Festival Interceltique : folkore et gestion coloniale de la Bretagne occupée par l’Etat français

[PENNAD STUR] Le Festival Interceltique de Lorient, dit des “nations celtes”, était censé à l’origine redonner sa fierté à la nation bretonne dans le cadre plus large d’un panceltisme luttant pour la libération de tous les peuples celtes. Après plus de 50 ans, l’exercice, dont l’intention des initiateurs comme Polig Monjarret, nationaliste breton, était louable et ambitieuse, est un échec.

Ce festival n’est désormais qu’un sous-développement du divertissement massifié qui affecte la Bretagne contemporaine à l’heure du tourisme à grande échelle. Le festival interceltique n’affirme pas la nationalité bretonne, ni une quelconque ambition nationale, donc politique, pour la Bretagne, aucune action d’ampleur n’y est entreprise en langue bretonne pour la langue bretonne, aucune des grandes questions qui se pose à la nation bretonne n’y est formulée, ou seulement en timides pointillés de peur d’irriter le maître français.

Au contraire, le FIL exprime l’intégration de la Bretagne dans l’économie hexagonale en tant que colonie touristique où l’animation culturelle est orientée vers le public hexagonal en villégiature estivale. Les Bretons s’y exhibent dans toute leur soumission et non dans leur rébellion. Si tel n’était pas le cas, le FIL aurait lieu au mois de janvier et non au mois d’août. Nous n’y verrions pas non plus l’odieux pseudo “bagad” de Lann Bihoué, composé de renégats à la botte de l’armée française occupante.

L’évènement est si peu subversif pour l’Etat français, puissance coloniale rappelons-le, qu’il a pu nommer directement un préfet du régime français à la tête de son organisation, Jean-Paul Kihl, tandis que la Libanaise en charge du ministère français de la culture d’état vient s’y pavaner, bien que ce même régime ne débourse aucun centime pour ce festival, contrairement aux 13 millions d’euros alloués au festival d’Avignon.

La Bretagne souffre de sa complaisance pour le simulacre folklorique, fétichisme qui sert à donner aux masses bretonnes le change de la perte de leur culture d’état. Le FIL est ce que l’on appelle du folklore, dans le mauvais sens du terme. Il n’exprime pas une réalité intérieure nationale, mais un ajout théâtralisé cantonné aux marges de la société française en Bretagne. Il participe de cette à la gestion coloniale de la Bretagne comme dépendance du cadre étatique hexagonal, pas de l’émancipation de la nation bretonne.

Dans la réserve des “Indiens d’Armorique” qu’est la Bretagne, nous avons besoin de moins de bretonneries dansantes à destination des pékins français et de davantage de sérieux historique, c’est-à-dire de gravité politique. Beaucoup plus de nationalisme, un peu moins de biniou et Breizh, notre patrie, s’en portera infiniment mieux face à l’Etat français qui lutte chaque jour pour détruire notre peuple.

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Apologie de l’impérialisme linguistique français dans le média d’état “Le Télégramme”

[PNB] Le journal d’état français “Le Télégramme” a produit un éditorial au ton impérialiste délirant, adressé aux Bretons, glorifiant “l’unité” du régime hexagonal par l’écrasement linguistique. On y apprend, dans notre pays où la langue bretonne est écrasée, que l’urgence intimée aux Bretons est de défendre la langue française.

Cet article pue toute l’arrogance d’un état factice, et chez nous étranger, qui se raccroche à ses vieilles légendes pour conjurer l’implosion de la pseudo “Une et Indivisible” sous la pression des bouleversements ethno-démographiques actuels.

Rappelons l’évidence : la France, comme puissance, est finie. Le 21e siècle l’enverra au cimetière des empires et pour la Bretagne, l’heure est à la renaissance nationale.

“Le Télégramme”, journal colonial produit par des vieux fransquillons et pour des vieux fransquillons, accompagne depuis des décennies la destruction du breton par l’État français pour asseoir la suprématie de la bourgeoisie parisienne sur notre pays. Cela pouvait suffire au 19e siècle face à un Peuple breton assujetti, soumis et châtré, mais plus aujourd’hui.

