Immigration française : fusillade dans le centre de la ville socialiste de Quimper

Immigration française : fusillade dans le centre de la ville socialiste de Quimper

[PNB] Nouvel épisode de la mise en œuvre de la société multiraciale par l’Etat Français en Bretagne occupée, une fusillade a eu lieu dans le centre de Quimper, ville sous contrôle du Parti Socialiste français. Les protagonistes sont bien entendu “défavorablement connus”.

Valeurs Actuelles :

Cohue dans les rues de Quimper. Mardi 29 mars, une course-poursuite a eu lieu dans cette ville du sud du Finistère, rapporte Ouest-France. Vers 15 heure 45, des coups de feu ont éclaté dans le centre-ville. Un véhicule Dacia de couleur rouge venait de refuser de subir un contrôle par une patrouille de police. « Une voiture a circulé à contresens sur les quais, côté boulevard de Kerguelen, du côté de La Poste », ont expliqué des témoins. La voiture folle finira par être arrêtée, non sans avoir essuyé des coups de feu de la part d’un policier en passant à vive-allure devant le commissariat.

Un important dispositif policier a été déployé pour appréhender les fuyards. « Des motards, des fourgons… Je n’ai jamais vu un tel déploiement de policiers », a raconté une dame. À l’intérieur du véhicule, deux adolescents, un garçon et une fille. Ils ont immédiatement été emmenés au commissariat. La voiture serait un véhicule volé en 2002, et les deux jeunes, connus des services de police. Aucun blessé n’est à déplorer. À ce stade, ni la police ni le parquet n’ont voulu commenter cette affaire.

“Connus des services de police” est un des euphémismes employés par la presse d’état hexagonale pour désigner les criminels allogènes. L’objectif des médias aux ordres de Paris est de dissimuler à l’opinion bretonne l’origine ethnique de la criminalité de masse, la bourgeoisie française et l’état colonial voulant poursuivre leur plan de remplacement de la population bretonne par des supplétifs afro-musulmans sans entraîner de résistance populaire.

Le Parti National Breton n’entend pas débattre de la cause de l’explosion du crime en Bretagne qu’est l’immigration extra-européenne.

Le Parti National Breton se focalise sur son programme en la matière, tout particulièrement sur le point n°2 de ses 13 exigences d’application immédiate :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton

Le Parti National Breton continuera de mobiliser l’opinion bretonne contre le péril existentiel que représente l’Etat Français et sa politique de remplacement de population en Bretagne. Le peuple breton ne retrouvera pas la paix tant qu’un seul mètre carré du territoire breton n’aura pas été libéré de l’occupant français et des prurits qu’il apporte naturellement avec lui.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Culture française en Bretagne occupée : un guinéen jugé pour 2 viols à Morlaix

Culture française en Bretagne occupée : un guinéen jugé pour 2 viols à Morlaix

[PNB] Nouvelle illustration de l’africanisation de la Bretagne organisée par l’Etat Français, cette fois-ci à Morlaix.

Le Télégramme :

Poursuivi pour deux viols commis à Morlaix, un Guinéen de 23 ans a été condamné par la cour d’assises du Finistère, ce jeudi 17 mars, à dix ans de réclusion criminelle.

Depuis le mardi 15 mars, la cour d’assises du Finistère jugeait un homme de 23 ans poursuivi pour avoir commis deux viols, en juillet et décembre 2018, sur la commune de Morlaix. Ce jeudi 17 mars, le jeune prévenu, qui était détenu au centre pénitentiaire de Ploemeur (56) depuis le 29 décembre 2018 et défendu par les avocats Me Pierre Tracol et Me Pierre-Hector Rustique, a été condamné à dix ans de réclusion criminelle, à une interdiction définitive du territoire français et à une inscription au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d‘infractions sexuelles ou violentes (Fijais). Lors du procès, les parties civiles étaient quant à elles défendues par les avocats Me Chantal Sève et Me Patrick Larvor.

La politique de repeuplement de la Bretagne par les masses du tiers-monde ne cessera pas sans la rupture radicale et définitive avec l’Etat Français dont la dégénérescence ethno-culturelle est irréversible.

Seul le Parti National Breton entend mener cette politique de rupture par une lutte systématique contre la France pour la restauration de l’Etat Breton. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Brest : Nouvelles émeutes raciales sur fond de trafic de drogue, la municipalité socialiste et l’Etat Français coupables !

Brest : Nouvelles émeutes raciales sur fond de trafic de drogue, la municipalité socialiste et l’Etat Français coupables !

