaire. On s’occupe de moi. Ce qu’ils ont trouvé pour l’instant n’est pas l’idéal car je ne peux pas y vivre avec mes enfants mais ils cherchent.” La ville aussi semble réagir à la situation. “Ils ont promis qu’ils s’occuperaient des frais annexes, alimentaires, travaux, déménagement”.

Sur le modèle de Nantes, la ville de Rennes se tiers-monde à une vitesse très rapide en raison du repeuplement afro-oriental qu’y organisent les autorités coloniales françaises en Bretagne. Rien n’entravera cette spirale, car les municipalités écolo-socialistes de ces deux villes sont largement soutenues par la bourgeoisie cosmopolite locale, pour une large part d’extraction hexagonale.

La catastrophe ethnique fera rapidement tâche d’huile sur les communes du Pays Rennais, plongeant les classes moyennes bretonnes dans une situation de siège permanent. Le Parti National Breton appelle les Bretons à le rejoindre au plus vite pour structurer une résistance de long terme à la balkanisation qui se met en place.

Breizh Atav !

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Les Bretons sont-ils de gauche ? Non, ils sont occupés par la France !

Les Bretons sont-ils de gauche ? Non, ils sont occupés par la France !

[PNB] Les Bretons doivent apprendre à ne jamais se définir par des catégories françaises, lesquelles sont toutes étrangères, subjectives et façonnées par les biais des intérêts français. L’une des catégories les plus piégées à laquelle ils sont exposés par l’Etat français est le concept de “gauche”. Jadis attaqués avec virulence – pendant un deux siècles ronds – par l’intelligentsia parisienne pour leur sentiment contre-révolutionnaire, “particulariste”, “régionaliste”, “traditionnaliste”, donc de “droite”, “réactionnaires” en un mot, les Bretons sont désormais attaqués par les réactionnaires français pour leur adhésion morale et électorale à “la gauche”, qu’elle soit collectiviste avec Mélenchon ou plus individualiste avec Macron.

Se pose la question de savoir pourquoi ces Bretons si longuement contre-révolutionnaires ont rallié – électoralement – la gauche impérialiste et coloniale française. 

La gauche coloniale française

La “gauche” est à la fois un absolutisme et un particularisme. Certes, son horizon théorique fondamental est la fin de l’histoire qui se conjugue avec la paix universelle, laquelle suppose, pour être possible, de détruire toutes les différences en arrachant chaque individu aux déterminismes hérités, réels ou supposés, qu’ils soient géographiques, sociaux, culturels, raciaux, religieux, économiques. Une fois l’égalité réelle atteinte par cet “arrachement” aux appartenances non choisies “en conscience”, c’est-à-dire la réduction de chacun à chacun, partout, au sein d’un ensemble politique uniforme, alors la paix mondiale adviendra et l’humanité, enfin, pourra s’unifier en un seul bloc.

Mais ce projet radical est un particularisme en ce sens qu’il ne peut être mis en œuvre partout, simultanément, car il est paradoxalement tributaire des différences qu’il veut abolir : fossés de langues, de géographie, de cultures juridiques et politiques, de formes d’états, de religions, de structures démographiques, etc.. Ce à quoi il faut ajouter les oppositions de gouvernements, les rivalités, les incompatibilités de caractères, les abandons, les échecs, les divisions idéologiques. Voilà donc la gauche fondamentale, tendue vers l’égalité totale, contrainte de composer éternellement au quotidien avec le mur de l’hétérogénéité humaine, dans l’espace et le temps. Cette “égalité” idéale n’advient jamais, en raison des obstacles posés par un tel foisonnement.

Dans ces conditions, le mensonge intrinsèque de la verbeuse gauche française est de prétendre à l’universalité quand, en pratique, elle n’est qu’une myriade de factions franco-françaises qui ne sont pleines que du nombrilisme parisien qui veut mettre au pas ses périphéries. C’est là que l’absolutisme de gauche rencontre le particularisme français : l’arasement des différences que la gauche fondamentale promeut théoriquement ne se traduit dans le cadre hexagonal qu’en politique de soumission au Léviathan étatique parisien, et rien de plus. Tout ce à quoi s’oppose l’Etat français doit être détruit. La gauche française, ce n’est rien d’autre, en définitive, que l’aspiration à une bureaucratie impériale redistributrice édifiée sur les débris des peuples conquis par elle.

