Gauche et droite françaises : les deux faces destructrices de l’Etat Français en Bretagne !

Gauche et droite françaises : les deux faces destructrices de l’Etat Français en Bretagne !

Le Parti National Breton, par sa praxis, n’a rien de commun avec les aliénés de l’actuelle société française en Bretagne. Il ne s’inscrit pas dans les stériles affrontements d’un système politique français qui, de l’extrême-droite à l’extrême-gauche, professe un même dogme : la nationalité de papiers. 

Le régionalisme incapacitant est plus qu’un régionalisme stricto sensu. C’est une déformation psychologique par laquelle un Breton ne pense et n’agit que par l’intermédiaire de la vie française. 

Le Parti National Breton a une toute autre ambition, encore largement inconnue de l’opinion bretonne, mais qui n’en est pas moins révolutionnaire : construire l’état celtique de la nation bretonne. Cela suppose de la part du Parti de définir un paradigme nouveau, proprement breton, où il définit le temps et l’espace de son action, en rupture radicale avec la société française. La réaction régionaliste, refusant dogmatiquement une telle rupture, justifie toujours son ralliement à la bourgeoisie française par l’exception idéologique. Le clivage gauche/droite est ainsi l’antichambre du loyalisme français en Bretagne.

Le Parti National Breton se situe hors de ce champ d’affrontement français. Pour créer la voie nouvelle d’un peuple breton libéré de son acculturation, il dépasse les catégories mentales de l’aliénation imposée par l’Etat Français pour n’aborder les problèmes qu’en termes ethno-préférentiels et souverains : la Bretagne aux Bretons.

Avant de bâtir un état national breton, il faut nationaliser les masses bretonnes. C’est-à-dire affirmer la nationalité bretonne. Tel est le rôle du Parti. Cette nationalité, précisément, n’a de raison d’être qu’en dehors de la sphère française et de ses représentations.  Discourir aux côtés de la gauche française ne vaut pas davantage que de discourir aux côtés de la droite française. Pour les Bretons, la ligne de l’affrontement est autre : il s’agit d’une lutte contre la bourgeoisie française, son appareil d’état en Bretagne et ses auxiliaires dont l’action combinée conditionne l’anéantissement de notre peuple.

La nationalité bretonne se forge en pratique dans la lutte contre cette bourgeoisie, que ce soit politiquement, socialement, économiquement ou culturellement. C’est en mobilisant les Bretons pour leur liberté nationale que Breizh, succédant à l’actuelle dépendance régionale que l’on nomme Bretagne, naîtra.

Au principe de justice s’ajoutent désormais les conditions objectives. La désintégration de l’Etat Français sous l’effet de la libanisation ethnique ne fait aucun doute durant ce siècle. Le Parti National Breton a pour première tâche de préserver le peuple breton des conséquences de cet effondrement en brisant les reins de l’Etat Français en Bretagne. Ce n’est qu’organisée par un Etat Breton que la nation bretonne survivra.

Les Bretons doivent impérativement se saisir de leur destin, repousser toute influence fransquillonne et entamer l’ouverture du front contre celle-ci. Ce qu’ils ne peuvent faire politiquement qu’en rejoignant le Parti National Breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

En Bretagne, les ravages du socialisme municipal français ne sont plus à détailler à l’opinion bretonne qui ne les connaît que trop bien : endettement massif, urbanisme désastreux et tiers-mondisation du peuplement, sur fond d’explosion de l’insécurité et de l’islamisme, en sont les conséquences les plus spectaculaires.

Le maire PS de Saint-Nazaire, David Samzun

La ville de Saint-Nazaire (Pays Nantais), sous la coupe du Parti Socialiste français depuis des décennies, illustre tristement ce qu’il advient des communes qui se laissent entraîner sur cette voie. Récemment, c’est la politique du logement pseudo social, réservée aux allogènes importés par l’Etat Français, qui met en lumière le désastre ethno-culturel créé par la gauche française.

France Bleu

11 agressions depuis le début de l’année. La plus marquante restera celle de cet agent, frappé par un trafiquant de drogue aux pieds des immeubles dans le quartier de la Trébale fin mai. Avec une triple fracture de la mâchoire et plusieurs mois d’arrêt, l’agent n’a repris le travail que récemment dans un autre quartier. Des coups, mais aussi des insultes, des menaces de mort, “c’est régulier et c’est oppressant pour nos agents qui vont sur le terrain, aux pieds des immeubles,” raconte Maïgwenn Guégan, directrice proximité qui encadre ces 74 travailleurs isolés pour Silène. Elle-même victime de menaces en 2019, elle a porté plainte, son agresseur a été condamné à 3 mois de prison ferme. Mais ces condamnations sont rares, même si à chaque fois, il y a un dépôt de plainte car il est toujours difficile d’identifier les agresseurs.

