[PNB] Par son action ethno-nationaliste, le Parti National Breton, fer de lance politique de l’Emsav, permet d’ores et déjà de clarifier les lignes et de démasquer l’imposture d’inspiration hexagonale qu’est le “régionalisme” en Bretagne.
Une Française établie en Bretagne a réagi avec le réflexe colonial habituel à la vue de la communication offensive de réaffirmation nationale du Parti National Breton.
🤔 Je suis perplexe devant ce slogan #LaBretagneAuxBretons
Je comprends le message. Mais qu’est ce qu’être “breton” ? Puis-je être considérée comme bretonne sachant que je suis née ailleurs, sans -a priori- d’ascendance bretonne, et que j’ai CHOISI de vivre ICI il y a 18 ans ? 🤔 pic.twitter.com/B4Otv3WUOZ— Marie-L Quétier 🇺🇦 (@MarieQuetier) August 22, 2022
Un colon français d’Algérie n’aurait pas réagi différemment face à un slogan nationaliste algérien dans les années 1950. Le Français, en se donnant simplement la peine de s’établir sur notre terre grâce à l’ordre colonial français qui le lui permet, s’estime “breton”, à égalité avec les véritables Bretons. De cette prétendue “égalité” entre colons et colonisés découle logiquement une conséquence : le colonisé doit se taire face à celui qui le colonise “en toute égalité”.
Derrière cette prétention perfide à “l’égalité” que brandissent les colons français se cache une vérité simple : les Bretons ne sont pas les maîtres chez eux et doivent faire face à l’agressive colonisation française sur la base des termes de la puissance française. Les Français nous volent notre terre, notre liberté nationale, mais revendiquent encore de nous déposséder de notre nationalité en la vidant de sa substance pour la réduire à une simple notion géographique que le moindre inconnu débarqué en Bretagne peut revendiquer. En néantisant les Bretons comme groupe ethno-national, la question nationale bretonne est “magiquement” résolue au profit du pouvoir étranger qui nous occupe.
Ce poison de l’impérialisme français est encore rendu plus mortifère par le jeu du fils bâtard de la Révolution française en Bretagne qu’est le régionalisme de gauche. On retrouve systématiquement ces idiots utiles de l’ordre hexagonal aux premières loges pour répandre leur haine de la nationalité bretonne et poursuivre de leurs insultes les patriotes bretons qui refusent de voir cette nationalité être dénaturée par les Français grâce à leur tropisme impérial-géographique.
Vous êtes bretonne, si vous le ressentez ainsi. Ça voudrait dire aussi défendre (activement, en pratiquant, ou verbalement) les langues et la culture bretonne. De plus, pour moi être breton c’est se projeter ensemble pour construire et affronter les défis.
— LannArCunn (@ar_cunn) August 22, 2022
La réaction régionaliste française, en combattant activement l’ethno-nationalité bretonne pour lui substituer une somme de divagations abstraites (“ressentir”, “se projeter ensemble”, “affronter les défis”), joue activement le jeu du statu quo français, pour le compte de la bourgeoisie française et de ses intérêts en Bretagne.
Le PNB est un groupuscule d’extrême-droite. Pas besoin de perplexité hélas, on comprend bien le sens du slogan.
— Nil Caouissin (@NilCaouissin) August 22, 2022
Les nationalistes bretons, contrairement à ces escrocs à la botte de la France, savent et réaffirment que Breizh est le produit historique du sang breton qui a conquis et ordonné l’Armorique sous la direction des chefs bretons, la receltisant et l’organisant en corps d’état indépendant. Sans le sang brittonnique et la conscience ethnique bretonne qu’il porte, Breizh n’existerait pas et notre terre ne serait pas différente du Limousin. De cette évidence découlent les droits naturels de la nation bretonne à régner en maîtresse sur sa terre, comme toutes les nations du monde. Le nationalisme breton, contrairement au nationalisme factice de l’impérialisme français, n’est pas une auberge espagnole faite de débris de peuplades exotiques gouvernées d’une main de fer par une bureaucratie métèque, c’est une nationalité réelle, appartenance exclusive à la famille élargie qu’est la nation.
“Est breton qui peut, est français qui veut” (Mordrel) : telle est et telle sera toujours la nature de la nationalité bretonne, par opposition au bric à brac français.
Les nains insolents de l’UDB (extrême-gauche française) ou de l’anarcho-marxisme régionaliste démontrent chaque jour un peu plus la nécessité pour le Parti National Breton de mener sans faiblir le combat contre ces supplétifs du régime français, pour la liberté de notre nation. Ce combat, en réveillant la conscience ethno-nationale du Peuple Breton, amènera inévitablement la victoire de notre nation face à l’occupant étranger.
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
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