Brest : Le tripatouillage pro-migrants de Parcoursup permet à un clandestin congolais de valider 25 vœux

Brest : Le tripatouillage pro-migrants de Parcoursup permet à un clandestin congolais de valider 25 vœux

[PNB] Une nouvelle fois lésés par le système de préférence étrangère mis en place par les activistes du ministère français de l’Education Nationale, les étudiants bretons découvrent l’ampleur de la corruption qui régit “Parcoursup”, une plateforme où les professeurs français d’extrême-gauche se livrent à un phénoménal tripatouillage en faveur de migrants clandestins grâce aux notes “miraculeuses” qu’ils leur donnent. Dernier exemple, à Brest, où l’arnaque a dépassé tout ce qui se faisait jusqu’à présent.

BFMTV :

Un motif d’espoir et une grande fierté pour tous ses proches. Alors que de nombreux lycéens restent tributaires des premiers résultats de Parcoursup qui ont été partagés la semaine passée, Jonathan Kikanga, un jeune Congolais de 18 ans, n’a pas à se soucier des listes d’attente parfois vertigineuses sur lesquelles de nombreux étudiants sont inscrits. Comme l’explique Ouest-France, scolarisé au lycée Dupuy-de-Lôme de Brest, ce dernier a vu ses 25 voeux acceptés, dont celui lui donnant accès à la prestigieuse école d’ingénieurs Insa de Lyon.

Une performance d’autant plus remarquable que le jeune homme n’est arrivé en France qu’en 2019 en provenance de Kinshasa, après avoir voyagé par avion. Selon le quotidien régional, celui dont la mère est morte et dont le père habite en Angola, ne parle qu’un français rudimentaire à son arrivée. Sans-papiers, il quitte la capitale pour Brest où il se retrouve également sans-domicile.

Au fil des rencontres, Jonathan prend contact avec l’Adjim, une association dévouée à l’aide aux migrants qui est composée de professeurs. Là, celui qui n’avait pas été scolarisé entre la 6e et la 3e apprend le français plus en profondeur et se retrouve finalement admis en section Sciences et technologies de l’industrie et du développement durable (STI2D) du lycée brestois.

Élève modèle, sa moyenne tutoie rapidement les sommets et le jeune homme obtient les notes de 15 et 17 aux oraux et écrits du bac français. “Le français, c’était très compliqué!”, admet-il toutefois. Un dossier sans fioritures qui lui permet de prétendre aux écoles les plus prestigieuses.

Dans son entourage, personne n’est réellement surpris. “Ça ne m’étonne pas. Ce garçon m’impressionne. Il apprend avec une telle rapidité”, se réjouit, toujours auprès de Ouest-France, Michèle Le Gall, qui a accueilli le jeune homme à son domicile.

Reste un dernier écueil pour Jonathan, celui d’obtenir des papiers français, lui qui par deux fois a dû justifier de sa situation de mineur isolé devant la justice. “Quand j’ai une baisse de moral, je me dis que je vais devoir quitter la France. Ça me pousse à bosser deux fois plus. Je n’ai pas le choix!”, conclut-il, toujours dans les colonnes de Ouest-France. 

L’imposture a fait long feu sur les réseaux sociaux face aux nombreux témoignages.

Parcoursup, régi par un algorithme gouvernemental opaque, intègre en réalité des paramètres de préférences ethno-raciales afin d’accélérer l’islamo-africanisation de l’enseignement français. C’est une discrimination raciale antiblanche d’inspiration américaine, à la différence qu’elle n’est pas assumée officiellement par l’Etat Français.

Grâce à l’aide de professeurs d’extrême-gauche pro-migrants, le tripatouillage a permis “le miracle”.

Le Parti National Breton alerte les étudiants bretons sur ce dispositif : peu importe leurs talents, l’Etat français, avec l’aide des militants marxistes de l’Education National française, entend poursuivre cette discrimination systémique contre les étudiants blancs qui les privera d’un parcours scolaire normal. Particulièrement brillants, les étudiants bretons subiront de plein fouet ce trucage systématique des notes et évaluations en faveur de l’Afrique.

La jeunesse bretonne doit prendre conscience que, pour elle, l’époque où le système scolaire hexagonal constituait un débouché naturel est révolue. Cette fuite des cerveaux vers la France, mise en place depuis un siècle par l’état colonial pour utiliser l’intelligence bretonne contre la Bretagne, touche à sa fin.