C’est pourquoi Silène, qui héberge un Nazairien sur 3, met en place un plan sécurité, une sorte de boîte à outils pour mieux protéger ses salariés. D’autant que la tension du marché, avec 5 mille candidats au logement social sur liste d’attente dont 3600 primo-arrivants, rajoute du sel sur les plaies. Dans les 7 centres d’accueil Silene, les agents aussi sont souvent pris à parti. Ils ont déjà un bouton directement relié avec la police, mais à partir de janvier, ces locaux seront également équipés de caméras de vidéo-surveillance. Le bailleur a mis 18 000 euros sur la table. Et les candidats au logement qui se comportent mal avec un agent sont exclus des listes pour 2 ans.

Le terme “primo arrivants” propre à la langue de bois du régime désigne en réalité les migrants extra-européens candidats à la colonisation de la Bretagne.

Avec 3,600 allogènes sur 5,000 candidats à l’accession d’un logement social, ces étrangers représentent le chiffre astronomique de 72% des demandes !

Cette véritable invasion prive les Bretons du droit de se loger chez eux et ce avec le plein appui de la municipalité PS de Saint-Nazaire ainsi que du gouvernement français.

Ce n’est pas tout. Les agents de terrain ont récemment reçu un boîtier, avec une dragone, relié à une plateforme de sécurité avec même un code secret pour dire “au secours”. Ce boîtier géolocalise l’agent, et si besoin, les forces de l’ordre peuvent intervenir. Autre mesure mise en place : la sécurisation des halls d’immeubles. Pour mieux lutter notamment contre les trafics de drogue et les guetteurs, l’office HLM a équipé plus de 200 entrées de digicodes et autres badges pour un montant d’1,5 millions d’euros. A propos de trafics de drogue, désormais quand un locataire est officiellement condamné, il est également expulsé de son logement pour trouble du voisinage. Une expulsion est actuellement en cours d’ailleurs, une locataire ayant été condamnée cet été.

“Nous n’avons pas de baguette magique mais nous faisons tout ce que nous pouvons en partenariat avec la Ville, la Police et la Justice” explique Xavier Perrin, président de Silène qui annonce lancer l’expérience de caméras de vidéoprotection dans les halls et les caves des 4 immeubles de Prézégat. Un quartier de Saint-Nazaire où une fusillade a éclaté fin septembre.

Enfin, à propos du vandalisme, 800 plaintes l’an dernier et 200 000 euros de réparations pour le bailleur, “l’équivalent de 7 logements neufs” déplore Sandrine Williamson, la directrice générale de Silène. “Mais par principe, on essaye de remplacer les vitres brisées, d’effacer les tags, car sinon, on donne l’impression d’une zone de non droit et là, ça peut se dégrader très très vite“. Et de rappeler que “c’est toujours une minorité qui pourrit la vie de la grande majorité, c’est aussi pour nos locataires qu’on a voulu réagir”.

La radio d’état française (France Bleu) opère une stricte censure du fait structurant derrière la situation décrite dans les résidences sociales : l’immigration extra-européenne de peuplement, très majoritairement afro-musulmane.

Il ne s’agit pas d’une “minorité”, mais des caractéristiques propres à ces populations inassimilables qui, partout où elles s’installent, recréent les conditions de sous-développement propres à leurs pays d’origine. Saint-Nazaire, pas plus que Brest ou Rennes, n’échappe au sort de Marseille.

Les chiens ne font pas des chats.

Plutôt que de dénoncer en termes clairs l’origine de ce désastre aux conséquences catastrophiques pour le peuple breton, la politique de la municipalité de gauche consiste à accompagner la progression de la sauvagerie en dépensant des millions d’euros qui sont autant de pansements sur la jambe de bois de l’immigration non-européenne.

Le Parti National Breton ne s’embarrasse pas d’euphémismes ou de formules prudentes, il va droit à l’essentiel, désigne la menace qu’affronte la nation bretonne et propose des solutions drastiques qui seules permettront de mettre un terme à la crise fondamentale que pose l’immigration de remplacement imposée par l’Etat Français.

