Fermeture des urgences de Carhaix : se mobiliser pour une politique de santé bretonne indépendante !

[PNB] Le Parti National Breton dénonce la fermeture des urgences de l’hôpital de Carhaix imposée par l’État français. Cette décision, qui s’inscrit dans un contexte de sous-financement chronique de l’hôpital public breton, est une nouvelle preuve d’une politique cynique de saignée financière de la Bretagne par l’État central français.

La fermeture des urgences de Carhaix est un danger pour la santé des habitants du Centre-Bretagne. Elle va obliger les personnes en situation d’urgence à se rendre dans d’autres hôpitaux, très éloignés.

Cette fermeture est également un coup dur pour l’économie locale. L’hôpital de Carhaix est un employeur important dans la région, et sa fermeture va entraîner la perte d’emplois et la diminution de l’activité économique.

Le Parti National Breton que la Bretagne a besoin d’un hôpital public fort et accessible à tous.

La Bretagne indépendante, une nécessité

La fermeture des urgences de Carhaix est un exemple de plus de l’incapacité de l’État français à répondre aux besoins des Bretons. Elle montre que la Bretagne doit devenir indépendante pour pouvoir décider de son propre destin.

Une Bretagne dirigée par un état breton indépendant serait en mesure de garantir un accès à la santé de qualité pour tous ses habitants, quel que soit leur lieu de résidence. Elle serait également en mesure de développer son propre système de santé, adapté aux besoins spécifiques de la population bretonne.

Au delà de la lutte pour une politique de santé juste et équitable, le Parti National Breton appelle les Bretons à se mobiliser pour l’indépendance de la Bretagne. L’indépendance est la seule solution pour garantir le bien-être de la population bretonne et pour assurer son avenir.

Quimper : le PNB exige le retour du drapeau breton retiré au profit du drapeau ukrainien !

Quimper : le PNB exige le retour du drapeau breton retiré au profit du drapeau ukrainien !

[PNB] C’est avec indignation que les Bretons ont découvert que leur bannière nationale, le Gwenn ha Du, a été retirée du fronton de la mairie de Kemper (Quimper) au profit du drapeau ukrainien. 

En choisissant de sacrifier le drapeau national breton au profit de celui d’un état étranger tout en laissant flotter le drapeau de la puissance coloniale française ainsi que celui de l’Union Européenne, la municipalité quimpéroise démontre que son soutien à la souveraineté des nations qu’elle veut ainsi mettre en scène ne s’applique pas aux nations que la France occupe à l’instar de la Bretagne.

La confortable dénonciation de “l’impérialisme russe”, à des milliers de kilomètres de l’Ukraine, accompagnée d’une obséquieuse servilité à l’endroit de l’impérialisme français en Bretagne démontre l’hypocrisie des agents de l’Etat français qui composent la majorité municipale. Courageux par procuration en Ukraine, mais soumis en Bretagne !

Le Parti National Breton dénonce cette décision prise sans consultation des Quimpérois. Elle témoigne de l’hostilité qui anime la majorité franco-socialiste Isabelle Assih à l’encontre la nation bretonne. En réduisant le drapeau national breton à une simple option que l’on peut faire disparaître des bâtiments officiels au gré des lubies de politiciens en manque d’attention médiatique, un grave précédent est posé que le régime colonial français ne manquera pas d’exploiter cyniquement contre le Peuple Breton.

Le Parti National Breton exige que le drapeau national de la Bretagne soit immédiatement remis à sa place légitime sur le fronton de la mairie de Kemper (Quimper), ainsi que de toutes les mairies qui insulteraient l’honneur de la nation bretonne en outrageant sa bannière. Il appelle les Bretons à le faire savoir en s’adressant directement à la municipalité quimpéroise :

Tél. 02 98 98 89 89

Fax 02 98 95 27 93

Email : [email protected] 

Le Parti National Breton affirme ensuite que le moment est venu pour le drapeau de l’occupant français d’être retiré de tous les bâtiments officiels en Bretagne. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Les logements bretons aux Bretons : action du Parti National Breton contre les résidences secondaires en Cornouaille !

Les logements bretons aux Bretons : action du Parti National Breton contre les résidences secondaires en Cornouaille !

[PNB] Le Parti National Breton poursuit sa campagne pour l’exclusivité du logement breton pour les Bretons. Après le Léon, le Trégor, le Pays de Saint-Brieuc, le Pays de Rennes, le Porhoët, c’est la Cornouaille, dans le secteur de Quimper / Quimperlé qui a été activement couverte par les militants nationalistes. 

Un seul mot d’ordre : stop à la colonisation française, les logements bretons pour les Bretons !

