“Ni droite, ni gauche, breton seulement !” (Communiqué)

Moins d’une semaine après l’annonce de la tenue de nouvelles élections législatives dans l’Hexagone, les factions loyalistes en Bretagne se sont déjà alignées sur les diverses factions parisiennes. Les uns pour contrer un imaginaire “péril rouge”, désormais représenté par l’ancien président français François Hollande, les autres pour s’opposer à un tout aussi fantasmatique “péril brun”.

À titre d’exemple, l’UDB (extrême-gauche régionaliste) a rapidement rejoint le “front populaire” hexagonal, d’orientation néo-jacobine car dominée par LFI, tandis que  l’association An Tour Tan (extrême-droite régionaliste) soutient “l’Union Nationale” d’orientation toute aussi néo-jacobine car dominée par le RN. Ces supplétifs remplissent leur fonction naturelle d’appoint des partis du système hexagonal.

Où se trouve la nation bretonne dans cette valse hexagonale ? Pour le Parti National Breton, les Bretons doivent agir sur la base d’un constat politique et historique clair. Depuis 1789, c’est l’annexion de la Bretagne par l’État français qui conditionne la destruction progressive de sa personnalité ethnique, tant par la politique d’assimilation autoritaire menée contre elle par Paris que par la négation de ses droits nationaux. L’idéologie fondamentalement révolutionnaire et anti-ethnique de l’État français le rend irréformable. Qu’il s’agisse du “front populaire” ou de “l’union nationale”, les politiques menées par l’État français s’inscriront dans la poursuite de cette ligne historique contre la Bretagne.

La défense de la nation bretonne, de son identité comme de ses intérêts, que ce soit contre l’immigration massive ou pour la langue et la culture bretonnes, entre autres, nécessite une rupture avec le système français. Cela suppose de dépasser le clivage “gauche/droite” que l’État a importé en Bretagne pour recréer l’indispensable unité nationale qui, grâce à l’indépendance, sera à même d’assurer la prospérité du peuple breton.

C’est bien à la faillite de l’État français qu’il faut préparer nos compatriotes, et non à les maintenir dans l’illusion hexagonale. Pour cela, une seule position : ni droite, ni gauche, breton seulement !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

 

 

Communiqué du PNB suite aux résultats des élections européennes en Bretagne

Les élections européennes en Bretagne ont été le théâtre d’une puissante abstention de la part des Bretons, à 48,5%.  Si l’on constate une progression du RN français, arrivé en tête avec 25% des suffrages exprimés, il ne représente que 12,5% du corps électoral breton réel.  Ensemble, les loyalistes du centre (Renaissance) et de gauche (PS) ont réuni un tiers des voix auxquels il faut ajouter les écologistes d’extrême-gauche (7%) et la gauche jacobine radicale (6%). 

Ces élections, en privant la Bretagne d’une circonscription européenne dotée d’un périmètre conforme à ses frontières historiques, ont à nouveau privé les Bretons d’une représentation nationale légitime. Le Parti National Breton constate que de nombreux Bretons ne se reconnaissent pas dans le système politique et institutionnel français et européen actuel. Cette dilution géographique y contribue.

Le Parti National Breton remarque également que les questions d’immigration, d’insécurité, de logement et de déclassement social représentent des préoccupations croissantes pour nos compatriotes.

Le Parti National Breton souligne qu’en dépit d’une forte propagande “écologique”, les Bretons se sont massivement détournés du vote écologiste (- 10%).

L’annonce d’élections législatives anticipées par le chef de l’Etat français est accompagnée de promesses de changement radical par les diverses factions hexagonales. La réalité demeure : la France, bureaucratisée et surendettée, n’a aucune marge de manœuvre financière. Les désillusions seront nombreuses.

Pour la nation bretonne, l’alternative ne se situe pas dans le maintien de la Bretagne au sein du système hexagonal, mais en dehors de celui-ci. C’est par l’indépendance nationale que le peuple breton pourra répondre à la crise croissante qui frappe notre pays. Le Parti National Breton continuera de s’engager pour qu’une voie politique nationaliste et indépendantiste soit offerte aux Bretons. 

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

 

Le PNB se félicite du succès de la conférence de Vannes contre la francisation de la toponymie bretonne

Suite à la conférence qui s’est déroulée à Vannes, samedi 01 juin 2024, le Parti National Breton se félicite du succès de l’initiative de Koun Breizh pour mettre un terme à la francisation de notre pays.

L’esprit d’unité patriotique de son président, Yvon Ollivier, permet des avancées concrètes contre l’entreprise de francisation linguistique actuellement menée par la poste française. 

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Insécurité à Nantes : le PNB apporte son soutien aux habitants du quartier Saint-Joseph de Porterie

Le Parti National Breton apporte son soutien aux Nantais du quartier Saint-Joseph de Porterie qui, face à la délinquance générée par une immigration clandestine incontrôlée, ont décidé d’assurer leur propre sécurité comme le rapporte le journal français Le Figaro.

L’État français n’assure pas la protection des biens et des personnes en Bretagne, c’est désormais aux Bretons de le faire !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Le PNB apporte son soutien au patriote irlandais Malachy Steenson

The Breton National Party expresses its support for MalachySteenson, an Irish patriot who was the victim of an assassination attempt by an individual affiliated with the far left. Be strong, victory is at hand !