Le Parti National Breton rappelle trois de ses dix exigences d’applications immédiates pour la Bretagne : 

1 – L’arrêt immédiat par les préfectures françaises de l’installation d’infiltrés clandestins dans les cinq départements bretons et l’arrêt immédiat par les collectivités territoriales (communes, départements et région) de toute subvention publique aux associations organisant l’infiltration du territoire breton par des migrants clandestins.

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

Ces exigences répondent à notre principe de gouvernement : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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Canada : l’état de l’Alberta désormais favorable à 40% à l’indépendance !

Canada : l’état de l’Alberta désormais favorable à 40% à l’indépendance !

D’une superficie plus grande que la France avec 660,000 kilomètres carrés pour une population de 4,3 millions d’habitants, l’état de l’Alberta, au Canada, manifeste désormais très nettement sa volonté de rompre avec le gouvernement canadien.

Face à un pouvoir central écolo-socialiste de plus en plus autoritaire, l’Alberta penche massivement pour l’indépendance.

Western Standard :

L’appui à l’indépendance de l’Alberta atteint maintenant le chiffre impressionnant de 40 % dans la province, selon un nouveau sondage commandé exclusivement pour le Western Standard.

Mené par Mainstreet Research, le sondage montre que le soutien à l’indépendance n’est plus qu’à cinq points de pourcentage derrière le seuil nécessaire pour rester au sein du Canada, qui se situe maintenant à 45 %.

Un total de 15 % des personnes interrogées ont répondu qu’elles n’étaient pas sûres lorsqu’on leur a demandé : “Soutiendriez-vous l’indépendance de l’Alberta, seule ou avec les autres provinces de l’Ouest ?”

Une fois les indécis retirés du décompte, un total de 53 % des Albertains veulent rester au sein du Canada, tandis que 47 % veulent faire cavalier seul.

L’appui à l’indépendance est le plus fort dans les régions rurales du nord de l’Alberta, où il se situe à 51 %.

Les résidents des deux grandes villes sont les plus opposés à l’indépendance. À Edmonton, seulement 31 % sont en faveur de l’idée et 56 % disent non. À Calgary, 39 % sont d’accord et 48 % s’y opposent.

Le soutien et l’opposition à l’indépendance se répartissent aussi largement selon les lignes partisanes.

Comme on pouvait s’y attendre, les partisans du Wildrose Independence Party sont en faveur de l’indépendance à 82 %. Les électeurs de l’UCP y sont favorables à 65 %, ceux de l’Alberta Party à 80 %, ceux des libéraux (gauche) à 21 % et ceux du NPD à 9 % (gauche radicale).

Les sous-échantillons du Parti de l’Alberta et des libéraux comportent une plus grande marge d’erreur en raison de leur faible part de voix.

Le sentiment des personnes interrogées à l’égard de la vaccination obligatoire est également lié au soutien à l’indépendance, 90 % d’entre eux déclarant qu’ils ne se feront pas vacciner au COVID-19 en faveur de l’indépendance. Ceux qui avaient reçu leurs deux doses étaient à 55% contre l’indépendance.

Le président et directeur général de Mainstreet, Quito Maggi, a qualifié le nombre de personnes soutenant l’indépendance de “vraiment élevé”.

“Cela témoigne de l’état d’esprit de l’électorat en ce moment, après avoir traversé une période économique difficile, le COVID et les faibles prix de l’énergie”, a déclaré Maggi.

“Tout le monde pensait que les choses redeviendraient à 100% parfaites lorsque Jason Kenney (droite) a été élu et les gens sont désillusionnés.”

Le secteur énergétique albertain génère 77 milliards de dollars de revenus, soit un quart du PIB de l’état évalué à 319 milliards de dollars en 2020.

L’état de l’Alberta est la principale cible des politiques écolo-socialistes d’Ottawa visant à démanteler le secteur des énergies fossiles au nom de la thèse du réchauffement climatique d’origine humaine. D’ici 2030, le gouvernement canadien entend tripler sa taxe carbone, générant une hausse des prix de l’énergie massive.

La remise en cause des libertés économiques et civiques s’est considérablement aggravée avec l’instrumentalisation du Covid19 par les élites du pays.

Le Parti National Breton soutient naturellement l’action des indépendantistes albertains du Wildrose Independence Party of Alberta dirigé par Paul Hinman.

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton s’oppose à la vaccination des enfants de 5 à 12 ans

Le Parti National Breton s’oppose à la vaccination des enfants de 5 à 12 ans

Le ministre français de la Santé, M. Olivier Véran,  a annoncé le début de la vaccination des enfants de cinq à douze ans à partir de janvier 2022.