Ne restez pas spectateur, agissez pour votre avenir et celui de votre peuple !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Quimper : un migrant clandestin devant être expulsé tente d’assassiner un passant au couteau

Quimper : un migrant clandestin devant être expulsé tente d’assassiner un passant au couteau

[PRESSE] Nouveau miracle multiculturel à Quimper, ville sous domination socialiste française où l’immigration clandestine est devenue endémique et, avec elle, les richesses traditionnelles que ces populations charrient.

Ouest-France :

Interpellé à Quimper (Finistère), en train de poursuivre un homme avec un couteau, un homme de 33 ans devait purger six mois de prison pour des faits qui n’ont pas été précisés. Il a été placé en détention à la maison d’arrêt de Brest (Finistère).

Dans la nuit du mercredi 11 mai au jeudi 12 mai 2022, les policiers ont été appelés rue Élie-Fréron, à Quimper (Finistère), pour une personne, munie d’un couteau, qui courait après une autre.

Il se trouve que cet homme de 33 ans devait purger six mois de prison pour des faits qui n’ont pas été précisés. Il a été placé en détention à la maison d’arrêt de Brest.

Placé en garde à vue pour détention d’arme, il est par ailleurs sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français étant en situation irrégulière.

La Bretagne sous occupation française est transformée en déchèterie multi-ethnique par Paris. La gauche hexagonale facilite son action.

Le Parti National Breton entend y mettre bon ordre en application de son exigence immédiate n°2 pour la Bretagne qui prévoit :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Pour le Peuple Breton, il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard, c’est-à-dire avant qu’il ne devienne minoritaire sur sa terre.

La seule solution qui s’offre à chaque Breton est de rejoindre au plus vite le Parti National Breton, pour organiser la libération de notre patrie du joug étranger.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Immigration française : fusillade dans le centre de la ville socialiste de Quimper

Immigration française : fusillade dans le centre de la ville socialiste de Quimper

[PNB] Nouvel épisode de la mise en œuvre de la société multiraciale par l’Etat Français en Bretagne occupée, une fusillade a eu lieu dans le centre de Quimper, ville sous contrôle du Parti Socialiste français. Les protagonistes sont bien entendu “défavorablement connus”.

Valeurs Actuelles :

Cohue dans les rues de Quimper. Mardi 29 mars, une course-poursuite a eu lieu dans cette ville du sud du Finistère, rapporte Ouest-France. Vers 15 heure 45, des coups de feu ont éclaté dans le centre-ville. Un véhicule Dacia de couleur rouge venait de refuser de subir un contrôle par une patrouille de police. « Une voiture a circulé à contresens sur les quais, côté boulevard de Kerguelen, du côté de La Poste », ont expliqué des témoins. La voiture folle finira par être arrêtée, non sans avoir essuyé des coups de feu de la part d’un policier en passant à vive-allure devant le commissariat.

Un important dispositif policier a été déployé pour appréhender les fuyards. « Des motards, des fourgons… Je n’ai jamais vu un tel déploiement de policiers », a raconté une dame. À l’intérieur du véhicule, deux adolescents, un garçon et une fille. Ils ont immédiatement été emmenés au commissariat. La voiture serait un véhicule volé en 2002, et les deux jeunes, connus des services de police. Aucun blessé n’est à déplorer. À ce stade, ni la police ni le parquet n’ont voulu commenter cette affaire.

“Connus des services de police” est un des euphémismes employés par la presse d’état hexagonale pour désigner les criminels allogènes. L’objectif des médias aux ordres de Paris est de dissimuler à l’opinion bretonne l’origine ethnique de la criminalité de masse, la bourgeoisie française et l’état colonial voulant poursuivre leur plan de remplacement de la population bretonne par des supplétifs afro-musulmans sans entraîner de résistance populaire.

Le Parti National Breton n’entend pas débattre de la cause de l’explosion du crime en Bretagne qu’est l’immigration extra-européenne.

Le Parti National Breton se focalise sur son programme en la matière, tout particulièrement sur le point n°2 de ses 13 exigences d’application immédiate :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton

Le Parti National Breton continuera de mobiliser l’opinion bretonne contre le péril existentiel que représente l’Etat Français et sa politique de remplacement de population en Bretagne. Le peuple breton ne retrouvera pas la paix tant qu’un seul mètre carré du territoire breton n’aura pas été libéré de l’occupant français et des prurits qu’il apporte naturellement avec lui.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Quimper : la maire socialiste Isabelle Assih lance une campagne pour repeupler la ville de colons parisiens

Quimper : la maire socialiste Isabelle Assih lance une campagne pour repeupler la ville de colons parisiens

Nouvelle provocation des socialistes français, cette fois à Quimper. La clique socialiste menée par l’amatrice d’exotisme Isabelle Assih, à la tête de la municipalité de Quimper depuis 2020, appelle à la colonisation pure et simple de la Cornouaille par les Parisiens.

