Vandalisme culturel, copinage, appel à l’immigration et à la censure : à Carnac, le renégat Chesnais-Girard se fait le chef de file des ennemis de la Bretagne

Vandalisme culturel, copinage, appel à l’immigration et à la censure : à Carnac, le renégat Chesnais-Girard se fait le chef de file des ennemis de la Bretagne

[PNB] Le Parti National Breton est consterné par le soutien apporté par Loïc Chesnais-Girard, mielleux président franco-socialiste du “Conseil régional de Bretagne”, au maire de Carnac, Olivier Lepick, responsable de la destruction d’un site mégalithique dentifié par l’INRAP en 2015. 

Cet acte de vandalisme culturel manifeste est une insulte au Peuple breton. Les menhirs de Carnac constituent un élément essentiel du patrimoine millénaire de la Bretagne et sont une source de fierté pour tous les Bretons.

En défendant par réflexe de caste Olivier Lepick, protégé, comme lui, de son prédécesseur Jean-Yves Le Drian, le félon Chesnais-Girard a montré qu’il n’avait aucun respect pour notre culture et notre patrimoine et prouvé qu’il était prêt à sacrifier notre histoire au nom du profit et du copinage.

Les grands principes hypocritement invoqués sur un ton mystique par un tel renégat ne trompent pas les Bretons. Les coupables ne sont pas ceux qui s’opposent au saccage de la Bretagne, mais les vandales défendus par Chesnais-Girard qui agissent en toute impunité. Sa dénonciation des défenseurs du patrimoine breton “coupables” de vouloir défendre la pureté bretonne – fait révélateur, la pureté étant selon les socialistes français un défaut et une perversion -, son invocation révélatrice du “mélange” racial et, en creux, de l’immigration massive pour délégitimer les Bretons sur leur terre, son appel, enfin, à l’Etat colonial français pour intensifier la censure et la répression contre ceux qui dénoncent les agissement de la caste dont Chesnais-Girard se fait le porte-parole, sont caractéristiques d’une couche politique parasitaire au service d’un état étranger qui redoute l’éveil ethnique du Peuple breton, prélude à sa libération.

Les Bretons savent ce que signifie l’invocation lénifiante du “mélange” et de “l’ouverture” par les caciques socialistes français : fusillades, viols, vols, meurtres et agressions sous l’effet de l’immigration non-européenne dont les villes sous gestion socialiste comme Brest, Nantes ou Rennes sont les désastreux témoins. 

Chesnais-Girard peut être fixé. Contrairement à ce laquais servile de la bourgeoisie cosmopolite parisienne, le Parti National Breton défendra avec détermination la pureté bretonne contre ceux qui, à Carnac comme à Paris, veulent avilir la Bretagne pour mieux la vendre à la découpe sans craindre de résistance.

L’ère française en Bretagne touche à sa fin. Répression et censure n’empêcheront pas la nation bretonne ne marcher avec détermination vers la liberté et l’honneur national retrouvés.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Une nouvelle élite bretonne !

Une nouvelle élite bretonne !

[PNB] Nous avons attendu longtemps je ne sais quel sursaut organique du peuple breton, comme si cette multitude dispersée, compartimentée. tiraillée, diverse à l’infini, pouvait se relever d’elle-même et mettre une volonté au service d’un but. Nous étions dupes d’une vieille croyance et d’une vieille illusion françaises.

Rien ne se fait de juste, d’utile, de collectif même que par des hommes déterminés ayant un caractère et un nom bien à eux. Les chansons populaires ne sont pas miraculeusement écloses des lèvres “du peuple”. Elles ont été laborieusement ânonnées, composées une à une, par des poètes rustiques et patentés, par quelques Jehan ab Jehan ou quelques Cado berr-e-houc dont les vies sans éclat ont été oubliées.

Il y a toujours des hommes qui créent; il y aura toujours des hommes qui mènent. Le plus souvent, l’acte collectif spontané est confus et mou dans son contenu comme dans son contour. La foule sent qu’il faut faire quelque chose, mais elle ne sait pas quoi: elle oscille. Arrivée au carrefour, elle fait des remous. Quelle direction prendre ? A l’Elysée ? A la Chambre ? A la Maison du Peuple ?

