Viol d’enfant à Saint-Brieuc par un migrant afghan : le Parti National Breton instaurera le principe de punition ethnique collective

Viol d’enfant à Saint-Brieuc par un migrant afghan : le Parti National Breton instaurera le principe de punition ethnique collective

[PNB] L’Etat français, par l’immigration extra-européenne qu’il organise en Bretagne occupée, menace les enfants bretons et les jeunes femmes bretonnes. Dernier exemple à Saint-Brieuc où un violeur pédophile afghan a également essayé de violer deux jeunes Bretonnes, l’une d’entre elles ayant essayé de se suicider à 5 reprises.

Actu.fr :

Le 25 juin 2021, la cour d’assise de Saint-Brieuc condamnait un Afghan de 30 ans à 15 ans de réclusion criminelle pour le viol d’un petit garçon de 12 ans.

Des faits qui août 2018, avaient ému les riverains du parc des promenades.

Jeudi 7 juillet 2022, cet homme était extrait de sa cellule à Brest pour s’expliquer sur d’autres faits d’agressions sexuelles, commis il y a 4 ans dans la même ville.

C’est en toute décontraction, sourire aux lèvres, accompagné de son interprète, que le prévenu vient s’expliquer à la barre du tribunal correctionnel de Saint-Brieuc. On lui reproche des faits d’agression sexuelle et harcèlement sur deux jeunes filles mineures en 2018. Des faits survenus quelques jours avant le viol sur le petit garçon.

À la barre, il tente de se justifier : « Dans mon pays, il est normal d’avoir des relations sexuelles avec les jeunes garçons parce que les femmes sont inaccessibles. Quand je suis arrivé en France je ne connaissais pas vos lois, mais depuis j’ai appris que c’était interdit ».

Il débarque sur le territoire français en 2016, et pose ses valises à Saint-Brieuc en février 2018.

Sa première agression sexuelle, il va la commettre le 16 avril de la même année en abordant une jeune fille mineure rue Mansart à St-Brieuc. Prétextant avoir besoin d’aide dans un anglais approximatif, il va réussir à l’attirer dans sa chambre au sein d’un foyer, en prenant soin de fermer la porte à clés. La suite est racontée par la jeune victime.

“Il m’a plaquée au mur en me maintenant avec son genou, il était bien trop fort, j’essayais de résister, mais impossible de me dégager, il tentait de m’embrasser et d’arracher mes vêtements, j’étais terrorisée, il a fini par me dire que si je voulais partir je devais toucher son sexe. Quand je lui ai dit que j’appellerais la police, il a immédiatement ouvert la porte .

Quelques jours plus tard, la jeune victime était hospitalisée pour une tentative de suicide, elle recommencera ce geste de désespoir à 5 reprises.

« Je voulais la toucher un peu, mais elle ne voulait pas. Si c’était une fille correcte, elle ne serait pas montée dans ma chambre ». Assise juste derrière lui, la jeune fille est en pleurs en écoutant son bourreau la salir un peu plus…

Le 22 mai, c’est une autre jeune fille qui déposera plainte. Elle raconte son calvaire à la barre : « Il me disait Mademoiselle, mademoiselle, viens faire du sexe avec moi. Il était insistant et me poursuivait, j’avais très peur, j’ai prévenu mes parents qui ont appelé la police ».

“C’est vrai, j’ai bien dit ça, mais elle criait Dégage, dégage !, mais moi je ne comprenais pas ce mot.”

Maître Tabard intervient pour les victimes. « Le prévenu oppose aux 5 tentatives de suicide de la victime un large sourire, et c’est inacceptable, il n’a aucuns remords, aucun regret. »

Après une courte délibération, le tribunal condamne le prévenu à 3 ans ferme au regard de son comportement et refuse toutes demandes de confusion de peine.

Il devra exécuter ses 3 ans à suivre, ce qui porte le total à 18 années de prison. Une provision de 2000 € devra être versée aux parties civiles en attendant le renvoi sur intérêt civil qui est fixé au 3 février.

Le Parti National Breton rappelle inlassablement le danger existentiel que fait peser la submersion extra-européenne organisée par les Français sur le Peuple Breton. 

Parmi ses exigences d’application immédiate figure la 2ème exigence relative à la criminalité d’origine étrangère :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Pour les crimes les plus graves, le Parti National Breton entend appliquer une justice inflexible pour restaurer l’ordre en Bretagne, une fois celle-ci libérée de l’occupation française.

Comme pour les nationaux, le Parti National Breton veut instaurer la peine de mort par pendaison pour les individus de nationalité étrangère reconnus coupables de viol sur le territoire breton.

Fidèle à sa philosophie empirique ethno-différentialiste, le principe de responsabilité collective sera en outre appliqué par l’Etat breton aux populations non-européennes, par nature ataviquement inaccessibles à la notion de responsabilité individuelle, qui pourraient résiduellement se trouver sur le territoire national.  Face aux crimes commis, l’Etat breton instaurera un éventail de sanctions collectives graduées pour l’ensemble des individus de la même nationalité du coupable s’il est d’origine extra-européenne. A cet effet, l’intégralité des ressortissants étrangers non-européens auront l’obligation d’être enregistrés auprès du Ministère de la Sécurité Intérieure de l’Etat breton. Il en résultera une politique sécuritaire adaptée au profil ethno-culturel des intéressés, les ressortissants extra-européens exerçant la pression sociale interne requise sur l’ensemble des membres leur communauté d’appartenance.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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