Impérialisme culturel franco-LGBT : Le PNB dénonce les persécutions du régime français contre le footballeur d’En Avant Guingamp, Donatien Gomis

Impérialisme culturel franco-LGBT : Le PNB dénonce les persécutions du régime français contre le footballeur d’En Avant Guingamp, Donatien Gomis

[PNB] Le Parti National Breton dénonce les persécutions du régime français contre le footballeur d’En Avant Guingamp, Donatien Gomis qui a courageusement refusé de promouvoir l’homosexualisme et la pédophilie en portant un maillot des amis de Pierre Palmade samedi dernier contre Sochaux.

Plutôt que de défendre son joueur, Le Grand, président d’EAG, s’est fait le laquais servile du pouvoir colonial français en sanctionnant Donatien Gomis pour son exemplarité morale. En prêtant la main aux manœuvres de la France satanique, EAG met en danger la jeunesse bretonne.

Sur la terre sacrée de Bretagne, il n’y a pas de place pour les pervers et les désaxés. Dans la Bretagne nouvelle qu’instaurera le PNB, les enfants seront protégés et le gouvernement breton châtiera durement les détraqués sexuels “aux 26 lettres de l’alphabet”.
Après avoir chassé les démons de Paris, la Bretagne redeviendra une terre de noblesse et de paix où il fera bon vivre. Grâce à l’Etat breton, les professionnels pourront travailler en toute sérénité et les enfants grandir en paix.
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
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Carte d’orientation stratégique du PNB portant sur la décolonisation de l’espace post-français

Carte d’orientation stratégique du PNB portant sur la décolonisation de l’espace post-français

[PNB] Le Parti National Breton, comme principal instrument politique de l’Etat breton, doit nourrir une réflexion quant à l’environnement dans lequel évolue la Bretagne. Notre pays étant sous occupation et administration françaises, la situation interne de l’Etat français, tout celle comme de la société française, doit être l’objet d’une étude attentive afin de permettre au Parti d’anticiper les changements en cours ou à venir pour garantir les intérêts nationaux de la Bretagne.

Le Parti National Breton considère que le démantèlement de l’Etat français est inéluctable en raison d’un ensemble de phénomènes convergents. Plus qu’aucun autre état, l’Etat français a créé ex nihilo un empire expansionniste qui ne peut se maintenir naturellement sans une puissante action autoritaire depuis le centre politique (Paris), faute de cohésion ethno-nationale. Cet état est devenu la victime de sa propre politique constructiviste en étatisant l’ensemble de la société française à des niveaux jamais atteints. Toute défaillance de l’assistance de cet état aux habitants de l’Hexagone se traduira par des dysfonctionnements systémiques qui réveilleront les violents antagonismes latents entre populations. Les immigrés extra-européens, qui seront 20 millions sur le territoire hexagonal d’ici 2030, alimenteront ces antagonismes pour des raisons raciales et religieuses irréductibles. La faillite de l’Etat français sur sa dette souveraine entraînera la balkanisation ouverte après avoir été latente. 

L’Etat français, comme erreur géopolitique héritée du malheureux traité de Verdun, sera bientôt en mesure d’être corrigée de manière décisive.

Si Marine Le Pen était élue à la présidence de la république française en 2027 (scénario peu probable), son électorat espèrerait un renforcement de l’autorité de l’état central à la faveur d’une réaction jacobine, notamment contre les Musulmans. Cette élection accélèrerait a contrario la désintégration de l’Etat français qui ferait face à un refus général d’obéissance dans les zones urbaines NUPES ou bourgeoises dépendantes du vote islamique et immigré.

Le Parti National Breton perçoit dans cette situation nouvelle et révolutionnaire un ensemble de défis et d’opportunités qu’il doit savoir appréhender afin de garantir la sécurité nationale de la Bretagne libre. Dans l’espace post-français qui émergera de la désintégration de l’Etat impérialiste français, les peuples de l’Hexagone qui espèrent se libérer de cette prison des peuples doivent bénéficier du soutien de la nation bretonne consciente et organisée. Le processus de décolonisation et la libération de ces peuples constituent l’axe cardinal de la politique extérieure du Parti qui devra mettre en œuvre les moyens nécessaires à ce que tous les acteurs concernés contribuent à une résolution positive du démantèlement nécessaire et inévitable de l’Etat français. 