Face à une France qui n’est que synonyme d’anarchie, de répression et de régression, les Bretons ont regagné leur fierté ethnique qui ne demande plus qu’à devenir fierté et émancipation nationales. Le chauvinisme tricolore ne fait plus recette en terre bretonne et rien ne peut plus l’inverser.

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PODCAST : sortie de Mouezh Ar Vroad n°9 (Mois d’août)

PODCAST : sortie de Mouezh Ar Vroad n°9 (Mois d’août)

[MOUEZH AR VROAD] Le nouveau numéro de Mouezh Ar Vroad est sorti.

Le programme : 

00:00 Générique
00:41 Introduction
02:28 Actualité : Algues vertes, méga bassines et éoliennes
26:51 Pause Musicale : Enez Imma
31:15 Politique : Ecologie nationaliste
54:56 Pause musicale : Tan ha Dour
58:17 Culture : Bref aperçu des richesses naturelles de Breizh
1:11:22 Conclusion
1:16:30 Générique

 

4 août 1532 : le coup d’état et l’annexion de la Bretagne par la France

[BREIZH] La Bretagne est légalement sous occupation française. Si cette réalité à elle seule ne suffit pas restaurer l’indépendance de la Bretagne, elle rappelle aux Bretons leur situation de nation occupée et leur droit inaliénable à l’autodétermination. Rappeler cette vérité de droit est une nécessité majeure face à la propagande d’état française qui présente encore cette annexion sanglante comme une “union” pacifique, ce d’autant plus que la marâtre française n’hésite jamais à se présenter comme garante du droit internationale.

Les Bretons ne sont pas français, ne l’ont jamais été, et si la répression et la propagande françaises ont tenté de le faire croire, l’entreprise est nulle et non avenue. Que l’on se rappelle la mort effroyable de 6,000 soldats bretons et alliés gallois, flamands, allemands pour la défense de l’indépendance bretonne.

Le texte suivant du Docteur Louis Mélennec rappelle que le 4 août 1532 fut un coup d’état français contre le gouvernement breton :

Trente années d’occupation effective du Duché par la France, annexé en fait, indépendant en droit, trois mariages franco-bretons (la duchesse Anne épouse deux rois de France en 1491, puis en 1499 ; sa fille Claude épouse François Ier, successeur de Louis XII, en 1515), n’ont guère avancé les affaires de la France en Bretagne : le pays est toujours souverain, en attente que le légitime héritier du trône soit couronné, en qualité de « seigneur naturel » de la Nation ; les Français ne font que tenir les leviers de commande, ce qui n’est pas la même chose : ils sont détestés, comme ils l’ont toujours été.

Les Bretons attendent l’évènement qui va permettre de se débarrasser de cette plaie : chasser les Français. A défaut d’avoir pu porter sur le trône de Bretagne Renée de France, soeur de la Duchesse Claude, deuxième enfant d’Anne de Bretagne et de Louis XII, les Bretons réclament Henry pour Duc, par acte notarié, dès la mort de sa mère la Duchesse Claude, car ils ne veulent en aucun cas pour souverain un prince étranger, surtout pas d’un prince français héritier du trône de France : si une telle hypothèse se réalisait, c’en serait fait de l’indépendance bretonne : la Bretagne serait ipso facto annexée par l’ennemi héréditaire. Ce que la Duchesse Anne, politique fine et avisée, avait toujours su, et voulu éviter avec une détermination féroce, jusqu’à son dernier souffle.

Les choses vont tourner autrement, à la grande colère des Bretons, exceptés les complices de l’opération et de ceux qui, pris dans les nasses françaises, menacés dans leurs biens, dans leurs familles, dans leurs perspectives de faire carrière honorable, ne peuvent se dégager des pressions dont ils sont victimes.

En 1532, avec le concours et sous l’effet des manipulations et des pressions exercées par le corrompu cardinal Duprat, Premier ministre-Chancelier de France, un faux « Traité » est censé être conclu entre les Bretons et le Roi de France, à Vannes.

