Scrignac : hommage à l’Abbé Yann-Vari Perrot, martyr de la nation bretonne

Scrignac : hommage à l’Abbé Yann-Vari Perrot, martyr de la nation bretonne

[PNB] Dimanche 12 décembre 2023, les militants du Parti National Breton ont participé à l’hommage annuel rendu à l’Abbé Yann-Vari Perrot, martyr de la nation bretonne, lâchement assassiné par les brigands du Parti communiste français le 12 décembre 1943.

Les militants se sont retrouvés sur le lieu où fut tué le prêtre breton, aujourd’hui marqué d’une croix, pour y déployer les couleurs nationales, ainsi que celles du PNB. Ils ont ensuite participé à l’office célébré dans la chapelle restaurée de Koad Kev. Celle-ci avait été victime en 2019 d’un incendie criminel perpétré par des éléments issus de l’extrême-gauche française.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Le PNB aux côtés des paysans bretons à Saint-Brieuc !

SANT BRIEG / SAINT-BRIEUC – Cette nuit, les militants du Parti National Breton étaient aux côtés des paysans bretons qui manifestaient à Saint-Brieuc.

Le message du PNB à l’adresse du monde paysan est simple : Paris n’est pas la solution, c’est le problème !

Les militants ont distribué des tracts aux paysans rassemblés et échangé avec eux à propos de la crise qu’affronte l’agriculture bretonne.

Cette crise systémique ne pourra pas être résolu dans le cadre français, puisque c’est ce cadre qui en est la cause fondamentale. C’est en organisant la Bretagne en état indépendant, qu’elle pourra défendre ses intérêts économiques et stratégiques comme le font déjà des nations de sa taille en Europe.

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Concarneau : communiqué du PNB à propos des accusations calomnieuses diffusées par Le Télégramme et Ouest-France

COMMUNIQUÉ – Dans un article du journal Le Télégramme en date du 6 décembre 2023 et repris par Ouest-France aujourd’hui, 7 décembre, des adhérents du Parti National Breton sont accusés d’être à l’origine d’un incident survenu le samedi 2 décembre 2023, à Concarneau, en marge d’un concert.

Dans ces deux articles, des adhérents du Parti National Breton sont accusés d’avoir cherché à pénétrer de force dans un concert après avoir refusé de payer le prix de l’entrée, puis d’avoir proféré des menaces “racistes” et fait des “saluts nazis”.

Le Parti National Breton rejette fermement la version des faits présentée par Olivier Desveaux, journaliste du Télégramme. 

Les faits : samedi 2 décembre, après avoir collé quelques autocollants du PNB dans la Ville Close de Concarneau (Finistère), deux adhérents du Parti National Breton, accompagnés de deux autres personnes, remarquent qu’un évènement a lieu dans l’ancien hôpital de la ville, aujourd’hui dénommé La Chap’L. Par curiosité, nos adhérents décident de franchir la porte du lieu, mais il leur est indiqué que l’entrée est payante. Nos adhérents décident d’un commun accord de poursuivre leur chemin, mais des individus présents à ce concert, manifestement hostiles au PNB et les ayant présumément vu coller des autocollants du Parti quelques instants plus tôt, les prennent à partie et les insultent violemment. Nos adhérents sont restés maîtres d’eux et ont même engagé la discussion avec plusieurs autres personnes présentes qui ne manifestaient quant à elles aucune malveillance. Nos adhérents ont ensuite quitté les lieux sans incident. 

En conclusion : nos adhérents n’ont pas cherché à “entrer sans payer” dans l’enceinte du lieu où se déroulait cet évènement, aucune insulte “raciste” n’a été proférée, ni aucun “salut nazi” fait. Le seul incident notable est l’agression verbale dont ont été victimes nos adhérents par quelques inconnus, manifestement hostiles.

Pour couper court aux accusations mensongères portées par des individus mal intentionnés contre le Parti National Breton et ses adhérents, les membres du PNB agressés et diffamés se mettront en rapport dans les meilleurs délais avec le commissariat de police de Concarneau. 