Le Parti National Breton publie conséquemment la carte d’orientation stratégique portant sur la libération des peuples de l’Hexagone menée parallèlement au démantèlement de l’Etat français :

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Décolonisation et démantèlement de l’Etat français : la correction des frontières dans l’espace post-français

Décolonisation et démantèlement de l’Etat français : la correction des frontières dans l’espace post-français

[PNB] Avec l’érosion finale de l’impérialisme français et les changements démographiques de grande ampleur en cours dans l’Hexagone se pose la question de la redéfinition des frontières dans l’espace post-français, une fois le démantèlement de l’Etat français devenu une réalité de facto, sinon de jure.

De nombreux peuples ont été soumis par la force au joug de Paris et leur aspiration à la liberté doivent être entendues. Après de longs siècles d’agression et d’expansionnisme sanglant de la part de l’Etat français, une large correction territoriale devra être entreprise avec pour premier objectif de rétablir la justice entre les nations d’Europe occidentale. Le Parti National Breton nourrit une discussion dynamique sur cette question d’avenir.

Au sud de l’Hexagone, le nouvel ordre politique doit voir naître une Grande Aquitaine, une Occitanie, une Provence et une Corse libres. Au nord, la Normandie doit également accéder à l’indépendance. La Flandre doit rejoindre la grande aire néerlandophone tandis que l’Alsace doit rejoindre la confédération germanophone. Les territoires arrachés à l’Italie, comme Nice, doivent être restitués. La Savoie doit choisir entre l’indépendance et l’union avec la Confédération helvétique. Enfin, la restauration d’un état bourguignon recevra toute l’attention qu’elle mérite de la part de Bretagne nationale. 

La Francie du Nord, centrée autour du nouveau pôle culturel afro-islamique francilien, constituera la France à proprement parler tout comme la Serbie constitue ce qu’il reste de la Yougoslavie.

Le Parti National Breton maintient un intérêt dans les zones d’influence historique et naturelle de la Bretagne dans le Cotentin, le Maine et la Vendée. Il est disposé à discuter d’une coopération étroite, dans tous les domaines, avec les représentants de ces territoires.

Pour le Parti National Breton, il est essentiel d’intéresser les acteurs étatiques pertinents pour réaliser cette transition inéluctable vers l’ère post-française.

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[PODCAST] Formation politique : “Ni gauche, ni droite françaises, un seul l’ennemi : l’Etat français !”

[PODCAST] Formation politique : “Ni gauche, ni droite françaises, un seul l’ennemi : l’Etat français !”

[PNB] Depuis la Révolution française, gauche et droite françaises ont constitué les deux principaux obstacles dressés sur la voie de l’émergence de la conscience nationale bretonne. Soumise à l’Etat français et à sa bourgeoisie, donc aux contradictions de la société hexagonale, la Bretagne a été le théâtre secondaire de cette guerre civile entre droite et gauche coloniales. Le Parti National Breton s’est constitué pour dépasser cette contradiction, en se donnant pour but d’arracher les Bretons de cette dialectique franco-française et ce en les nationalisant.

 

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Le PNB soutient l’initiative des 23 députés bretons pour la réunification de la nation bretonne

Le PNB soutient l’initiative des 23 députés bretons pour la réunification de la nation bretonne

[PNB] Le Parti National Breton soutient l’initiative des 23 députés bretons siégeant actuellement à Paris pour le vote d’un loi organisant la réunification territoriale de la nation bretonne.

Face à cette initiative nécessaire, légitime et urgente, le Parti National Breton appelle à la vigilance : le régime français s’opposera invariablement aux droits fondamentaux du Peuple breton.

Face à l’Etat français, seule l’organisation nationaliste des masses bretonnes permettra à la nation bretonne de recouvrer la liberté. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Éphéméride national breton : 11 mai 1414, naissance du souverain breton Frañsez I

Éphéméride national breton : 11 mai 1414, naissance du souverain breton Frañsez I

[BREIZH] Éphéméride national breton : 11 mai 1414, naissance du souverain breton Frañsez I, Duc de Bretagne. Frañsez I monte sur le trône ducal le 15 septembre 1427 et règne jusqu’au 19 juillet 1450.

Il épouse la fille du roi d’Ecosse Jacques Ier, Isabelle, dont il a deux enfants : Marguerite, future duchesse de Bretagne, et Marie, mère de François de Rohan, tué à 18 ans à Saint-Aubin du Cormier pour l’indépendance de la Bretagne.

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HAROZ BROADEL : Edward Woodville, serviteur de la Bretagne indépendante jusqu’au sacrifice suprême

HAROZ BROADEL : Edward Woodville, serviteur de la Bretagne indépendante jusqu’au sacrifice suprême

[HAROZ BROADEL] Edward Woodville est un chevalier anglais, mort pour la Bretagne lors de la guerre d’indépendance. Son exemple de dévouement, outre qu’il témoigne de la grandeur de la Bretagne au point de susciter l’aide d’étrangers pour sa défense, reste une source d’inspiration pour les nationalistes bretons.