Dès la proclamation de la république, les révolutionnaires français, imbus de la suprématie culturelle de la bourgeoisie parisienne, entreprennent de détruire toute forme de différences ethno-linguistiques et institutionnelles périphériques, de concasser les peuples et les langues pour forger l’homme nouveau, le “citoyen” conçu sur le modèle du Sans-Culotte parisien. Ce qui fait le corps social, c’est la soumission à l’Etat révolutionnaire français seule. La “gauche” en France est, dès sa naissance, une idée impérialiste au service de l’Etat parisien dont l’aspiration totalitaire est assumée. Formée en 1792, il ne faut que quelques mois pour que la république française organise l’anéantissement des ennemis intérieurs supposés de la Révolution. Toute aspérité doit être détruite. La Vendée, attachée à sa tradition catholique face à l’arasement matérialiste porté par la Convention jacobine, est écrasée au prix de 200,000 morts, essentiellement des femmes et des enfants. Les Bretons, insurgés suite à l’écrasement unilatéral de leur parlement national par Paris, échappent de peu au même sort.

La gauche en Bretagne est l’âme de la république française, son versant le plus clair dans les buts historiques que la Révolution se fixe contre notre peuple : la table rase.

Pas de gauchisation sans francisation

“Ce ne sont pas des privilèges mais les droits du peuple breton que l’on supprime”

René-Jean de Bothorel du Plessis, procureur-général syndic des États de Bretagne, 13 février 1790 

L’accusation portée par les réactionnaires français peut être précisément bornée dans le temps. Préfigurée par le vote pro-européen en faveur de Maastricht en 1992 contre les appels de la réaction jacobine de Philippe Séguin, un juif de Tunisie naturalisé à la mode française, la caractérisation s’est systématisée avec l’accession du socialiste Jean-Yves Le Drian à la présidence de la Région Bretagne en 2004. Les Bretons ne sont plus les Chouans, les “cagots” ou les “bigots” dénoncés par la presse anticléricale, républicaine puis rouge, mais au contraire, des sujets bien trop “progressistes”, mélange de hippies, de rêveurs écologistes et de drogués célébrant l’immigration allogène. Naturellement, les réactionnaires qui la formulent se gardent bien de dire que ce sont les Français, et non les Bretons seuls, qui ont porté Mitterrand au pouvoir et avec lui, le socialisme.

Le fond de l’attaque reste la même de la part de la France coloniale : tant à droite qu’à gauche, le Breton demeure un indigène à la personnalité ethnique irréductible dont le comportement politique est suspect en raison d’une soumission incertaine. Ce peuple reste, en dépit de toute la rhétorique assimilationniste, un sauvage grossièrement civilisé dont les Français se méfient. Et même lorsqu’il vote “bien”, c’est-à-dire pour le pouvoir en place à Paris, ce même pouvoir s’en tient éloigné. Bastion électoral de François Hollande puis d’Emmanuel Macron, la Bretagne a constamment été “remerciée” de son soutien par ces chefs par une franche indifférence mêlée de mépris. C’est normal : les Bretons, dont l’esprit n’est pas commerçant, ne négocient jamais leur soutien politique. Sincérité naïve de peuple à la cohésion naturelle que lui assure un sang encore pur, mais qui ne paie jamais face à un état latin peuplé de métèques calculateurs qui se haïssent mutuellement et ne voient l’Etat que l’instrument d’exploitation féroce de leurs voisins.

Le grand ralliement sociétal des Bretons à la gauche française, radicale ou bourgeoise, a lieu à partir de l’élection présidentielle française de 1974. Les masses bretonnes sortent alors massivement de l’économie agricole depuis l’après-guerre et s’urbanisent. La puissante Eglise Catholique de Bretagne, s’effondrant finalement comme force sociale après une lutte d’un siècle contre les républicains et les révolutionnaires, appelle, par ses organisations de jeunesses ralliées au socialisme que sont la JAC et la JOC, à voter pour François Mitterrand et le Parti Socialiste français. Une génération entière bascule, presque instantanément, à gauche. La francisation est pleinement intégrée comme une unique possibilité d’ascension sociale et avec elle, les mythes du “Progrès” dont la gauche impérialiste française prétend avoir le monopole. Les Bretons, pour devenir fonctionnaires ou s’expatrier, ne jurent que par l’abandon de la vieille civilisation celto-catholique, le rejet de la langue bretonne et la francisation culturelle. L’égalitarisme chrétien, jadis organisé communautairement au sein des immuables paroisses rurales bretonnes, mute en égalitarisme post-chrétien, pétitionnaire, urbain et anonyme, d’expression française, aligné sur les obsessions de la bourgeoisie cosmopolite parisienne.

