Le Parti National Breton affirme fièrement sa présence militante dans les rues de Bretagne !
Breton, rejoins le front !
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
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La censure par le Conseil Constitutionnel français, il y a quelques mois, de l’apprentissage de la langue bretonne par immersion a gravement mis en danger le réseau d’écoles Diwan. Spécifiquement ciblées par le ministre français de l’Education, Jean-Michel Blanquer, les écoles Diwan vivent depuis dans l’incertitude, résultat de l’accentuation des pulsions autoritaires d’un état jacobin fragilisé.
La promulgation par l’Etat Français, le 16 décembre 2021, d’une circulaire reconnaissant l’enseignement par immersion a été salué par certains comme un “progrès”.
Le Parti National Breton, lucide sur les intentions de l’Etat Français pour tout ce qui touche la nation bretonne, n’est pas dupe de la manœuvre de Paris. Il dénonce un leurre politique peu coûteux qui ne vise qu’à calmer temporairement la colère du peuple breton à la veille d’élections présidentielles françaises. Ce texte n’a aucune valeur juridique définitive, si ce n’est celle que veut bien lui prêter le gouvernement français qui l’a rédigé.
Le Parti National Breton réaffirme que seule l’indépendance de la Bretagne permettra d’apporter une réponse globale à la question de la survie de la langue bretonne. L’Etat Breton, en rendant l’enseignement du breton obligatoire à tous les niveaux d’enseignement, garantira la survie de la dernière langue celtique du continent européen.
Dans l’immédiat, le Parti National Breton exige :
L’enseignement de la langue bretonne en Bretagne n’est pas quelque chose que la nation bretonne peut marchander avec l’oppresseur français. C’est un droit sacré pour lequel le Parti National Breton combattra sans relâche.
Breizh Atav !
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Soumise aux lois françaises par la force de l’occupation actuelle, l’économie bretonne devra subir une nouvelle forme d’ingérence stato-marxiste hexagonale dans ses entreprises. Une loi proclamée par Paris impose la sélection des membres des directions d’entreprises de plus de 1,000 salariés sur la seule base de leur sexe.
Capital :
Concrètement, l’article 7 de cette nouvelle proposition de loi prévoit d’instaurer des quotas dans les instances dirigeantes des entreprises de plus de 1.000 salariés : 30% de femmes dans les cinq ans suivant la promulgation du texte (d’ici à 2027), puis 40% trois ans plus tard, soit huit ans après la promulgation de la loi (d’ici à 2030).
Le Parti National Breton s’oppose fermement à l’ingérence de l’Etat Français et de sa bureaucratie incompétente dans la vie des entreprises bretonnes, dans la composition de leur structure ou dans leur supervision. Cette mesure d’inspiration néo-marxiste vise à s’emparer du contrôle politique de ces entreprises pour les mettre au pas idéologiquement et économiquement.
Pour le Parti National Breton, la liberté d’entreprendre et le mérite sont les deux seuls principes qui doivent gouverner la vie des entreprises bretonnes. Ces deux principes ne sont pas négociables et ne seront pas négociés.
Le Parti National Breton souligne l’urgence nécessité de l’indépendance pour que l’Etat Breton, libre des ferments autoritaires du néo-marxisme, libère l’économie bretonne de ses chaînes hexagonales, qu’elles soient fiscales, règlementaires ou idéologiques. Faute de quoi, c’est la ruine qui attend le peuple breton.
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Voici un témoignage d’Erwan Ar Garlanteze, un élu du Parti Breton (autonomiste), sur la situation politique de la commune de Saint-Jacques de la Lande, dans le sud de la région rennaise.
Facebook :
Au conseil municipal de St Jacques de la lande du 13 décembre 2021, la majorité PS-EELV-PCF s’est prononcée CONTRE la réunification de la Bretagne et CONTRE l’adhésion à Breizh 5/5, proposées par le Parti Breton. Et dans un élan démocratique sans précédent, la mairie a publiquement “regretté que le Parti Breton ait été élu, car la Bretagne n’intéresse pas les Français”…
Saint-Jacques de la Lande, commune de l’agglomération rennaise déjà sévèrement atteinte par le remplacement de population promu par la gauche française, incarne parfaitement ce qui advient d’une ville bretonne lorsqu’elle tombe aux mains des tenants de l’écolo-marxisme hexagonal.