C’est, en réalité, une imposture :

– Le roi François Ier de France se transporte en Bretagne, en mai 1532, dans un apparat impressionnant et menaçant, entouré de sa Cour (12,000 personnes, 12,000 chevaux), avec plusieurs milliers de soldats. Le Parlement général de Bretagne (les Etats de Bretagne) est convoqué à Vannes. Il se réunit le 4 août, dans un climat de peur et de frayeur. Le roi de France se loge avec les principaux de son entourage, au château de Suscinio, résidence d’été des ducs, prêt à intervenir en cas de nécessité.

– Aucune négociation n’est instaurée entre le roi de France et les délégués Bretons. Ceux – ci ne sont pas admis à nommer des ambassadeurs, ni à se mettre autour d’une table pour discuter les termes d’un accord éventuel. Plusieurs d’entre eux sont convoqués à Chateaubriand, ou le roi François Ier réside quelques jours, non pour élaborer un quelconque « traité », mais pour arrêter les détails de l’opération d’annexion, en la travestissant sous l’aspect d’un faux accord bilatéral, c’est à dire d’un traité apparent.

– Aucun texte commun n’est rédigé par les Bretons et les Français. Surtout pas ! Les Bretons veulent le départ des Français. Les Français ne veulent qu’une seule chose : dévorer la Principauté Haute et Noble de Bretagne.

– Les Bretons sont placés devant le fait accompli, sans aucun vote. Le 4 août, les députés, effrayés, sont convoqués à Vannes; la séance n’est pas dirigée par l’évêque de Vannes, président de droit, mais par Montejean, haut militaire français, qui se présente armé et botté. La séance est houleuse. On donne lecture publiquement d’une déclaration, aux termes de laquelle les Bretons sont censés solliciter, humblement, la réunion perpétuelle de la Bretagne avec … son ennemi millénaire, la France. C’est un scandale. Montejean, irrité par l’opposition des délégués de Nantes, descend de sa tribune, pour tenter de les rosser.

– Quelques jours plus tard, le roi de France promulgue un Edit, décrétant que le roi français a accepté la « prière » des Bretons, et que désormais, la Bretagne et la France sont unies indissolublement. Les Bretons n’ont rien sollicité, rien demandé, rien voté. Leur vœu le plus sûr – en dehors quelques seigneurs qui acceptent de se laisser corrompre, quelques évêques français nommés en Bretagne depuis la mort d’Anne de Bretagne, décédée dix-huit ans auparavant, et autres collabos -, est que les Français quittent le pays. Fait capital, le texte censé instrumentaliser ce prétendu Traité, est un édit, c’est à dire, non un acte bilatéral rédigé en commun par les deux parties, authentifié par leurs signatures, mais un acte unilatéral, rédigé et promulgué par la France seule : en d’autre termes, c’est une loi française, sans effet juridique possible en Bretagne, pays souverain.

L’imposture du mois d’août 1532, longtemps considérée comme un accord entre deux puissances souveraines, est aujourd’hui analysée clairement comme ce qu ‘elle est : un montage imposé par la France, sous la menace, dont la seule évocation indigne toute la Bretagne cinq siècles plus tard.

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Montoir-de-Bretagne : des colons français dénoncent le maire à la police du régime pour avoir arboré le drapeau breton sur la mairie

Montoir-de-Bretagne : des colons français dénoncent le maire à la police du régime pour avoir arboré le drapeau breton sur la mairie

[PNB] Dans le pays nantais, Thierry Noguet, maire de Montoir-de-Bretagne, a été dénoncé à la police française en raison du drapeau national breton arboré par la mairie !

Saint-Nazaire News

La position de la Loire-Atlantique en Bretagne ou non, n’a pas fini d’agiter pros ou antis rattachement. Et la position des drapeaux non plus… C’est la désagréable expérience vécue par Thierry Noguet, maire de la commune de Montoir-de-Bretagne en Loire-Atlantique, pour ne pas avoir respecté à la lettre le protocole.