Le Parti National Breton dénonce les nouvelles émeutes raciales qui ont touché l’enclave afro-musulmane de Pontanézen, à Brest. 

LES FAITS. A l’occasion d’un contrôle d’identité menée par des policiers français dans l’enclave afro-musulmane de Pontanézen, un gang composé de dealers allogènes a violemment riposté, incendiant au passage un véhicule lors de leur tentative de fuite.

LA SITUATION. Ces émeutes raciales sont désormais régulières à Brest, conséquence logique de la politique de remplacement migratoire imposée par l’Etat Français dans toutes les villes de Bretagne. Soutenue par la municipalité contrôlée par le socialiste français François Cuillandre, cette politique transforme la ville de Brest en coupe-gorge aux mains des trafiquants allogènes, généralement musulmans et de plus en plus souvent liés aux réseaux salafistes dont le plus éminent à Pontanézen est l’imam Rachid Abou Houdeyfa.

LA DESINFORMATION. Les médias d’état français, Le Télégramme et Ouest-France en tête, désinforment activement le peuple breton sur l’origine ethno-religieuse du crime endémique qui accompagne la politique de remplacement démographique organisée par l’Etat Français. Aucun article ne mentionne l’origine ethnique des émeutiers ou des trafiquants impliqués.

Contre la censure imposée par l’Etat Français et ses médias, le Parti National Breton souligne qu’une seule et unique solution sera de nature à ramener l’ordre et la paix civile à Brest : l’expulsion des étrangers indésirables vers leur état de tutelle, la France.

Dans ses douze exigences d’application immédiate pour la Bretagne, le Parti National Breton exige :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Le Parti National Breton emploiera toute son énergie pour régler définitivement la crise engendrée par la submersion migratoire qu’impose l’Etat Français en Bretagne. Il appelle à cette fin tous les Bretons à le rejoindre pour solder cette question.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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Qui est breton ? Qui est français ? [Aperçu doctrinal]

Qui est breton ? Qui est français ? [Aperçu doctrinal]

Dans son programme, le Parti National Breton affirme le caractère ethno-national de la nationalité bretonne, par opposition à la pseudo nationalité française fondée sur l’idéologie cosmopolite héritée de la révolution de 1789 :

2 – Le Parti National Breton proclame que, sans regard pour la confession, est citoyen breton celui qui est de filiation bretonne selon le droit exclusif du sang. Aucun allogène ne peut être citoyen. Les affaires de l’Etat Breton ne peuvent être conduites que par des citoyens bretons. Les non-citoyens ne peuvent exercer de fonctions publiques.

La pseudo nationalité française n’est rien d’autre que le droit unilatéral que se donne la bureaucratie impérialiste parisienne de gouverner n’importe qui, n’importe où, pour peu qu’elle soit en mesure de le faire, généralement par la force. Sous l’apparente générosité de son universalisme verbeux, se cache hypocritement la prétention de Paris à disposer des hommes et des peuples, selon ses intérêts. Cette conception exclusivement géographique de l’ordre politique est celle d’un empire expansionniste qui se moque de la liberté et de l’identité des peuples dans lesquels elle ne voit que des sujets à soumettre, sous toutes les latitudes. L’entreprise coloniale française a prouvé ce que l’universalisme républicain signifiait en pratique pour ceux qui y étaient assujettis.

Le nationalisme breton, par opposition, est un nationalisme qui proclame que le peuple breton se suffit à lui-même et ne cherche à gouverner personne d’autre que lui-même. L’impérialisme lui est fondamentalement étranger. Contrairement au flou hypocritement entretenu par l’impérialisme français sur le périmètre humain de sa légitimité, le nationalisme breton connaît les frontières exactes de sa souveraineté : ce sont celles du peuple breton lui-même, défini par les critères tangibles de la filiation ethnique. Le peuple breton est l’unité tribale de familles élargies qui la composent.

Contradiction du discours régionaliste anti-ethnique

Les tenants du régionalisme anti-ethnique qui prétendent que n’importe qui peut-être breton dénaturent et démonétisent la nationalité bretonne pour en faire le décalque du contractualisme français, produit de l’impérialisme français. C’est une manifestation de pur alignement idéologique sur les positions de l’occupant français. De tels régionalistes ne sont rien d’autres que des perroquets francisés mentalement, relais d’influence conscients ou inconscients de l’acculturation française en terre bretonne. Pour ces vecteurs de l’influence française, le dernier intrus peut être breton après avoir posé ses valises 24 heures en Bretagne. A leurs yeux, être breton ou être français sont des concepts interchangeables. Les colons envoyés par Paris n’en demandaient certainement pas tant ! Ils trouvent chez ces régionalistes, adeptes du vagabondage, les meilleurs avocats de leur prédation économique ou territoriale.