Le Parti National Breton souligne tout d’abord le caractère incohérent d’une telle campagne de vaccination. Les enfants ne risquent statistiquement aucune forme grave de Covid19, tandis que le vaccin n’empêche ni de contracter le virus, ni de le transmettre. Le rapport bénéfices/risques rend la vaccination des enfants inutile, mais surtout dangereuse.

Le Parti National Breton fonde ce jugement sur les déclarations récentes du Docteur Thomas Mertens, directeur du STIKO, le Comité Permanent pour la Vaccination de l’Institut Koche en charge de la politique vaccinale de la République Fédérale d’Allemagne. Le Docteur Thomas Mertens a déclaré au journal “Frankfurter Allgemeinen Zeitung” qu’il ne ferait pas vacciner son enfant de sept ans en raison des risques encourus.

Le Docteur Thomas Mertens

Le Parti National Breton fonde également ce jugement sur l’appel de 16,000 docteurs et scientifiques internationaux du Global Covid Summit à ne pas vacciner les enfants, pour les mêmes raisons.

Les enfants en bonne santé ne retireront aucun bénéfice d’une telle vaccination, mais seront exposés à des effets secondaires, parfois graves, voire possiblement mortels dans certains cas.

Le devoir du Parti National Breton est de défendre le peuple breton, tout particulièrement les jeunes générations qui sont l’avenir de la nation bretonne. Le Parti National Breton exprime en conséquence son opposition catégorique à l’application de cette mesure par l’Etat Français aux enfants bretons. Il appelle  les parents bretons à protéger leurs enfants face à ce projet annoncé unilatéralement par Paris en s’opposant à une telle campagne de vaccination.

Breizh Atav !

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Le Parti National Breton sur la venue de Mélenchon à Nantes : les nostalgiques des meurtres de masse de 1793 n’auront jamais leur place en Bretagne !

Le Parti National Breton sur la venue de Mélenchon à Nantes : les nostalgiques des meurtres de masse de 1793 n’auront jamais leur place en Bretagne !

Le député français Jean-Luc Mélenchon, chef du parti d’extrême-gauche “La France Insoumise”, était à Nantes pour présenter sa candidature aux élections présidentielles hexagonales de 2022.

A cette occasion, celui qui a régulièrement fait part de son hostilité de principe à l’existence de la culture et la langue bretonnes a répété sa volonté d’écrasement des peuples de souche européenne par le recours à l’immigration de remplacement et de dilution. Ce que Jean-Mélenchon appelle pudiquement la “créolisation”.

Puisque le natif du Maroc Jean-Luc Mélenchon évoque Marseille en la désignant comme modèle de l’avenir qu’il souhaite imposer aux Bretons, soulignons que cette ville est peu “métissée” car de plus en plus algérienne et islamique, exclusivement.

Les Bretons ne doivent pas s’y tromper. Les allusions et les euphémismes masquent à peine l’idée fixe de la gauche grand-jacobine hexagonale : le génocide à bas bruit des peuples réels par le nivellement biologique. Derrière les discours sibyllins aux accents volontiers génocidaires pour qui sait tendre l’oreille, Mélenchon instrumentalise cyniquement des immigrés extra-européens pour sa politique d’anéantissement par remplacement.

Issu du courant trotskiste férocement hostile au peuple breton de Pierre Boussel-Grinberg, Mélenchon est membre du Grand Orient de France, une organisation maçonnique notoirement nostalgique des égorgeurs de 1793 qui ont livré la Vendée au génocide et Nantes aux noyades de masse (novembre 1793 – février 1794) sur ordre des terroristes de la Convention. 

Par ces déclarations de principe guidées par une idéologie nihiliste qui a déjà largement semé la mort en Bretagne, Mélenchon s’inscrit dans une politique constante de destruction des spécificités ethno-culturelles de la Bretagne propre à son courant politique. Afin d’atteindre cet objectif et faute de troupes fraîches, il s’allie publiquement avec les organisations islamistes les plus radicales pour réaliser l’union de la guillotine des Sans-Culottes et du Cimeterre des Djihadistes.

Mais leurs précurseurs ont déjà démontré la nature de leurs intentions vis-à-vis du peuple breton et depuis les Bretons ont appris de l’histoire.

Le Parti National Breton rappelle l’évidence : la clique mélenchoniste et ses agitateurs marxistes, pâles imitateurs de Robespierre et de ses assassins, ne seront jamais les bienvenus en Bretagne. Le Parti National Breton combattra ses remugles ennemis de la Bretagne inspirés de Carrier, Fouché et Barrère jusqu’à leur expulsion complète du territoire national breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Dumping social migratoire à Pontchâteau : stoppons l’utilisation de migrants clandestins par le patronat !