Après avoir flotté en position centrale sur le parvis de la mairie, le drapeau breton a sagement retrouvé une place plus règlementaire. « Nous l’avions mis au milieu. Or dans le protocole, quand 3 drapeaux sont présents, le drapeau français doit occuper la place centrale. Des gens “bien intentionnés” ont téléphoné au commissariat de Saint-Nazaire » témoigne Thierry Noguet. Que dit la loi ? « les couleurs nationales tiennent la place d’honneur » dictent les textes. Au commissariat de Saint-Nazaire aussi c’est l’étonnement, mais devant l’insistance des délateurs, une action est engagée.

On frise l’incident diplomatique ! Les renseignements territoriaux entrent donc en jeu, et interviennent auprès du maire pour lui demander de respecter ni une ni deux la loi française. Le maire de Montoir-de-Bretagne s’est exécuté, mais a tenu à garder un souvenir de tout cet épisode. « J’ai laissé ma photo de profil Facebook avec le drapeau breton au milieu » s’amuse-t-il. 

Les colons français sentent la situation leur échapper dans le Pays Nantais où le sentiment national breton s’affirme toujours plus, ce qui se traduit par un vaste mouvement d’opinion en faveur de la réunification de la Bretagne. Leurs appels désespérés à l’État français n’y changeront rien. Le moment viendra où c’est le drapeau de l’occupant sera définitivement baissé partout sur le sol breton.

 

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Pseudo “Forum celte” : l’inoffensif écran de fumée folklorique de Chesnais-Girard, laquais servile de la France

Pseudo “Forum celte” : l’inoffensif écran de fumée folklorique de Chesnais-Girard, laquais servile de la France

[PNB] Loïg Chesnais-Girard, président du Conseil “Régional” de Bretagne, s’est livré à son exercice favori à Roazhon (Rennes) : l’histrionisme abscons. 

Au prétexte d’un “forum celte” à la définition intentionnellement floue, Chesnais-Girard a accueilli à Roazhon les représentants du Pays de Galles, de la Cornouailles, de l’Ecosse et de l’Irlande. Ont également été invitées des régions espagnoles sans aucune réalité celtique, les Asturies et la Galice.

Comme toujours avec les politiciens franco-socialistes, et ce dans la droite ligne d’un Le Drian qui en a inauguré le principe, la communication superficiellement identitaire est une fin en soi. Sa fonction est précisément de dissimuler les actes politiques réels ou, plus souvent encore, l’absence d’actes. 

Ceux de Chesnais-Girard sont connus : loyalisme obséquieux vis-à-vis de Paris, de l’Etat français et de son régime, servilité de loge et de gamelle oblige, soutien à la colonisation de peuplement plébiscitée par la bourgeoisie française, réduction de la Bretagne au rang de colonie touristique hexagonale, omerta sur la question des conséquences écologiques défendues par le lobby agro-alimentaire, obstruction systématique à l’autonomie immédiate de la nation bretonne, négation même de la nationalité bretonne. D’où l’utilisation de ce terme odieux utilisé pour ce forum : “région celtique”. La Bretagne, selon ce faiseur, ne pourrait accéder à la dignité nationale, privilège de la France civilisatrice. 

Que défend véritablement Chesnais-Girard ? L’impérialisme français en Bretagne dans sa forme chimiquement pure. Ses déclarations délirantes du 14 juillet 2023 le démontrent : Chesnais-Girard remercie les égorgeurs français de 1793 d’avoir “civilisés” les Bretons par la guillotine.

Ce sont là les propos d’un ennemi de la nation bretonne, mais Girard n’en a même pas l’éclat. Ce n’est qu’un chapon grotesque et soumis, caricature de laquais de ferme dégrossi par le régime étranger qu’il sert. La seule chose dont il est capable est de nous humilier collectivement par contrecoup.