Le Parti National Breton ajoute qu’il n’hésitera pas à engager des poursuites judiciaires pour dénonciations calomnieuses contre les individus qui diffament ses adhérents au titre de l’art 226-10 du Code Pénal en vigueur.

Enfin, le Parti National Breton déplore le manque de professionnalisme du journaliste du Télégramme Olivier Desveaux qui n’a pas pris l’élémentaire précaution de le solliciter afin de prendre connaissance de la version des faits de ses adhérents. Il s’agit pourtant d’une règle de base du journalisme. Ce manque de rigueur professionnelle aura pour conséquence de procurer aux adhérents du Parti National Breton la base légale pour poursuivre les calomniateurs à l’origine des accusations précitées.

Le Parti National Breton a communiqué un droit de réponse aux journaux Le Télégramme et Ouest-France.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

L’Etat breton, sa politique linguistique

L’Etat breton, sa politique linguistique

[PNB] Sur le modèle d’Israël, qui a créé et imposé l’hébreu moderne comme langue d’état, le Parti National Breton veut :

➡️ que le breton soit la langue obligatoire de l’État, c’est-à-dire de l’administration nationale, de l’armée, de la justice et de la diplomatie.

➡️ que soit créée une université bretonne, en langue bretonne, où les futurs cadres de l’Etat breton seront obligatoirement formés.

➡️ la création d’une académie de la langue bretonne chargée de garantir son intégrité et son développement, notamment dans le domaine éducatif, médiatique, de l’état-civil et de la toponymie. 

➡️ l’usage exclusif de la langue bretonne par la télévision et la radio d’état, à la différence des télévisions et radios privées qui restent libres du choix des langues en usage. 

➡️ que l’enseignement du breton soit obligatoire à l’école dans son aire d’extension historique, encouragée au delà.

➡️ que l’usage exclusif du breton soit obligatoire au sein des entreprises privées voulant répondre à des commandes de l’Etat.

Le Parti National Breton croit à une renaissance de la langue bretonne par le volontarisme de l’Etat et non par la société. En faisant de la langue bretonne la langue exclusive de l’Etat, il inscrira à nouveau la nation bretonne dans l’histoire.

Podcast : Mouezh ar Vroad n°12 (Décembre – Miz Kerzu)

Podcast : Mouezh ar Vroad n°12 (Décembre – Miz Kerzu)

[PNB] Le nouveau numéro de “Mouezh ar Vroad” est sorti ! 

00:00 – Générique
00:41 – Introduction
02:24 – Actualités : Tour d’horizon des musiques actuelles
17:44 – Pause musicale : Comme je voudrai (Gilles Servat)
20:14 – Politique : La politisation de la musique
41:27 – Pause musicale : Gwerz Marv Pontkalleg (Glaz)
46:57 – Culture : Les musiques bretonnes
1:05:36 – Conclusion
1:08:04 – Générique

 

Crépol : pour la Bretagne, une seule chance, l’indépendance ! (Communiqué)

Crépol : pour la Bretagne, une seule chance, l’indépendance ! (Communiqué)

PNB – Les évènements de Crépol, dans le département de la Drôme (France), sont le dernier épisode d’une crise systémique irréversible qui met un terme à la France comme état unifié.

Après plus de 60 ans d’immigration massive, celle-ci a entraîné un processus de recomposition démographique de la population hexagonale, avec à la clef une hétérogénéité raciale, ethnique, culturelle, religieuse, sociale de grande ampleur. Sur 68 millions d’habitants, le Parti National Breton évalue à plus de 17 millions le nombre de personnes extra-européennes. En 2022, les seuls musulmans représentent d’ores et déjà près de 25% des naissances, auxquelles il faut ajouter les naissances non-européennes, soit, au bas mot, 40% du total.  D’ici 2050, la part des extra-européens devrait représenter plus de la moitié des individus de moins de 50 ans.

Il ne faudra toutefois pas attendre cette date pour qu’en France des villes, des départements, des régions deviennent à majorité non-européenne. Cette transformation démographique a mis un terme à la norme culturelle qui prévalait jusqu’à lors, faute d’une majorité de peuplement homogène. Ce retournement historique met fin à plus de cinq siècles d’efforts d’unification politique, linguistique et culturelle menés par l’État français.