Dumping social migratoire à Pontchâteau : stoppons l’utilisation de migrants clandestins par le patronat !

Le convergence entre la gauche sans-frontiériste et le patronat est consacrée. La presse d’état encense désormais les patrons voyous qui emploient des migrants clandestins. Exemple caractéristique d’un travail de propagande permanent, le dernier reportage de la radio d’état France Bleu à Pontchâteau (Pays Nantais) illustre cette union sacrée en faveur du dumping migratoire.

France Bleu

“Demandez à Pôle Emploi ! Ils n’ont personne ! Nos jeunes ne veulent plus venir dans le bâtiment, c’est trop dur.” Le constat est amer pour Véronique Ecobichon. A terme, c’est la survie de l’entreprise et même de tout un secteur qui est en jeu selon elle. Avec la perte de leur apprenti il y a presque deux ans, Ibrahima Barry, c’est le patron qui doit retourner sur les chantiers pour palier au manque de main d’œuvre. “Si ça continue, vu les commandes qui s’empilent, on sera bientôt contraint de refuser certains chantiers”, explique Alain Ecobichon gérant d’une entreprise de carrelage à Pontchâteau.

Le couple est dépité, désabusé, car malgré les nombreux courriers envoyés à la Préfecture et même à l’Elysée, rien n’y fait. Ibrahima Barry, 20 ans, reste sans papier et sous la menace d’une expulsion depuis janvier 2020. Il ne peut donc plus travailler.

Lui qui, mineur isolé en arrivant de Guinée, a passé deux ans dans cette entreprise. Il a appris le métier, il a appris à l’aimer aussi. Ibrahima a passé son CAP, décroché la médaille d’argent du meilleur apprenti de Loire-Atlantique, et allait poursuivre sur un Brevet Professionnel quand l’obligation de quitter le territoire est arrivée. Il venait d’avoir 18 ans. 

“C’est incompréhensible, illogique”, dénonce Véronique Ecobichon. “On ne comprend pas. On a besoin de lui pour faire tourner notre entreprise et on ne peut pas l’embaucher. Pourquoi n’y a-t-il pas du cas par cas ? Ibrahima mérite son titre de séjour.”

Le discours patronal sur “l’absence de main d’œuvre” occulte une autre réalité : celle des salaires dérisoires que le patronat consent à payer aux travailleurs bretons. Les salaires de Bretagne sont les plus faibles de l’Hexagone.

Dans le même temps, on dénombrait en octobre 2021 133,000 chômeurs en Bretagne dite “administrative”.

L’immigration extra-européenne est la variable d’ajustement choisie par le patronat pour disposer d’un flux incessant d’employés à bas coût. Ce flux est sans cesse renouvelé par le jeu des “régularisations”. Il s’agit d’une politique d’exploitation féroce que soutient l’Etat Français en Bretagne afin de maintenir une fiscalité massive sur le secteur productif breton, la seule alternative aux bas salaires étant une baisse drastique des impôts perçus par Paris. 

Présenter cette politique sous un angle humanitaire est la nouvelle stratégie de désinformation de ce cartel d’exploiteurs. Résultat d’une connivence entre l’Etat Français, les médias d’état, la gauche sans-frontiériste et le lobby patronal, les soi-disant “médailles” délivrées aux migrants clandestins visent à imposer à l’opinion bretonne une politique économique et sociale prédatrice qui inscrit le profit immédiat avant toute autre considération, quitte à organiser l’islamisation et l’africanisation de la Bretagne. Et la mener ainsi à la ruine. 

Les Bretons n’ont pas à payer la voracité d’une poignée de patrons sans scrupules qui organisent le remplacement de population dans les villes et villages de Bretagne dans le seul but de maximaliser leurs profits à court terme !

Le Parti National Breton entend placer la postérité du peuple breton avant les intérêts catégoriels d’une minorité d’exploiteurs sans foi ni loi et mettre un terme définitif à cette politique criminelle. Face au dumping social migratoire, une seule réponse : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Fermeture du Centre Hospitalier du Centre Bretagne : ne laissons pas l’Etat Français priver les Bretons de l’accès aux soins !

Fermeture du Centre Hospitalier du Centre Bretagne : ne laissons pas l’Etat Français priver les Bretons de l’accès aux soins !

Le Parti National Breton s’alarme de la crise qui frappe le Centre Hospitalier du Centre-Bretagne (CHCB), à Noal Pondi (Noyal-Pontivy).