Un véritable forum celte initié par la Bretagne aurait commencé par poser la question nationale bretonne dans les termes justes de la lutte pour son indépendance, exposer devant les peuples frères les atteintes graves aux droits fondamentaux que l’Etat français fait subir à la nation bretonne, notamment politiques et linguistiques, inviter les autres nations celtiques à forger une unité politique pour défendre leurs intérêts communs, discuter des modes d’action des autres nations celtiques pour leur émancipation. 

Au lieu de cela, nous avons un exercice de communication folklorique au service d’un individu dont l’absence de charisme et de talent n’a d’égale que l’ambition. Ce forum celte ne fait que confirmer la situation de la Bretagne, celle d’une victime d’un simulacre politico-médiatique permanent destiné à apaiser à peu de frais un peuple breton de plus en plus conscient de sa nationalité tout en le désarmant par un sabotage intérieur méthodique.

Girard, représentant du socialisme colonial français, doit être invariablement dénoncé pour l’imposteur qu’il est en Bretagne. Mais il faut plus encore organiser les Bretons, comme nation consciente et active, à défendre ses intérêts, lesquels supposent l’accession à l’indépendance pleine et entière sur le modèle écossais, irlandais ou gallois.

Ce que ce forum celte illustre, ce n’est pas ce qu’il prétend être, mais ce qu’il échoue à être : la voix de la nation bretonne libérée de l’oppresseur français.

Le Parti National Breton, par sa cohérence politique et historique ainsi que son action, veut d’une véritable politique celtique, réellement nationale, laquelle vise à réancrer la Bretagne dans sa réalité ethnique et géographique en l’insérant comme nation brittonique dans l’ensemble insulaire celtique où se trouvent ses fondations. Cet impératif impose d’abolir la présence française en Bretagne, de restaurer l’Etat breton et de replacer le peuple breton dans son sillon originel. La nation bretonne ne le fera pas avec des ratés, des peureux et des lâches au service de la France. Elle le fera avec des patriotes et des révolutionnaires.

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3 août 1379 : débarquement triomphal du duc Jean IV, libérateur de la Bretagne de l’occupation française

[BREIZH] Après l’annexion de la Bretagne par les Français en 1378, une ligue patriotique bretonne se forme. Le 3 août 1379, venu de Londres, le duc Jean IV débarque triomphalement à Dinard avec l’allié anglais.

La France est rapidement vaincue et la Bretagne libérée en octobre.
L’échec de la tentative d’annexion française mobilise puissamment le sentiment national breton qui aboutit à la mise en forme de tous les attributs d’une monarchie pleinement souveraine comme l’est le duché de Bretagne.

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Le Parti National Breton se félicite de la révolution au Niger contre le colonialisme français

Le Parti National Breton se félicite de la révolution au Niger contre le colonialisme français

[PNB] Après le Mali et le Burkina Faso, le Niger s’est à son tour révolté victorieusement contre l’impérialisme français et son fantoche, Mohamed Bazoum.

Le Parti National Breton, lui-même engagé dans la fin de l’occupation française de la Bretagne, se félicite de cette nouvelle défaite infligée au colonialisme français. Il exprime son soutien au nouveau gouvernement du Niger et espère que Paris évacuera rapidement et sans résistance les troupes françaises qui occupent encore actuellement le Niger.

Le Parti National Breton observe que la révolution panafricaine en cours contre le colonialisme français intervient au moment où les impérialistes français tentent de s’immiscer dans la grande région indo-pacifique avec pour objectif affiché de maintenir l’illusion du statut de grande puissance de la France entre la Chine et les USA. Cette entreprise hors de saison s’est accompagnée la semaine dernière d’une grotesque et surréaliste mise en scène colonialiste d’Emmanuel Macron en Nouvelle-Calédonie.

Désormais rattrapée par la disparition rapide de ce qui restait de son influence en Afrique, la France ne peut plus masquer la vérité sur la scène internationale : incapable d’assurer l’ordre dans ses rues, chassée d’Afrique, ses ambitions délirantes dans le Pacifique, sans rapport avec son rang, achèvent de la discréditer.