L’avenir intellectuel et professionnel de la jeunesse bretonne passe par la Bretagne, mais aussi par l’étranger, en dehors de la jungle ethnique française, pour le salut du pays. Le Parti National Breton entend mettre en place l’exclusivité bretonne dans tous les domaines de la société, tout spécialement dans l’enseignement breton, pour conjurer la déchéance cognitive qui touche la France en voie de remplacement démographique terminal.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Fusillade en plein centre-ville de Rennes : tant que la Bretagne sera occupée par la France, elle suivra la pente de la Seine-Saint-Denis

Fusillade en plein centre-ville de Rennes : tant que la Bretagne sera occupée par la France, elle suivra la pente de la Seine-Saint-Denis

[PNB] Sous la direction de la municipalité dominée par le Parti Socialiste français, Rennes, capitale administrative de la Bretagne, poursuit sa tiers-mondisation. Après le rodéo urbain – spécialité des bandes ethniques – qui a fait un blessé grave de six ans hier (lire ici), une fusillade a eu lieu en plein centre-ville, blessant un adolescent de quinze ans.

Le Figaro :

«Selon les premiers éléments, hier soir vers 20 heures, un groupe de personnes est monté dans le bus 820 (…) à l’arrêt République et s’en sont pris physiquement à un jeune mineur âgé de 15 ans, domicilié à Rennes, en lui portant des coups», a indiqué Philippe Astruc, procureur de la République de Rennes, confirmant une information de Ouest-France.

«L’un des agresseurs a également fait usage à plusieurs reprises d’une arme à feu touchant la victime à une reprise à la main. Elle se trouve à l’hôpital et n’a pu encore être auditionnée», a-t-il ajouté, ajoutant que les «circonstances de ces faits restaient cependant à préciser ainsi que leur mobile». Une enquête criminelle, confiée à la Direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Rennes, a été ouverte sous la qualification de tentative d’homicide volontaire. Aucune interpellation n’est encore intervenue, selon la même source.

Le Parti National Breton dresse le constat d’une dérive parfaitement prévisible dont la racine est connue de tous : l’immigration de remplacement afro-orientale.

Face à l’afflux croissant d’allogènes inassimilables, organisé par l’Etat français avec l’aide des partis aux ordres de Paris, Rennes devient progressivement un cloaque du tiers-monde où règne l’insécurité, le trafic de dope et les règlements de comptes qui l’accompagne invariablement, l’islamisation de plus en plus invasive de quartiers entiers, les viols de femmes blanches et le torrent des agressions diverses.

Cette cause fondamentale qu’est la submersion migratoire n’est guère plus niée par personne. Désormais, il y a ceux qui embrassent totalement cette déchéance comme une opportunité à des fins de basse politique et ceux qui, parfaitement conscients de ce que cet effondrement démographique implique, annoncent le cataclysme. 

Les prisons étant déjà saturées, l’immigration extra-européenne continuant à un rythme toujours plus rapide, la suite est un simple exercice de logique : demain, les fusillades seront hebdomadaires, après-demain, quotidiennes. Les Bretons auront disparus des rues de Rennes, ou pratiquement, tandis que les gangs ethniques mâtinés de salafisme contrôleront directement ou indirectement la municipalité. Les politiciens français, plus lâches que jamais, se féliciteront du désastre.

Le Parti National Breton refuse ce nettoyage ethnique à bas bruit contre le Peuple Breton. Il appelle les masses bretonnes à la résistance en rejoignant ses rangs : le salut de Breizh en dépend. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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L’extrême-gauche régionaliste appelle l’Etat Français à la répression contre les patriotes bretons du PNB

L’extrême-gauche régionaliste appelle l’Etat Français à la répression contre les patriotes bretons du PNB

[PNB] Il ne faut jamais beaucoup de temps pour démontrer ce que le Parti National Breton expose dans son article récent “Dépasser l’imposture régionaliste par l’ethno-nationalisme breton” : soit on est breton, soit on est un traître à la solde du régime français, on ne peut pas être les deux.

Après 60 ans d’existence, l’organisation régionaliste française “UDB”, par la voix de ses rares représentants, le confirme : trahir et agir en mouchard de l’état colonial français contre le nationalisme breton est la seule et unique fonction des régionalistes, de droite ou de gauche. En témoignent leurs appels désespérés aux autorités coloniales pour réprimer les patriotes bretons.

Le Parti National Breton est un parti révolutionnaire qui fixe souverainement les modalités de sa communication en direction des masses bretonnes qu’il veut libérer de l’Etat Français.

Comme porteur de la légitimité nationale, il mènera sans faillir sa mission pour la restauration de l’Etat Breton. Les ennemis de la nation bretonne devront s’y habituer.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Terreur antiblanche à Guéméné : la mairie repeint un personnage de carnaval en blanc après les menaces de violence d’allogènes africains

Terreur antiblanche à Guéméné : la mairie repeint un personnage de carnaval en blanc après les menaces de violence d’allogènes africains

[PNB] La terreur allogène se répand en Bretagne, sans aucune opposition de politiciens locaux aussi lâches qu’aveugles.

