Le convergence entre la gauche sans-frontiériste et le patronat est consacrée. La presse d’état encense désormais les patrons voyous qui emploient des migrants clandestins. Exemple caractéristique d’un travail de propagande permanent, le dernier reportage de la radio d’état France Bleu à Pontchâteau (Pays Nantais) illustre cette union sacrée en faveur du dumping migratoire.
“Demandez à Pôle Emploi ! Ils n’ont personne ! Nos jeunes ne veulent plus venir dans le bâtiment, c’est trop dur.” Le constat est amer pour Véronique Ecobichon. A terme, c’est la survie de l’entreprise et même de tout un secteur qui est en jeu selon elle. Avec la perte de leur apprenti il y a presque deux ans, Ibrahima Barry, c’est le patron qui doit retourner sur les chantiers pour palier au manque de main d’œuvre. “Si ça continue, vu les commandes qui s’empilent, on sera bientôt contraint de refuser certains chantiers”, explique Alain Ecobichon gérant d’une entreprise de carrelage à Pontchâteau.
Le couple est dépité, désabusé, car malgré les nombreux courriers envoyés à la Préfecture et même à l’Elysée, rien n’y fait. Ibrahima Barry, 20 ans, reste sans papier et sous la menace d’une expulsion depuis janvier 2020. Il ne peut donc plus travailler.
Lui qui, mineur isolé en arrivant de Guinée, a passé deux ans dans cette entreprise. Il a appris le métier, il a appris à l’aimer aussi. Ibrahima a passé son CAP, décroché la médaille d’argent du meilleur apprenti de Loire-Atlantique, et allait poursuivre sur un Brevet Professionnel quand l’obligation de quitter le territoire est arrivée. Il venait d’avoir 18 ans.
“C’est incompréhensible, illogique”, dénonce Véronique Ecobichon. “On ne comprend pas. On a besoin de lui pour faire tourner notre entreprise et on ne peut pas l’embaucher. Pourquoi n’y a-t-il pas du cas par cas ? Ibrahima mérite son titre de séjour.”
Le discours patronal sur “l’absence de main d’œuvre” occulte une autre réalité : celle des salaires dérisoires que le patronat consent à payer aux travailleurs bretons. Les salaires de Bretagne sont les plus faibles de l’Hexagone.
Dans le même temps, on dénombrait en octobre 2021 133,000 chômeurs en Bretagne dite “administrative”.
L’immigration extra-européenne est la variable d’ajustement choisie par le patronat pour disposer d’un flux incessant d’employés à bas coût. Ce flux est sans cesse renouvelé par le jeu des “régularisations”. Il s’agit d’une politique d’exploitation féroce que soutient l’Etat Français en Bretagne afin de maintenir une fiscalité massive sur le secteur productif breton, la seule alternative aux bas salaires étant une baisse drastique des impôts perçus par Paris.
Présenter cette politique sous un angle humanitaire est la nouvelle stratégie de désinformation de ce cartel d’exploiteurs. Résultat d’une connivence entre l’Etat Français, les médias d’état, la gauche sans-frontiériste et le lobby patronal, les soi-disant “médailles” délivrées aux migrants clandestins visent à imposer à l’opinion bretonne une politique économique et sociale prédatrice qui inscrit le profit immédiat avant toute autre considération, quitte à organiser l’islamisation et l’africanisation de la Bretagne. Et la mener ainsi à la ruine.
Les Bretons n’ont pas à payer la voracité d’une poignée de patrons sans scrupules qui organisent le remplacement de population dans les villes et villages de Bretagne dans le seul but de maximaliser leurs profits à court terme !
Le Parti National Breton entend placer la postérité du peuple breton avant les intérêts catégoriels d’une minorité d’exploiteurs sans foi ni loi et mettre un terme définitif à cette politique criminelle. Face au dumping social migratoire, une seule réponse : la Bretagne aux Bretons !
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
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