La haine coloniale contre le peuple breton s’y exprime sans aucune retenue.
Marie Ducamin, maire PS de Saint-Jacques de la Lande
Pour rappel, c’est à Saint-Jacques de la Lande que Wilhem Houssin, 49 ans, a été battu à mort en pleine rue par cinq allogènes, protégés de la municipalité écolo-marxiste dirigée par Marie Ducamin.
Wilhem Houssin
Suite à ces déclarations sectaires teintées d’agressivité ethnique, le Parti National Breton appelle les Bretons à en tirer les conclusions politiques.
Historiquement, les partis de la gauche française ont pour seule politique en Bretagne sa sujétion coloniale et l’éradication du peuple breton comme de ses spécificités ethno-culturelles. La faiblesse politique de la nation bretonne encourage les agresseurs à multiplier les provocations.
La seule réponse adéquate est l’intensification de la lutte nationaliste en vue de la libération du peuple breton, notamment en détruisant politiquement les partis hexagonaux partisans de l’ordre colonial. C’est ce qu’entend faire le Parti National Breton.
Breizh Atav !
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A Nantes, le remplacement de population organisé par l’Etat Français et la municipalité socialo-écologiste aboutit à sa conséquence logique : la prolifération islamiste.
Loin de s’en émouvoir, le média d’état français “Ouest-France” s’en félicite et exhibe triomphalement des allogènes voilées lors de leurs activités politico-religieuses.
Les islamistes ne font rien gratuitement : leur agitation pseudo caritative vise à marquer leur contrôle du territoire et des populations.
Nantes, comme toutes les villes bretonnes, est gravement menacée par l’invasion islamique. C’est Breizh, notre nation, qui est en péril de mort, menacée d’être entraînée par la France dans sa chute.
Le Parti National Breton appelle les Bretons a prendre conscience de l’extrême gravité de la situation, à se mobiliser immédiatement à ses côtés pour sauver la terre sacrée de Bretagne de la submersion islamique. Pour cela, une seule solution : nationaliser le peuple breton et briser les forces qui veulent l’anéantir.
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En Nouvelle-Calédonie, le régime français a atteint le summum du mensonge, du cynisme et de l’hypocrisie ce dimanche 12 décembre. Boycotté par l’ensemble des forces politiques représentant le peuple kanak, le pseudo référendum portant sur l’autodétermination de la Kanaky constitue une sidérante mise en scène colonialiste qui témoigne paradoxalement de l’extraordinaire précarité de la position française.
Avec une participation dérisoire de 43%, seuls les partisans de la présence coloniale française ont voté. Le résultat, digne d’une république populaire communiste, donne plus de 96% en faveur du maintien de la tutelle coloniale. Le chef de l’Etat Français, portant l’hypocrisie à son comble, a déclaré reconnaître “avec humilité” le résultat de la manipulation ! Pour faire bonne mesure, la presse française aux ordres déclare, unanime, que la “Nouvelle-Calédonie a choisi de rester française” alors même que les principaux acteurs de ce référendum, les Kanaks, n’y ont pas participé.
Quel référendum d’autodétermination peut être légitime sans la participation du peuple censé décider de son autodétermination ?
En agissant ainsi à la face des nations du monde, l’Etat Français ajoute l’insulte et l’insolence à sa brutalité coloniale. Il n’y a aucune surprise : l’état impérialiste français ne comprend que le rapport de force, direct et massif, comme l’a prouvé son histoire sanglante. Le régime colonial français n’a jamais eu l’intention de respecter le droit du peuple kanak à l’autodétermination. Le passage en force de Paris démontre que l’Etat Français considère toujours le peuple kanak comme un sujet colonial dont il peut disposer comme bon lui semble.
Mais la France ne trompe pas l’opinion internationale. Sa tentative de manipulation grossière de ce référendum a d’ores et déjà fait long feu. L’Etat Français tente de gagner du temps face à une situation politique qui lui échappe de plus en plus. La présence française est ainsi passée de 73,000 colons en 2014 à 65,000 en 2019. Dans le même temps, la population kanake est passée de 104,000 personnes en 2014 à 112,000 en 2019 et croît à un rythme de 2% par an. Le deuxième référendum avait vu les indépendantistes réunir 46,7% des suffrages exprimés, un résultat qui avait semé la panique à Paris. D’ici dix ans, les partisans de l’ordre colonial seront systématiquement battus aux élections, résultat direct de la reconquête démographique du peuple autochtone.