Le Télégramme

Une lettre et un coup de fil menaçants ont entaché la préparation du carnaval Pourleth, qui se tiendra ce dimanche, à Guémené (56). La raison ? La tête d’une femme grimée de noir.

La fête promet d’être folle, comme toujours depuis 1926. À Guémené, le traditionnel carnaval attire, tous les deux ans, près de 10 000 visiteurs qui viennent admirer la vingtaine de chars fleuris et artistiques. Mais cette année, il y a eu comme un hic lors de la préparation de l’évènement : plusieurs personnes, qui ont peu goûté à une tête grimée de noir posée en périphérie de la ville, ont menacé de perturber le carnaval si elle n’était pas enlevée.

« J’ai reçu un coup de fil d’une personne qui m’a demandé de retirer cette tête que nous avions posée sur le rond-point, près de la caserne des pompiers, pour annoncer l’évènement, explique Monique Le Tennier, présidente du comité d’organisation. Elle m’a dit que c’était raciste, très choquant et que ça faisait « zoo ». Elle voulait à tout prix qu’on l’enlève ». Une requête qui a rapidement viré à la menace. « Elle m’a dit que si on ne l’enlevait pas, plusieurs personnes viendraient empêcher la tenue du défilé ». Un courrier électronique, écrit par une autre personne, a également été envoyé à l’office de tourisme du Faouët, hier. À l’intérieur, on peut lire ceci : « Pourquoi le carnaval utilise-t-il une grosse tête de femme noire pour faire sa publicité ? Cette tête semble être une caricature avec ses lèvres et ses cils exagérés. Dans une région majoritairement blanche, ne pensez-vous pas que ce stéréotype pourrait être perçu comme raciste ? Je suis personnellement offensé », est-il écrit dans le courrier.

Au sein du comité d’organisation, c’est la stupeur. « On est surpris, choqué, un peu dégoûté, même » peste Christian Maro, vice-président de l’organisation de ce carnaval qui passionne tout le Centre-Bretagne. « Après avoir reçu ces menaces, on a réfléchi. Certains voulaient enlever la tête grimée, d’autres non. Finalement, il a été décidé de la repeindre en blanc : nous ne voulions pas avoir de grabuge lors du défilé qui permet de conserver une vie dans nos petits bourgs et qui représente, pour un millier de carnavaliers, plusieurs mois de travail », argue Monique Le Tennier. « Ce n’était vraiment pas dans une intention de choquer ou de se moquer ! Nous sommes dans l’esprit carnaval, c’est tout », ajoute la présidente. « Nous sommes prêt à rencontrer ces personnes pour en discuter » conclut Christian Maro. Dimanche, ce sera (quand même) la fête, à Guémené. Et elle promet d’être folle, comme toujours.

Un coup de téléphone, un email, et une commune entière capitule : c’est l’état de lâcheté ambiante face à la terreur raciste antiblanche. Non seulement cela, mais la clique municipale se dit prête à dérouler le tapis rouge au pied de l’envahisseur, animée d’une haine raciale ouverte contre les Bretons sur leur propre terre.

Qui peut croire un instant que cette Bretagne occupée par l’Etat Français, dirigée par des vieillards séniles, peut opposer un semblant de résistance à l’invasion afro-islamique organisée par Paris ?

Seule une force jeune et déterminée à imposer l’ordre breton en Bretagne pourra balayer la racaille allogène qui se croit maître chez nous. Cette force, c’est le Parti National Breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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“STOP aux résidences secondaires, Breton reprends ta terre !” : la nouvelle campagne du PNB pour l’exclusivité bretonne au logement est lancée !

“STOP aux résidences secondaires, Breton reprends ta terre !” : la nouvelle campagne du PNB pour l’exclusivité bretonne au logement est lancée !

[PNB] Première campagne thématique et nationale du Parti National Breton, la résistance à la colonisation française qui frappe de plein fouet la jeunesse bretonne a commencé. Elle a ciblé le Léon, le Trégor, le Porhoët, la Cornouaille en attendant d’autres régions bretonnes. Cette campagne vise spécifiquement le nettoyage ethnique objectif organisé par l’Etat Français à travers toute la Bretagne qu’implique le rachat des terres bretonnes par la bourgeoisie française.

Progressivement chassés de centaines de communes par les étrangers, privés de logement, les Bretons affrontent la perspective de ne plus pouvoir vivre là où ils sont nés et où ils ont grandi. Qu’il s’agisse de terrains à construire ou de logements anciens, partout les Bretons sont asphyxiés par la prédation française, méthodiquement appuyée par l’Etat français et ses préfectures, protégée par des politiciens à la botte de Paris, souvent grâce à l’arme de la corruption.

