3 – L’Etat ethnique breton est garant de la continuité démographique du Peuple breton et de l’intégrité comme de la stabilité du peuplement breton, principe ethno-nationaliste qui doit guider toutes les affaires de l’Etat. Pour cela, il créera un unique ministère du Peuple, chargé de la sécurité intérieure, de la démographie, des affaires sociales, de la justice et de l’immigration.
1. Souveraineté et reconquête de l’espace national
L’Etat breton a pour tâche de rétablir la souveraineté nationale bretonne sur l’ensemble du territoire breton, ce qui suppose de mettre un terme à l’occupation française de la Bretagne. Du rétablissement de cette souveraineté nationale par l’Etat breton dépend la liberté de la nation bretonne formulée par ses lois.
2. Reconquête démographique
Redresser la nation bretonne suppose de lui donner un avenir, donc des enfants. Perpétuer le peuple est le rôle le plus importante de l’Etat breton face à la spirale mortifère du dépeuplement et du remplacement migratoire. Cette philosophie long-termiste ethno-nationale guidera toutes les politiques du nouvel état breton qu’entend créer le Parti National Breton. Notre Parti enterrera l’ère de l’individualisme de la société hexagonale et portera une ère nouvelle où le Peuple Breton, organisé en un bloc d’acier, fera face de manière unie à tous les problèmes qu’il affronte.
Cela implique des mesures de défense démographique, extérieures et intérieures. La culture individualiste petite-bourgeoise d’importation française sera ainsi méthodiquement extirpée de la communauté du peuple breton.
2.1 Les mesures de défense démographiques extérieures
- Expulsion des étrangers indésirables
Face à la colonisation de peuplement afro-musulmane organisée par l’Etat Français sur l’ensemble du territoire breton, l’Etat breton mettra un terme à toute nouvelle immigration extra-européenne en Bretagne. Il procèdera à l’expulsion vers la France des étrangers illégitimement imposés depuis 1962 sur le sol breton par l’Etat français.
- Droit de résidence
L’Etat breton mettra également un terme à la colonisation de peuplement organisée à son profit par la bourgeoisie française en Bretagne (point n°6, 7, 8 et 9 des 14 exigences immédiates du PNB) Les étrangers ne peuvent résider en Bretagne qu’en tant qu’invités, pour une durée limitée et selon les conditions légales fixées par l’Etat Breton. Il ne reconnaîtra pas le principe antinational de naturalisation.
- Sécurité et principe de responsabilité ethnique collective
Conformément à sa philosophie empirique ethno-différentialiste, le principe de responsabilité collective sera appliqué par l’Etat breton aux populations non-européennes, par nature inaccessibles à la notion de responsabilité individuelle. L’Etat breton réalisera un classement qualitatif des groupes ethniques par degré de civisme observé. Il instaurera un éventail de sanctions collectives, automatiques et graduées, pour l’ensemble des individus extra-européens présents en Bretagne ayant la même nationalité que le coupable d’un crime. A cet effet, l’intégralité des ressortissants étrangers non-européens auront l’obligation d’être enregistrés auprès du Ministère de la Sécurité Intérieure de l’Etat breton. Il en résultera une politique sécuritaire adaptée au profil ethno-culturel des intéressés, les ressortissants extra-européens exerçant la pression sociale interne requise sur l’ensemble des membres leur communauté d’appartenance pour contenir leurs tendances criminogènes.
2.2 Les mesures de défense démographique intérieures
La première tâche de l’Etat breton est d’assurer la pérennité biologique du Peuple Breton. Il se fixera des objectifs en termes de natalité autochtone grâce à une politique de gratifications et de sanctions. Avec une dénatalité massive qui menace la survie du Peuple Breton comme ses systèmes de protection sociale, la politique de peuplement de l’Etat breton doit être volontariste.
- Avortement
L’avortement est une politique qui ne peut plus être tolérée dans le contexte de dépression démographique actuel. Il sera donc interdit par l’Etat breton.
Les individus procédant à des avortements sur des femmes seront automatiquement condamnés à mort pour meurtre.
L’Etat breton, à partir de la date de sa restauration officielle, organisera le suivi strict des services gynécologiques du pays. Il sanctionnera les femmes coupables d’avortement avec une majoration à vie de 15% de leur impôt sur le revenu pour chaque avortement. Cette mesure sera étendue automatiquement à tout conjoint (marié ou concubin) futur d’une femme ayant avorté à une ou plusieurs reprises. Ces femmes ne pourront prétendre à l’accès à aucun système de solidarité sociale (santé, retraite, logement, etc.).