Comme de juste, la presse d’état française somme le peuple breton de se taire et d’obéir, en pleine envolée spéculative des prix de l’immobilier sous l’effet de de la colonisation de peuplement française.

Exemple, avec la télévision d’état coloniale France 3 :

Notre analyse, déjà formulée pour la ville de Pontivy, elle aussi victime de la prédation de la bourgeoisie impérialiste française, doit être reproduite in extenso.

Il suffit de changer “Pontivy” par “Quimper” et “Christine Le Strat” par “Isabelle Assih” pour constater qu’elle s’applique à l’identique :

L’africanisation et la parisianisation de la ville ont atteint le stade du remplacement pur et simple de la population bretonne. C’est de cela dont il s’agit lorsque la presse d’état parle avec enthousiasme “d’augmentation” de la population.

Le peuple breton est pris dans la tenaille d’une double colonisation, résultat de l’impératif économique dicté par la bourgeoisie impérialiste française en Bretagne.

Par le bas via l’immigration extra-européenne de “compensation” exigée et organisée par la bourgeoisie française – son mandarinat politico-administratif et le patronat – qui en fait sa principale variable d’ajustement face à la dépression démographique autochtone. 

Par le haut avec l’installation de cette même bourgeoisie française prédatrice dans les villes bretonnes qu’elle peut racheter grâce à la plus-value que ce dumping migratoire constant lui procure.

Pour le peuple breton, c’est la double peine : évincement de ses terres historiques et tiers-mondisation de ses conditions de vie.

En Bretagne, colonisation de peuplement allogène et prédation bourgeoise française trouvent leur expression parfaite dans la célébration de la presse d’état à chaque annonce de la “croissance” de la population. Le peuple breton est ainsi prié par les plumitifs de l’impérialisme français de se féliciter à longueur d’articles de sa disparition, de son évincement social, culturel et économique de son propre pays. Comble de la perfidie de cette propagande anti-bretonne, toute opposition populaire bretonne à cette politique cannibale est diabolisée au prétexte hypocrite de “l’antiracisme”, arme idéologique de la bourgeoisie française pour disqualifier toute opposition à sa voracité.

Cette politique prédatrice nécessite, comme le souligne l’article, la collaboration active des politiciens compradore de la bourgeoisie locale. En l’occurrence, à Pontivy, celle du maire Christine Le Strat qui ne manque jamais une occasion d’exprimer sa totale servilité à l’endroit de l’Etat Français en arborant l’écharpe tricolore du pouvoir colonial. 

Rappelons que la bourgeoisie bretonne a systématiquement trahi le peuple breton au profit de l’Etat Français à travers les siècles. En échange de quelques miettes cédées par la grande bourgeoisie parisienne, elle a toujours été l’instrument de l’oppression française en Bretagne, tout particulièrement dans le domaine linguistique. Notre époque ne fait pas exception, mais il s’agit désormais d’une politique de colonisation intégrale et de nettoyage ethnique par procuration. A cet égard, faire preuve de faiblesse face aux suppôts locaux de Paris, politiques ou médiatiques, serait une grave erreur de jugement.

Le Parti National Breton fixe comme ligne non-négociable le primat de l’intérêt historique du peuple breton sur toutes les considérations prétendument “économiques” que dictent la bourgeoisie française et ses relais coloniaux en Bretagne. Il dénonce la politique de remplacement migratoire dont se glorifient les traîtres et réitère son dogme national : la Bretagne aux Bretons !

Face à la politique de nettoyage ethnique que mène la bourgeoisie française contre la nation bretonne, la nation bretonne, par la voix de son Parti, le Parti National Breton, riposte en état de légitime de défense et fixe comme objectif politique indissociable de la libération de la Bretagne l’expulsion de tous les étrangers indésirables du territoire breton. 

Le Parti National Breton appelle tous les Bretons à s’organiser en le rejoignant pour faire triompher la juste cause nationale face aux ennemis mortels de notre peuple. Car c’est de la survie du peuple breton qu’il est désormais question.

Face à l’alliance de la bourgeoisie impérialiste française et de la bourgeoisie comprador locale dont les socialistes sont le bras politique, la réponse du peuple breton doit être l’auto-défense nationaliste, la lutte contre la prédation étrangère et l’indépendance nationale.

Le Parti National Breton ne laissera pas les spéculateurs venus de France réduire la Bretagne à l’état de colonie, rendre impossible l’accès au logement pour les Bretons, seuls maîtres légitimes de la Bretagne, et les subordonner à des étrangers indésirables comme des domestiques dans leur propre pays. Le Parti National Breton, à Quimper comme ailleurs, ripostera par un seul et unique principe d’action et d’unité : la Bretagne aux Bretons.

