[PNB] Le Parti National Breton a mené une action de solidarité nationaliste avec les pécheurs bretons au port du Guilvinec.
Alors que l’agression impérialiste de l’Etat Français contre la Russie a fait exploser les coûts du carburant, le Parti National Breton rappelle que 60% du prix de celui-ci en Bretagne demeure le résultat du pillage fiscal orchestré par l’Etat Français.
Sous l’égide d’un fisc breton indépendant, le Parti National Breton exige l’instauration d’une taxe sur les véhicules des propriétaires de résidences secondaires en Bretagne. Son produit financera l’approvisionnement en carburant des pêcheurs, agriculteurs et routiers bretons.
Cette revendication s’inscrit plus largement dans le caractère illégitime et illégale de toute levée d’impôts et de taxes en Bretagne par l’occupant français. La libération de la nation bretonne suppose l’expulsion du fisc colonial français hors du territoire national breton.
[PNB] Pour illustrer un article approximatif et confus, le journaliste Erwan Chartier, issu du régionalisme de gauche, dénonce la proximité de “l’extrême-droite bretonne” avec le candidat à l’élection présidentielle française Eric Zemmour. Pour illustrer son propos, M. Chartier utilise une photographie d’affiches du Parti National Breton, laissant accroire que le Parti National Breton soutiendrait le candidat précité (voir ici).
Pour le Parti National Breton, le bloc historique français est un monolithe ontologiquement anti-ethnique, universaliste et impérialiste depuis l’avènement de la Révolution Française. L’insurrection chouanne en Bretagne a posé les bases dialectique du combat national breton, traditionnaliste et différentialiste, contre la France révolutionnaire devenue la matrice de la gauche internationale. Aucune élection ne pourra empêcher ce bloc de basculer logiquement et inévitablement dans le communisme racial strict sous l’effet de son repeuplement par les masses du tiers-monde.
Le Parti National Breton, conformément à sa position ethno-indépendantiste, n’accorde donc aucun intérêt à cette élection française et n’a logiquement jamais apporté son soutien, directement ou indirectement, à un candidat quelconque, de gauche ou de droite, d’extrême-gauche ou d’extrême-droite.
Signe d’un manque de rigueur professionnelle croissant dans la sphère du journalisme institutionnel hexagonal, il s’agit du deuxième article qui prête faussement au Parti National Breton un tel soutien (lire ici). A aucun moment, contrairement à l’éthique, le Parti National Breton n’a été interrogé à ce sujet par les auteurs de tels articles, ce qui aurait pourtant permis de prévenir la publication d’une affirmation infondée.
Le Parti National Breton rappelle que les opinions ne sont pas des faits.
Poursuivi pour deux viols commis à Morlaix, un Guinéen de 23 ans a été condamné par la cour d’assises du Finistère, ce jeudi 17 mars, à dix ans de réclusion criminelle.
Depuis le mardi 15 mars, la cour d’assises du Finistère jugeait un homme de 23 ans poursuivi pour avoir commis deux viols, en juillet et décembre 2018, sur la commune de Morlaix. Ce jeudi 17 mars, le jeune prévenu, qui était détenu au centre pénitentiaire de Ploemeur (56) depuis le 29 décembre 2018 et défendu par les avocats Me Pierre Tracol et Me Pierre-Hector Rustique, a été condamné à dix ans de réclusion criminelle, à une interdiction définitive du territoire français et à une inscription au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d‘infractions sexuelles ou violentes (Fijais). Lors du procès, les parties civiles étaient quant à elles défendues par les avocats Me Chantal Sève et Me Patrick Larvor.
La politique de repeuplement de la Bretagne par les masses du tiers-monde ne cessera pas sans la rupture radicale et définitive avec l’Etat Français dont la dégénérescence ethno-culturelle est irréversible.
Seul le Parti National Breton entend mener cette politique de rupture par une lutte systématique contre la France pour la restauration de l’Etat Breton.
[PNB] Le Parti National Breton entend signifier aux partis fransquillons qu’ils n’ont pas leur place en Bretagne. Comme ici à Fougères avant la venue de l’agitateur colonial rouge Roussel.
Peu importe le parti, pour les Bretons il n’y a qu’un seul ennemi : Paris !
[PNB] Le Parti National Breton souhaite une heureuse fête de la Saint-Patrick à nos cousins celtes d’Irlande.
Padrig (Padrig Maenwyn) était un Breton d’origine galloise (1). On dit qu’il était originaire du Glamorganshire. Il a apporté le christianisme de Grande-Bretagne en Irlande. La version du christianisme britannique qu’il prêchait était en conflit avec la nouvelle église d’Angleterre (2) et Rome (3).
Selon certains auteurs, le nom de naissance de Padrig était “Succat”. Ce qui est un nom non romain (4). Il y avait autrefois une chapelle appelée ‘Capel Padrig’ dans la paroisse de Saint David’s dans le Pembrokeshire. Il avait également une église qui lui était dédiée à Aberllychwr. L’existence de Saint Patrick prouve qu’il y avait un état breton (gallois) après le départ des Romains.
Sa vie et ses enseignements ont renforcé les relations britto-irlandaises et démontrent l’existence documentée de l’Église chrétienne bretonne. Patrick a apporté la foi de la Grande-Bretagne en Irlande, ce que nous pouvons encore voir dans le style des croix, et la mémoire vivante de ce Saint.
_____________ (1) “Saint Patrick était un Breton de citoyenneté romaine de bonne famille vivant probablement dans la vallée de la Severn. Son père était un diacre chrétien, un citoyen romain, et un membre du conseil municipal”. The Birth of Britain, Winston Churchill (1956) page 71.
(2) “Ainsi, au début du septième siècle, Ethelburt et Augustin convoquèrent une conférence des évêques bretons (gallois). Le lieu choisi dans la vallée de la Severn se trouvait à la frontière entre les domaines saxon et breton (gallois), loin des limites du royaume de Kentish.” The Birth of Britain, (La naissance de la Grande-Bretagne), Winston Churchill (1956), page 75.
(3) “Si la chrétienté bretonne n’acceptait pas les offres équitables qui lui sont faites, toute l’influence et le prestige de Rome seraient utilisés contre elle au profit du camp saxon. Les armées saxonnes seraient bénies et soutenues par Rome ainsi que les traditions ininterrompues de la principale église chrétienne et aucune sympathie ne serait ressentie pour ces chrétiens bretons, longtemps demeurés fidèles alors qu’ils étaient égorgés par les tout nouveaux convertis saxons. “Si,” s’exclame le Saint, “vous ne voulez pas avoir la paix de vos amis, vous aurez la guerre de vos ennemis.” C’était un langage qu’ils comprenaient. La rencontre se sépara dans l’inimitié ; la rupture était irréparable. Tous les efforts ultérieurs de Rome, par l’intermédiaire d’Ethelburt et du royaume de Kentish, pour établir le moindre contact avec la Bretagne chrétienne (Galles & Cornouailles) furent inexorablement repoussés”. The Birth of Britain, (La naissance de la Grande-Bretagne), Winston Churchill (1956), page 76.
(4) The Christian Island, Beram Saklatvala (1969) University Press Inc. New Jersey
[PNB] Au front ! Les militants brestois du Parti National Breton étaient dans les rues de port de Brest pour affirmer la nécessité du combat nationaliste. Une présence du PNB dont les affiches suscitent l’hostilité des bandes rouges locales.
[PNB] Suite à la violente répression du mouvement de contestation nationaliste en Corse, le Parti National Breton condamne la voie de l’escalade choisie par le pouvoir colonial sur l’île. Cette escalade illustre la posture résolument agressive de l’Etat Français face au peuple corse tout comme son refus de reconnaître les droits élémentaires de la nation corse.