Ce processus d’évincement et de ségrégation est encore aggravé par la colonisation extra-européenne organisée par l’Etat Français qui réserve les logements sociaux, pourtant payés par l’argent des travailleurs bretons, aux allogènes. Ainsi, à Saint-Nazaire, 72% des individus postulant pour des logements sociaux sont des allogènes d’arrivée récente.

Devenue une colonie au sens littéral du mot, la Bretagne n’appartient plus aux Bretons, mais à tous les possédants de l’Hexagone et aux colons du tiers-monde qui veulent s’emparer de la terre de leurs ancêtres. Cette domination totale de l’argent et du pouvoir français ne rencontrait, à ce jour, aucune opposition déterminée pour rendre la Bretagne aux Bretons.

C’est maintenant chose faite !

Le Parti National Breton engage une campagne de longue haleine pour que l’exclusivité bretonne au logement en Bretagne soit la seule et unique règle en ce domaine.

Dans son programme d’application immédiate, 4 des 14 exigences du Parti National Breton concerne l’exclusivité bretonne pour le logement :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

Le Parti National Breton met en garde les Bretons : aucun parti français ne les défendra, car tous, sans exception, sont dirigés par Paris où vit la bourgeoisie française qui s’empare de nos terres. Leurs relais politiques en Bretagne leur sont vendus. Pas plus qu’une dinde ne fête Noël, cette bourgeoisie, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, ne soutiendra des mesures visant à stopper la spéculation immobilière dont elle profite, bien au contraire.

Seul le Parti National Breton, en exigeant l’exclusivité bretonne pour le logement – privé et social – agit en totale cohérence et avec détermination pour les intérêts du Peuple Breton. Les Bretons ne peuvent compter que sur leurs ressources : ils doivent se mobiliser seuls, sous la direction de leur parti, le Parti National Breton, pour redevenir les maîtres de leurs terres et de leur destin collectif.

La Bretagne doit retrouver sa dignité et ne doit plus être une colonie, que ce soit pour la bourgeoisie française, singulièrement parisienne, ou pour le trop plein démographique du tiers-monde afro-islamique que cette même bourgeoisie déverse chez nous. Pour cela, seule une lutte implacable pour l’indépendance nationale bretonne et la restauration de l’Etat Breton sera à même de rendre aux Bretons leur pays.

C’est cette lutte qu’entreprennent les militants du Parti National Breton dans tout le pays !

Breton, reprends ta terre ! Rejoins le Parti National Breton !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton 

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Face à la déchéance de la Bretagne francisée, bâtir l’homme breton nouveau, conquérant et dominateur

Face à la déchéance de la Bretagne francisée, bâtir l’homme breton nouveau, conquérant et dominateur

[PNB] Le rôle du Parti National Breton est-il d’être un énième groupuscule, s’agitant en protestations ? Le Parti répond avec force : non ! Le Parti National Breton est une réaction de l’homme breton à une situation générale qui ne peut qu’être qualifiée de dissolution de tout ce qui faisait le corps et l’esprit d’un peuple, le Peuple Breton. 

Aujourd’hui, après plus d’un siècle d’érosion lente de sa civilisation paysanne, bretonnante et catholique, la Bretagne, jadis une “province” pittoresque, située en marge de l’empire français et faisant la fascination du voyageur étranger par ses coutumes, sa langue et ses mystères ancestraux, est enfin pleinement “francisée” ou presque, strictement normée sur le nihilisme de la société de consommation à la française, horizon indépassable. Largement urbanisée, l’individualisme anonyme a détruit les solidarités organiques de jadis qui faisait de la Bretagne un récif au milieu de l’océan de la modernisation occidentale, désagrégation facilitée par une puissante bureaucratie française qui, avec ses préfets, accompagne le déploiement du modèle capitaliste terminal : l’individu cloîtré dans son appartement, rivé à un écran, réduit à sa digestion, dans une ville où coexistent impossiblement 100 nationalités.

L’aliénation est totale. Le Breton concassé par la France déchue, est un être “assimilé” : il n’a plus rien en propre et singe les modes de Paris, elles-mêmes – largement et de plus en plus – inspirées d’une Amérique du Nord post-blanche, capitale repeuplée de ses anciens sujets coloniaux.

