4 août 1532 : le coup d’état et l’annexion de la Bretagne par la France

[BREIZH] La Bretagne est légalement sous occupation française. Si cette réalité à elle seule ne suffit pas restaurer l’indépendance de la Bretagne, elle rappelle aux Bretons leur situation de nation occupée et leur droit inaliénable à l’autodétermination. Rappeler cette vérité de droit est une nécessité majeure face à la propagande d’état française qui présente encore cette annexion sanglante comme une “union” pacifique, ce d’autant plus que la marâtre française n’hésite jamais à se présenter comme garante du droit internationale.

Les Bretons ne sont pas français, ne l’ont jamais été, et si la répression et la propagande françaises ont tenté de le faire croire, l’entreprise est nulle et non avenue. Que l’on se rappelle la mort effroyable de 6,000 soldats bretons et alliés gallois, flamands, allemands pour la défense de l’indépendance bretonne.

Le texte suivant du Docteur Louis Mélennec rappelle que le 4 août 1532 fut un coup d’état français contre le gouvernement breton :

Trente années d’occupation effective du Duché par la France, annexé en fait, indépendant en droit, trois mariages franco-bretons (la duchesse Anne épouse deux rois de France en 1491, puis en 1499 ; sa fille Claude épouse François Ier, successeur de Louis XII, en 1515), n’ont guère avancé les affaires de la France en Bretagne : le pays est toujours souverain, en attente que le légitime héritier du trône soit couronné, en qualité de « seigneur naturel » de la Nation ; les Français ne font que tenir les leviers de commande, ce qui n’est pas la même chose : ils sont détestés, comme ils l’ont toujours été.

Les Bretons attendent l’évènement qui va permettre de se débarrasser de cette plaie : chasser les Français. A défaut d’avoir pu porter sur le trône de Bretagne Renée de France, soeur de la Duchesse Claude, deuxième enfant d’Anne de Bretagne et de Louis XII, les Bretons réclament Henry pour Duc, par acte notarié, dès la mort de sa mère la Duchesse Claude, car ils ne veulent en aucun cas pour souverain un prince étranger, surtout pas d’un prince français héritier du trône de France : si une telle hypothèse se réalisait, c’en serait fait de l’indépendance bretonne : la Bretagne serait ipso facto annexée par l’ennemi héréditaire. Ce que la Duchesse Anne, politique fine et avisée, avait toujours su, et voulu éviter avec une détermination féroce, jusqu’à son dernier souffle.

Les choses vont tourner autrement, à la grande colère des Bretons, exceptés les complices de l’opération et de ceux qui, pris dans les nasses françaises, menacés dans leurs biens, dans leurs familles, dans leurs perspectives de faire carrière honorable, ne peuvent se dégager des pressions dont ils sont victimes.

En 1532, avec le concours et sous l’effet des manipulations et des pressions exercées par le corrompu cardinal Duprat, Premier ministre-Chancelier de France, un faux « Traité » est censé être conclu entre les Bretons et le Roi de France, à Vannes.

C’est, en réalité, une imposture :

– Le roi François Ier de France se transporte en Bretagne, en mai 1532, dans un apparat impressionnant et menaçant, entouré de sa Cour (12,000 personnes, 12,000 chevaux), avec plusieurs milliers de soldats. Le Parlement général de Bretagne (les Etats de Bretagne) est convoqué à Vannes. Il se réunit le 4 août, dans un climat de peur et de frayeur. Le roi de France se loge avec les principaux de son entourage, au château de Suscinio, résidence d’été des ducs, prêt à intervenir en cas de nécessité.

– Aucune négociation n’est instaurée entre le roi de France et les délégués Bretons. Ceux – ci ne sont pas admis à nommer des ambassadeurs, ni à se mettre autour d’une table pour discuter les termes d’un accord éventuel. Plusieurs d’entre eux sont convoqués à Chateaubriand, ou le roi François Ier réside quelques jours, non pour élaborer un quelconque « traité », mais pour arrêter les détails de l’opération d’annexion, en la travestissant sous l’aspect d’un faux accord bilatéral, c’est à dire d’un traité apparent.

– Aucun texte commun n’est rédigé par les Bretons et les Français. Surtout pas ! Les Bretons veulent le départ des Français. Les Français ne veulent qu’une seule chose : dévorer la Principauté Haute et Noble de Bretagne.