Un homme sauve la foule du désordre et de la déroute. Il intervient avec un plan, fruit de son originalité individuelle. Son geste volontaire transforme l’évènement mou en évènement saillant. Il crève le placenta du collectif et délivre la force aveugle dans une direction donnée. L’arbitraire humain est intervenu : le héros a libre carrière.

L’erreur extirper : la vérité, la beauté, la souveraineté viennent de la collectivité. La figure à remiser : la masse agissante.

La vérité vient de “Dieu”. Seul, l’homme qui entend en lui la voix de Dieu, peut se faire une idée de la vérité.

La beauté, elle est aux rares inspirés. Elle est au berger qui compose un chant plaintif de cinq notes sur un flutiau, comme elle est à Bach et à Rodin. Elle n’est pas à la foule du trottoir.

La souveraineté, elle n’a jamais été qu’à ceux qui savent la prendre : aux menteurs et aux gens sans honneur aujourd’hui. Demain, aux forts et aux meilleurs, aux grands frères du peuple, à ses guides selon le sang et selon la vérité, dès qu’aura changé la règle du jeu.

En persuadant la masse, le rassemblement fortuit, sans âme et sans cohésion, que l’autorité et le savoir lui appartiennent, les démagogues l’ont, en réalité, décidée à se détourner des sujets d’élite qui ne peuvent pas lui tenir ce langage contre nature, — pour se fier à eux.

Tant que cette croyance sera entretenue que le peuple est roi par destination naturelle, qu’il est juste et infaillible, seuls les marchands de les tripoteurs de scrutins, les diffamateurs impudents, les flatteurs et les plat-culs, en un mot tout le contraire d’une élite, auront leurs chances de par venir au pouvoir.

La véritable élite du peuple existe, puisqu’il est des hommes qui souffrent de l’abaissement de leur peuple et qui ont la tête, le cœur et les bras pour le relever. Mais le jeu politique la tient écartée du pouvoir. Elle n’a ni l’aptitude au mensonge, ni l’absence de principes moraux qui lui permettraient de rivaliser avec les professionnels des électorales. Elle est meilleure, et c’est pour cela qu’elle est disqualifiée.

(Si les armées devaient combattre à coups de langue, les avocats gagneraient ‘les batailles, et les vieux lions de la Légion fuieraient devant les marchands de tapis…)

Nous n’acceptons pas l’absurde, et nous récusons la tricherie. Le peuple ne prend conscience de lui-même qu’à travers quelques hommes prédestinés, dont l’âme est son âme, et la volonté devient sa volonté. Ces quelques hommes, au milieu de la multitude indifférenciée, ont la qualité, ont la race.

Le problème, nos yeux, n’est pas de donner tout le pouvoir à ce mythe, la masse, mais de dégager, d’éduquer en vue de leurs fonctions et de porter au pouvoir, partout où ils les hommes supérieurs, nés pour cela, qui ont la et la passion du bien public, qui ont Je sens du peuple et qui sauront le commander.

Le besoin d’élites est général. Autrefois. la routine suffisait aux artisans et aux marchands. Aujourd’hui, le développement des techniques crée le soin de cadres nouveaux qu’un peuple doit se donner indépendamment de tout régime politique s’il veut échapper à l’invasion d’une population étrangère supérieure qui le colonisera à l’ombre de son propre drapeau. En Bretagne, nous l’avons bien vu. Nous avons été submergés par ‘les contremaitres, les spécialistes, les chefs d’atelier, les ingénieurs, les directeurs commerciaux, les hôteliers, les experts comptables et fiscaux, les architectes, les entrepreneurs, les secrétaires de mairie, de syndicats, de coopératives et de mutuelles, les chefs de minoteries et de laboratoires, les agents de publicité, les cinéastes, les journalistes, les organisateurs sportifs, les professeurs et fonctionnaires de toute espèce venus des grands centres français dans cette terre promise.

Mais ceci est notre cas particulier, et d’ailleurs, ces élites professionnelles sont faciles à constituer et à remplacer. Nous nous soucions bien autrement de la super-élite, celle dont les aptitudes à commander dépassent le cadre étroit d’un métier pour s’étendre à tout le peuple, et dont la conscience large et scrupuleuse doit refléter les angoisses et les espérances dé toutes les couches du peuple.