Produits des contradictions internes de la société bretonne francisée, les régionalistes cosmopolites, partisans de la tambouille multiculturelle hexagonale, s’acharnent paradoxalement à distinguer Bretons et Français. Faute de rompre avec l’idéologie impériale-égalitaire française à laquelle ils adhèrent par acculturation, ils le font sur une base purement géographique. Ne devraient-ils pas, en toute cohérence sans-frontiériste, se réjouir de voir Bretons et Français finalement intégrés dans le même espace politique par la force de l’état unitaire français ?

Si être breton n’était qu’une affaire de géographie, le peuple breton n’aurait rien dans sa personnalité pour se différencier des Normands, des Algériens ou des Mapuches et la Bretagne ne serait pas différente de l’Auvergne ou du Yémen. On mesure ici aisément l’absurdité du mythe égalitaire promu par cette église cosmopolite d’inspiration française.

Les tenants du régionalisme cosmopolite resteront toujours les idiots utiles de l’impérialisme français qui doit, à toute force, empêcher le séparatisme ethnique de s’affirmer et de l’emporter en Bretagne.

Xénophobie de résistance contre xénophobie impérialiste

Face à des Bretons raffermis qui proclament leur droit national de se gouverner librement, les bouches perfides à la solde de la France impérialiste-égalitaire brandissent alors leur anathème religieux classique : xénophobie !

Tout peuple, sans exclusive, est xénophobe. Ce n’est pas là une anomalie, mais un mécanisme de défense face à une menace extérieure. La question est ailleurs : qui est xénophobe et où ? En 1962, les Algériens qui expulsèrent les Européens firent preuve de xénophobie, mais c’était la xénophobie d’un peuple en lutte sur sa terre pour en redevenir le maître face à un pouvoir étranger qui le réduisait à l’état de sujet colonial. Assimiler la xénophobie salvatrice du faible et de l’occupé à la xénophobie méprisante de l’occupant est caractéristique des diffamations dont sont capables les agents de la France pour accuser autrui de ce qu’elle fait elle-même.

Les Bretons n’éprouvent de sentiment xénophobe à l’égard d’aucun peuple du monde. En revanche, ils proclament haut et fort que leur terre est la seule qu’ils possèdent en propre et que leur peuple ne saurait être mis en danger, volé, écrasé, dépossédé, chassé, déclassé par quelque étranger que ce soit sans riposte contre l’agresseur en état de légitime défense.

Aujourd’hui, l’Etat Français impérialiste utilise l’immigration du tiers-monde comme variable d’ajustement à sa politique de pillage. Il s’en sert cyniquement pour mettre en coupe réglée la Bretagne en la divisant de l’intérieur. Diviser pour régner, telle est la ligne impérialiste. C’est pour prévenir cette libanisation cynique que le Parti National Breton s’oppose radicalement à cette colonisation française par proxy que représente l’immigration de remplacement. Le Parti National Breton n’a que faire des bons sentiments : les bons sentiments ne font jamais une bonne politique. Le Parti National Breton n’a qu’une obligation, celle d’assurer la liberté et la pérennité du peuple breton. Avec le reste du fatras français en Bretagne, il met le catéchisme cosmopolite du pouvoir colonial au seul endroit qui lui convient : aux ordures.

Quimper : la maire socialiste Isabelle Assih lance une campagne pour repeupler la ville de colons parisiens

Quimper : la maire socialiste Isabelle Assih lance une campagne pour repeupler la ville de colons parisiens

Nouvelle provocation des socialistes français, cette fois à Quimper. La clique socialiste menée par l’amatrice d’exotisme Isabelle Assih, à la tête de la municipalité de Quimper depuis 2020, appelle à la colonisation pure et simple de la Cornouaille par les Parisiens.

Comme de juste, la presse d’état française somme le peuple breton de se taire et d’obéir, en pleine envolée spéculative des prix de l’immobilier sous l’effet de de la colonisation de peuplement française.

Exemple, avec la télévision d’état coloniale France 3 :

Notre analyse, déjà formulée pour la ville de Pontivy, elle aussi victime de la prédation de la bourgeoisie impérialiste française, doit être reproduite in extenso.

Il suffit de changer “Pontivy” par “Quimper” et “Christine Le Strat” par “Isabelle Assih” pour constater qu’elle s’applique à l’identique :

L’africanisation et la parisianisation de la ville ont atteint le stade du remplacement pur et simple de la population bretonne. C’est de cela dont il s’agit lorsque la presse d’état parle avec enthousiasme “d’augmentation” de la population.

Le peuple breton est pris dans la tenaille d’une double colonisation, résultat de l’impératif économique dicté par la bourgeoisie impérialiste française en Bretagne.

Par le bas via l’immigration extra-européenne de “compensation” exigée et organisée par la bourgeoisie française – son mandarinat politico-administratif et le patronat – qui en fait sa principale variable d’ajustement face à la dépression démographique autochtone. 

Par le haut avec l’installation de cette même bourgeoisie française prédatrice dans les villes bretonnes qu’elle peut racheter grâce à la plus-value que ce dumping migratoire constant lui procure.

Pour le peuple breton, c’est la double peine : évincement de ses terres historiques et tiers-mondisation de ses conditions de vie.

En Bretagne, colonisation de peuplement allogène et prédation bourgeoise française trouvent leur expression parfaite dans la célébration de la presse d’état à chaque annonce de la “croissance” de la population. Le peuple breton est ainsi prié par les plumitifs de l’impérialisme français de se féliciter à longueur d’articles de sa disparition, de son évincement social, culturel et économique de son propre pays. Comble de la perfidie de cette propagande anti-bretonne, toute opposition populaire bretonne à cette politique cannibale est diabolisée au prétexte hypocrite de “l’antiracisme”, arme idéologique de la bourgeoisie française pour disqualifier toute opposition à sa voracité.

Cette politique prédatrice nécessite, comme le souligne l’article, la collaboration active des politiciens compradore de la bourgeoisie locale. En l’occurrence, à Pontivy, celle du maire Christine Le Strat qui ne manque jamais une occasion d’exprimer sa totale servilité à l’endroit de l’Etat Français en arborant l’écharpe tricolore du pouvoir colonial. 

Rappelons que la bourgeoisie bretonne a systématiquement trahi le peuple breton au profit de l’Etat Français à travers les siècles. En échange de quelques miettes cédées par la grande bourgeoisie parisienne, elle a toujours été l’instrument de l’oppression française en Bretagne, tout particulièrement dans le domaine linguistique. Notre époque ne fait pas exception, mais il s’agit désormais d’une politique de colonisation intégrale et de nettoyage ethnique par procuration. A cet égard, faire preuve de faiblesse face aux suppôts locaux de Paris, politiques ou médiatiques, serait une grave erreur de jugement.

Le Parti National Breton fixe comme ligne non-négociable le primat de l’intérêt historique du peuple breton sur toutes les considérations prétendument “économiques” que dictent la bourgeoisie française et ses relais coloniaux en Bretagne. Il dénonce la politique de remplacement migratoire dont se glorifient les traîtres et réitère son dogme national : la Bretagne aux Bretons !

Face à la politique de nettoyage ethnique que mène la bourgeoisie française contre la nation bretonne, la nation bretonne, par la voix de son Parti, le Parti National Breton, riposte en état de légitime de défense et fixe comme objectif politique indissociable de la libération de la Bretagne l’expulsion de tous les étrangers indésirables du territoire breton. 

Le Parti National Breton appelle tous les Bretons à s’organiser en le rejoignant pour faire triompher la juste cause nationale face aux ennemis mortels de notre peuple. Car c’est de la survie du peuple breton qu’il est désormais question.

Face à l’alliance de la bourgeoisie impérialiste française et de la bourgeoisie comprador locale dont les socialistes sont le bras politique, la réponse du peuple breton doit être l’auto-défense nationaliste, la lutte contre la prédation étrangère et l’indépendance nationale.

Le Parti National Breton ne laissera pas les spéculateurs venus de France réduire la Bretagne à l’état de colonie, rendre impossible l’accès au logement pour les Bretons, seuls maîtres légitimes de la Bretagne, et les subordonner à des étrangers indésirables comme des domestiques dans leur propre pays. Le Parti National Breton, à Quimper comme ailleurs, ripostera par un seul et unique principe d’action et d’unité : la Bretagne aux Bretons.

Pour protester contre les agissement du gang socialiste quimpérois :

Email : [email protected]

Tél : 02 98 98 89 89 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Incendie en série à Lannion : le Parti National Breton appelle à l’expulsion des gangs ethniques

Incendie en série à Lannion : le Parti National Breton appelle à l’expulsion des gangs ethniques

Comme le prouve la vague d’incendies du 21 décembre 2021 à Ker Uhel (Lannion), l’anarchie et le crime générée par l’immigration extra-européenne n’épargnent plus aucune commune bretonne. 

Les médias d’état français opèrent une stricte censure de guerre sur l’origine ethnique de ces actes criminels. Cette censure de guerre vise à mener coûte que coûte le projet de remplacement de la population bretonne imposé par Paris.

Le Parti National Breton entend rappeler cette vérité cardinale : le parasitisme allogène doit être brisé par une méthodique politique d’expulsion à grande échelle. 

Le point n°2 de ses dix mesures d’application immédiate pour la Bretagne exige :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Un Etat Breton fondé sur les principes du nationalisme breton sera en mesure de parachever cette politique de reconquête bretonne de la Bretagne. Il renverra en masse les étrangers indésirables vers leur état d’appartenance : la France.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

A Nantes, le bilan effrayant de l’Etat Français et de ses partis politiques en matière de crime ne peut plus être dissimulé, même pas par la presse d’état loyaliste.

Toutefois, cette presse d’état impose la censure de guerre sur l’origine de la catastrophe : l’immigration extra-européenne, très majoritairement afro-musulmane, organisée par Paris en Bretagne.

Le Télégramme :

Cent cinquante-six fusillades recensées en trois ans. À Nantes, le trafic de stupéfiants génère de tels profits, et la concurrence est telle, que les places de deal s’arrachent désormais à coups de kalachnikov. Les pouvoirs publics tentent de briser cette dynamique mortifère.

Fin septembre, dans l’Ouest nantais. En ce mercredi après-midi, des ados tapent la balle sur un terrain de football pour leur entraînement hebdomadaire. Soudain, un tac-tac-tac-tac retentit dans les quartiers avoisinants. Comme un seul homme, l’équipe se fige. Difficile d’être catégorique, mais tous pensent à un tir de pistolet-mitrailleur. Un bruit qui deviendrait presque familier aux Dervallières, au Breil ou à Bellevue*, spots emblématiques du trafic de stupéfiants à Nantes.

*Enclaves afro-musulmanes formées par la politique de repeuplement imposée par l’Etat Français et le Parti Socialiste.

« Des coups de feu ? J’en entends au moins deux fois par mois », témoigne ce Nantais habitant à proximité de l’un de ces quartiers, qui assure « faire la différence entre un coup de feu de pistolet, avec son bruit sec, et un tir de feu d’artifice », sport devenu national, le soir venu.

« Ça s’est accéléré depuis deux ans, confie cette habitante de Bellevue, qui affirme ne plus vraiment y prêter attention. C’est le soir mais aussi en journée… » Comme ce mercredi, « jour des enfants », en plein après-midi, dans le quartier du Breil, au nord-ouest de Nantes, fin septembre dernier. Un individu descend d’une voiture et tire en rafale en direction de trois jeunes adultes assis sur un banc. Les trois seront blessés, dont l’un très grièvement. Depuis 2019, 156 fusillades ont été recensées dans la cité des ducs*, faisant cinq morts et une cinquantaine de blessés.

*Cité des Ducs de Bretagne, précision sciemment effacée par la propagande française pour détruire l’identité bretonne de Nantes.

Le phénomène se serait ancré ici, il y a cinq ans. La marque caractéristique d’un trafic de stupéfiants arrivé à un stade très avancé ? Le lot réservé à toute ville qui franchit le cap des 200 000 à 300 000 habitants ? C’est plutôt oui aux deux questions. Le patron de la PJ nantaise, le commissaire divisionnaire Marc Perrot, pointe aussi d’autres facteurs. Un : l’irruption d’une multitude d’équipes, « plus jeunes, peu réfléchies, impulsives, attirées par l’argent facile, dans un secteur devenu archi concurrentiel », et « un accès très facilité aux armes ». Deux : une « balkanisation » du trafic. « Avant, trois ou quatre équipes tenaient le marché, rapporte Marc Perrot. Aujourd’hui, on ne les compte plus. Certaines sont affiliées aux bandes historiques. Mais tout est brouillé. Dans un même quartier, on peut trouver des membres appartenant à plusieurs clans… et qui peuvent en changer au gré des stratégies et opportunités. »

Aucune mention de la véritable cause par la Police Judiciaire hexagonale : l’immigration non-blanche, africaine et musulmane.

Dans ce milieu, pas de tribunal de commerce pour trancher un litige commercial. Les enjeux financiers sont également devenus tels que les différends se règlent à coups de feu. Soit pour prendre une part de marché – un point de deal -, soit pour le défendre.

Impossible, pour autant, de comparer Nantes à Marseille, qui comptait 15 morts dans des règlements de comptes pour les seuls huit premiers mois de 2021 (un à Nantes).

« Et, à Nantes, on est davantage sur des violences armées que sur des règlements de comptes, relève Marc Perrot. Il y a peu de préparation. C’est souvent de la réaction à chaud, ou de la surenchère. » Les tireurs sont de plus en plus jeunes : 17 ans pour le plus jeune interpellé. « Ils ne savent pas se servir des armes qu’ils ont entre les mains (…). Ce n’est pas comme dans Gomorra (une série TV sur la mafia napolitaine ; NDLR). On ne leur dit pas : tiens voilà un flingue, va buter untel. Non, un de leurs chefs leur en donne en leur disant qu’ils sont menacés et que, s’il se passe un truc, ils devront s’en servir », rapporte une autre source policière. Résultat : ça défouraille à tout va, avec de très nombreuses balles perdues. « Au Breil, en septembre dernier, on en a retrouvé jusqu’en haut des arbres », rapporte Marc Perrot.

Le trafic a pris la ville, et tout retour en arrière semble jusqu’à présent vain. Même si des équipes tombent, si « chaque jour, les services de police nantais interpellent cinq à six personnes », si de nouveaux moyens ont été mis en œuvre et commencent à porter leurs fruits, le nombre de points de deal recensés à Nantes – une soixantaine – reste désespérément « stable ».

Sur le plan des règlements de comptes, la PJ a fait les siens. Depuis 2019, elle a interpellé 124 personnes, dont 55 ont été écrouées. Et 125 armes à feu ont été saisies, dont une majorité d’armes de calibre 9 mm et 7,62 mm (munitions de fusil d’assaut). À ce jour, une trentaine d’enquêtes sont toujours en cours.

Le Parti National Breton entend régler à la source la catastrophe sécuritaire en soldant la question ethnique générée par l’immigration de remplacement mise en place par l’Etat Français.

Le Parti National Breton restaurera l’ordre breton en Bretagne en procédant à une expulsion de masse de tous les étrangers indésirables vers leur état d’origine : la France.

Tous les Bretons qui veulent empêcher l’Etat Français de détruire la Bretagne par sa politique sauvage de remplacement ethnique doivent immédiatement rejoindre ses rangs.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

En Bretagne, les ravages du socialisme municipal français ne sont plus à détailler à l’opinion bretonne qui ne les connaît que trop bien : endettement massif, urbanisme désastreux et tiers-mondisation du peuplement, sur fond d’explosion de l’insécurité et de l’islamisme, en sont les conséquences les plus spectaculaires.

Le maire PS de Saint-Nazaire, David Samzun

La ville de Saint-Nazaire (Pays Nantais), sous la coupe du Parti Socialiste français depuis des décennies, illustre tristement ce qu’il advient des communes qui se laissent entraîner sur cette voie. Récemment, c’est la politique du logement pseudo social, réservée aux allogènes importés par l’Etat Français, qui met en lumière le désastre ethno-culturel créé par la gauche française.

France Bleu

11 agressions depuis le début de l’année. La plus marquante restera celle de cet agent, frappé par un trafiquant de drogue aux pieds des immeubles dans le quartier de la Trébale fin mai. Avec une triple fracture de la mâchoire et plusieurs mois d’arrêt, l’agent n’a repris le travail que récemment dans un autre quartier. Des coups, mais aussi des insultes, des menaces de mort, “c’est régulier et c’est oppressant pour nos agents qui vont sur le terrain, aux pieds des immeubles,” raconte Maïgwenn Guégan, directrice proximité qui encadre ces 74 travailleurs isolés pour Silène. Elle-même victime de menaces en 2019, elle a porté plainte, son agresseur a été condamné à 3 mois de prison ferme. Mais ces condamnations sont rares, même si à chaque fois, il y a un dépôt de plainte car il est toujours difficile d’identifier les agresseurs.

C’est pourquoi Silène, qui héberge un Nazairien sur 3, met en place un plan sécurité, une sorte de boîte à outils pour mieux protéger ses salariés. D’autant que la tension du marché, avec 5 mille candidats au logement social sur liste d’attente dont 3600 primo-arrivants, rajoute du sel sur les plaies. Dans les 7 centres d’accueil Silene, les agents aussi sont souvent pris à parti. Ils ont déjà un bouton directement relié avec la police, mais à partir de janvier, ces locaux seront également équipés de caméras de vidéo-surveillance. Le bailleur a mis 18 000 euros sur la table. Et les candidats au logement qui se comportent mal avec un agent sont exclus des listes pour 2 ans.

Le terme “primo arrivants” propre à la langue de bois du régime désigne en réalité les migrants extra-européens candidats à la colonisation de la Bretagne.

Avec 3,600 allogènes sur 5,000 candidats à l’accession d’un logement social, ces étrangers représentent le chiffre astronomique de 72% des demandes !

Cette véritable invasion prive les Bretons du droit de se loger chez eux et ce avec le plein appui de la municipalité PS de Saint-Nazaire ainsi que du gouvernement français.

Ce n’est pas tout. Les agents de terrain ont récemment reçu un boîtier, avec une dragone, relié à une plateforme de sécurité avec même un code secret pour dire “au secours”. Ce boîtier géolocalise l’agent, et si besoin, les forces de l’ordre peuvent intervenir. Autre mesure mise en place : la sécurisation des halls d’immeubles. Pour mieux lutter notamment contre les trafics de drogue et les guetteurs, l’office HLM a équipé plus de 200 entrées de digicodes et autres badges pour un montant d’1,5 millions d’euros. A propos de trafics de drogue, désormais quand un locataire est officiellement condamné, il est également expulsé de son logement pour trouble du voisinage. Une expulsion est actuellement en cours d’ailleurs, une locataire ayant été condamnée cet été.

“Nous n’avons pas de baguette magique mais nous faisons tout ce que nous pouvons en partenariat avec la Ville, la Police et la Justice” explique Xavier Perrin, président de Silène qui annonce lancer l’expérience de caméras de vidéoprotection dans les halls et les caves des 4 immeubles de Prézégat. Un quartier de Saint-Nazaire où une fusillade a éclaté fin septembre.

Enfin, à propos du vandalisme, 800 plaintes l’an dernier et 200 000 euros de réparations pour le bailleur, “l’équivalent de 7 logements neufs” déplore Sandrine Williamson, la directrice générale de Silène. “Mais par principe, on essaye de remplacer les vitres brisées, d’effacer les tags, car sinon, on donne l’impression d’une zone de non droit et là, ça peut se dégrader très très vite“. Et de rappeler que “c’est toujours une minorité qui pourrit la vie de la grande majorité, c’est aussi pour nos locataires qu’on a voulu réagir”.

La radio d’état française (France Bleu) opère une stricte censure du fait structurant derrière la situation décrite dans les résidences sociales : l’immigration extra-européenne de peuplement, très majoritairement afro-musulmane.

Il ne s’agit pas d’une “minorité”, mais des caractéristiques propres à ces populations inassimilables qui, partout où elles s’installent, recréent les conditions de sous-développement propres à leurs pays d’origine. Saint-Nazaire, pas plus que Brest ou Rennes, n’échappe au sort de Marseille.

Les chiens ne font pas des chats.

Plutôt que de dénoncer en termes clairs l’origine de ce désastre aux conséquences catastrophiques pour le peuple breton, la politique de la municipalité de gauche consiste à accompagner la progression de la sauvagerie en dépensant des millions d’euros qui sont autant de pansements sur la jambe de bois de l’immigration non-européenne.

Le Parti National Breton ne s’embarrasse pas d’euphémismes ou de formules prudentes, il va droit à l’essentiel, désigne la menace qu’affronte la nation bretonne et propose des solutions drastiques qui seules permettront de mettre un terme à la crise fondamentale que pose l’immigration de remplacement imposée par l’Etat Français.

Le Parti National Breton rappelle trois de ses dix exigences d’applications immédiates pour la Bretagne : 

1 – L’arrêt immédiat par les préfectures françaises de l’installation d’infiltrés clandestins dans les cinq départements bretons et l’arrêt immédiat par les collectivités territoriales (communes, départements et région) de toute subvention publique aux associations organisant l’infiltration du territoire breton par des migrants clandestins.