– Les Bretons sont placés devant le fait accompli, sans aucun vote. Le 4 août, les députés, effrayés, sont convoqués à Vannes; la séance n’est pas dirigée par l’évêque de Vannes, président de droit, mais par Montejean, haut militaire français, qui se présente armé et botté. La séance est houleuse. On donne lecture publiquement d’une déclaration, aux termes de laquelle les Bretons sont censés solliciter, humblement, la réunion perpétuelle de la Bretagne avec … son ennemi millénaire, la France. C’est un scandale. Montejean, irrité par l’opposition des délégués de Nantes, descend de sa tribune, pour tenter de les rosser.

– Quelques jours plus tard, le roi de France promulgue un Edit, décrétant que le roi français a accepté la « prière » des Bretons, et que désormais, la Bretagne et la France sont unies indissolublement. Les Bretons n’ont rien sollicité, rien demandé, rien voté. Leur vœu le plus sûr – en dehors quelques seigneurs qui acceptent de se laisser corrompre, quelques évêques français nommés en Bretagne depuis la mort d’Anne de Bretagne, décédée dix-huit ans auparavant, et autres collabos -, est que les Français quittent le pays. Fait capital, le texte censé instrumentaliser ce prétendu Traité, est un édit, c’est à dire, non un acte bilatéral rédigé en commun par les deux parties, authentifié par leurs signatures, mais un acte unilatéral, rédigé et promulgué par la France seule : en d’autre termes, c’est une loi française, sans effet juridique possible en Bretagne, pays souverain.

L’imposture du mois d’août 1532, longtemps considérée comme un accord entre deux puissances souveraines, est aujourd’hui analysée clairement comme ce qu ‘elle est : un montage imposé par la France, sous la menace, dont la seule évocation indigne toute la Bretagne cinq siècles plus tard.

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Montoir-de-Bretagne : des colons français dénoncent le maire à la police du régime pour avoir arboré le drapeau breton sur la mairie

Montoir-de-Bretagne : des colons français dénoncent le maire à la police du régime pour avoir arboré le drapeau breton sur la mairie

[PNB] Dans le pays nantais, Thierry Noguet, maire de Montoir-de-Bretagne, a été dénoncé à la police française en raison du drapeau national breton arboré par la mairie !

Saint-Nazaire News

La position de la Loire-Atlantique en Bretagne ou non, n’a pas fini d’agiter pros ou antis rattachement. Et la position des drapeaux non plus… C’est la désagréable expérience vécue par Thierry Noguet, maire de la commune de Montoir-de-Bretagne en Loire-Atlantique, pour ne pas avoir respecté à la lettre le protocole.

Après avoir flotté en position centrale sur le parvis de la mairie, le drapeau breton a sagement retrouvé une place plus règlementaire. « Nous l’avions mis au milieu. Or dans le protocole, quand 3 drapeaux sont présents, le drapeau français doit occuper la place centrale. Des gens “bien intentionnés” ont téléphoné au commissariat de Saint-Nazaire » témoigne Thierry Noguet. Que dit la loi ? « les couleurs nationales tiennent la place d’honneur » dictent les textes. Au commissariat de Saint-Nazaire aussi c’est l’étonnement, mais devant l’insistance des délateurs, une action est engagée.

On frise l’incident diplomatique ! Les renseignements territoriaux entrent donc en jeu, et interviennent auprès du maire pour lui demander de respecter ni une ni deux la loi française. Le maire de Montoir-de-Bretagne s’est exécuté, mais a tenu à garder un souvenir de tout cet épisode. « J’ai laissé ma photo de profil Facebook avec le drapeau breton au milieu » s’amuse-t-il. 

Les colons français sentent la situation leur échapper dans le Pays Nantais où le sentiment national breton s’affirme toujours plus, ce qui se traduit par un vaste mouvement d’opinion en faveur de la réunification de la Bretagne. Leurs appels désespérés à l’État français n’y changeront rien. Le moment viendra où c’est le drapeau de l’occupant sera définitivement baissé partout sur le sol breton.

 

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Le Parti National Breton se félicite de la révolution au Niger contre le colonialisme français

Le Parti National Breton se félicite de la révolution au Niger contre le colonialisme français

[PNB] Après le Mali et le Burkina Faso, le Niger s’est à son tour révolté victorieusement contre l’impérialisme français et son fantoche, Mohamed Bazoum.

Le Parti National Breton, lui-même engagé dans la fin de l’occupation française de la Bretagne, se félicite de cette nouvelle défaite infligée au colonialisme français. Il exprime son soutien au nouveau gouvernement du Niger et espère que Paris évacuera rapidement et sans résistance les troupes françaises qui occupent encore actuellement le Niger.