À l’été 1487, les troupes françaises entrent à nouveau en Bretagne, enlevant plusieurs places fortes de l’est du duché. Mais cette fois, contrairement à 1472, l’alliance anglaise fait défaut. C’est avec le soutien des Français qu’Henri Tudor a conquis sa couronne, et il n’entend pas les contrarier. Il reste sourd aux appels de détresse de François II, allant jusqu’à interdire à ses sujets de quitter le pays sans sa permission formelle.

Edward Woodville n’admet pas l’abandon des Bretons, qu’il juge indigne, et le fait bruyamment savoir au roi. Celui-ci cependant reste inflexible. Qu’à cela ne tienne, furieux, Edward rentre sur l’île de Wight, y lève une petite armée de 40 chevaliers et 400 hommes du peuple, qui prennent la mer le 20 mai 1488, en direction de la Bretagne.

Armoiries d’Edward Woodville

À Saint-Aubin-du-Cormier, 28 juillet, les Anglais forment l’avant-garde de l’armée ducale. Edward Woodville décide de combattre à pied, aux côtés de ses hommes, afin de fortifier leur courage. La bataille s’engage vers 14 h. Sous la canonnade, l’avant-garde anglo-bretonne progresse en formation de tête de flèche, avec Edward en pointe. Sous la violence du choc, les rangs français, enfoncés, reculent d’une centaine de pas. Mais l’artillerie royale, supérieure à celle de François II, ouvre bientôt une brèche dans le centre breton, et la cavalerie s’y engouffre. L’armée ducale se disloque. Edward, épuisé, est encerclé avec la poignée de survivants de son avant-garde. Les Français lui proposent une reddition contre rançon, mais il refuse. Il est achevé en même temps que le dernier carré de ses fidèles.

Des 440 hommes de l’île Wight qui vinrent se battre pour la Bretagne, un seul dit-on – un adolescent de 14 ans nommé Diccon Cheke – rentra au pays… Les autres gisent à tout jamais à Saint-Aubin-du-Cormier dans les fosses communes creusées à la suite de la bataille.

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Editorial du PNB : la France est finie

Editorial du PNB : la France est finie

[PNB] Lorsqu’il s’agit d’évoquer l’imposture de la pseudo “victoire” de la France le 8 mai 1945, c’est le Général De Gaulle qui le fait le mieux.

D’ailleurs, j’ai bluffé, mais la première armée, c’étaient des nègres et des Africains [soldats de l’Armée d’Afrique]. La division Leclerc a eu deux mille cinq cents engagés volontaires à Paris. En réalité, j’ai sauvé la face, mais la France ne suivait pas… Je ne serai pas au pouvoir… Qu’ils crèvent! C’est le fond de mon âme que je vous livre : tout est perdu. La France est finie, j’aurai écrit la dernière page.

— Charles De Gaulle Conversation entre de Gaulle et Pompidou le [11, juillet, 1950] sur la 1re armée française de 1944–45

En se confessant de la sorte à Georges Pompidou, Charles De Gaulle évente avec une cruelle lucidité un secret qui n’en a jamais été un : la France n’a jamais “résisté” et encore moins “libéré” quoi que ce soit. Les quelques supplétifs coloniaux péniblement portés par les forces armées anglo-américaines en Italie, puis en Provence, ne suffirent pas à masquer l’indifférence complète de la population française après l’effondrement de ce pays en juin 1940. 

Les Bretons ne doivent pas se laisser abuser par les mensonges d’un régime colonial français qui ne doit son existence qu’à la bonne volonté des USA et de la Grande-Bretagne. La France a pu temporairement donner le change avec l’aide des Anglo-américains, soucieux de se ménager un appui en Europe continentale face à l’Union Soviétique, mais cette nation était entrée en putréfaction bien avant la Seconde Guerre Mondiale, processus qui s’est poursuivi bien après, jusqu’à aujourd’hui où nous assistons à l’étape finale de sa désintégration morale, raciale, sociale, économique et diplomatique. Pour reprendre les mots du Général De Gaulle : “la France est finie”.

Le 8 mai 1945, pour les Bretons, n’incarne que la prolongation du joug colonial français ébranlé en juin 1940 par une audacieuse avant-garde nationaliste dirigée par Fransez Debeauvais et Olier Mordrel. Visionnaires, héroïques, infatigables, les révolutionnaires bretons, dans des conditions autrement plus difficiles, arrachèrent de peu l’indépendance de la patrie des mains de la marâtre française. Le joug de ce régime étranger infâme ne fut reconduit en Bretagne que par un torrent de bombes incendiaires sur Brest, Lorient, Saint-Nazaire, Rennes, Nantes.