Le Parti National Breton exprime son soutien à MalachySteenson, patriote irlandais victime d’une tentative d’assassinat par un individu affilié à l’extrême gauche. Soyez forts, la victoire est proche !

 

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Lettre ouverte du Parti National Breton à l’association “Bretagne Réunie”

Nantes, le 11 mai 2024

Messieurs les Co-présidents Clément, Coraud et Peigné,

Le 30 avril, l’association patriotique “Bretagne Réunie” a communiqué la liste de son nouveau conseil d’administration, lequel compte trois vice-présidents. L’un d’entre eux, Etienne Gruenais, est politique puisqu’il appartient au parti régionaliste “Parti Breton” où il exerce des fonctions dirigeantes.

Cette participation à caractère politique nécessite une clarification de la part de l’association “Bretagne Réunie”.

La réunification de la Bretagne suppose de rassembler les Bretons en une seule entité politique et administrative, prélude à leur émancipation nationale. A cet effet, la réunification de la patrie ne peut se faire que dans un esprit d’union nationale.

Dans cet esprit d’union et d’égalité nationales, le Parti National Breton demande à l’association “Bretagne Réunie” de confirmer son ouverture à toutes les sensibilités exprimées par les Bretons à travers leurs différentes organisations politiques afin que les membres du PNB qui en forment le vœu puissent adhérer et participer aux activités de l’association, en application de ses statuts.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Le PNB apporte son soutien aux indépendantistes kanaks emprisonnés par le régime colonial français

Après l’annonce par le pouvoir colonial français de l’arrestation de plusieurs patriotes kanaks, le Parti National Breton réaffirme son soutien aux militants qui luttent contre le véritable coup de force mené par Paris contre le peuple kanak.

Le “dégel” du corps électoral imposé par l’Etat français en Nouvelle-Calédonie vise à empêcher la population kanak de marcher vers l’indépendance par la voie électorale.

De plus en plus nombreux en raison d’une démographie dynamique, la population kanak sera d’ici 10 à 15 en mesure de remporter démocratiquement la bataille pour l’indépendance. C’est en implantant toujours plus de colons français et en leur donnant le droit de vote que le régime de Paris veut empêcher l’indépendance d’advenir.

Le Parti National Breton se tient avec résolution aux côtés des Kanaks dans ce combat pour la fin de la colonisation française.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

L’autonomie stratégique de la Hongrie : un exemple pour la Bretagne indépendante

L’autonomie stratégique de la Hongrie : un exemple pour la Bretagne indépendante

L’Institut hongrois pour les affaires étrangères a publié un texte qui fixe l’attitude de la Hongrie dans le contexte géopolitique européen et international. Après la visite du président chinois à Budapest, il permet de comprendre l’importance de l’autonomie stratégique d’un état européen.

On peut lire :

Comme il ressort de ce qui précède, les relations entre la Hongrie et la Chine ont connu d’importants changements au cours des quinze dernières années.

Aujourd’hui, nous pouvons parler d’une relation véritablement multidimensionnelle, qui non seulement implique des interactions de plus en plus diverses dans certains domaines de l’économie, mais reflète également les points de vue similaires des deux pays sur l’importance de l’établissement de relations internationales et de la connectivité.

Dans le même temps, l’environnement extérieur dans lequel s’inscrivent les relations bilatérales évolue également, avec des tensions croissantes entre les États-Unis et leurs alliés et la Chine, et le nombre croissant de conflits auxquels notre pays est confronté s’il souhaite renforcer ses relations avec le pays asiatique dans certains domaines.

Dans cet environnement, les intérêts hongrois sont mieux servis en termes de maintien de la connectivité économique, si l’UE peut éviter d’être contrainte à une stratégie chinoise qui vise à préserver la position des États-Unis en tant que puissance mondiale. La politique étrangère hongroise peut mieux promouvoir cet objectif si elle soutient les efforts de Bruxelles, non pas pour prôner idéologiquement un découplage avec l’économie chinoise, mais pour évaluer la vulnérabilité des chaînes d’approvisionnement du point de vue de l’intérêt national et renforcer véritablement la compétitivité technologique des entreprises européennes.

Le Parti National Breton estime que le pragmatisme qui guide la politique extérieure hongroise est un modèle qui doit inspirer la Bretagne indépendante.

Pour préserver sa neutralité et son indépendance, la Bretagne doit refuser le principe des alliances et de l’alignement, être ouverte aux coopérations avec tous les états disposés à le faire et ce à tous les niveaux pertinents pour la nation bretonne, sans a priori culturels ou idéologiques.

Une Bretagne libérée de l’occupation française disposera des moyens de ses relations bilatérales, ce qui offrira de nouvelles possibilités à la nation bretonne. La politique étrangère bretonne sera placée sous le principe du développement des moyens de l’indépendance bretonne, notamment au plan énergétique, technologique et économique.

La Bretagne, en particulier, ne devra pas appartenir à l’OTAN, ni à l’ONU, dont l’avenir est sérieusement remis en question, et évaluer son maintien dans l’Union Européenne en fonction des dispositions de celle-ci à reconnaître ou non la souveraineté de l’État breton.

Le Parti National Breton, conformément à son rôle de restauration de l’État breton, cultivera activement les relations avec toutes les nations qui reconnaissent le droit légitime et fondamental de la nation bretonne à l’autodétermination.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton