+ 41,1 % d’augmentation des cambriolages en Bretagne : un gouvernement breton, vite !

+ 41,1 % d’augmentation des cambriolages en Bretagne : un gouvernement breton, vite !

8 160 cambriolages ou tentatives de cambriolages de logements ont été commis en Bretagne en 2022. C’est ce que révèle une enquête de l’Insee qui s’appuie sur les chiffres déclarés par la police et la gendarmerie françaises.

Avec 4,2 cambriolages pour 1 000 logements, 1 Breton sur 240 est victime d’une intrusion.

L’augmentation enregistrée sur tout l’Hexagone est de + 11 % hors Mayotte, mais il est cependant bien plus important en Bretagne avec + 2 370 faits enregistrés, soit + 41,1 % en un an.

La Bretagne doit se doter d’un gouvernement pour faire à l’insécurité qui déborde de France sur le territoire breton. C’est ce que veut le Parti National Breton en mettant en place une police bretonne.

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Les confusions de Breizh Info à propos du nationalisme breton

Les confusions de Breizh Info à propos du nationalisme breton

[PNB] Le média Breizh Info a récemment produit un article d’une imprécision qui interroge. Intitulé “Cette gauche nationaliste corse qui n’a rien à voir avec le gaucho-nationalisme breton”, le court entrefilet évoque le “nationalisme breton” qui, par contraste avec le nationalisme corse, ne formulerait aucune critique sur l’insécurité ou l’immigration en Bretagne. Sont cités à l’appui de la démonstration de cette insuffisance alléguée du “mouvement nationaliste breton”, l’Union Démocratique Bretonne et le Parti Breton…

Les mots et la taxonomie

Une connaissance élémentaire de l’Emsav et du nationalisme breton suffit pour savoir que l’UDB pas plus que le Parti Breton n’appartiennent au nationalisme breton et que ces organisations s’en sont toujours explicitement distancées. Si elles le font, c’est pour des raisons politiques évidentes qu’il convient de rappeler.

L’UDB est un parti régionaliste et socialiste qui prône l’intégration – illusoire – de la Bretagne dans une république française fédérale, “de gauche”. Cette position est celle d’une fraction de la petite bourgeoisie ethnique bretonne, culturellement et idéologiquement francisée, qui est issue de la fonction publique de l’Etat français en Bretagne. L’UDB ne veut pas rompre avec l’Etat français qui embauche l’essentiel de ses membres. Socialement, l’UDB réclame davantage d’intervention étatique, a fortiori française, tout en affirmant lutter pour la préservation des caractéristiques culturelles bretonnes détruites par ce même état français qui embauche ses membres. L’UDB, adepte des thèses de 1789, prétend acclimater la Bretagne au système idéologique colonial français pour en faire une petite France républicaine avec les migrants d’Afrique ou d’ailleurs que Paris impose aux Bretons. En ce sens, elle n’a même pas l’audace d’une politique originale, puisqu’elle se contente de contresigner le diktat migratoire de Paris. 

Le Parti Breton, marqué par son opportunisme centriste, se revendique tantôt du régionalisme ou du fédéralisme et récuse le nationalisme breton en raison de sa dimension ethnique, ligne rouge édictée par Paris. Son seul caractère stable est la peur bourgeoise de braquer les forces politico-médiatiques hexagonales dominantes dont elle espère la bienveillance. Pour cette raison, le PB se limite à des critiques superficielles d’ordre institutionnel, mais pas d’ordre existentiel et ne diffère pas de l’UDB en raison de son adhésion au contractualisme rousseauiste.

Nous pourrions ajouter le cas de Douar ha Frankiz, organisation indépendantiste d’extrême-gauche, proche du trotskisme hexagonal dans ses thématiques et son opportunisme, qui elle non plus ne diffère pas substantiellement des deux premières de par son adhésion au contractualisme rousseauiste issu de 1789. 

Ces formations ne proposent pas de rupture fondamentale, mais l’adaptation de la Bretagne aux idées de la révolution française. Elles emprisonnent les Bretons dans le statu quo dialectique bicentenaire. Le nationalisme breton veut quant à lui libérer mentalement l’homme breton pour en faire le représentant d’un peuple fort, maître de son destin, maître de sa terre, guidé par une volonté farouche de liberté ethnique, tribale, clanique. Il ne croit pas aux abstractions, mais au sang et à la terre des ancêtres. Il crée librement ses conceptions, son état. 

Le nationalisme breton n’est pas le gauchisme régional français

Le gauchisme ethno-schizophrène en Bretagne n’a aucun rapport avec le nationalisme breton. Séquelle du colonialisme français, il ménage chèvre et chou et cherche à concilier les contraires entre son surmoi égalitariste et universaliste issu de la révolution française et la répression du sentiment breton par l’Etat français issu de cette révolution. Ne pouvant se résoudre à choisir, il bricole et donne des gages.

Aucun d’eux ne s’inscrit dans le nationalisme breton dont la doctrine ethno-séparatiste s’est forgée entre 1910 et 1930, et ce dans la continuité de la guerre contre-révolutionnaire bretonne menée à partir de 1790 contre l’égalitarisme jacobin. Le nationalisme breton comme doctrine est explicitement ethnique, anti-cosmopolite et hermétique aux thèses rousseauistes d’importation françaises. Il a été théorisé pour la première fois par Breiz Atao en 1925 dans son exposé doctrinal rédigé par Fransez Debeauvais, Morvan Marchal et Olier Mordrel. 

Le seul parti actif qui se revendique en cohérence du nationalisme breton est le Parti National Breton. Son programme aborde sans tabou la question de l’immigration massive et de l’insécurité, ce que ses affiches diffusées dans toute la Bretagne expriment de manière claire. Affirmer comme le fait Breizh Info que le nationalisme breton organisé ne traite pas de ces questions est factuellement faux, sinon malhonnête.