La sauvagerie renouvelée du jacobinisme à partir de 1944 sous l’effet de la fièvre marxiste pro-soviétique et du chauvinisme haineux des patriotards sans-culottes, résistants de la 25ème heure, a certes permis au régime français de gagner du temps, mais ce sursis arrive à son terme. 

Au XXIe siècle, la Bretagne a rendez-vous avec son destin national et sa plus longue histoire. Fidèle aux pères fondateurs de l’Emsav, l’avant-garde de la nation se doit d’en finir avec un régime d’occupation à l’agonie qui ne peut, pour se maintenir, que tout pourrir pour que rien ne lui survive. Cette France pourrissante et pourrisseuse, les nationalistes bretons escomptent bien la chasser du sol sacré de notre vieille Bretagne. Notre heure arrive, quiconque est doué d’intuition le sait et le sent.

Breizh Atav !

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Manifeste du Parti National Breton

[PNB] Jadis puissante et indépendante, la Bretagne est depuis toujours agressée par l’Etat français. Aujourd’hui, elle est un pays occupé et exploité par la France. Bretons, l’heure de libérer notre patrie est venue ! Les membres du Parti National Breton se rassemblent en une organisation révolutionnaire et patriotique dont l’objectif est la restauration de l’Etat breton, le retour de l’indépendance de la Bretagne pour qu’à nouveau les Bretons décident de leur destin.

Ce que veut le Parti National Breton 

1. – Le Parti National Breton est fondé pour rassembler les Bretons face à l’oppression et à l’occupation françaises de leur patrie qui privent la nation bretonne de sa liberté et de son destin propre.

2. Le Parti National Breton veut unir les Bretons en un état national. Cet état national s’appelle Breizh.

3. – Le Parti National Breton récuse la prétention de la France, puissance étrangère, à gouverner notre nation et exige d’elle la reconnaissance des droits nationaux de la Bretagne, dont son indépendance nationale, à égalité avec les autres nations d’Europe.

4. – Le Parti National Breton proclame qu’est de nationalité et de citoyenneté bretonnes celui qui est de filiation bretonne selon le droit du sang.

5. – Le Parti National Breton exige la fin de l’immigration imposée par l’Etat français à la Bretagne et le rapatriement des étrangers inassimilables vers la France, leur état de tutelle. 

6. Le Parti National Breton exige une politique de reconquête démographique grâce à un projet nataliste global. Sans enfants bretons pour peupler la terre de nos ancêtres, la Bretagne disparaîtra.

7. – Le Parti National Breton exige la fin de la politique destructrice menée par l’Etat français contre notre nation, que ce soit contre notre personnalité ethno-culturelle, notre langue ou nos libertés et traditions nationales.

8. – Le Parti National Breton affirme que l’écrasement de la culture bretonne par la francisation brutale menée par l’État français a échoué et qu’il existe en chaque Breton, consciemment ou inconsciemment, le sentiment d’appartenir à un même peuple et que ce sentiment est le sentiment national breton qui doit désormais produire son propre état, condition de sa renaissance.

9. – Le Parti National Breton n’admet aucun compromis quant aux droits nationaux de la Bretagne avec la puissance occupante française. Seule la fin de la présence de l’État français en Bretagne et l’avènement de l’État breton apporteront une solution définitive à la question nationale bretonne.

10. – Le Parti National Breton affirme que l’État français profite des divisions artificiellement entretenues entre Bretons par les partis politiques français de droite ou de gauche. Seule l’unité politique de la nation bretonne en dehors de ces clivages étrangers lui permettra de mener avec succès sa lutte de libération sans laquelle la Bretagne ne pourra survivre au XXIe siècle.

11. – Le Parti National Breton rejette le terme colonial infâmant de « région » pour désigner notre nation. Si elle est occupée, Breizh, comme l’Irlande, Pays de Galles ou l’Ecosse, est une nation distincte de la France.

12. – Le Parti National Breton veut mettre un terme à l’individualisme qui dissout la Bretagne. Récusant l’égalitarisme dont il procède, il veut réunifier socialement et spirituellement les Bretons au sein d’une nouvelle communauté du peuple. Toutes les questions doivent être abordées et réglées selon la primauté de la solidarité bretonne par delà la classe, le sexe ou l’âge. Les tendances égoïstes ou catégorielles seront combattues par le futur état breton.

