Eurovision : le sinistre spectacle de la Bretagne folklorique, soumise et colonisée par la marâtre française

Eurovision : le sinistre spectacle de la Bretagne folklorique, soumise et colonisée par la marâtre française

[PNB] Cette année, le régime français se faisait “représenter” à l’Eurovision par un groupe de musiciens bretons.

L’aliénation ethnique organisée par l’Etat Français a logiquement entraîné des manifestations de pseudo “fierté” bretonne sur les réseaux sociaux. Les éléments régionalistes ainsi que des Bretons aliénés ne se concevant que comme des sujets acculturés de la France, n’ont pas été les derniers à alimenter ce simulacre.

Point d’orgue de l’imposture : les interprètes bretons ont brandi à de nombreuses reprises le drapeau tricolore du régime républicain français, c’est-à-dire le régime qui a livré la Bretagne aux massacres à grande échelle en 1793, en 1870 ou en 1914, massacres qui ont systématiquement été accompagnés d’une méthodique entreprise de destruction de sa culture et de sa langue.

“Le folklore est la honte d’une ethnie encore vivante et qui n’ose pas s’affirmer souveraine.” Saint Loup

Les intentions de l’Etat Français sont évidentes. Alors qu’il continue de poursuivre une politique d’éradication de la langue bretonne comme l’a démontré la décision du Conseil constitutionnel français d’interdire l’enseignement en breton, déjà marginal, dans les écoles de Bretagne, la France veut donner l’image d’un état qui respecterait les droits ethno-linguistiques des nations qu’elle domine. Ainsi, au moment où elle veille à parachever la destruction de la dernière langue celtique du continent, la France fait parader des chanteurs bretons devant les caméras d’Europe pour donner le change et mystifier un public européen sciemment désinformé. Elle a logiquement trouvé des domestiques pour l’y aider.

Par comparaison, si la Grande-Bretagne n’a jamais présenté un chanteur gallois à l’Eurovision, elle accorde l’autonomie politique au Pays de Galles qui a permis l’enseignement obligatoire de la langue galloise dans les écoles du pays, assurant de fait le sauvetage de cette langue sœur du breton.

La nation bretonne paie là le prix de son manque de détermination et de courage dans l’éducation politique du Peuple Breton. Faute d’une mobilisation de tous les instants pour désigner l’ennemi fondamental des Bretons, l’Etat Français et sa politique fondamentalement ethnocidaire, les Bretons acceptent encore de jouer le rôle de laquais aux ordres de Paris et de singer le maître français, affichant le visage honteux de la sujétion à l’oppresseur. 

Non, la nationalité bretonne n’est pas réductible à la nationalité française, bric à brac faite de toutes les peuplades de la terre, ni au statut infâmant de région colonisée par la France. Il n’y a pas plus odieux pour un Breton que de hisser le drapeau de l’état étranger qui opprime son peuple et organise son anéantissement.

La tâche du Parti National Breton est d’éclairer les masses bretonnes sur cette vérité fondamentale, de la rappeler inlassablement jusqu’à ce que les Bretons soient intégralement nationalisés et enfin prêts à chasser le pouvoir français hors de Breizh. Il en va de notre honneur ethno-national et de notre liberté.

Un Breton ne peut hisser qu’une seule bannière nationale : la sienne, noire et blanche.

Que maudit soit le tricolore en Bretagne, torchon sanglant de la Gueuse !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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