C’est ce basculement politique inéluctable que les bandits de Paris cherchent à conjurer.
Le Parti National Breton déclare ne pas reconnaître le résultat de cette mascarade colonialiste mise en scène par Paris. Il apporte son soutien total au peuple kanak et se déclare solidaire de toutes les initiatives que les forces politiques kanakes entreprendront pour mettre un terme à la présence coloniale française. Le Parti National Breton soutient tout particulièrement l’intention du FLNKS de faire reconnaître la nullité de ce faux référendum par les instances internationales. Le Parti National Breton affirme enfin que les graves conséquences que cette manipulation politique aura sur la société calédonienne seront le fait d’un seul et unique responsable : l’Etat Français.
Le Parti National Breton attire l’attention du peuple breton sur les techniques employées par la France pour subjuguer les peuples qu’elle occupe. Les Bretons ne doivent faire preuve d’aucune naïveté vis-à-vis du régime français. Condamné à l’effondrement, il recourra à des méthodes chaque jour plus déloyales pour retarder sa chute.
Breizh Atav !
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Les sections du Parti National Breton se déploient sur le sol sacré de Bretagne pour affirmer le principe cardinal du mouvement : la Bretagne aux Bretons !
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L’opposition écolo-marxiste “Mellac Plus Loin” a voté contre les subventions municipales accordées aux élèves mellacois scolarisés à Diwan.
Au terme d’un usage visant à défendre la langue bretonne, les municipalités de Bretagne peuvent accorder une aide financière aux élèves qui n’ont pas accès à une école bilingue ou immersive sur le territoire communal. Un dédommagement éthique pour ces élèves bretons qui veulent apprendre la langue de leur peuple, mais qui en sont privés par la politique discriminatoire de l’Etat Français en dépit de l’impôt que versent leurs parents à ce même état.
Les trois élus de l’opposition de “Mellac Plus Loin”, s’inscrivant dans une haine manifeste de la langue bretonne et dans l’impérialisme linguistique traditionnel de la gauche française, ont voté contre.
L’agitation jacobine contre l’enseignement de la langue bretonne est menée par la porte-parole d’Europe Ecologie Les Verts du pays de Quimperlé, Séverine Escolan (ici avec ses comparses de Mellac Plus Loin)
Lors du conseil municipal, mardi 7 décembre, les trois élus de Mellac plus loin ont voté contre l’adoption du versement forfaitaire scolaire communal aux écoles Diwan de Bannalec et Quimperlé. Le montant est de 6 695 € pour deux élèves de maternelle et sept de l’école élémentaire de Mellac, pour 2021-2022.
Le Parti National Breton dénonce la duplicité du parti fransquillon EELV.
Cette organisation bourgeoisie de gauche, qui prétend mensongèrement défendre les langues ethno-nationales de l’Hexagone, soutient à Mellac les pires menées contre la langue bretonne.
L’agitation sectaire de la part de ces trois élus rouges-verts contre des élèves subissant déjà les discriminations systémiques de l’Etat Français illustre la haine caractéristique d’un mouvement français viscéralement hostile aux peuples européens, en général, et au peuple breton, en particulier.
Partout en Bretagne, le sectarisme hexagonal doit être combattu implacablement.
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Le Parti National Breton, par sa praxis, n’a rien de commun avec les aliénés de l’actuelle société française en Bretagne. Il ne s’inscrit pas dans les stériles affrontements d’un système politique français qui, de l’extrême-droite à l’extrême-gauche, professe un même dogme : la nationalité de papiers.
Le régionalisme incapacitant est plus qu’un régionalisme stricto sensu. C’est une déformation psychologique par laquelle un Breton ne pense et n’agit que par l’intermédiaire de la vie française.
