Quimper : la maire socialiste Isabelle Assih lance une campagne pour repeupler la ville de colons parisiens

Quimper : la maire socialiste Isabelle Assih lance une campagne pour repeupler la ville de colons parisiens

Nouvelle provocation des socialistes français, cette fois à Quimper. La clique socialiste menée par l’amatrice d’exotisme Isabelle Assih, à la tête de la municipalité de Quimper depuis 2020, appelle à la colonisation pure et simple de la Cornouaille par les Parisiens.

Comme de juste, la presse d’état française somme le peuple breton de se taire et d’obéir, en pleine envolée spéculative des prix de l’immobilier sous l’effet de de la colonisation de peuplement française.

Exemple, avec la télévision d’état coloniale France 3 :

Notre analyse, déjà formulée pour la ville de Pontivy, elle aussi victime de la prédation de la bourgeoisie impérialiste française, doit être reproduite in extenso.

Il suffit de changer “Pontivy” par “Quimper” et “Christine Le Strat” par “Isabelle Assih” pour constater qu’elle s’applique à l’identique :

L’africanisation et la parisianisation de la ville ont atteint le stade du remplacement pur et simple de la population bretonne. C’est de cela dont il s’agit lorsque la presse d’état parle avec enthousiasme “d’augmentation” de la population.

Le peuple breton est pris dans la tenaille d’une double colonisation, résultat de l’impératif économique dicté par la bourgeoisie impérialiste française en Bretagne.

Par le bas via l’immigration extra-européenne de “compensation” exigée et organisée par la bourgeoisie française – son mandarinat politico-administratif et le patronat – qui en fait sa principale variable d’ajustement face à la dépression démographique autochtone. 

Par le haut avec l’installation de cette même bourgeoisie française prédatrice dans les villes bretonnes qu’elle peut racheter grâce à la plus-value que ce dumping migratoire constant lui procure.

Pour le peuple breton, c’est la double peine : évincement de ses terres historiques et tiers-mondisation de ses conditions de vie.

En Bretagne, colonisation de peuplement allogène et prédation bourgeoise française trouvent leur expression parfaite dans la célébration de la presse d’état à chaque annonce de la “croissance” de la population. Le peuple breton est ainsi prié par les plumitifs de l’impérialisme français de se féliciter à longueur d’articles de sa disparition, de son évincement social, culturel et économique de son propre pays. Comble de la perfidie de cette propagande anti-bretonne, toute opposition populaire bretonne à cette politique cannibale est diabolisée au prétexte hypocrite de “l’antiracisme”, arme idéologique de la bourgeoisie française pour disqualifier toute opposition à sa voracité.

Cette politique prédatrice nécessite, comme le souligne l’article, la collaboration active des politiciens compradore de la bourgeoisie locale. En l’occurrence, à Pontivy, celle du maire Christine Le Strat qui ne manque jamais une occasion d’exprimer sa totale servilité à l’endroit de l’Etat Français en arborant l’écharpe tricolore du pouvoir colonial. 

Rappelons que la bourgeoisie bretonne a systématiquement trahi le peuple breton au profit de l’Etat Français à travers les siècles. En échange de quelques miettes cédées par la grande bourgeoisie parisienne, elle a toujours été l’instrument de l’oppression française en Bretagne, tout particulièrement dans le domaine linguistique. Notre époque ne fait pas exception, mais il s’agit désormais d’une politique de colonisation intégrale et de nettoyage ethnique par procuration. A cet égard, faire preuve de faiblesse face aux suppôts locaux de Paris, politiques ou médiatiques, serait une grave erreur de jugement.

Le Parti National Breton fixe comme ligne non-négociable le primat de l’intérêt historique du peuple breton sur toutes les considérations prétendument “économiques” que dictent la bourgeoisie française et ses relais coloniaux en Bretagne. Il dénonce la politique de remplacement migratoire dont se glorifient les traîtres et réitère son dogme national : la Bretagne aux Bretons !

Face à la politique de nettoyage ethnique que mène la bourgeoisie française contre la nation bretonne, la nation bretonne, par la voix de son Parti, le Parti National Breton, riposte en état de légitime de défense et fixe comme objectif politique indissociable de la libération de la Bretagne l’expulsion de tous les étrangers indésirables du territoire breton. 

