[PNB] Cette semaine, la gauche française tentait de montrer qu’elle pouvait mobiliser les masses bretonnes sous sa direction.
Premièrement à Saint-Brévin, dans le Pays Nantais, en faveur de l’intensification de l’immigration afro-islamique en Bretagne. A peine 300 personnes se sont déplacées, pour une moyenne d’âge de 70 ans.
Deuxièmement à Carhaix, où le journal de gauche “Le Poher” prétendait avoir été l’objet de menaces suite à son militantisme radical en faveur de l’implantation de colons d’Afrique à Callac, en concertation avec les millionnaires parisiens Cohen. Environ 200 personnes se sont réunies, pour une moyenne d’âge de 70 ans, chiffre miraculeusement triplé par Ouest-France, corporatisme oblige en faveur du “Poher”.
À Carhaix, près de 600 personnes en soutien à la rédaction du « Poher », ce samedi #Finistère #Presse https://t.co/9j4LCdbdc3
— Ouest-France 29 (@OuestFrance29) February 25, 2023
Troisièmement à Pont l’Abbé en essayant de récupérer la colère des pêcheurs sacrifiés par le régime de Paris.
À Pont-l’Abbé, environ 600 personnes mobilisées pour la filière pêche
➡️ https://t.co/Y7tA0KyprK pic.twitter.com/QuaJIZLJm7— TélégrammePontl’Abbé (@TLGPontLAbbe) February 25, 2023
Le résultat est indiscutable : la gauche française est exsangue en Bretagne. Elle n’a ni énergie, ni jeunesse, et ne peut pas mobiliser en masse. En dépit de l’énorme écho donné en amont à ces actions par l’ensemble du bloc médiatique contrôlé par la gauche française, seuls les agents des partis, associations et syndicats qui en sont membres ont fait le déplacement. Le peuple breton brille par son absence. Ce constat est empirique et corroboré par les photos prises sur place par les médias précités qui, pourtant, s’assurent des meilleurs cadrages possibles pour donner le change.
Après deux siècles d’engagement, la gauche française est démographiquement vaincue en Bretagne, désormais beaucoup trop vieille et marginale pour constituer une force sociale capable de structurer le futur politique de notre pays. Le Peuple Breton a rompu avec l’ensemble des partis et organisations de la gauche française, en dépit de leur appel à l’action commune.
Que l’on ne s’y trompe pas, l’hyper agitation médiatique à laquelle nous assistons de la part d’une poignée de propagandistes rouges occupant radios et journaux ne permet, au mieux, que de créer un village Potemkine. Cette désertion est le fait politique majeur de notre époque.
Une nouvelle ère commence en Bretagne, sans les héritiers des égorgeurs de la révolution française.
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