Dans la presse, le Dr Marie-Hélène Aleman-Trévidic, présidente de la CME du Groupe hospitalier Centre-Bretagne (GHCB), lance un avertissement solennel :

« On crie au secours depuis des années. Depuis des années, on alerte. La direction compatit, mais rien n’avance. Aucune réaction non plus des autorités face à cette crise sans précédent. C’est un véritable prélude à la mort de notre hôpital public. On pense qu’on a atteint un point de non-retour. On aura bientôt plus personne pour soigner les gens. »

Pour le Parti National Breton, cette situation dramatique est d’abord le résultat de l’absence d’un gouvernement breton autonome susceptible de prendre les mesures nécessaires au maintien d’une infrastructure médicale digne de ce nom en Bretagne intérieure. 

Paralysé par un système hexagonal ultra-centralisé, l’hôpital breton est la victime de la gestion catastrophique du ministère français de la Santé qui en est réduit aux expédients. En conséquence, des pans entiers de la Bretagne sont la cible d’une cynique politique de dépeçage médical. Les Bretons, écrasés d’impôts par la France et sans gouvernement propre pour les défendre, sont les premières victimes de cette politique de privation de soins fomentée par Paris.

Le Parti National Breton appelle l’ensemble des Bretons à se mobiliser aux côtés des personnels du Centre Hospitalier du Centre-Bretagne (CHCB) pour enrayer cette politique de la terre brûlée orchestrée par Paris.

Le Parti National Breton exige également le placement immédiat de l’ensemble des hôpitaux et des personnels de santé bretons sous l’autorité du président du Conseil “Régional” de Bretagne afin qu’il les réorganise au sein d’un ministère breton de la Santé.

Afin d’administrer de manière indépendante ce nouveau ministère, le Parti National Breton exige que les ressources fiscales prélevées par l’Etat Français sur les Bretons pour financer leurs soins soient directement levées par un fisc breton nouvellement constitué et placé sous l’autorité de la présidence du Conseil “Régional” de Bretagne.

C’est seulement par une telle politique que les Bretons seront soignés dignement, par eux et pour eux. Tant que le peuple breton restera sous administration française, aucun des graves problèmes de l’heure ne trouvera de solution durable. C’est le principe du Parti National Breton : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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L’hymne national breton officiellement adopté par le Conseil “Régional” de Bretagne

L’hymne national breton officiellement adopté par le Conseil “Régional” de Bretagne

Le Parti National Breton exprime sa satisfaction suite à l’adoption officielle par le Conseil dit “Régional” de Bretagne du Bro Gozh Ma Zadoù qui était jusqu’ici l’hymne national breton de facto (lire ici).

Le Parti National Breton tient à féliciter l’association Poellgor BroGozhMaZadoù pour ce succès, fruit de son engagement permanent pour la nationalité bretonne et de son hymne. 

Sa version réalisée par Frédérique Lory pour l’Orchestre National de Bretagne a été publiée ce jeudi 25 novembre 2021 par les éditions Coop Breizh :

 

Le Parti National Breton y voit une victoire culturelle, historique et symbolique majeure puisque la nation bretonne doit cet hymne au vénérable patriote breton, François “Taldir” Jaffrennou. Barde, cette figure vivante de la culture et de la langue bretonnes a su manifester par cet hymne national l’unité ethnique et spirituelle du grand peuple breton que forment ensemble Bretons, Cornouaillais et Gallois.

Le patriote breton Taldir Jaffrennou

Aux côtés de Camille Le Mercier d’Erm, fondateur du Parti Nationaliste Breton en 1911, l’auteur du Barzaz Taldir a contribué par son activisme culturel à poser les bases de l’émergence du nationalisme breton dans le cadre de l’Union Régionaliste Bretonne dont procède la matrice de l’Emsav, Breiz Atao. Son adhésion ultérieure à l’indépendance pleine et entière de la nation bretonne scellera un long travail d’éveilleur.

Le Bro Gozh Ma Zadoù a depuis toujours accompagné les nationalistes bretons dans leur lutte.

Le Parti National Breton appelle à poursuivre cet effort et à accentuer la nationalisation des masses bretonnes en diffusant l’enseignement obligatoire de l’hymne national breton dans toutes les écoles de Bretagne et à en systématiser l’usage lors de tous les rassemblements publics, notamment sportifs.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Quimper : le centre historique désormais colonisé par les dealers allogènes

Le paradis multiculturel promu par le Parti Socialiste français en Bretagne depuis des décennies n’en finit pas de se transformer en enfer multiethnique quotidien pour la population bretonne. Dernier exemple en date, la transformation de Quimper – ville sous la coupe de l’amatrice d’exotisme Isabelle Assih – en supermarché de la drogue, jusque dans son centre historique.