Le Parti National Breton a une toute autre ambition, encore largement inconnue de l’opinion bretonne, mais qui n’en est pas moins révolutionnaire : construire l’état celtique de la nation bretonne. Cela suppose de la part du Parti de définir un paradigme nouveau, proprement breton, où il définit le temps et l’espace de son action, en rupture radicale avec la société française. La réaction régionaliste, refusant dogmatiquement une telle rupture, justifie toujours son ralliement à la bourgeoisie française par l’exception idéologique. Le clivage gauche/droite est ainsi l’antichambre du loyalisme français en Bretagne.
Le Parti National Breton se situe hors de ce champ d’affrontement français. Pour créer la voie nouvelle d’un peuple breton libéré de son acculturation, il dépasse les catégories mentales de l’aliénation imposée par l’Etat Français pour n’aborder les problèmes qu’en termes ethno-préférentiels et souverains : la Bretagne aux Bretons.
Avant de bâtir un état national breton, il faut nationaliser les masses bretonnes. C’est-à-dire affirmer la nationalité bretonne. Tel est le rôle du Parti. Cette nationalité, précisément, n’a de raison d’être qu’en dehors de la sphère française et de ses représentations. Discourir aux côtés de la gauche française ne vaut pas davantage que de discourir aux côtés de la droite française. Pour les Bretons, la ligne de l’affrontement est autre : il s’agit d’une lutte contre la bourgeoisie française, son appareil d’état en Bretagne et ses auxiliaires dont l’action combinée conditionne l’anéantissement de notre peuple.
La nationalité bretonne se forge en pratique dans la lutte contre cette bourgeoisie, que ce soit politiquement, socialement, économiquement ou culturellement. C’est en mobilisant les Bretons pour leur liberté nationale que Breizh, succédant à l’actuelle dépendance régionale que l’on nomme Bretagne, naîtra.
Au principe de justice s’ajoutent désormais les conditions objectives. La désintégration de l’Etat Français sous l’effet de la libanisation ethnique ne fait aucun doute durant ce siècle. Le Parti National Breton a pour première tâche de préserver le peuple breton des conséquences de cet effondrement en brisant les reins de l’Etat Français en Bretagne. Ce n’est qu’organisée par un Etat Breton que la nation bretonne survivra.
Les Bretons doivent impérativement se saisir de leur destin, repousser toute influence fransquillonne et entamer l’ouverture du front contre celle-ci. Ce qu’ils ne peuvent faire politiquement qu’en rejoignant le Parti National Breton.
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En Bretagne, les ravages du socialisme municipal français ne sont plus à détailler à l’opinion bretonne qui ne les connaît que trop bien : endettement massif, urbanisme désastreux et tiers-mondisation du peuplement, sur fond d’explosion de l’insécurité et de l’islamisme, en sont les conséquences les plus spectaculaires.
Le maire PS de Saint-Nazaire, David Samzun
La ville de Saint-Nazaire (Pays Nantais), sous la coupe du Parti Socialiste français depuis des décennies, illustre tristement ce qu’il advient des communes qui se laissent entraîner sur cette voie. Récemment, c’est la politique du logement pseudo social, réservée aux allogènes importés par l’Etat Français, qui met en lumière le désastre ethno-culturel créé par la gauche française.
11 agressions depuis le début de l’année. La plus marquante restera celle de cet agent, frappé par un trafiquant de drogue aux pieds des immeubles dans le quartier de la Trébale fin mai. Avec une triple fracture de la mâchoire et plusieurs mois d’arrêt, l’agent n’a repris le travail que récemment dans un autre quartier. Des coups, mais aussi des insultes, des menaces de mort, “c’est régulier et c’est oppressant pour nos agents qui vont sur le terrain, aux pieds des immeubles,” raconte Maïgwenn Guégan, directrice proximité qui encadre ces 74 travailleurs isolés pour Silène. Elle-même victime de menaces en 2019, elle a porté plainte, son agresseur a été condamné à 3 mois de prison ferme. Mais ces condamnations sont rares, même si à chaque fois, il y a un dépôt de plainte car il est toujours difficile d’identifier les agresseurs.