Le Parti National Breton appelle tous les Bretons à s’organiser en le rejoignant pour faire triompher la juste cause nationale face aux ennemis mortels de notre peuple. Car c’est de la survie du peuple breton qu’il est désormais question.

Face à l’alliance de la bourgeoisie impérialiste française et de la bourgeoisie comprador locale dont les socialistes sont le bras politique, la réponse du peuple breton doit être l’auto-défense nationaliste, la lutte contre la prédation étrangère et l’indépendance nationale.

Le Parti National Breton ne laissera pas les spéculateurs venus de France réduire la Bretagne à l’état de colonie, rendre impossible l’accès au logement pour les Bretons, seuls maîtres légitimes de la Bretagne, et les subordonner à des étrangers indésirables comme des domestiques dans leur propre pays. Le Parti National Breton, à Quimper comme ailleurs, ripostera par un seul et unique principe d’action et d’unité : la Bretagne aux Bretons.

Pour protester contre les agissement du gang socialiste quimpérois :

Email : [email protected]

Tél : 02 98 98 89 89 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Incendie en série à Lannion : le Parti National Breton appelle à l’expulsion des gangs ethniques

Incendie en série à Lannion : le Parti National Breton appelle à l’expulsion des gangs ethniques

Comme le prouve la vague d’incendies du 21 décembre 2021 à Ker Uhel (Lannion), l’anarchie et le crime générée par l’immigration extra-européenne n’épargnent plus aucune commune bretonne. 

Les médias d’état français opèrent une stricte censure de guerre sur l’origine ethnique de ces actes criminels. Cette censure de guerre vise à mener coûte que coûte le projet de remplacement de la population bretonne imposé par Paris.

Le Parti National Breton entend rappeler cette vérité cardinale : le parasitisme allogène doit être brisé par une méthodique politique d’expulsion à grande échelle. 

Le point n°2 de ses dix mesures d’application immédiate pour la Bretagne exige :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Un Etat Breton fondé sur les principes du nationalisme breton sera en mesure de parachever cette politique de reconquête bretonne de la Bretagne. Il renverra en masse les étrangers indésirables vers leur état d’appartenance : la France.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

A Nantes, le bilan effrayant de l’Etat Français et de ses partis politiques en matière de crime ne peut plus être dissimulé, même pas par la presse d’état loyaliste.

Toutefois, cette presse d’état impose la censure de guerre sur l’origine de la catastrophe : l’immigration extra-européenne, très majoritairement afro-musulmane, organisée par Paris en Bretagne.

Le Télégramme :

Cent cinquante-six fusillades recensées en trois ans. À Nantes, le trafic de stupéfiants génère de tels profits, et la concurrence est telle, que les places de deal s’arrachent désormais à coups de kalachnikov. Les pouvoirs publics tentent de briser cette dynamique mortifère.

Fin septembre, dans l’Ouest nantais. En ce mercredi après-midi, des ados tapent la balle sur un terrain de football pour leur entraînement hebdomadaire. Soudain, un tac-tac-tac-tac retentit dans les quartiers avoisinants. Comme un seul homme, l’équipe se fige. Difficile d’être catégorique, mais tous pensent à un tir de pistolet-mitrailleur. Un bruit qui deviendrait presque familier aux Dervallières, au Breil ou à Bellevue*, spots emblématiques du trafic de stupéfiants à Nantes.

*Enclaves afro-musulmanes formées par la politique de repeuplement imposée par l’Etat Français et le Parti Socialiste.

« Des coups de feu ? J’en entends au moins deux fois par mois », témoigne ce Nantais habitant à proximité de l’un de ces quartiers, qui assure « faire la différence entre un coup de feu de pistolet, avec son bruit sec, et un tir de feu d’artifice », sport devenu national, le soir venu.