Immigration extra-européenne, tabou médiatique

On cherchera en vain, dans la presse d’état, le mot “immigration” pour expliquer cet empoisonnement parasitaire pourtant organisé par des criminels allogènes.

Le Télégramme :

Quimper, 10 septembre 2019. Le quartier de Kermoysan s’embrase. Une flambée de violences inédites qui va entraîner une hausse de la pression policière dans ce quartier défavorablement réputé pour être la plaque tournante du trafic de stupéfiants à Quimper.

Puis, le confinement va passer par là. Et mettre en lumière une autre problématique existant depuis des années et qui semble s’être accentuée ces derniers mois. Celle du trafic de drogues en plein cœur de ville (…) Des transactions quasi quotidiennes réalisées en plein jour et aux yeux de tous.

« D’année en année, ça monte crescendo », note Laure, une commerçante quimpéroise installée depuis près de dix ans dans le centre. Tous les jours, depuis sa vitrine, elle assiste, impuissante, à un va-et-vient régulier de jeunes qui « vendent des barrettes et de l’herbe à monsieur tout-le-monde. Et ce en toute impunité et à toute heure de la journée ».

Un trafic qui prend donc racine sur les pavés de l’hypercentre quimpérois. Notamment dans les ruelles étroites de la ville, comme la venelle du Poivre ou encore la rue de la Palestine.

« C’est plutôt cool pour eux. Ce sont des endroits très peu éclairés avec une entrée et une sortie. Ils peuvent se sauver facilement car les motos ou voitures de police peuvent difficilement les suivre », raconte Martin. « Ce sont les plus jeunes qui sont les plus dérangeants. Ils sont irrespectueux. Le soir, ils laissent leurs déchets partout ». 

Les horaires publics du point de deal dans le paradis multiculturel de la ville socialiste de Quimper

Après le temps de l’observation, vient celui de l’exaspération. « J’ai vécu près de 20 ans dans le centre de Quimper. Pour rien au monde, je ne voudrais réhabiter dans ce centre-ville qui s’est franchement dégradé au fil des années », affirme Laure, soulignant ne plus y être sereine. Désormais, son sac contient une bombe au gaz.

« La délinquance existe partout. Mais c’est vrai que l’on ne s’y attend pas en plein cœur de Quimper. C’est envahissant, gênant car ils sont souvent nombreux et bruyants. Et ils ne respectent rien ni personne. Je pense qu’il y a des choses qui pourraient être faites pour empêcher cela. Mais on sait très bien que ça ne fera que déporter le problème », conclut Martin, un brin pessimiste.

Les “jeunes”, tel est le pudique euphémisme consacré par les médias d’état hexagonaux pour ne pas utiliser le terme exact : allogènes afro-musulmans !

De la république au tiers-monde

Le Parti National Breton pour sa part se fixe pour première priorité de décrire dans les termes exacts les fléaux qui affectent le peuple breton soumis à l’occupation française, première étape de la restauration de l’ordre breton en Bretagne. Il ajoute qu’en étroite coopération avec l’Etat Français, les partis de gauche à la botte de Paris appliqueront invariablement sa politique de remplacement ethnique au profit des masses du tiers-monde qu’il importe frénétiquement. L’exemple quimpérois l’illustre jusqu’à l’absurde.

Tant que le régime républicain français et ses relais locaux administreront la Bretagne, celle-ci suivra l’évolution catastrophique de la France : remplacement ethnique, explosion de la criminalité, gangrène islamiste fulgurante. Il n’y a qu’une seule et unique solution : organiser partout la résistance ethno-nationale bretonne en vue de la restauration de l’Etat Breton, dernière planche de salut face au naufrage de la France afro-islamisée.

Les Bretons conscients de la menace existentielle qui pèse sur leur pays ne peuvent que rejoindre l’analyse du Parti National Breton. Le PNB les appelle à en tirer toutes les conclusions et à le rejoindre dans les plus brefs délais. Les partis bourgeois hexagonaux dont la caractéristique est la lâcheté et l’opportunisme ne feront que gérer la faillite jusqu’à l’effondrement final.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Immigration : Professeur bretonne en poste à Paris, Isabelle n’a plus la boule au ventre depuis qu’elle est revenue en Bretagne – mais pourquoi ?

