Proclamation de Pontivy du Parti National Breton

Proclamation de Pontivy du Parti National Breton

[PNB] Le 17 décembre se sont assemblés à Pontivy les patriotes du Parti National Breton pour poser un acte de fondation par une proclamation solennelle.

Réunis au pied de la forteresse de Rohan, ses chefs ont lu la déclaration suivante :

“Il y a 232 ans, un groupe de Bretons sans mandat, aveuglés par une fausse idéologie, introduite en Bretagne par la France, se réunirent à Pontivy, avec des étrangers, et déclarèrent qu’ils n’étaient plus Bretons, mais Français.

Bien qu’ils fussent persuadés d’introduire ainsi une ère nouvelle en Bretagne, ils ouvrirent en réalité le chemin à la ruine et à la destruction de notre nationalité.

Nous, Patriotes Bretons, accourus aujourd’hui à Pontivy de toutes les parties de la Bretagne, proclamons devant le monde que notre seule Patrie est la BRETAGNE.

Nous jurons de défendre, dans toutes circonstances et envers tous, le droit des Bretons à vivre comme peuple libre.

Que Dieu nous protège pendant la lutte inlassable que nous ouvrons ici pour notre pays.”

Ils ont également donné lecture d’un discours du secrétaire national du Parti National Breton intitulé “La mission du Parti National Breton” dont voici le contenu : 

La mission du Parti National Breton est de sauver le peuple breton de la disparition. Cette tâche, qui incombe à notre Parti, suppose non seulement de réveiller la conscience nationale bretonne dans les masses, mais de la conduire à sa conclusion logique : la restauration de l’Etat breton et l’indépendance de la nation, conditions fondamentales de la préservation du peuple breton au 21e siècle. La restauration de notre état et de notre indépendance ne sont pas une coquetterie, mais une nécessité vitale pour le peuple breton. La France est entrée dans sa phase de déchéance finale et de cette phase, elle ne pourra pas se relever. La question est de savoir si elle entraînera ou non notre pays dans l’abîme.

Notre réponse, camarades, est non.

Quelles sont les manifestations de cette déchéance ? La première est la disparition de l’homogénéité de son peuplement et la balkanisation rapide de son territoire en une myriade d’enclaves ethniques et religieuses, résultat de la colonisation à rebours que connaît l’Etat français. La Bretagne étant encore une colonie française, elle connaît, elle aussi, de par l’occupation qu’elle subit, ce phénomène dans ses grandes villes et même ici, à Pontivy, cette menace se matérialise.

Ce bouleversement démographique n’est que le symptôme d’une dissolution anthropologique générale. Notre peuple risque rien de moins que de disparaître, s’il se complaît dans l’indifférence. Ne pas lutter contre cette mort lente qui ronge notre patrie, c’est accepter de la voir disparaître après des millénaires de transmission et de combats menés par notre ancêtres. Tant que la Bretagne sera sous le joug de l’Etat français et d’une clique de politiciens à la botte de Paris, elle suivra la pente mortelle qu’a déjà emprunté la France.

Soyons concrets : la France sera à majorité extra-européenne d’ici 2060, au plus tard. La situation est déjà intenable dans nos villes, comme à Nantes, Rennes ou Brest. Il suffit à chacun d’imaginer, d’ici à 2060, c’est-à-dire d’ici 37 ans, la moitié d’une vie d’homme, ce que sera la longue agonie d’une Bretagne abandonnée par ses fils à l’étranger. Cela, le Parti National Breton n’en veut pas. Il veut doter le peuple breton de l’état nationaliste nécessaire à sa survie, au 21e siècle, pour régler cette question une fois pour toute et assurer à la Bretagne la continuité biologique de son peuple. En un mot, sa survie.

Il était une évidence pour le Parti National Breton de rassembler ses militants et sympathisants là où, il y a 82 ans, les pères fondateurs de l’Emsav ont défié avec lucidité la République française qui était déjà lancée sur le chemin de la disparition que nous connaissons aujourd’hui. Le choix de Pontivy, à l’époque, se justifiait pour balayer symboliquement le pacte des révolutionnaires réunis cette ville, en 1790, qui jurèrent de détruire la Bretagne. Il fallait à l’époque, plus encore qu’aujourd’hui, une puissante clairvoyance, et encore plus de courage, pour affirmer, comme le firent Fransez Debauvais, Olier Mordrel, Marcel Guiyesse et Célestin Lainé, l’impérative liberté de la Bretagne pour conjurer le naufrage. Ils avaient raison trop tôt, alors qu’il était déjà très tard.

Si la France est condamnée à devenir un foyer de la barbarie afro-orientale, véritable bastion de l’islam en Europe, la Bretagne dispose encore des moyens de préserver son être national, de revivifier sa culture celtique, à la condition que son avant-garde nationaliste, représentée par le Parti National Breton, sache réveiller le sentiment national breton dans les masses, les organiser et en faire la force motrice du salut de la nation par la constitution de l’Etat breton. Ce réveil passe par l’organisation méthodique de l’action nationaliste. Cela implique pour le Parti National Breton de se construire en parti révolutionnaire professionnel, c’est-à-dire en parti hiérarchisé, discipliné qui, sans méconnaître l’immensité de la tâche, sait que les circonstances objectives sont désormais réunies pour qu’une part importante de Bretons sortent de leurs illusions, rompent leur sujétion mentale à l’égard de la marâtre française et forgent leur nouvel état.