Aucune nation n’a vu son destin grandir, n’a étendu son domaine, n’a raffermi son génie et libertés, sans cadres solides, sans chefs de migration, sans capitaines, sans releveurs de défaites et sans inspirateurs de revanches. Tous les peuples qui ont eu foi dans leur étoile ont eu des poètes nationaux et des artistes qui les ont révélés à eux-mêmes.

Il en sera de nous comme des autres. La Bretagne saura se donner des cadres nationaux où elle disparaitra. Une revue comme celle-ci ne nous réunit pas pour nous meubler l’esprit. Elle n’a qu’un but : préparer ces cadres, et pour cela développer le des connaissances précises et l’appétit de la puissance intellectuelle, qui s’acquiert par une jeunesse studieuse, vouée à la méditation. Elle voudrait que nous élevions nos âmes au dessus des calculs individuels et que nous remplissions nos cœurs des notions de probité, de solidarité, de sacrifice, de discipline.

La nouvelle élite bretonne commencera à agir naturellement par l’exemple de sa vie privée. La vie privée d’un peuple est la source de toute croissance et de toute décadence. II y a des peuples propres comme il y a des familles propres, cela dépend des modèles qu’on leur met sous les yeux. Et la profondeur religieuse de notre idéal donnera au peuple la puissante impulsion, sans laquelle aucune œuvre grandiose n’est possible.

Ensuite, grâce à des hommes aptes et inspirés, et non par la vertu d’un formulaire politique, nous construirons une société où nous puissions vivre en Celtes. Notre monde se réalisera par la prise de pouvoir de la nouvelle élite.

“Elites”, Olier Mordrel, Stur, n°9, éditorial 

 

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Chant de guerre – Kanenn Vrezel

Ainsi chantait jadis un jeune Breton

Je mourrai une nuit, sur les routes de Bretagne,
Joyeux, et ferme en mon cœur le chant de notre victoire,
(Alors que tous les chants seront glacés sur ma lèvre),
Soldat pur, abattu, droit, à sa place,
Etendu, le front blanc. dans le fond d’un fossé.
Mais à l’aurore,
Quand quatre hommes viendront avec une civière,
Dans le matin humide, terne, et jaune d’argile,
Par les gémissements de la pluie de novembre dans les buissons nus,
Et la douleur muette des femmes en la maison,
Alors, tous agenouillés, ne dites pas

Il fut intrépide, hardi, téméraire.
Répandant la moisson de son cœur à pleines mains,
Le feu de sa jeunesse dans ses yeux clairs,
— Oh ! non pas avec des paroles vulgaires… qu’importe
Au guerrier qu’il fut 
Baigné dans la lumière des soleils d’acier (qui brûlèrent
La vieille pourriture de la chair et l’aiguillon du désir).
Nos paroles émoussés et sans force ? A l’homme qui entendit
Dans l’avril clair le rire de la guerre joyeuse ?

Mais, sans orgueil (toutefois, un peu tristement)
Dites : Jamais personne n’aima plus que lui
La paix, le rêve léger aux ailes brillantes.
Dans le chant du labeur honnête auprès de la maison,
Et le passage des heures sur un foyer pur.
La grâce d’enfants heureux.
La prière joyeuse après l’effort du jour
Le rire sur des visages bien connus,
Et le calme tendre et secret de nos campagnes bretonnes.
auns la douce plénitude de la vie au faîte de l’âge.

Roparz Hemon

Breiz Atao. Mars 1926

Action d’affirmation nationale dans le Pays Rennais !

Action d’affirmation nationale dans le Pays Rennais !

[PNB] Les militants du PNB du Pay Rennais étaient sur le terrain ces derniers jours pour une action d’affirmation nationale. Partout sur le territoire breton, les militants nationalistes affirment un seul et unique message : Bretagne libre, fière et forte !

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Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Collusion et duplicité des politiciens français : les origines du désastre de Carnac

[PNB] Grâce à l’aide du maire loyaliste de Carnac, le macroniste Olivier Lepick, la destruction des 37 menhirs pour construire un “Mr Bricolage” devait bénéficier à Stéphane Doriel via sa “SAS BricoDolmen”, alors qu’il est déjà l’heureux propriétaire du Super U de la commune, mais également d’une station-service, d’un lave-auto et d’un magasin d’électroménager.