Immigration : Professeur bretonne en poste à Paris, Isabelle n’a plus la boule au ventre depuis qu’elle est revenue en Bretagne – mais pourquoi ?

Parmi les dix exigences d’application immédiate du Parti National Breton figure la réservation prioritaire pour les fonctionnaires bretons de tous les postes de la fonction publique en Bretagne, qu’ils soient nés en Bretagne ou nés d’au moins un parent breton. Actuellement, l’Etat Français impose aux fonctionnaires bretons des nominations hors de Bretagne, généralement contre leur volonté ou aspiration, tandis que les Français viennent s’installer en Bretagne pour fuir les ravages de l’immigration extra-européenne. Cette situation intolérable approche du point de rupture.

Désinformation d’état

La presse d’état hexagonale joue un rôle majeur en Bretagne dans la désinformation sur ce sujet crucial. Ainsi, le journal stato-socialiste français “Le Télégramme” parvient à réaliser l’exploit de parler des fonctionnaires bretons qui fuient la région parisienne après avoir été contraints par l’état colonial d’y être assignés sans jamais citer une seule fois la cause de cette fuite : l’immigration afro-musulmane.

Le Télégramme :

Y a-t-il encore des profs heureux ? Pour Isabelle Carré, c’est oui, sans hésiter. Enseignante stagiaire d’espagnol à Vannes en 2018-2019, la Bretillienne attaque sa troisième année de cours, après être sortie de l’Inspé (Institut national du professorat et de l’éducation) de Rennes en juin 2018.

Isabelle Carré

Comme tous les jeunes enseignants, la Rennaise a dû concéder un passage en région parisienne, en début de carrière. Après son année de stage à Vannes, elle a démarré dans deux collèges de l’académie de Créteil. « Je travaillais à mi-temps entre Ivry-sur-Seine et Vitry-sur-Seine. Mais étant déjà pacsée et en couple, je rentrais sur la Bretagne tous les week-ends ». Isabelle Carré l’avoue : cette première année, tronquée par la crise sanitaire, aurait pu la décourager du métier. « Quand tu découvres que la priorité n’est pas le contenu des cours, mais déjà de s’assurer que les élèves sont bien présents en classe, tu t’éloignes de ce pour quoi tu t’es engagée ».

Vitry-sur-Seine, paradis de la diversité ethnique

Maman depuis août 2020, la Bretillienne a cumulé assez de points pour être rapidement mutée dans son département d’origine, au plus près de son compagnon et de sa famille. « On m’aurait proposé d’aller n’importe où ailleurs en Bretagne, j’aurais dit oui ! »

L’an dernier, elle a enseigné entre Rennes et Saint-Aubin-du-Cormier (35). Depuis septembre, Isabelle s’est même rapprochée de son domicile avec un poste au collège François Truffaut de Betton. Rien de définitif encore, mais elle se dit ravie de l’expérience. La prof d’espagnol a le sourire. « J’ai une matière sympa, j’enseigne 18 heures par semaine, je peux me former en interne. Depuis que je suis rentrée en Bretagne, je ne vais plus enseigner la boule au ventre. Certes, il y a du travail à la maison, mais je n’ai plus le même stress et je mesure ma chance. Il y a peu de métiers comme ça. Mon conjoint est agent immobilier. Il fait du 8 h-20 h, six jours sur sept. Je ne peux que relativiser ! »

Conformément à son attitude de principe, le Parti National Breton entend traiter cette question sans détour en rompant avec les interdits idéologiques posés par le système politico-médiatique français. 

Pour une fonction publique bretonne !

Les ravages d’une immigration extra-européenne inassimilable ne sont plus limités aux grandes villes françaises. La Bretagne étant sous l’administration coloniale de Paris, l’Etat Français menace la nation bretonne de connaître à son tour le sort funeste de ses villes tiers-mondisées. Toutes les villes bretonnes sont déjà touchées par le fléau du remplacement de population orchestré par le gouvernement français.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, sans réaction de la société bretonne, la Bretagne subira le sort de la banlieue parisienne : islamisation fulgurante, explosion du crime, émeutes raciales endémiques, racisme antiblanc.

Le Parti National Breton appelle tous les fonctionnaires bretons à défendre leurs intérêts légitimes en le rejoignant pour que cesse ce déracinement mortifère systématique. Plus aucun fonctionnaire breton ne doit être contraint par Paris à quitter la Bretagne contre sa volonté !   

Par nous-mêmes, pour nous-mêmes : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

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