- Peine de mort
S’inspirant de la politique de Singapour, l’Etat breton appliquera automatiquement la peine de mort par pendaison pour les crimes les plus graves dont :
- Faire ou tenter de faire la guerre ou être complice de la guerre contre le gouvernement breton
- Trahison au profit d’une puissance étrangère ou d’un groupe hostile à la nation bretonne et à son gouvernement
- Pénétrer illégalement sur le territoire national breton
- Organiser l’infiltration illégale du territoire national breton au profit de ressortissants étrangers
- Spéculer sur l’infiltration illégale du territoire national breton
- Désertion
- Piraterie mettant en danger la vie d’autrui
- Complicité de mutinerie
- Parjure entraînant l’exécution d’une personne innocente
- Meurtre commis sur le territoire breton ou sur la personne d’un ressortissant breton
- Provocation au suicide
- Tentative de meurtre commise par un prisonnier purgeant une peine de prison à vie
- Enlèvement en vue de commettre un meurtre
- Vol qualifié entraînant la mort d’une personne
- Viol
- Enlèvement d’enfant
- Détention de drogue (500 grammes de cannabis, 15 grammes pour tout autre drogue)
3. Le principe organisateur de la communauté du peuple
L’Etat ethnique breton doit créer une communauté du peuple qui place la pérennité du Peuple breton au dessus des principes dégénératifs du nihilisme individualiste actuel d’inspiration libérale. Il adoptera dans ce cadre le principe de solidarité ethnique intergénérationnelle (SEI).
- Solidarité ethnique intergénérationnelle
Il veillera à ce que la couverture par les systèmes de solidarité sociale soit indexée sur le nombre d’enfants d’une personne. Un parent d’un enfant bénéficiera d’une couverture de 50% du coût total d’un mécanisme de solidarité, un parent de deux enfants d’une couverture de 70% du coût, un parent de trois enfants de 90% du coût, un parent de 4 enfants de 100% du coût.
- Logement de la communauté du peuple
La soi-disant “crise de la main d’œuvre” qui s’ajoute à la crise du logement est en réalité le fruit de l’individualisme propre au régime sociétalement individualiste et économiquement stato-collectiviste qu’est le régime français. Faute d’une politique familiale et nataliste cohérente pour défendre et renforcer le socle de la communauté du Peuple Breton, la dénatalité causée par l’égoïsme culturel de ce régime cause une dépression démographique massive qui touche tous les secteurs professionnels et qui va entraîner à brève échéance l’implosion des mécanismes de solidarité sociale.
Qui peut croire qu’avec des taux de natalité de 1,3 enfant par femme, dans une Bretagne sévèrement touchée par l’émigration qui résulte de l’absence d’un état authentiquement ethno-nationaliste, le Peuple Breton pourra disposer d’un système de santé et de retraite par répartition ? L’avortement de masse, le divorce à grande échelle instauré par le matriarcat d’état et la sexualité récréative ne peuvent qu’entraîner l’effondrement démographique qui emportera avec lui les systèmes sociaux que les jeunes générations sont tenues de maintenir à flots au prix d’une imposition toujours plus colossale. Ce qui les prive en retour d’avenir, tant leurs ressources sont consacrées au passé – les retraites et les dépenses de santé de la génération d’après-guerre – et non au futur du peuple, c’est-à-dire aux enfants de demain.
Face à cela, la bourgeoisie française exige de recourir à l’immigration de remplacement. Le Parti National Breton rappelle l’évidence : un peuple étranger ne peut pas être notre peuple à la place de notre peuple ! Aucun argument économique de court terme ne peut justifier l’invasion, définitive et à grande échelle, de la Bretagne, encore moins le nettoyage ethnique à bas bruit qu’elle engendre. C’est au Peuple Breton, organisé nationalement, de trouver les solutions en lui-même.
C’est pourquoi le plan de logement voulu par le Parti National Breton, outre l’exclusivité bretonne qui est à son épicentre, intègrera la variable de la natalité. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton marié pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.
- Fiscalité et démographie
Chaque Breton a le devoir de subordonner ses intérêts particuliers au bien de la communauté du peuple. C’est sur cette base que sera organisée sociétalement, socialement, économiquement l’Etat breton.
Les personnes célibataires et sans enfants seront lourdement taxées par l’Etat breton afin de puissamment développer la natalité bretonne. Inversement, les personnes qui auront des familles nombreuses seront soutenues avec énergie par l’Etat breton. Pour disposer d’hommes et de femmes capables de bâtir des familles fortes, l’Etat breton financera les familles nombreuses avec le fruit de l’impôt prélevé sur les personnes refusant de contribuer à la force démographique de la nation. L’Etat breton taxera massivement sur la base du réalisme anthropologique, c’est-à-dire à partir de l’âge de 23 ans pour les femmes et de 30 ans pour les hommes. Les femmes atteignant leur pic de fertilité à 23 ans et les hommes leur maturité sociale et professionnelle à 30 ans, condition essentielle pour que leur compagne donne la vie en toute sécurité, l’Etat breton établira le principe que tout individu sans enfant à partir de ces deux limites d’âge devra être sanctionné fiscalement pour compenser son attitude anti-sociale envers la communauté du peuple en contribuant à la natalité des familles bretonnes.