13. – Le Parti National Breton reconnaît pour seul drapeau national de la Bretagne le Gwenn ha Du. Le drapeau tricolore de la puissance coloniale française, symbole d’oppression étrangère, doit disparaître de tous les bâtiments ou monuments officiels de notre pays. 

14. – Le Parti National Breton affirme que le breton est la langue nationale de la Bretagne et qu’elle doit être enseignée à tous les enfants bretons sur l’ensemble du territoire de la Bretagne. L’histoire de la Bretagne doit également être enseignée à tous les enfants bretons.

15. – Le Parti National Breton exige le respect de l’intégrité de l’espace national breton et la réunification de la Bretagne.

16. – Le Parti National Breton affirme pour hymne national le Bro Gozh Ma Zadoù et condamne l’usage de la « Marseillaise » en Bretagne comme moyen de glorifier l’oppression et l’occupation du Peuple Breton par l’Etat français.

17. – Le Parti National Breton veut une politique de rebretonnisation de la Bretagne avec un plan systématique de changement de noms de rue et de bâtiments publics, de démantèlement de monuments édifiés par le gouvernement de Paris à la gloire de l’impérialisme français. La nation bretonne doit mener un plan de rebretonnisation de la toponymie et de l’état-civil afin de parachever la libération de la patrie.

18. – Le Parti National Breton veut l’abolition du cadre administratif français que l’État breton remplacera par un cadre administratif de type fédératif inspiré du modèle suisse.

19. – Le Parti National Breton proclame la neutralité comme base de la politique extérieure de la future Bretagne indépendante. La Bretagne ne participera jamais à un conflit étranger.

20. – Le Parti National Breton veut que l’armée bretonne de demain soit une armée de milice. Tous les Bretons de sexe masculin âgés de 20 à 60 ans participeront à la défense de la patrie.

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Dalc’homp song : Leon Jasson, marv evit Breizh !

[BREIZH] Léon Jasson, soldat de l’armée bretonne et martyr de l’Emsav, incarne l’exemplarité héroïque de l’idéalisme breton. Engagé les armes à la main dans le combat pour une Bretagne indépendante, il n’a pas reculé face aux Français qui oppriment notre nation et jusqu’au sacrifice suprême pour la liberté des Bretons.

“Ceux qui possèdent au plus haut point cette vertu virile de patience ne souhaitent pas les réalisations immédiates, qu’ils savent éphémères parce que venues avant terme. Ils acceptent les échecs sereinement, car ils ont une vue plus haute et plus juste des choses. Seuls de tels hommes sont capables de préparer la venue indispensable d’une jeune élite nationaliste. En effet, la formation de cette élite exige avant tout une patience que rien ne peut rebuter.

Nos Dieux nous ont laissé l’espérance d’un retour. Pour hâter ce retour, nous avons pris les armes. Nous étions sûrs de la défaite, mais convaincus de la défaite, mais convaincus de la Nécessité de notre Geste. S’il le faut, nous mourrons pour que la Bretagne mérite son indépendance. Je plains sincèrement ceux qui n’ont pas lutté d’une façon pure et désintéressée pour une cause…

Je comprends cette soif de vivre qui tourmente certains hommes devant la mort. Leur passé ne se solde que par des jours d’ennui et de néant. Ils ressentent le besoin de vivre longuement pour que leur vie ait le même poids que celle très courte des morts glorieux.

Il n’ y a aucune raison de désespérer quand on n’a pas attendu d’espérer pour entreprendre et qu’on s’est de longue date préparé à accueillir, d’un front égal, les succès et les échecs, la prison et la mort…

Nous avons la certitude, nous qui avons subi tous les affronts, nous qui avons soutenu les assauts du doute, nous qui avons souffert dans notre foi nationaliste et qui sommes aujourd’hui devant la mort, nous avons la certitude que nos combats, nos défaites et notre sacrifice ne seront pas vains. Nous avons appris la patience et nous savons que ce qui doit arriver n’arrive qu’à son heure; mais nous sentons déjà se lever quelque part dans la patrie bretonne une nouvelle génération nationaliste… et c’est le cœur plein d’ espoir que nous irons au poteau.

J’en étais venu à penser clairement que c’était pour moi une nécessité que de me présenter devant la justice, afin de racheter par mon attitude les fautes des lâches, des faibles et des renégats. Je l’ai décidé sans regret, après avoir mûrement réfléchi.”

Nous nous rappelons de nos héros et de leur martyre. Leur sang versé pour Breizh produira une nouvelle moisson de combattants bretons dont la lutte sera finalement victorieuse.

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