La nation bretonne doit méditer avec attention ces évolutions salutaires et travailler vers l’indépendance pleine et entière de la Bretagne.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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1 a viz Eost : Gouel broadel Breizh !

[BREIZH]

⬜️⬛️ 1 a viz Eost : Gouel broadel Breizh!
⬜️⬛️ 1er août : Fête nationale de la Bretagne!

En brisant les Vikings à Treant-Felger le 1er août 939, le roi Alan Varvek libère définitivement la Bretagne et restaure l’état breton ⚔️

Breizh d’ar Vreizhiz!

La Bretagne aux Bretons!

(Illustration : Xavier Delanglais)

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Dans une mise en scène colonialiste sidérante, Emmanuel Macron déclare la guerre au peuple kanak

Dans une mise en scène colonialiste sidérante, Emmanuel Macron déclare la guerre au peuple kanak

[KANAKY]  Scène sidérante qui donne l’impression d’être en Afrique de l’Ouest Française en 1913 : le déplacement d’Emmanuel Macron dans la colonie calédonienne a stupéfait les observateurs.

Face à des colons métropolitains hystériques massés à ses pieds pour l’occasion, Emmanuel Macron, portant la voix de l’impérialisme français le plus obsolète et le plus outrancier, a adopté une posture résolument arrogante, méprisante et belliqueuse contre le peuple canaque. Feignant d’ignorer la crise politique profonde qui menace de tourner en insurrection indépendantiste après l’échec du référendum d’autodétermination boycotté par le peuple canaque, Macron a proclamé la victoire de l’impérialisme français dans la colonie calédonienne.

Pour Paris, ce passage en force est une victoire à la Pyrrhus. Quelques semaines après les violentes émeutes ethniques qui ont mis à genoux l’Hexagone, cette mise en scène nationaliste désuette sortie du 19ème siècle, à 17,000 kilomètres de la capitale française, témoignent du degré de prétention et d’aveuglement qui frappe les élites parisiennes.

Cette proclamation s’inscrit dans la tentative dérisoire de la France de s’immiscer dans la restructuration géopolitique du monde entre les USA et la Chine dont le Pacifique, premier espace économique de la planète, est désormais le théâtre principal de la compétition. Prétextant disposer de colonies dans la région Pacifique, la France, réduite au statut de cité-état, tente d’exister sur la scène mondiale en alimentant la fiction de “grande puissance”.

Las, il faudra plus que deux avions de chasse et deux colonies pour faire illusion, d’autant que les deux grandes puissances du Pacifique, Chine et USA, n’ont aucun intérêt à ménager cette intrusion française anachronique dans leur périmètre d’influence.

Parmi les raisons qui mèneront Washington et Pékin à cette conclusion, le rejet du colonialisme français, très ancré chez les Chinois comme les Américains, et l’image désastreuse que ne manquerait pas de renvoyer dans cette région un soutien explicite aux vociférations impérialistes d’un coquelet hexagonal qui en a été chassé par les nations asiatiques.

Car soutenir la France dans le Pacifique, c’est soutenir en pratique un état colonial qui s’achemine rapidement vers de graves troubles ethniques. La nouvelle ligne dure de Paris et du parti colonial, qui consiste à ignorer purement et simplement les Kanaks tout comme leurs droits nationaux, rend impossible toute stabilité. Son maintien sur l’île, désormais gouvernée officiellement contre les Kanaks, présuppose pour le gouvernement français de soutenir la domination d’une minorité coloniale de plus en plus marginale numériquement. Représentant déjà 43% de la population de l’île, forte de plus de 115,000 habitants avec une croissance de 15% tous les dix ans, les Kanaks seront majoritaires d’ici la décennie 2030.

Ni la Chine, ni les USA ne pourront accommoder cette réalité. Quoi qu’en pense la clique de Paris, la pression va progressivement monter sous l’effet de l’activisme des indépendantistes canaques. Malgré ses tentatives désespérées, son hypocrisie et ses manoeuvres, la France est finie dans le Pacifique comme elle est déjà finie en Afrique. 

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