Les Bretons n’ont jamais spontanément adhéré à la gauche impérialiste française. Aucun basculement de cette nature n’aurait eu lieu sans la colonisation française. Assimilés sous la contrainte par le régime républicain dans les écoles de l’Etat français à la fin du 19e siècle, ils ont exprimé politiquement les conséquences d’une acculturation qu’ils ont subi.

Ce ralliement à la gauche française est passé par un puissant phénomène d’acculturation de masse, paradoxalement contré par une réaction simultanée d’une nouvelle jeunesse autonomiste. La génération bretonne née après la guerre qui abandonne la religion catholique, les campagnes et la langue bretonne pour la francisation urbaine sous la direction de la gauche française est celle qui engendre Alan Stivell, Diwan et le FLB. Cette opposition générationnelle, minoritaire, à la francisation a eu lieu dans un rapport de force social, politique, institutionnel et culturel extraordinairement déséquilibré. S’opposer à ce moment-là à la France au nom de la Bretagne, réputée arriérée et finie, qui plus est face à l’utopisme de la gauche post-68arde qui prend le contrôle social et culturel de l’Hexagone à partir des années 70, c’est convoquer le passé contre le mythe du progrès, la misère traumatique des campagnes contre la modernité des villes, le repli de village contre l’ouverture à Paris, donc, pense-t-on, au monde. Déjà insensé dans les années 1960, cette position était celle de Breiz Atao en 1919 quand, au lendemain de la plus grande victoire militaire de l’histoire de France, une poignée d’étudiants bretons proclament la nationalité bretonne comme fait politique face à un empire au fait de sa puissance.

La gauche en Bretagne est premièrement la synthèse de cette contradiction interne insoluble entre l’impératif absolutiste en faveur de l’égalitarisme total porté par un état omnipotent d’un côté et le différentialisme ethnique qu’expriment ataviquement les Bretons de l’autre.

Deuxièmement, elle est très souvent le masque d’un opportunisme ethnique qui préfère se mouvoir dans le sillon de la force dominante plutôt que de l’affronter, les Bretons ayant acquis un complexe d’infériorité après plus d’un siècle d’exposition au mythe civilisateur français.

Troisièmement, quand elle est radicale, l’adhésion revendiquée à la gauche en Bretagne est souvent une sorte de talisman d’invulnérabilité qui permet d’écarter les procès politiques des structures coloniales françaises en dérive ethno-différencialiste, donc inégalitariste. Cette menace d’excommunication par l’Eglise égalitaire hexagonale a une formidable capacité d’intimidation auprès des post-Catholiques bretons qui veulent passer en contrebande leur paganisme qu’est leur originalité ethnique.

Quatrièmement, une complaisance dans le misérabilisme qui, chez les Bretons, s’exprime par un fatalisme mêlé de tendances autodestructrices.

Instinctivement acquis aux hiérarchies établies, face à la France, les Bretons opèrent toujours, consciemment et inconsciemment, en intériorisant leur position de faiblesse, dans un rapport de un à dix, voire de un à quinze. Ils évitent donc d’instinct la confrontation directe et optent pour des approches d’infiltration et de détournement des structures étatiques de l’état occupant. Toutefois, cela reste une tentative schizophrénique de concilier les oppositions fondamentales que suscite l’occupation de la Bretagne par un état étranger qui dénature les esprits bretons en imposant ses catégories mentales.

C’est dans ce contexte général d’acculturation et d’aliénation ethno-psychologique qu’il faut interpréter la personnalité politique bretonne, qui reste celle d’un peuple systémiquement privé de son identité ethnique comme de ses droits par un état étranger hostile. Quand un Français ose se plaindre du comportement politique breton, le colon insolent doit se voir rappeler que c’est son pays, la France, qui a façonné les mentalités de la Bretagne moderne par le saccage culturel perpétré par son état et que ce qu’il contemple, c’est l’œuvre de la “civilisation” française. Si le tableau lui déplaît, il nous déplaît bien davantage et c’est la raison pour laquelle nous voulons mettre un terme à l’annexion de la Bretagne par la France et chasser cet état porté à la sauvagerie hors de notre pays.

Pour sortir de cette impasse historique, le seul et unique remède est l’exaltation de la fierté de la race bretonne, le réveil de la soif de domination des jeunes Bretons sur leur terre, bref, le nationalisme breton et sa conclusion logique : la libération de la nation bretonne par la restauration de son Etat.

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