La tâche que se fixe le Parti National Breton est une révolution autant individuelle que collective, afin de libérer la personnalité bretonne, aujourd’hui enfouie sous la société abrutissante à la française. Ce n’est pas qu’une protestation face à une somme d’injustices, réelles, c’est une volonté de libération nationale pleine et entière qui redresse l’homme breton dans sa tradition, sans l’enfermer dans une mimique passéiste. C’est une régénération découlant du sang et de l’esprit vieux-breton qui continue de vivre, comme le tison sous la cendre. Cela suppose pour le Parti National Breton de forger dans ses rangs un homme breton nouveau, de caractère nouveau, et, en même temps, de caractère ancien, qu’il ne peut produire que par la lutte contre les forces de dissolution qui sont précisément à l’origine de la désintégration de l’ancienne Bretagne, paysanne, catholique, bretonnante. C’est une insurrection psychique, culturelle, ethnique, frappé du sceau du celtisme et de la soif de liberté de ceux qui refusent le servage, l’humiliation, l’inutilité, en un mot, la disparition dans la civilisation du supermarché multiracial. 

Sommes nous seuls ? Encore une fois, non. L’esprit tribal breton continue de survivre, comme en atteste ses cercles celtiques et ses bagadoù et aussi, timidement, ses pardons et ses costumes, protestations faites à la modernisation indifférenciante que la francisation porte. Il n’est que de voir des Bretons en costumes traditionnels : ils retrouvent instinctivement leur dignité et l’on voit poindre une assurance retrouvée qui, cultivée par une force déterminée, accoucherait vite d’une volonté de domination nouvelle. 

Ce n’est certes pas suffisant, mais c’est là un signe, un symptôme d’une envie de notre peuple de continuer à faire perdurer la personnalité bretonne contre une société atomisée, centrée sur la consommation et la dimension purement animale de l’humanité, où l’homme n’est qu’une prothèse de l’appareil économique et du profit. N’est-ce d’ailleurs pas l’argument ultime des immigrationnistes : “l’utilité” fantasmée de l’immigration pour le profit économique ? On ne peut pas comprendre le Peuple Breton si l’on ignore que le Breton est naturellement porté à l’idéalisme et à la contemplation intérieure, non pas à la rapacité et à l’hédonisme – si seulement s’abrutir à bas coût est de l’hédonisme.

Le Parti National Breton veut créer le combattant breton du 21e siècle qui, progressivement, devient le missionnaire de cette idée nouvelle de l’humanité bretonne régénérée, receltisée, conquérante, pleinement maîtresse de son destin. Les jeunes Bretons ont entre leurs mains toutes les possibilités pour réaliser cette idée qu’est Breizh sur les ruines de l’antique Bretagne provinciale saccagée par la France et sa “modernité”, la Bretagne des zones commerciales et des HLM, honteuse, estivalement folklorique, colonisée par le tiers-monde et la bourgeoisie française avachie. Le Parti National Breton veut produire des jeunes rebelles celtes, pleinement conscients de leur tâche historique, résolus à redonner un avenir à une terre et à un peuple refaçonnés de leurs mains. La déchéance promise par la France n’est pas une fatalité, tout dépend de la volonté d’une élite combattante bretonne déterminée à arracher son peuple et sa terre des mains de la mort. Ils ne demandent pas, ils prennent, ils se comportent déjà comme les futurs chefs du pays.

Avant de bâtir l’Etat Breton, ces jeunes rebelles doivent bâtir en eux le soldat politique breton, celui qui sillonne les rues et campagnes bretonnes le visage haut, pleine de l’assurance et de la fierté de leur race sans lesquelles il n’est pas de libérateur de peuple. La première tâche du Parti National Breton est de rassembler des Bretons déterminés à se conquérir eux-mêmes avant de reconquérir leur pays.

Quand le Parti National Breton aura dans ses rangs les premières centaines des hommes de ce caractère-là, la renaissance de Breizh sera assurée. Alors, tous les rêves, tenus pour des hallucinations par le commun, deviendront un programme.

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Liffré : l’extrême-gauche française menace les 500 emplois du projet de site du Groupe Le Duff, le PNB réagit (Communiqué)

Liffré : l’extrême-gauche française menace les 500 emplois du projet de site du Groupe Le Duff, le PNB réagit (Communiqué)

[PNB] Les 4 et 5 juin, l’extrême-gauche française planifie une attaque en règle contre le groupe industriel breton Le Duff et son projet de site de production agro-alimentaire à Liffré, dans le Pays Rennais. Au prétexte de l’imposture écologiste, la lie anarcho-marxiste rennaise entend créer une nouvelle ZAD sur le terrain prévu pour cette implantation qui pourrait employer jusqu’à 500 travailleurs en Bretagne. Face à ces menaces, le Groupe Le Duff songe d’ores et déjà à créer ce site en Allemagne ou en Espagne.