Le Parti National Breton observe que la révolution panafricaine en cours contre le colonialisme français intervient au moment où les impérialistes français tentent de s’immiscer dans la grande région indo-pacifique avec pour objectif affiché de maintenir l’illusion du statut de grande puissance de la France entre la Chine et les USA. Cette entreprise hors de saison s’est accompagnée la semaine dernière d’une grotesque et surréaliste mise en scène colonialiste d’Emmanuel Macron en Nouvelle-Calédonie.

Désormais rattrapée par la disparition rapide de ce qui restait de son influence en Afrique, la France ne peut plus masquer la vérité sur la scène internationale : incapable d’assurer l’ordre dans ses rues, chassée d’Afrique, ses ambitions délirantes dans le Pacifique, sans rapport avec son rang, achèvent de la discréditer.

La nation bretonne doit méditer avec attention ces évolutions salutaires et travailler vers l’indépendance pleine et entière de la Bretagne.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Visite de Macron dans l’océan pacifique, l’impérialisme français entre arrogance et ridicule

[BRO C’HALL] La permanence de l’impérialisme français ne se dément pas, quitte à sombrer dans le ridicule.
Il y a 3 semaines, la cité-état hexagonale était mise à genoux par 250,000 émeutiers. Aujourd’hui Macron à la tête de ce pays de second ordre à l’agonie prétend faire jeu égal avec la Chine et les États-Unis.
“La chétive pécore s’enfla si bien qu’elle creva” (Le boeuf et la grenouille, Jean de La Fontaine).
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Vandalisme culturel, copinage, appel à l’immigration et à la censure : à Carnac, le renégat Chesnais-Girard se fait le chef de file des ennemis de la Bretagne

Vandalisme culturel, copinage, appel à l’immigration et à la censure : à Carnac, le renégat Chesnais-Girard se fait le chef de file des ennemis de la Bretagne

[PNB] Le Parti National Breton est consterné par le soutien apporté par Loïc Chesnais-Girard, mielleux président franco-socialiste du “Conseil régional de Bretagne”, au maire de Carnac, Olivier Lepick, responsable de la destruction d’un site mégalithique dentifié par l’INRAP en 2015. 

Cet acte de vandalisme culturel manifeste est une insulte au Peuple breton. Les menhirs de Carnac constituent un élément essentiel du patrimoine millénaire de la Bretagne et sont une source de fierté pour tous les Bretons.

En défendant par réflexe de caste Olivier Lepick, protégé, comme lui, de son prédécesseur Jean-Yves Le Drian, le félon Chesnais-Girard a montré qu’il n’avait aucun respect pour notre culture et notre patrimoine et prouvé qu’il était prêt à sacrifier notre histoire au nom du profit et du copinage.

Les grands principes hypocritement invoqués sur un ton mystique par un tel renégat ne trompent pas les Bretons. Les coupables ne sont pas ceux qui s’opposent au saccage de la Bretagne, mais les vandales défendus par Chesnais-Girard qui agissent en toute impunité. Sa dénonciation des défenseurs du patrimoine breton “coupables” de vouloir défendre la pureté bretonne – fait révélateur, la pureté étant selon les socialistes français un défaut et une perversion -, son invocation révélatrice du “mélange” racial et, en creux, de l’immigration massive pour délégitimer les Bretons sur leur terre, son appel, enfin, à l’Etat colonial français pour intensifier la censure et la répression contre ceux qui dénoncent les agissement de la caste dont Chesnais-Girard se fait le porte-parole, sont caractéristiques d’une couche politique parasitaire au service d’un état étranger qui redoute l’éveil ethnique du Peuple breton, prélude à sa libération.

Les Bretons savent ce que signifie l’invocation lénifiante du “mélange” et de “l’ouverture” par les caciques socialistes français : fusillades, viols, vols, meurtres et agressions sous l’effet de l’immigration non-européenne dont les villes sous gestion socialiste comme Brest, Nantes ou Rennes sont les désastreux témoins. 

Chesnais-Girard peut être fixé. Contrairement à ce laquais servile de la bourgeoisie cosmopolite parisienne, le Parti National Breton défendra avec détermination la pureté bretonne contre ceux qui, à Carnac comme à Paris, veulent avilir la Bretagne pour mieux la vendre à la découpe sans craindre de résistance.