C’est pourquoi Silène, qui héberge un Nazairien sur 3, met en place un plan sécurité, une sorte de boîte à outils pour mieux protéger ses salariés. D’autant que la tension du marché, avec 5 mille candidats au logement social sur liste d’attente dont 3600 primo-arrivants, rajoute du sel sur les plaies. Dans les 7 centres d’accueil Silene, les agents aussi sont souvent pris à parti. Ils ont déjà un bouton directement relié avec la police, mais à partir de janvier, ces locaux seront également équipés de caméras de vidéo-surveillance. Le bailleur a mis 18 000 euros sur la table. Et les candidats au logement qui se comportent mal avec un agent sont exclus des listes pour 2 ans.
Le terme “primo arrivants” propre à la langue de bois du régime désigne en réalité les migrants extra-européens candidats à la colonisation de la Bretagne.
Avec 3,600 allogènes sur 5,000 candidats à l’accession d’un logement social, ces étrangers représentent le chiffre astronomique de 72% des demandes !
Cette véritable invasion prive les Bretons du droit de se loger chez eux et ce avec le plein appui de la municipalité PS de Saint-Nazaire ainsi que du gouvernement français.
Ce n’est pas tout. Les agents de terrain ont récemment reçu un boîtier, avec une dragone, relié à une plateforme de sécurité avec même un code secret pour dire “au secours”. Ce boîtier géolocalise l’agent, et si besoin, les forces de l’ordre peuvent intervenir. Autre mesure mise en place : la sécurisation des halls d’immeubles. Pour mieux lutter notamment contre les trafics de drogue et les guetteurs, l’office HLM a équipé plus de 200 entrées de digicodes et autres badges pour un montant d’1,5 millions d’euros. A propos de trafics de drogue, désormais quand un locataire est officiellement condamné, il est également expulsé de son logement pour trouble du voisinage. Une expulsion est actuellement en cours d’ailleurs, une locataire ayant été condamnée cet été.
“Nous n’avons pas de baguette magique mais nous faisons tout ce que nous pouvons en partenariat avec la Ville, la Police et la Justice” explique Xavier Perrin, président de Silène qui annonce lancer l’expérience de caméras de vidéoprotection dans les halls et les caves des 4 immeubles de Prézégat. Un quartier de Saint-Nazaire où une fusillade a éclaté fin septembre.
Enfin, à propos du vandalisme, 800 plaintes l’an dernier et 200 000 euros de réparations pour le bailleur, “l’équivalent de 7 logements neufs” déplore Sandrine Williamson, la directrice générale de Silène. “Mais par principe, on essaye de remplacer les vitres brisées, d’effacer les tags, car sinon, on donne l’impression d’une zone de non droit et là, ça peut se dégrader très très vite“. Et de rappeler que “c’est toujours une minorité qui pourrit la vie de la grande majorité, c’est aussi pour nos locataires qu’on a voulu réagir”.
La radio d’état française (France Bleu) opère une stricte censure du fait structurant derrière la situation décrite dans les résidences sociales : l’immigration extra-européenne de peuplement, très majoritairement afro-musulmane.
Il ne s’agit pas d’une “minorité”, mais des caractéristiques propres à ces populations inassimilables qui, partout où elles s’installent, recréent les conditions de sous-développement propres à leurs pays d’origine. Saint-Nazaire, pas plus que Brest ou Rennes, n’échappe au sort de Marseille.
Les chiens ne font pas des chats.
Plutôt que de dénoncer en termes clairs l’origine de ce désastre aux conséquences catastrophiques pour le peuple breton, la politique de la municipalité de gauche consiste à accompagner la progression de la sauvagerie en dépensant des millions d’euros qui sont autant de pansements sur la jambe de bois de l’immigration non-européenne.
Le Parti National Breton ne s’embarrasse pas d’euphémismes ou de formules prudentes, il va droit à l’essentiel, désigne la menace qu’affronte la nation bretonne et propose des solutions drastiques qui seules permettront de mettre un terme à la crise fondamentale que pose l’immigration de remplacement imposée par l’Etat Français.
Le Parti National Breton rappelle trois de ses dix exigences d’applications immédiates pour la Bretagne :
1 – L’arrêt immédiat par les préfectures françaises de l’installation d’infiltrés clandestins dans les cinq départements bretons et l’arrêt immédiat par les collectivités territoriales (communes, départements et région) de toute subvention publique aux associations organisant l’infiltration du territoire breton par des migrants clandestins.
2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.
6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.
Ces exigences répondent à notre principe de gouvernement : la Bretagne aux Bretons !
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