« Ça s’est accéléré depuis deux ans, confie cette habitante de Bellevue, qui affirme ne plus vraiment y prêter attention. C’est le soir mais aussi en journée… » Comme ce mercredi, « jour des enfants », en plein après-midi, dans le quartier du Breil, au nord-ouest de Nantes, fin septembre dernier. Un individu descend d’une voiture et tire en rafale en direction de trois jeunes adultes assis sur un banc. Les trois seront blessés, dont l’un très grièvement. Depuis 2019, 156 fusillades ont été recensées dans la cité des ducs*, faisant cinq morts et une cinquantaine de blessés.

*Cité des Ducs de Bretagne, précision sciemment effacée par la propagande française pour détruire l’identité bretonne de Nantes.

Le phénomène se serait ancré ici, il y a cinq ans. La marque caractéristique d’un trafic de stupéfiants arrivé à un stade très avancé ? Le lot réservé à toute ville qui franchit le cap des 200 000 à 300 000 habitants ? C’est plutôt oui aux deux questions. Le patron de la PJ nantaise, le commissaire divisionnaire Marc Perrot, pointe aussi d’autres facteurs. Un : l’irruption d’une multitude d’équipes, « plus jeunes, peu réfléchies, impulsives, attirées par l’argent facile, dans un secteur devenu archi concurrentiel », et « un accès très facilité aux armes ». Deux : une « balkanisation » du trafic. « Avant, trois ou quatre équipes tenaient le marché, rapporte Marc Perrot. Aujourd’hui, on ne les compte plus. Certaines sont affiliées aux bandes historiques. Mais tout est brouillé. Dans un même quartier, on peut trouver des membres appartenant à plusieurs clans… et qui peuvent en changer au gré des stratégies et opportunités. »

Aucune mention de la véritable cause par la Police Judiciaire hexagonale : l’immigration non-blanche, africaine et musulmane.

Dans ce milieu, pas de tribunal de commerce pour trancher un litige commercial. Les enjeux financiers sont également devenus tels que les différends se règlent à coups de feu. Soit pour prendre une part de marché – un point de deal -, soit pour le défendre.

Impossible, pour autant, de comparer Nantes à Marseille, qui comptait 15 morts dans des règlements de comptes pour les seuls huit premiers mois de 2021 (un à Nantes).

« Et, à Nantes, on est davantage sur des violences armées que sur des règlements de comptes, relève Marc Perrot. Il y a peu de préparation. C’est souvent de la réaction à chaud, ou de la surenchère. » Les tireurs sont de plus en plus jeunes : 17 ans pour le plus jeune interpellé. « Ils ne savent pas se servir des armes qu’ils ont entre les mains (…). Ce n’est pas comme dans Gomorra (une série TV sur la mafia napolitaine ; NDLR). On ne leur dit pas : tiens voilà un flingue, va buter untel. Non, un de leurs chefs leur en donne en leur disant qu’ils sont menacés et que, s’il se passe un truc, ils devront s’en servir », rapporte une autre source policière. Résultat : ça défouraille à tout va, avec de très nombreuses balles perdues. « Au Breil, en septembre dernier, on en a retrouvé jusqu’en haut des arbres », rapporte Marc Perrot.

Le trafic a pris la ville, et tout retour en arrière semble jusqu’à présent vain. Même si des équipes tombent, si « chaque jour, les services de police nantais interpellent cinq à six personnes », si de nouveaux moyens ont été mis en œuvre et commencent à porter leurs fruits, le nombre de points de deal recensés à Nantes – une soixantaine – reste désespérément « stable ».

Sur le plan des règlements de comptes, la PJ a fait les siens. Depuis 2019, elle a interpellé 124 personnes, dont 55 ont été écrouées. Et 125 armes à feu ont été saisies, dont une majorité d’armes de calibre 9 mm et 7,62 mm (munitions de fusil d’assaut). À ce jour, une trentaine d’enquêtes sont toujours en cours.

Le Parti National Breton entend régler à la source la catastrophe sécuritaire en soldant la question ethnique générée par l’immigration de remplacement mise en place par l’Etat Français.

Le Parti National Breton restaurera l’ordre breton en Bretagne en procédant à une expulsion de masse de tous les étrangers indésirables vers leur état d’origine : la France.

Tous les Bretons qui veulent empêcher l’Etat Français de détruire la Bretagne par sa politique sauvage de remplacement ethnique doivent immédiatement rejoindre ses rangs.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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