Le Parti National Breton appelle les Bretons à regarder la situation en toute objectivité. La désintégration progressive de la France est définitive. La Bretagne, elle, peut encore préserver son identité, mais l’État français, en exportant arbitrairement en Bretagne les germes de destruction qui ont causé la désintégration en cours en France, menace l’existence même de notre pays. Pour ne pas être entraîné dans le chaos et la disparition, le Peuple breton doit rompre avec avec Paris et l’État français. C’est seulement avec la restauration de l’État breton, dans une Bretagne indépendante dégagée de l’oppression française, que la Bretagne pourra prendre les mesures nécessaires à la préservation de son identité historique. 

Kuzul Meur Strollad Broadel Breizh

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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Le point sur la colonisation de peuplement : de 20,000 à 25,000 Français s’installent en Bretagne chaque année

PNB – Les récents chiffres de la colonisation de peuplement que subit la Bretagne ont pu être évalués sur la base de la dernière analyse de l’INSEE hexagonale. Entre 20,000 et 25,000 colons s’établissent en Bretagne chaque année, dont la principale partie à Rennes et sur la côte vannetaise.

Analyse quantitative

71,000 personnes se sont installées en Bretagne en 2019, contre 61,000 en 2013, dont :

  • 27% sont originaires de région parisienne (19,000 individus)
  • 20% sont originaires des “Pays de Loire”, dont une part importante de la région bretonne de Nantes (13,700 individus)
  • 20% sont des Bretons nés en Bretagne administrative qui reviennent (13,500 individus)
  • 9% sont originaires de Normandie (6,000 individus)
  • 13% sont des individus provenant directement d’autres pays étrangers (10,000 individus) dont 5,000 Français

Dans la même période, 49,000 personnes ont quitté la Bretagne, un chiffre stable depuis 2013. C’est donc une augmentation nette de 22,000 individus.

Profil qualitatif

Pour les arrivées, 16% de ces 71,000 individus sont des retraités, soit 11,600 individus) dont 4,600 de région parisienne. Les étudiants représentent 14% du total (10,000 individus) et les actifs 52% (37,000 individus).

Pour les départs, les jeunes Bretons de 20 à 24 ans sont les plus nombreux à quitter la Bretagne (14,000 individus), principalement pour leurs études. 

Géographie

Les zones de fixation de ces populations sont principalement Rennes, Saint-Malo, la côté vannetaise, surtout pour les retraités, et la région de Brest-Crozon.

Au total, environ 30% des ces 71,000 personnes qui s’installent en Bretagne sont bretonnes (Bretagne administrative & Loire-Atlantique). Ce sont donc 50,000 étrangers qui s’installent chaque année en Bretagne.

La part que ces non-Bretons représentent des 50,000 personnes qui quittent la Bretagne chaque année est indéterminée, mais peut représenter 50% voire plus, en raison de l’important transit professionnel, tant dans le secteur privé que de la fonction publique hexagonale. 

On peut raisonnablement estimer que chaque année de 20,000 à 25,000 colons s’installent en Bretagne durablement, dont un tiers de retraités. Ils se fixent principalement à Rennes pour les actifs, et sur la côte vannetaise pour les retraités. 

En 2023, environ 70% de la population présente en Bretagne est d’origine bretonne. Dans le même temps, environ 2 millions de Bretons sont établis en France.

Source : INSEE

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25 novembre 1975 : indépendance du Suriname, un état 7 fois moins peuplé que la Bretagne et 5 fois moins riche !

25 novembre 1975 : indépendance du Suriname, un état 7 fois moins peuplé que la Bretagne et 5 fois moins riche !

PNB – Le 25 novembre 1975, le Suriname devenait une nation souveraine. Malgré une population de 630,000 habitants, contre 4,5 millions pour la Bretagne, le Suriname gère ses affaires en tant qu’état indépendant.

Son PIB par habitant s’élève à 4,400 euros, celui de la Bretagne s’élève à 30,000 euros. La nation bretonne doit s’affirmer et suivre le même chemin.

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