L’ère française en Bretagne touche à sa fin. Répression et censure n’empêcheront pas la nation bretonne ne marcher avec détermination vers la liberté et l’honneur national retrouvés.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Mai 1945 : l’impérialisme français est mortellement blessée par l’alliance entre Japonais et nationalistes vietnamiens

[PNB] Pour les nationalistes bretons, l’étude des diverses résistances à l’impérialisme français est une école théorique et pratique indispensable. La défaite des forces impérialistes françaises en Indochine constitue à cet égard un évènement majeur puisqu’il déclenche l’effondrement complet du système colonial français à travers le monde malgré les tentatives de Paris de maintenir sa brutale domination.

Lancée en mars 1945 et achevée en mai, l’opération “Clair de lune” de l’armée japonaise, menée avec l’aide des nationalistes vietnamiens, précipite la destruction de l’administration coloniale dans l’ensemble de l’Indochine. Les cadres impérialistes sont arrêtés et liquidés par surprise, les garnisons coloniales encerclées et impitoyablement anéanties. L’action, planifiée avec intelligence, vise à annihiler tous les cadres français pour ne laisser aucune chance à l’impérialisme de reconstituer sa présence. 

Blessée à mort, la machine coloniale ne parviendra plus jamais à opérer en Asie, en dépit de la tentative du bandit Leclerc à la botte de De Gaulle, et la contre-offensive française s’achèvera en débâcle à Dien Bien Phu, 7 ans plus tard. Là aussi, les révolutionnaires vietnemiens s’assurent que l’occupant ne puisse relever la tête et détruisent tous ses chefs expérimentés. Cette débâcle entraîne immédiatement le soulèvement de l’Algérie occupée.

Cet exemple enseigne aux Bretons que l’écrasement de l’impérialisme français, pour être victorieux, ne doit pas s’embarrasser de sentimentalisme et doit exploiter toutes les alliances nécessaires au triomphe de la cause nationale.

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20 mai 1940 : le patriote flamand Joris Van Severen est assassiné par l’armée française

[PNB] Les nationalistes bretons se rappellent du patriote flamand Joris VAN SEVEREN, lâchement assassiné par les Français le 20 mai 1940. Flamands, Bretons, même ennemi, même combat !

🎧⚡️🔥 Pour écouter notre dernier podcast “Mouezh ar Vroad” (Mai 2023) cliquez sur ce lien : https://soundcloud.com/partinationalbreton/mouezh-ar-vroad-n6-miz-mae-mois-de-mai 

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Langue corse interdite à l’Assemblée de Corse : le Parti National Breton dénonce la fuite en avant d’un régime colonial en bout de course

Langue corse interdite à l’Assemblée de Corse : le Parti National Breton dénonce la fuite en avant d’un régime colonial en bout de course

[PNB] L’Etat français, par ses tribunaux et à l’initiative de l’ancien gouverneur colonial en Corse, Pascal Lelarge, a ordonné l’interdiction de l’usage de la langue corse lors des débats au sein de l’assemblée dite “territoriale” de l’île.

“Cette décision de justice et sa motivation ne font que confirmer la nécessité absolue d’une révision constitutionnelle, notamment pour garantir à la langue corse le statut de coofficialité, condition indispensable de sa survie et de son développement” ont réagi les élus nationalistes corses.

Pour le Parti National Breton, cette attaque frontale contre la nation corse initiée par le régime colonial français s’inscrit dans l’offensive générale contre l’ensemble des peuples encore sous occupation française. Qu’il s’agisse de la Kanaky, avec le sabotage par Paris du référendum d’autodétermination, de la campagne contre le drapeau national breton dans le Pays Nantais instiguée récemment par le parti présidentiel français ou de cette interdiction prononcée contre la langue corse, l’Etat français, gravement fragilisé par sa balkanisation migratoire, redouble d’agressivité contre les nations autochtones dont elle redoute la libération prochaine.

Le régime putréfié de Paris mènera jusqu’au bout sa guerre d’éradication contre les nations qui existaient avant lui et dont il craint de plus en plus, pour de bonnes raisons, qu’elles ne lui survivent. Ces attaques, loin de témoigner d’une position de force, démontre la précarité de la position de l’état colonial et la nécessité d’intensifier les efforts pour briser l’impérialisme français partout où il sévit encore même si ses jours sont comptés.

Le Parti National Breton exprime sa pleine solidarité avec le mouvement national corse ainsi que sa confiance dans la victoire finale du Peuple Corse contre l’oppresseur français.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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