[PNB] En pleine crise de l’accès au logement que connaissent les travailleurs bretons, les militants du Parti National Breton ont mené une opération spéciale à Kerlouan, sur la côte léonarde, confortable commune de résidence de partisans de la préférence étrangère pour le logement qui se sont signalés dans la presse d’état française.
Moyennant un montage fiscal préférentiel garanti par l’Etat colonial français, ces riches possédants louent prioritairement leur patrimoine immobilier aux migrants extra-européens. Pendant ce temps, les travailleurs bretons, déjà fortement touchés par l’envolée des prix de l’immobilier, sont chassés de leurs propres terres, sous les applaudissements des politiciens et des journalistes à la botte de l’Etat français.
Le Parti National Breton, fidèle à sa défense du Peuple Breton et conformément à son combat en faveur de l’exclusivité bretonne pour le logement, a décidé de réagir en dénonçant la collusion entre spéculateurs immobiliers, organisations immigrationnistes et l’état colonial français.
Le Parti National Breton a dénoncé le caractère intolérable de cette véritable discrimination anti-bretonne soutenue par les spéculateurs précités.
Suivant son principe guide “La Bretagne aux Bretons”, le Parti National Breton a martelé que seul l’Etat breton sera en mesure d’assurer la protection des Bretons.
Conformément à ses mesures d’application immédiate, le Parti National Breton exige :
6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.
7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.
8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.
9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.
Honte aux spéculateurs !
Etat français, hors de Bretagne !
La Bretagne aux Bretons !
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
Pour rejoindre le PNB : [email protected]
By BOTHOREL
Bonjour,
C’est parfait, la bretagne aux bretons, non de non!!!!
DB
By LE GOFF
Et en attendant que fait-on ?
By LE GOFF
En attendant, voilà ce que nous subissons dans nos villes plus ou moins importantes, voir mêmes dans nos campagnes :
Tirs à la Bellangerais à Rennes : « On a peur que ça devienne comme au Gros Chêne »
De nouveaux tirs ont résonné près de la dalle du centre commercial de la Bellangerais, au nord de Rennes (Ille-et-Vilaine), mercredi 21 décembre 2022, mais cette fois-ci en pleine journée. Une source d’inquiétude pour les riverains qui redoutent une transformation de leur quartier.
Les tirs ont eu lieu en pleine journée, à côté de la place du centre commercial de la Bellangerais, à Rennes.
Les tirs ont eu lieu en pleine journée, à côté de la place du centre commercial de la Bellangerais, à Rennes.
Ouest-France Juliette ORIOT et Nathalie FLOCHLAY.
Publié le 22/12/2022 à 20h23
Au lendemain des coups de feu près du centre commercial de la Bellangerais, au nord de Rennes (Ille-et-Vilaine), ce jeudi 22 décembre 2022, le quotidien semble avoir repris sa place. Les boutiques sont toutes ouvertes et les habitants font leurs courses. La veille, vers 12 h 30, plusieurs détonations ont résonné près de la place. Trois personnes ont tiré sur un groupe de huit jeunes du quartier dont des mineurs, avant de prendre la fuite. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.
Une recrudescence de la violence
Ce commerçant a vu la scène depuis sa boutique. « Plusieurs jeunes discutaient, appuyés sur ma vitrine, quand trois autres sont arrivés. Une des personnes a sorti une arme. Le groupe s’est enfui et j’ai entendu un tir dans la rue d’à côté. » Une détonation en pleine journée qui n’a pas fait de blessé, mais qui inquiètent les riverains.
Cet habitant vient tout juste d’apprendre la nouvelle. « Encore ! Ça commence à faire beaucoup. » Dans la nuit du vendredi 16 décembre, non loin de là, au 6, allée d’Elven, la façade d’un hall d’immeuble a été criblée de 27 impacts de balles. Le lendemain, une riveraine de l’allée de Quiberon, à quelques pas du centre commercial, aurait entendu entre trois et quatre détonations.
« Ils sont là tous les jours sur les bancs »
Des faits liés à des règlements de comptes sur fond de trafic de stupéfiants. « Lorsqu’on va faire les courses, on se rend bien compte qu’il y a de la vente de drogues, raconte cette retraitée. Ils sont là tous les jours sur les bancs en face de la maison de quartier, à attendre les clients. » En effet, cet endroit fait partie des trente-deux points de deal de Rennes, recensés par la police.
Le point de deal est situé en face de la maison de quartier de la Bellangerais.
« Ils ne nous agressent pas, mais on sent que l’ambiance est plus tendue, rajoute ce cinquantenaire qui habite à une quinzaine de minutes du centre commercial, depuis quatre ans. Ça m’inquiète, on a vraiment peur que cela devienne comme au Gros Chêne. » Un secteur de Maurepas qui a été le théâtre de règlements de comptes, en juin dernier.
Lénaig Briéro, adjointe déléguée à la sécurité, évoque une situation « difficile » à la Bellangerais : « Des dealers sont venus s’installer à proximité de la maison de quartier. Ce sont des personnes qui viennent d’ailleurs. Avant, on arrivait à raccrocher les gamins qui rentraient dans le deal, grâce au travail des acteurs socio culturels. Mais ces jeunes-là refusent toutes mains tendues. »
« Se réapproprier la place »
Ce jeudi 22 décembre, les policiers contrôlent et multiplient les patrouilles sur la dalle et aux alentours. Une présence rassurante, mais insuffisante pour ce membre du conseil du quartier. « Lorsqu’ils partent, les groupes reviennent. Pour que cela change, il faut se réapproprier la place. Car éviter les lieux ne mettra pas fin aux problèmes. » Du côté de cette retraitée, les faire partir n’est pas une solution. « Cela ne va faire que déplacer le problème. Il y a un souci de fond auquel il faut s’attaquer. »
La municipalité réfléchit à un aménagement de l’espace devant la maison de quartier « où nous avons la main, car la dalle, elle, appartient à une copropriété. On peut agir aussi en occupant l’espace de façon positive, en lien avec les commerçants. » Comme ce marché qui s’installe sur la place, depuis près d’un an, le jeudi après-midi. Pour l’instant, la vidéoprotection n’est pas envisagée.
« Ils n’ont peur de rien »
« Il y a de plus en plus de trafics, les dealers veulent conquérir des territoires qui ne leur appartiennent pas, observe Frédéric Gallet, secrétaire départemental du syndicat Alliance. Les conditions de patrouille sont tendues pour nos collègues qui sont sans cesse sur le terrain. Des armes circulent et des règlements de comptes peuvent avoir lieu n’importe quand. »
David Leveau, secrétaire régional de SGP police FO, s’inquiète de ce basculement dans la violence. « La criminalité liée au trafic de stups augmente à Rennes. Les policiers harcèlent les dealers sans cesse, mais ça continue. On n’a pas la solution. On se retrouve face à des trafiquants qui n’ont peur de rien, ni de la police, ni de la prison. »
By Ritchi
Faites comme les corses, c’est efficace. https://youtu.be/ksNmbZVNqUo