L’objectif des agitateurs du front rouge, protégés par les municipalités rouge/verte voisines de Rennes et de Nantes, est de créer une enclave où les marginaux, habitués de la nébuleuse anarcho-communiste, pourront venir se défoncer collectivement, en toute impunité, tout en structurant un centre névralgique destiné à étendre l’influence de l’extrême-gauche française dans l’est de la Bretagne. Parmi eux : CoLERE Liffré-Cormier ; Confédération Bretonne pour l’Environnement et la Nature (CoBen) ; Solidaires 35 ; Extinction Rebellion ; Youth for climate ; Deep Green Resistance ; Alternatiba Rennes ; Halte aux marées vertes ; Attac Rennes ; Oxfam Rennes…

Des affiches du week-end de mobilisation ont été collées dans les rues de Rennes. Ici dans le centre-ville, dimanche 22 mai.

Le Parti National Breton, conformément à sa ligne de défense patriotique de l’économie nationale bretonne, dénonce cette tentative d’intimidation orchestrée par la canaille marxiste dont le but est la ruine des entreprises bretonnes et des travailleurs bretons.

Le Parti National Breton apporte son soutien au Groupe Le Duff, et par là même, à l’économie nationale bretonne. 

Le Parti National Breton dénonce l’impuissance des autorités françaises face à la racaille marxiste et rappelle son intention, dans le cadre de l’Etat Breton pour lequel il mobilise le Peuple Breton par son action, d’en débarrasser la Bretagne une bonne fois pour toute.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Face aux nostalgiques de la Terreur du NUPES, les régionalistes de gauche de l’UDB en pleine déconfiture

Face aux nostalgiques de la Terreur du NUPES, les régionalistes de gauche de l’UDB en pleine déconfiture

[PNB] Les nationalistes bretons observent avec satisfaction l’effondrement du régionalisme dans son versant “de gauche” à la faveur des élections législatives hexagonales. Comme chacun sait, Jean-Luc Mélenchon, issu du trotskisme lambertiste, est un partisan du jacobinisme pur et dur dans lequel il voit, à juste titre, le moyen de faire passer le marxisme en contrebande. Avec constance et cohérence, il s’inscrit dans l’internationalisme égalitariste du républicanisme français qui postule depuis la Terreur que la Révolution ne parle qu’une seule langue : la langue française. Cet homme nouveau, acculturé par la francisation autoritaire, sans passé ni caractéristiques particulières, c’est le “citoyen” normé par Paris.

Avec l’écroulement de la gauche socialiste menée par le PS, la démagogie sans-culottarde portée par Mélenchon domine sans partage les autres partis de gauche. Hostile à l’Europe pour des raisons explicitement raciales – “Je ne peux pas vivre entouré de Blonds, c’est au delà de mes forces” -, que justifie a posteriori un social-chauvinisme cocardier islamocentré, Mélenchon est viscéralement hostile aux cultures indigènes d’Europe, a fortiori de l’Hexagone. C’est sans surprise que ce métèque d’Afrique du Nord voit dans la timide défense des langues indigènes dites “régionales” un péril pour la république néo-robespierriste repeuplée d’allogènes dont il rêve.

Ses représentants à Rennes l’expriment sans honte. Les régionalistes de gauche de l’UDB ont ainsi été brutalement mis face à leurs contradictions à propos de la loi Molac qui permet notamment aux communes de financer la scolarité des élèves inscrits dans les écoles associatives en langue bretonne (Diwan).

Longtemps associé aux écologistes français, les régionalistes de gauche de l’UDB tentaient de s’insérer dans le processus politique hexagonal en passant par des partenariats avec des formations plus européistes, fédéralistes comme EELV. Avec l’effondrement du PS, EELV est désormais aligné sur les positions du mélenchonisme suite à l’accord politique au sein du NUPES. Pour les régionalistes de gauche de l’UDB, c’est un retour forcé à la réalité : la gauche hexagonale est impérialiste et étatiste par construction et elle opère aujourd’hui un vaste mouvement de repli sur ses fondements historiques, c’est-à-dire jacobins.

Parce qu’elle n’intéresse personne au sein de la gauche hexagonale fédérée autour de Mélenchon, la gauche régionaliste se présente seule aux élections législatives de juin. 

Pour les nationalistes bretons, cette évolution n’est en aucun cas une surprise. Quiconque n’assume pas la nationalité bretonne, donc le nationalisme breton, ne peut que jouer le rôle de domestique violentée par le maître français. Le clivage entre “gauche” et “droite” a cessé d’exister, remplacé par un éclatement horizontal entre groupes ethniques dont la structuration s’opère géographiquement. Cette balkanisation est une donnée lourde du 21e siècle en France, ce n’est donc pas un hasard si Mélenchon tente – et réussit – la fusion de l’égalitarisme jacobin et de la soumission collectiviste islamique. L’égalité française n’a jamais été que l’autre nom de la soumission à l’Etat, il y a là une parfaite continuité idéologique.