La situation est simple : le Parti National Breton affronte la totalité des partis français et l’Etat français lui-même. Sa force, c’est celle qu’il sera capable de susciter par son action dans l’esprit et le coeur des masses bretonnes. Les militants et sympathisants du PNB ne doivent pas se laisser impressionner : toutes les grandes tâches ont été entreprises par une poignée d’hommes. Ayant commencé à peu, nous sommes désormais, après douze mois d’action, des dizaines à agir au sein du PNB pour notre pays. Nous voulons être bien plus pour élargir la lutte. Le Parti National Breton doit mobiliser la partie patriotique du peuple breton, c’est-à-dire celle qui a encore la mémoire de son sang, qui représente désormais un Breton sur cinq, et l’organiser politiquement pour qu’elle fasse ce que d’autres nations font en ce moment même en Europe, qu’il s’agisse de la Catalogne ou de l’Ecosse, pour se dégager de la tutelle d’états pourris, voués à la faillite, au chaos et à l’anarchie. Les Bretons, en prenant conscience de leur nationalité et de leur cohésion ethnique, doivent parvenir à la conclusion que seul le Parti National Breton, et à travers lui, demain, l’Etat breton, est en mesure de prendre les mesures radicales qui s’imposent pour assurer la survie du peuple breton.

Le Parti National Breton doit amplifier son effort en élargissant considérablement sa base militante et en établissant une présence organisée partout en Bretagne. Cette base, encore jeune, n’est rien moins que celle de l’Etat breton qui doit en découler. Nous sommes tous des combattants de l’Etat breton. Cela suppose pour le Parti National Breton de recruter en allant partout à la rencontre du peuple breton, de chercher en son sein les éléments nationalisés et d’en nationaliser de nouveaux, et sur cette base, de lancer la révolution bretonne qui doit aboutir à la libération complète de la Bretagne et à la création d’un état nationaliste qui inverse la spirale de la disparition qui frappe notre peuple.

Les Bretons, n’en doutez pas camarades, attendent une phase nouvelle de leur histoire, une phase nationale, dégagée de la France pourrissante. Ce sentiment est encore confus, mais réel. C’est au Parti National Breton de le leur offrir, par la voix et l’action de ses militants, le chemin pratique vers cette phase nouvelle.

Nous avons encore beaucoup à apprendre, beaucoup à faire, mais l’horizon est dégagé, le but est clair, la volonté intégrale. L’alternative, nous le savons, n’est rien moins que la destruction de notre terre et de notre peuple.

Nous serons à la hauteur, car nous n’avons pas le droit d’échouer.

Bevet Breizh !

Breizh Atav ! 

Le Parti National Breton appelle les patriotes bretons à le rejoindre pour mener à bien le combat pour la restauration de l’Etat breton dont dépend la survie de notre peuple.

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Immigration à Pontivy : venu de Roubaix, Saïd essaie de violer un enfant de 4 ans

Immigration à Pontivy : venu de Roubaix, Saïd essaie de violer un enfant de 4 ans

[PNB] Nouvel exemple des ravages de l’immigration extra-européenne dans le pays de Pontivy où l’AMISEP, une organisation para gouvernementale française, continue de mener une agressive politique de remplacement de population contre le peuple breton.

Le Télégramme :

Un quadragénaire était jugé, ce mardi 5 avril au tribunal de Lorient, en comparution immédiate. Il avait à répondre d’une agression sexuelle sur un garçonnet de quatre ans, commise dans le pays de Pontivy.

Ce mardi 5 avril, un homme de 44 ans, originaire de Roubaix, était jugé en comparution immédiate, devant le tribunal de Lorient, pour agression sexuelle. Des faits qui datent du 15 février. Ce jour-là, une mère de famille s’absente brièvement de chez elle et laisse le benjamin de la fratrie, un garçonnet de 4 ans, sous la surveillance d’un ami qu’elle héberge depuis trois mois. Une fois de retour, 20 minutes plus tard, elle retrouve son enfant dans une chambre à l’étage, en train de remonter son pantalon. Face à lui, accroupi, le quadragénaire.

Devant le tribunal de Lorient, ce mardi, le nordiste dit avoir répondu à une pulsion et « avoir eu envie de l’enfant ». Il ajoute que c’est la première fois que cela lui arrive.

Comme il le répétera ensuite aux gendarmes, l’enfant explique à sa mère que l’homme « lui a touché le zizi et les fesses ». Des mots qui provoquent, chez le procureur-adjoint Bastien Diacono, « une frayeur rétrospective sur ce qu’il se serait passé si la mère de famille ne l’avait pas surpris ». « Une maman, explique Chantal Pellier-Bihouis, son avocate, qui se culpabilise d’avoir fait entrer le loup dans la bergerie et de lui avoir tendu la main », en faisant référence à la situation de son ami, en situation d’errance alors qu’elle le croise fortuitement lors d’un déplacement dans sa ville natale du nord de la France. Prise d’empathie, elle propose de l’aider à se réinsérer et l’accueille alors à son domicile.

Des faits d’agression sexuelle qui valent 18 mois de prison ferme à Said Khiter, avec un suivi socio-judiciaire de cinq ans. Le tribunal de Lorient y ajoute une obligation de soins et des interdictions de contact avec la victime et sa famille ainsi que de séjour dans le Morbihan. Une peine d’inéligibilité de cinq ans est prononcée et son inscription au fichier national des délinquants sexuels ordonnée. Détenu depuis les faits, il a été reconduit à la maison d’arrêt pour l’exécution de sa peine. Il devra verser 3 000 € de dommages et intérêts à la mère de famille, pour elle et son fils.

Le Parti National Breton exige la mise en oeuvre du point n°2 de ses 13 mesures d’application immédiate pour la Bretagne : 

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

L’immigration doit cesser immédiatement dans les cinq départements bretons et les allogènes être expulsés vers la France. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du PNB

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