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

Ces exigences répondent à notre principe de gouvernement : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

Pour adhérer au PNB : [email protected]

 

Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Le paradis multiculturel promu par le Parti Socialiste français en Bretagne depuis des décennies n’en finit pas de se transformer en enfer multiethnique quotidien pour la population bretonne. Dernier exemple en date, la transformation de Quimper – ville sous la coupe de l’amatrice d’exotisme Isabelle Assih – en supermarché de la drogue, jusque dans son centre historique.

Immigration extra-européenne, tabou médiatique

On cherchera en vain, dans la presse d’état, le mot “immigration” pour expliquer cet empoisonnement parasitaire pourtant organisé par des criminels allogènes.

Le Télégramme :

Quimper, 10 septembre 2019. Le quartier de Kermoysan s’embrase. Une flambée de violences inédites qui va entraîner une hausse de la pression policière dans ce quartier défavorablement réputé pour être la plaque tournante du trafic de stupéfiants à Quimper.

Puis, le confinement va passer par là. Et mettre en lumière une autre problématique existant depuis des années et qui semble s’être accentuée ces derniers mois. Celle du trafic de drogues en plein cœur de ville (…) Des transactions quasi quotidiennes réalisées en plein jour et aux yeux de tous.

« D’année en année, ça monte crescendo », note Laure, une commerçante quimpéroise installée depuis près de dix ans dans le centre. Tous les jours, depuis sa vitrine, elle assiste, impuissante, à un va-et-vient régulier de jeunes qui « vendent des barrettes et de l’herbe à monsieur tout-le-monde. Et ce en toute impunité et à toute heure de la journée ».

Un trafic qui prend donc racine sur les pavés de l’hypercentre quimpérois. Notamment dans les ruelles étroites de la ville, comme la venelle du Poivre ou encore la rue de la Palestine.

« C’est plutôt cool pour eux. Ce sont des endroits très peu éclairés avec une entrée et une sortie. Ils peuvent se sauver facilement car les motos ou voitures de police peuvent difficilement les suivre », raconte Martin. « Ce sont les plus jeunes qui sont les plus dérangeants. Ils sont irrespectueux. Le soir, ils laissent leurs déchets partout ». 

Les horaires publics du point de deal dans le paradis multiculturel de la ville socialiste de Quimper

Après le temps de l’observation, vient celui de l’exaspération. « J’ai vécu près de 20 ans dans le centre de Quimper. Pour rien au monde, je ne voudrais réhabiter dans ce centre-ville qui s’est franchement dégradé au fil des années », affirme Laure, soulignant ne plus y être sereine. Désormais, son sac contient une bombe au gaz.

« La délinquance existe partout. Mais c’est vrai que l’on ne s’y attend pas en plein cœur de Quimper. C’est envahissant, gênant car ils sont souvent nombreux et bruyants. Et ils ne respectent rien ni personne. Je pense qu’il y a des choses qui pourraient être faites pour empêcher cela. Mais on sait très bien que ça ne fera que déporter le problème », conclut Martin, un brin pessimiste.

Les “jeunes”, tel est le pudique euphémisme consacré par les médias d’état hexagonaux pour ne pas utiliser le terme exact : allogènes afro-musulmans !

De la république au tiers-monde

Le Parti National Breton pour sa part se fixe pour première priorité de décrire dans les termes exacts les fléaux qui affectent le peuple breton soumis à l’occupation française, première étape de la restauration de l’ordre breton en Bretagne. Il ajoute qu’en étroite coopération avec l’Etat Français, les partis de gauche à la botte de Paris appliqueront invariablement sa politique de remplacement ethnique au profit des masses du tiers-monde qu’il importe frénétiquement. L’exemple quimpérois l’illustre jusqu’à l’absurde.

Tant que le régime républicain français et ses relais locaux administreront la Bretagne, celle-ci suivra l’évolution catastrophique de la France : remplacement ethnique, explosion de la criminalité, gangrène islamiste fulgurante. Il n’y a qu’une seule et unique solution : organiser partout la résistance ethno-nationale bretonne en vue de la restauration de l’Etat Breton, dernière planche de salut face au naufrage de la France afro-islamisée.

Les Bretons conscients de la menace existentielle qui pèse sur leur pays ne peuvent que rejoindre l’analyse du Parti National Breton. Le PNB les appelle à en tirer toutes les conclusions et à le rejoindre dans les plus brefs délais. Les partis bourgeois hexagonaux dont la caractéristique est la lâcheté et l’opportunisme ne feront que gérer la faillite jusqu’à l’effondrement final.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]