Enfant violée à Nantes : le Parti National Breton exige la peine de mort pour les pédophiles !

Enfant violée à Nantes : le Parti National Breton exige la peine de mort pour les pédophiles !

[PNB] Alors qu’une fillette a été violée par un pédophile à Nantes, le Parti National Breton rappelle sa ferme intention d’instaurer la peine de mort dans le futur état breton.

CNews :

Les policiers ont interpellé un pédophile au terme d’une longue enquête, ce vendredi 26 août. L’homme, âgé de 49 ans, est soupçonné d’avoir enlevé puis violé une fillette de 11 ans qui attendait le bus, le 2 juillet dernier à Nantes.

Il s’était attaqué à une fillette, dans le quartier Malakoff à Nantes. Un quadragénaire a été interpellé ce vendredi 26 août, soupçonné d’avoir violé une petite fille de 11 ans, comme le rapporte Ouest France.

Une heure après l’enlèvement, l’homme aurait déposé la victime au même endroit avant de fuir. La petite fille a raconté son agression à sa mère, puis à la police.

Les examens médicaux pratiqués sur la petite fille ont mis en évidence les violences sexuelles qu’elle a subies. Une enquête a été ouverte dans la foulée pour enlèvement, séquestration et viol sur mineur de moins de 15 ans.

Des images de vidéosurveillance ainsi que des témoignages ont permis d’identifier une voiture, et d’interpeller le violeur présumé alors qu’il repassait dans ce même quartier.

L’homme, qui n’était pas connu des services de police et n’avait aucun lien avec la victime, a été placé en garde à vue dans les locaux de la sûreté départementale en charge de l’enquête.

Le Parti National Breton défend le principe d’automaticité de la peine de mort par pendaison dans les cas exposés dans son programme, sans possibilité d’être commuée :

  • Faire ou tenter de faire la guerre ou être complice de la guerre contre le gouvernement breton
  • Trahison au profit d’une puissance étrangère ou d’un groupe hostile à la nation bretonne et à son gouvernement
  • Pénétrer illégalement sur le territoire national breton 
  • Organiser l’infiltration illégale du territoire national breton au profit de ressortissants étrangers
  • Désertion
  • Piraterie mettant en danger la vie d’autrui
  • Complicité de mutinerie
  • Parjure entraînant l’exécution d’une personne innocente
  • Meurtre commis sur le territoire breton ou sur la personne d’un ressortissant breton
  • Provocation au suicide
  • Tentative de meurtre commise par un prisonnier purgeant une peine de prison à vie
  • Enlèvement en vue de commettre un meurtre
  • Vol qualifié entraînant la mort d’une personne 
  • Viol
  • Enlèvement d’enfant
  • Détention de drogue (500 grammes de cannabis, 15 grammes pour tout autre drogue)

Il est de la ferme conviction du Parti National Breton que les premières centaines d’exécutions entraîneront une réduction drastique des activités criminelles, faute de criminels pour les poursuivre, ceux-ci ayant été éliminés.

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Incendie criminel à Brocéliande : le Parti National Breton veut la peine de mort pour les incendiaires

Incendie criminel à Brocéliande : le Parti National Breton veut la peine de mort pour les incendiaires

[PNB] Après les Monts d’Arrée, un nouvel incendie d’origine criminelle frappe la Bretagne. La Forêt sacrée de Brocéliande a été ciblée par des pyromanes où un foyer a été allumé dans la nuit.

Pour le Parti National Breton, l’absence de peine exemplaire pour des actes à caractère terroriste comme le sont les incendies de masse explique le sentiment d’impunité qui précipite le passage à l’acte.

Un nouveau cadre légal doit être forgé pour la nation bretonne afin de restaurer un ordre pleinement breton en Bretagne. Le Parti National Breton a proclamé dans son programme sa ferme intention d’instaurer la peine de mort pour les crimes les plus graves dans le futur Etat breton. De tels actes entraîneront automatiquement la condamnation à la peine capitale pour les incendiaires.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

[PNB] La capitale bretonne a une nouvelle fois été le théâtre de l’ultra-violence des gangs ethniques implantés par l’Etat français dans la ville avec l’appui de la gauche coloniale hexagonale, représentée sur place par Johanna Rolland.

Cette violence, outre l’immigration extra-européenne, a pour racine le trafic de drogue.

Le Parti National Breton a une ligne programmatique claire pour la Bretagne nationalement redressée. Sous sa direction, l’Etat breton procèdera automatiquement à la condamnation à mort de tout individu arrêté en possession de drogue, à raison de 500 grammes pour le cannabis, et 15 grammes pour l’héroïne.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Viol d’enfant à Saint-Brieuc par un migrant afghan : le Parti National Breton instaurera le principe de punition ethnique collective

Viol d’enfant à Saint-Brieuc par un migrant afghan : le Parti National Breton instaurera le principe de punition ethnique collective

[PNB] L’Etat français, par l’immigration extra-européenne qu’il organise en Bretagne occupée, menace les enfants bretons et les jeunes femmes bretonnes. Dernier exemple à Saint-Brieuc où un violeur pédophile afghan a également essayé de violer deux jeunes Bretonnes, l’une d’entre elles ayant essayé de se suicider à 5 reprises.