Pour protester contre les agissement du gang socialiste quimpérois :

Email : [email protected]

Tél : 02 98 98 89 89 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Le paradis multiculturel promu par le Parti Socialiste français en Bretagne depuis des décennies n’en finit pas de se transformer en enfer multiethnique quotidien pour la population bretonne. Dernier exemple en date, la transformation de Quimper – ville sous la coupe de l’amatrice d’exotisme Isabelle Assih – en supermarché de la drogue, jusque dans son centre historique.

Immigration extra-européenne, tabou médiatique

On cherchera en vain, dans la presse d’état, le mot “immigration” pour expliquer cet empoisonnement parasitaire pourtant organisé par des criminels allogènes.

Le Télégramme :

Quimper, 10 septembre 2019. Le quartier de Kermoysan s’embrase. Une flambée de violences inédites qui va entraîner une hausse de la pression policière dans ce quartier défavorablement réputé pour être la plaque tournante du trafic de stupéfiants à Quimper.

Puis, le confinement va passer par là. Et mettre en lumière une autre problématique existant depuis des années et qui semble s’être accentuée ces derniers mois. Celle du trafic de drogues en plein cœur de ville (…) Des transactions quasi quotidiennes réalisées en plein jour et aux yeux de tous.

« D’année en année, ça monte crescendo », note Laure, une commerçante quimpéroise installée depuis près de dix ans dans le centre. Tous les jours, depuis sa vitrine, elle assiste, impuissante, à un va-et-vient régulier de jeunes qui « vendent des barrettes et de l’herbe à monsieur tout-le-monde. Et ce en toute impunité et à toute heure de la journée ».

Un trafic qui prend donc racine sur les pavés de l’hypercentre quimpérois. Notamment dans les ruelles étroites de la ville, comme la venelle du Poivre ou encore la rue de la Palestine.

« C’est plutôt cool pour eux. Ce sont des endroits très peu éclairés avec une entrée et une sortie. Ils peuvent se sauver facilement car les motos ou voitures de police peuvent difficilement les suivre », raconte Martin. « Ce sont les plus jeunes qui sont les plus dérangeants. Ils sont irrespectueux. Le soir, ils laissent leurs déchets partout ». 

Les horaires publics du point de deal dans le paradis multiculturel de la ville socialiste de Quimper

Après le temps de l’observation, vient celui de l’exaspération. « J’ai vécu près de 20 ans dans le centre de Quimper. Pour rien au monde, je ne voudrais réhabiter dans ce centre-ville qui s’est franchement dégradé au fil des années », affirme Laure, soulignant ne plus y être sereine. Désormais, son sac contient une bombe au gaz.

« La délinquance existe partout. Mais c’est vrai que l’on ne s’y attend pas en plein cœur de Quimper. C’est envahissant, gênant car ils sont souvent nombreux et bruyants. Et ils ne respectent rien ni personne. Je pense qu’il y a des choses qui pourraient être faites pour empêcher cela. Mais on sait très bien que ça ne fera que déporter le problème », conclut Martin, un brin pessimiste.

Les “jeunes”, tel est le pudique euphémisme consacré par les médias d’état hexagonaux pour ne pas utiliser le terme exact : allogènes afro-musulmans !

De la république au tiers-monde

Le Parti National Breton pour sa part se fixe pour première priorité de décrire dans les termes exacts les fléaux qui affectent le peuple breton soumis à l’occupation française, première étape de la restauration de l’ordre breton en Bretagne. Il ajoute qu’en étroite coopération avec l’Etat Français, les partis de gauche à la botte de Paris appliqueront invariablement sa politique de remplacement ethnique au profit des masses du tiers-monde qu’il importe frénétiquement. L’exemple quimpérois l’illustre jusqu’à l’absurde.

Tant que le régime républicain français et ses relais locaux administreront la Bretagne, celle-ci suivra l’évolution catastrophique de la France : remplacement ethnique, explosion de la criminalité, gangrène islamiste fulgurante. Il n’y a qu’une seule et unique solution : organiser partout la résistance ethno-nationale bretonne en vue de la restauration de l’Etat Breton, dernière planche de salut face au naufrage de la France afro-islamisée.

Les Bretons conscients de la menace existentielle qui pèse sur leur pays ne peuvent que rejoindre l’analyse du Parti National Breton. Le PNB les appelle à en tirer toutes les conclusions et à le rejoindre dans les plus brefs délais. Les partis bourgeois hexagonaux dont la caractéristique est la lâcheté et l’opportunisme ne feront que gérer la faillite jusqu’à l’effondrement final.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]