La gauche en Bretagne va progressivement être marginalisée en raison d’un européisme, d’un personnalisme et d’un modérantisme qui font certes consensus parmi les Bretons mais qui n’ont plus cours au sein de la gauche française néo-jacobine, devenue une caserne où règnent les aboiements. Pour se faire élire à gauche, il faudra se prosterner aux pieds des mélenchonistes et se faire le chantre d’un chavisme cocardier passablement islamique. Ce décrochage ira toujours plus avant, jusqu’à ce que les derniers restes de la gauche en Bretagne se soient ralliés ou aient disparus.

Le Parti National Breton opère, à ce moment important, un nécessaire travail de réorientation historique : le mythe du réformisme au sein du cadre institutionnel français a vécu, il importe de passer à une nouvelle étape. L’heure est venue pour les Bretons soucieux de l’avenir de leur peuple d’embrasser avec audace et détermination leur nationalité, d’abandonner l’excuse honteuse de l’universalisme et du misérabilisme pour essayer de la faire passer en contrebande dans les wagons de la gauche hexagonale. Le Peuple Breton a beaucoup trop tardé à s’organiser nationalement, à force de soupirer après les lubies idéologiques parisiennes. Aujourd’hui que la France crève d’endettement stato-socialiste et d’overdose d’immigration afro-islamique, le choix est simple : la disparition sous les flots du tiers-monde musulman encadré par les derniers restes de la gauche française, ou survivre par l’indépendance d’un état breton conçu par les Bretons, pour les Bretons, hors de la déchéance française.

Le Parti National Breton porte ce choix ethno-nationaliste en toute clarté, une clarté qu’aucun autre parti ne peut porter en Bretagne. Les Bretons qui veulent combattre pour la liberté de leur peuple sont appelés à le rejoindre. Tout autre choix est stérile, seule la rupture avec la France incarne désormais l’unique espoir de salut.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Dépasser l’imposture régionaliste par l’ethno-nationalisme breton

Dépasser l’imposture régionaliste par l’ethno-nationalisme breton

[PNB] Le régionalisme est une contradiction interne du système français. Il prétend corriger les « erreurs » du jacobinisme révolutionnaire centralisateur, consubstantiel à l’État français, en renforçant les périphéries administrées par cet état. Les régionalistes disent ainsi vouloir créer un « nouveau » système politique sur la base de la « région », notion exclusivement géographique dont les contours sont par nature changeants et arbitraires. Le terme générique de « région » peut ainsi servir à qualifier indifféremment une nation vieille de quinze siècles comme la Bretagne et une structure administrative aussi artificielle, de création récente, que le « Grand Est ».

Une région, surtout, n’est que la partie d’un tout géographique plus vaste, ici, en l’occurrence, la France. Pour les régionalistes, seule la France peut prétendre bénéficier du statut de  nation  et de pays à part entière. Tout en prétendant modifier l’organisation interne de la France, le régionalisme affirme donc, par principe, la supériorité de l’Etat Français sur les « régions » qu’il a envahies et subordonnées, Bretagne incluse. Dans une France conçue depuis l’origine comme une administration militarisée multiethnique puis multiraciale dont les frontières ne s’arrêtent que là où s’arrêtent ses armées, faute de victoires nouvelles, ce prisme exclusivement géographique du « régionalisme » est une suppuration logique. Comme produit idéologique dérivé de la Révolution française et des « frontières naturelles » de Danton, le régionalisme, avec son tropisme exclusivement géographique, découle de l’interdiction qui est faite par Paris à toute communauté ethnique conquise de se penser et de s’organiser comme nation face à l’impérialisme niveleur de l’État français qui la colonise au nom de « l’égalité », c’est-à-dire, en pratique, au profit de la suprématie missionnaire des impérialistes français.