Actu.fr :

Le 25 juin 2021, la cour d’assise de Saint-Brieuc condamnait un Afghan de 30 ans à 15 ans de réclusion criminelle pour le viol d’un petit garçon de 12 ans.

Des faits qui août 2018, avaient ému les riverains du parc des promenades.

Jeudi 7 juillet 2022, cet homme était extrait de sa cellule à Brest pour s’expliquer sur d’autres faits d’agressions sexuelles, commis il y a 4 ans dans la même ville.

C’est en toute décontraction, sourire aux lèvres, accompagné de son interprète, que le prévenu vient s’expliquer à la barre du tribunal correctionnel de Saint-Brieuc. On lui reproche des faits d’agression sexuelle et harcèlement sur deux jeunes filles mineures en 2018. Des faits survenus quelques jours avant le viol sur le petit garçon.

À la barre, il tente de se justifier : « Dans mon pays, il est normal d’avoir des relations sexuelles avec les jeunes garçons parce que les femmes sont inaccessibles. Quand je suis arrivé en France je ne connaissais pas vos lois, mais depuis j’ai appris que c’était interdit ».

Il débarque sur le territoire français en 2016, et pose ses valises à Saint-Brieuc en février 2018.

Sa première agression sexuelle, il va la commettre le 16 avril de la même année en abordant une jeune fille mineure rue Mansart à St-Brieuc. Prétextant avoir besoin d’aide dans un anglais approximatif, il va réussir à l’attirer dans sa chambre au sein d’un foyer, en prenant soin de fermer la porte à clés. La suite est racontée par la jeune victime.

“Il m’a plaquée au mur en me maintenant avec son genou, il était bien trop fort, j’essayais de résister, mais impossible de me dégager, il tentait de m’embrasser et d’arracher mes vêtements, j’étais terrorisée, il a fini par me dire que si je voulais partir je devais toucher son sexe. Quand je lui ai dit que j’appellerais la police, il a immédiatement ouvert la porte .

Quelques jours plus tard, la jeune victime était hospitalisée pour une tentative de suicide, elle recommencera ce geste de désespoir à 5 reprises.

« Je voulais la toucher un peu, mais elle ne voulait pas. Si c’était une fille correcte, elle ne serait pas montée dans ma chambre ». Assise juste derrière lui, la jeune fille est en pleurs en écoutant son bourreau la salir un peu plus…

Le 22 mai, c’est une autre jeune fille qui déposera plainte. Elle raconte son calvaire à la barre : « Il me disait Mademoiselle, mademoiselle, viens faire du sexe avec moi. Il était insistant et me poursuivait, j’avais très peur, j’ai prévenu mes parents qui ont appelé la police ».

“C’est vrai, j’ai bien dit ça, mais elle criait Dégage, dégage !, mais moi je ne comprenais pas ce mot.”

Maître Tabard intervient pour les victimes. « Le prévenu oppose aux 5 tentatives de suicide de la victime un large sourire, et c’est inacceptable, il n’a aucuns remords, aucun regret. »

Après une courte délibération, le tribunal condamne le prévenu à 3 ans ferme au regard de son comportement et refuse toutes demandes de confusion de peine.

Il devra exécuter ses 3 ans à suivre, ce qui porte le total à 18 années de prison. Une provision de 2000 € devra être versée aux parties civiles en attendant le renvoi sur intérêt civil qui est fixé au 3 février.

Le Parti National Breton rappelle inlassablement le danger existentiel que fait peser la submersion extra-européenne organisée par les Français sur le Peuple Breton. 

Parmi ses exigences d’application immédiate figure la 2ème exigence relative à la criminalité d’origine étrangère :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Pour les crimes les plus graves, le Parti National Breton entend appliquer une justice inflexible pour restaurer l’ordre en Bretagne, une fois celle-ci libérée de l’occupation française.

Comme pour les nationaux, le Parti National Breton veut instaurer la peine de mort par pendaison pour les individus de nationalité étrangère reconnus coupables de viol sur le territoire breton.

Fidèle à sa philosophie empirique ethno-différentialiste, le principe de responsabilité collective sera en outre appliqué par l’Etat breton aux populations non-européennes, par nature ataviquement inaccessibles à la notion de responsabilité individuelle, qui pourraient résiduellement se trouver sur le territoire national.  Face aux crimes commis, l’Etat breton instaurera un éventail de sanctions collectives graduées pour l’ensemble des individus de la même nationalité du coupable s’il est d’origine extra-européenne. A cet effet, l’intégralité des ressortissants étrangers non-européens auront l’obligation d’être enregistrés auprès du Ministère de la Sécurité Intérieure de l’Etat breton. Il en résultera une politique sécuritaire adaptée au profil ethno-culturel des intéressés, les ressortissants extra-européens exerçant la pression sociale interne requise sur l’ensemble des membres leur communauté d’appartenance.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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