Guerre pour le contrôle de la dope entre gangs ethniques à Rennes : l’appartement d’une famille visée par erreur à l’arme automatique

Guerre pour le contrôle de la dope entre gangs ethniques à Rennes : l’appartement d’une famille visée par erreur à l’arme automatique

[PNB] La Bretagne sous influence de l’Etat français se transforme en coupe-gorge : une seule cause, l’immigration extra-européenne que Paris impose au peuple breton par le truchement de ses préfets et des partis fransquillons. Dernier exemple à Rennes, ville sous direction franco-socialiste.

France 3 Bretagne :

Samedi 11 juin, 4 heures du matin, un appartement de Thorigné-Fouillard est pris pour cible par des tirs d’armes automatiques. 18 impacts de balles criblent le logement d’un père famille et ses garçons heureusement absents au moment des faits. Les auteurs des faits se sont trompés de cible…

Davis -le prénom a été changé à sa demande – est “désabusé, comme tout le monde dans cette histoire”. Alors que l’homme était en weekend dans le Morbihan, il doit rentrer en toute urgence à Thorigné-Fouillard… son appartement a été pris pour cible de tirs d’armes automatiques.

18 impacts de balles seront en tout relevés par la police. Certains sur la façade de l’immeuble, d’autres à l’intérieur même de l’appartement : “Certaines balles ont franchi l’appartement de part en part. Trois projectiles ont transpercé la chambre des enfants, dont l’un est resté fiché à 50 cm de la tête de lit.”

La raison de cette attaque ? Les fils de l’ancienne occupante de l’appartement. Ils seraient liés à des trafics de drogue et se sont faits visiblement des ennemis. Des personnes “qui ont quitté cet appartement deux ans auparavant“. David se considère comme une “victime collatérale d’une guerre de gangs“.

(…) David lui essaye aujourd’hui de retrouver une vie normale avec ses enfants. L’ancien sapeur-pompier de Paris aujourd’hui conducteur de transport collectif à Rennes, a vécu 3 jours dans son van avant d’être hébergé par des amis dans un studio. Après un petit retard au démarrage, son bailleur, Archipel Habitat s’occupe de lui trouver une solution de relogement. “Ils font le nécessaire. On s’occupe de moi. Ce qu’ils ont trouvé pour l’instant n’est pas l’idéal car je ne peux pas y vivre avec mes enfants mais ils cherchent.” La ville aussi semble réagir à la situation. “Ils ont promis qu’ils s’occuperaient des frais annexes, alimentaires, travaux, déménagement”.

Sur le modèle de Nantes, la ville de Rennes se tiers-monde à une vitesse très rapide en raison du repeuplement afro-oriental qu’y organisent les autorités coloniales françaises en Bretagne. Rien n’entravera cette spirale, car les municipalités écolo-socialistes de ces deux villes sont largement soutenues par la bourgeoisie cosmopolite locale, pour une large part d’extraction hexagonale.

La catastrophe ethnique fera rapidement tâche d’huile sur les communes du Pays Rennais, plongeant les classes moyennes bretonnes dans une situation de siège permanent. Le Parti National Breton appelle les Bretons à le rejoindre au plus vite pour structurer une résistance de long terme à la balkanisation qui se met en place.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

 

Voiture de police incendiée par des allogènes à Brest : le Parti National Breton veut des solutions radicales

Voiture de police incendiée par des allogènes à Brest : le Parti National Breton veut des solutions radicales

[PNB] Un véhicule de la police coloniale française a été incendié, jeudi 28 avril 2022, aux environs de 16 h 30, à côté de la mairie de quartier de Saint-Marc, à Brest.

Ouest-France :

Le feu a démarré peu avant la sortie des élèves de l’école voisine. Il a pu être en partie maîtrisé par un témoin. Contrôlées à proximité, trois personnes ont été conduites au commissariat.

« On repasse un cap, soupire Éric Kerbrat, pour le syndicat Unité-SGP FO. On n’a jamais eu ça sur Brest, la délinquance évolue. »

Alors que le syndicat de la police nationale a, à de nombreuses reprises, alerté sur le déficit dans les effectifs de police à Brest, le policier brestois poursuit : « La police nationale doit être partout et au même moment. Or, nous rappelons que nous avons un gros manque d’effectif. On sollicite une trentaine de policiers en renfort, comme déjà demandé en début d’année. Toute la circonscription doit être surveillée de la même façon, de jour comme de nuit, du lundi au dimanche. »

Le quartier de Saint-Marc avait connu, le dimanche 24 octobre 2021, un précédent incendie de véhicules : trois voitures avaient brûlé sur le parking d’un immeuble de Brest Métropole Habitat, rue Louis-Pidoux, en contrebas du jardin Poul-ar-Bachet. « La sécurité des policiers reste notre priorité, conclut Éric Kerbrat, celle de la population aussi. »

Augmenter les effectifs de la police française à Brest pour gérer l’augmentation du nombre de colons afro-musulmans organisée par le ministère de l’intérieur français relève de l’absurde, ou de la provocation.

Aucun pansement policier hexagonal sur la jambe de bois du remplacement de population ne résoudra les problèmes liées à l’immigration extra-européenne en Bretagne. Pas plus à Brest qu’ailleurs.

Le Parti National Breton dispose d’une stratégie économe des impôts des Bretons et d’une efficacité radicale : l’indépendance de la Bretagne et l’expulsion vers la France de tous les allogènes disposant de titres de séjour français ou ayant transité par la France, en plus des ressortissants français indésirables sur le territoire national breton.

Le Parti National Breton le fera.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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