Via l’association “Carnac Marnage”, M. Doriel appartient à un réseau de commerçants prêts à tout pour exploiter le filon touristique en bouleversant le PLU, quitte à passer en force. Déjà en 2011, il s’illustrait par sa pression constante pour faire bâtir aveuglément sur la commune de Carnac, dénonçant la précaution nécessaire sur un site archéologique de cette importance comme une “paralysie” (cf. article du Télégramme ci-dessous).

Quels sont les liens entre O. Lepick et S. Doriel et plus largement entre O. Lepick et ce lobby local ? Ne cherchons pas trop loin toutefois quel réseau d’intérêts opaques est en action. La nomination de Jean-Yves Le Drian (Grand Orient, Le Siècle) à la tête de l’association de préservation des mégalithes de Carnac par M. Lepick pour obtenir le classement du site par l’UNESCO – et donc de garantir des retombées financières beaucoup importantes au lobby précité – donne la mesure des “arrangements entre amis” qui ont lieu au sein de la bourgeoisie pro-française réunie autour du macronisme.

Le Parti National Breton exige que la lumière soit faite, les responsabilités établies et le châtiment exemplaire. La Bretagne ne doit pas être dévorée par des intérêts financiers dénués de scrupules, souvent étrangers, qu’il s’agisse de spéculation immobilière ou du tourisme de masse.

Notre patrie vaut plus que leurs profits !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le PNB exigence la fin immédiate de la dérogation en faveur de l’abattage rituel dans les 5 départements bretons

Le PNB exigence la fin immédiate de la dérogation en faveur de l’abattage rituel dans les 5 départements bretons

[PNB] La Bretagne est un pays où l’activité d’élevage occupe une part importante du secteur agricole.

Le Parti National Breton, soucieux du respect des normes culturelles européennes, veut que la Bretagne interdise l’abattage rituel inspiré de religions non-européennes et rejoigne ainsi l’Autriche, la Suisse, la Norvège, la Slovénie, l’Islande, le Danemark et la Belgique.

Cette volonté figure désormais dans les exigences d’application immédiate du PNB. En l’état actuel de la législation française à laquelle la Bretagne est encore soumise, l’abattage rituel est interdit, mais bénéficie d’une dérogation arbitraire délivrée par le gouvernement français.

Le Parti National Breton exige que cette dérogation ne soit plus de mise sur les cinq départements du territoire national breton.

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Le patrimoine breton détruit par le grand capitalisme français à Carnac !

Le patrimoine breton détruit par le grand capitalisme français à Carnac !

[PNB] C’est avec stupeur et colère que les Bretons ont appris la destruction sauvage de 39 menhirs de 7,000 ans par le maire de Karnag Olivier Lepick, complice du groupe français “Mr Bricolage”.

Cette attaque barbare contre le Peuple breton et son histoire est le résultat d’une course au profit aveugle sur fond de vente à la découpe de la Bretagne aux intérêts financiers français, que ce soit par le tourisme de masse ou la spéculation immobilière.

La Bretagne doit rompre avec la logique de la croissance illimitée et la “disneylandisation” qu’imposent le grand capitalisme hexagonal et l’Etat français à notre pays et stopper définitivement le processus de construction tous azimuts qui en découle.

Le Parti National Breton dit STOP et exige un châtiment exemplaire pour les coupables.

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Podcast : Mouezh ar Vroad n°7 est sorti ! (Juin)

Podcast : Mouezh ar Vroad n°7 est sorti ! (Juin)

[MOUEZH AR VROAD] Le podcast mensuel du Parti National Breton est paru !

Le programme :

00:00 : Générique
00:40 : Introduction
01:23 : Actualité : Corruption généralisée dans la république jacobine française
20:57 : Pause musicale : Kan an alarc’h
24:20 : Politique : Emsav, Autoritarisme, Fascisme, Nazisme, quelles différences
58:46 : Pause musicale : Kantik ar Baradoz
1:02:33 : Culture : L’abbé Yann-Vari Perrot
1:31:22 : Conclusion
1:37:53 : Générique

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