Nous l’avons vu, c’est le sang breton, et non la géographie, qui fait la Bretagne. Utiliser le paradigme « régional », c’est-à-dire géographique, pour organiser politiquement la Bretagne, c’est nier fondamentalement la Bretagne dans son essence pour conforter idéologiquement la France jacobine afin qu’elle puisse continuer de soumettre la nation bretonne en toute impunité. Breizh n’est pas une « région » de l’Hexagone, comme l’affirme Paris, mais une nation privée de ses droits. Face à cette réalité, seule l’affirmation nationale bretonne, c’est-à-dire le nationalisme breton, est légitime et nécessaire. Le régionalisme en Bretagne, c’est prétendre affronter victorieusement la France après s’être castré sur l ‘ordre de Paris pour ne pas froisser les tenants de « l’égalité » hexagonale, simple masque de son impérialisme. Sans surprise, des esprits bretons francisés, pensant réaliser la quadrature du cercle de la compatibilité de leur ethnicité et de leur subordination à la France, ont développé ce thème, sans aucun succès politique, pendant plus de 150 ans. Et pour cause : on ne meurt pas pour une « région ». Les régionalistes bretons ne proposent que le maintien de la nationalité française en Bretagne, c’est-à-dire la négation de la nationalité bretonne. Comment une nation aussi ancienne que la nation bretonne pourrait-elle accepter de voir sa nationalité niée au point de se borner à une formule politique qui exige d’elle qu’elle se renie nationalement pour conforter l’État qui l’agresse, l’occupe et vise sa destruction complète ? En soi, le régionalisme breton est intrinsèquement une demande de capitulation en règle face à la France avant même le début des hostilités.

Qui sont les régionalistes en Bretagne ?

Bien qu’il soit affirmé qu’il existe des « régionalistes de droite » et des « régionalistes de gauche » en Bretagne au point de devoir les distinguer radicalement, cette affirmation est fausse. Les régionalistes sont essentiellement les mêmes face à la question existentielle posée par le nationalisme breton : des Bretons soumis qui servent la France et qui refusent d’affirmer la nationalité bretonne. Ce sont les modalités de cette soumission qui varient. Le sujet breton domestiqué « de gauche » justifie sa subordination à la France par sa solidarité idéologique avec l’église de la gauche hexagonale, au nom de « l’égalité » mensongère française. Le sujet breton « de droite » justifie sa subordination à la France par ses liens économiques avec la bourgeoisie hexagonale qui contrôle l’économie bretonne et, accessoirement, quelques colifichets symboliques hérités des guerres de rapine françaises, à l’instar du drapeau tricolore. Les deux, pour justifier leur soumission à la France, alternent entre la négation de la nationalité bretonne et le défaitisme face à la toute-puissance qu’ils prêtent à la France.

Les régionalistes bretons, en tentant de concilier la défense d’intérêts spécifiquement bretons et leur soumission politique aux intérêts français, évoluent perpétuellement entre deux nationalités que tout oppose idéologiquement : la leur, réelle, en tant qu’indigènes bretons, et celle, factice et purement légale, de l’état étranger qui les domine. C’est cette schizophrénie identitaire qui caractérise les régionalistes : Breton par instinct naturel un jour, Français par convention sociale le lendemain, solidaires en cela de 17 millions de sujets exotiques importés et naturalisés par Paris depuis 60 ans. De crainte de susciter une violente réaction des intérêts français à leur encontre, les régionalistes bretons redoutent particulièrement le nationalisme breton pour sa capacité potentielle de déstabilisation de l’ordre français en Bretagne auquel ils appartiennent socialement et économiquement. Quand le nationalisme breton s’affirme avec efficacité, les régionalistes bretons, incapables de choisir leur nation, s’alignent invariablement sur les positions de Paris dans l’espoir d’être ménagés par la puissance occupante. De quoi découle la réalité politique suivante : les régionalistes bretons ne veulent pas la fin de l’occupation française, ils veulent l’organiser eux-mêmes.

Sans lien avec l’Emsav, les régionalistes n’ont jamais participé à l’action historique de la nation bretonne. Logiquement, ils n’ont jamais produit quoi que ce soit d’utile pour l’émancipation nationale des Bretons puisque leurs conceptions sont celles du statu quo politique, idéologique et culturel français. Là où le nationalisme breton veut organiser la rébellion, puis la révolution, le régionalisme accompagne l’inertie, tantôt au nom d’une nostalgie provincialiste incapacitante, tantôt au nom d’un loyalisme pro-républicain infâmant.

Le nationalisme breton, par sa clarté dialectique, dépasse l’imposture du régionalisme et expose clairement le paradigme qui se pose au peuple breton : soit on est breton, soit on est un traître à la solde du régime français, on ne peut pas être les deux.

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“La jeunesse de Bretagne doit se réaliser librement et elle doit agir”

“La jeunesse de Bretagne doit se réaliser librement et elle doit agir”

[PNB] “Et j’espère obstinément qu’un jour j’entendrai sur la Montagne Noire ou sur le Méné un pas martelé, un pas martelé qui sera celui de jeunes gens au regard clair, venus retremper leur coeur au sein de la nature vierge, en vue des combats qu’ils auront décidés.

La jeunesse de Bretagne doit se réaliser librement et elle doit agir.”

Olier Mordrel, Lettre à un jeune camarade, La Vie du Parti n°6, 30 novembre 1930

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