En dépit d’un soutien populaire et électoral massif, les revendications des nationalistes corses restent à ce jour lettre morte. L’autonomie de l’île, la norme en Europe, n’est toujours pas discutée par Paris. L’impératif statut de résident réclamé par les Corses rencontre la féroce opposition du gouvernement français alors que la Corse est l’objet d’une intense pression immobilière. La langue corse est virulemment ostracisée par l’administration coloniale.
Une situation identique à ce que connaît le peuple breton, lui-même occupé par le pouvoir colonial français.
Le Parti National Breton se félicite de la mobilisation du peuple corse contre l’ennemi commun : l’Etat Français. Plus que jamais, la lutte pour la libération des nations sous occupation française doit s’intensifier.
[PNB] Le Parti National Breton a mené une opération d’affirmation nationale dans la région de Plogonnec. Partout et tout le temps, l’action pour une Bretagne bretonne est la priorité du PNB.
[PNB] La puissante hausse des prix du pétrole générée par l’entreprise agressive de la France et de l’OTAN contre la Russie en Ukraine touche gravement les pêcheurs bretons. Le 10 mars, le prix du gazole atteignait 1,15 euro par litre à Saint Malo.
Une nouvelle fois, l’occupation française de la Bretagne et la subordination de la nation bretonne à l’Etat Français qui en résulte s’avèrent être une mortifère source d’instabilité pour l’économie bretonne.
Le Parti National Breton entend faire de la neutralité de la Bretagne un axe cardinal de sa lutte pour l’indépendance. Seule la neutralité de l’Etat Breton est de nature à garantir les intérêts vitaux du peuple breton en s’écartant de toute politique impérialiste, belliciste ou expansionniste traditionnellement menée par la France. La nation bretonne ne se reconnaît pas d’ennemis, sauf celui qui l’occupe : l’Etat Français.
Le Parti National Breton exige la suppression immédiate des taxes perçues illégitimement en Bretagne sur le carburant par le gouvernement de Paris. L’abolition de cette taxe coloniale sur l’énergie consommée en Bretagne permettra d’assurer à tous les secteurs stratégiques un soutien financier immédiat.
[PNB] Le Parti National Breton a affirmé sa position de principe face aux menées impérialistes de l’OTAN et de la France en Ukraine : le rôle de la nation bretonne n’est pas de participer ou de soutenir les actions bellicistes du bloc oligarchique euro-américain dans ce pays, ni dans aucun autre.
La propagande des médias d’état français en faveur du mercenariat au service des fantoches de Kiev illustre comment l’impérialisme procède pour recruter des idiots utiles, y compris en Bretagne. Des individus antisociaux, trop lâches pour lutter pour l’indépendance de la nation bretonne, s’empressent d’aller en Ukraine pour s’y livrer au meurtre et à la rapine.
Tébéo, la chaîne vidéo du Télégramme, a honteusement glorifié un apprenti mercenaire se déclarant prêt à aller tuer en Ukraine, Ronan Calvarin (56 ans).
Attaché à la paix, le peuple breton ne se reconnaît pas dans cette exaltation – téléguidée – du meurtre.
Le Parti National Breton rappelle que le gouvernement de la Fédération de Russie a annoncé que tout ressortissant étranger engagé comme mercenaire qui sera fait prisonnier les armes à la main en Ukraine ne sera pas protégé par les conventions internationales. Les individus capturés par l’armée russe dans de telles conditions seront soit exécutés sur-le-champ comme partisans irréguliers, soit déportés en Sibérie dans une colonie pénitentiaire en régime sévère pour une durée indéfinie.
Le Parti National Breton dénonce la propagande orchestrée par les médias d’état français en Bretagne en faveur des actions illégales d’individus prétendant aller verser le sang pour une cause étrangère aux intérêts bretons.
Ceux qui veulent défendre l’indépendance d’une nation occupée n’ont pas à aller chercher à l’autre bout de l’Europe pour le faire. Ils en ont une sous leurs pieds : Breizh. Ils ont un seul ennemi : l’Etat Français.