Il est surprenant que le média Breizh Info persiste à voir des nationalistes bretons où il n’y en a jamais eu et à ne pas les voir là où ils sont. Il est encore plus étonnant que Breizh Info fasse le procès du nationalisme breton sur une telle base, citant à comparaître des régionalistes français explicitement hostiles au nationalisme breton tout en taisant l’action du seul parti nationaliste breton qui développe une critique offensive de l’immigration de masse en Bretagne, dans la la ligne traditionnelle de l’Emsav portée depuis 1919. 

L’immigration ne définit pas le nationalisme breton

Réduire la question nationale bretonne, comme le succès ou l’échec des nationalistes bretons, à son rapport à l’immigration n’a aucun sens. Une question nationale existe en elle-même, que ce soit en Ecosse, en Flandre, au Pays Basque ou en Bretagne. La question nationale bretonne existe depuis que les Francs, puis les Français, prétendent annexer et gouverner la Bretagne. Les nationalistes bretons n’ont pas attendu que la question de l’immigration se pose en Bretagne pour penser la nationalité bretonne il y a plus d’un siècle. Les indépendantistes catalans et écossais sont certainement plus avancés que les nationalistes bretons dans l’organisation de leur peuple, pour autant leur position sur l’immigration est radicalement contraire à un positionnement nationaliste. Inversement, les nationalistes flamands sont très offensifs sur l’immigration et obtiennent également des scores électoraux importants. 

Les Bretons ont certainement échoué jusqu’à présent dans leur défense nationale contre la France, mais aucun peuple prisonnier de l’Hexagone ne peut se targuer d’un bilan plus heureux. Tout au plus, dans le cas de la Corse, le caractère insulaire joue-t-il marginalement en faveur du Peuple corse, mais même là les faits sont clairs : la moitié des habitants de l’île sont des colons. Les réactions épidermiques de quelques dizaines, sinon centaines de Corses contre les attaques d’allogènes ne changent pas ce sinistre tableau d’un peuple submergé, dépossédé. Les Français s’approprient toujours plus des pans entiers du pays, comme en territoire occupé. Avec les Français vient le flux de l’immigration africaine, les deux étant inséparables.

En Bretagne, l’immigration, qu’elle soit non-européenne ou française, est une conséquence de la destruction de la cohésion ethnique sous l’effet du travail patient mené par l’Etat français pour assimiler la nation bretonne à son système colonial économique, social, culturel et politique. L’opposition à l’immigration n’a aucun sens sans une critique systématique de cette assimilation, de ses agents, français ou bretons. Les nationalistes bretons, soucieux des intérêts de la nation bretonne, doivent formuler une telle critique, mais ne pas la limiter à ses effets sans remonter à ses causes. Or ses causes ne sauraient être limitées à la “gauche” française, mais bien à la guerre permanente menée par l’Etat français, par delà les factions, contre Breizh. Alimenter la dialectique “droite/gauche”, c’est maintenir l’intégration de Breizh dans l’espace historique français comme c’est le cas depuis 1789. Par aimantation, une faction de droite ou de gauche en Bretagne s’alignera toujours sur une faction française au détriment de l’unité ethnique et patriotique.

Il n’y a pas une nation bretonne de droite ou de gauche, mais une nation historique, unifiée par le sang, par delà les divergences. Le rôle du nationalisme breton est de l’unir, pas de cultiver ses divisions d’importation française. En d’autres termes, le nationalisme breton place le Peuple breton, la Bretagne et leur survie avant tout le reste. Ce qui amène à la véritable ligne d’affrontement : pas de véritable opposition à l’immigration de masse organisée par l’Etat français sans lutte contre l’Etat français qui l’organise.

Qui aujourd’hui dépasse les conséquences pour contester radicalement la présence de l’Etat français en Bretagne, non seulement en fait, mais dans ses buts pratiques ? Le Parti National Breton. C’est un honneur et une grande responsabilité car le déséquilibre des forces, comme chacun le sait, est énorme. D’un côté, un état impérialiste séculaire et prédateur, de l’autre des rebelles, idéalistes, qui s’expriment pour un peuple de 5 millions d’hommes. L’histoire enseigne cependant qu’un positionnement historique conséquent, une fois les conditions objectives réunies, est à même de compenser, puis d’inverser un rapport de force largement défavorable.

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L’Etat français, machin à détruire les peuples réels : l’exemple alsacien !

[PNB] La réalité ethnocidaire de l’Etat français n’est plus à prouver. L’exemple de la langue allemande-alsacienne en est un exemple.

Ci-dessous la langue de la langue maternelle en Alsace-Moselle en 1910 :

🟥 Allemand (alsacien)
🟦 Français


En un siècle, la langue du peuple alsacien a été complètement détruite par l’Etat français ! En Bretagne, même politique de destruction contre les Bretons et leur langue.

L’Etat français est un état criminel !

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Niger : l’impérialisme français baisse le masque

[PNB] L’État français maintient son armée au #Niger contre la volonté de ce pays et agit à présent comme puissance occupante.

La radicalisation de l’impérialisme français en Afrique démontre que la France n’a pas abandonné ses illusions coloniales.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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10 août 1512 : le traître Porzmorguer sombre avec la flotte française

[BREIZH] Le 10 août 1512, le félon Porzmorguer à la solde des Français arme contre les Anglais le navire amiral de la flotte bretonne La Cordelière, initialement construit pour combattre la France.

Le traître Porzmorguer est écrasé et sombre avec 1,200 marins.

“Treitour ha! mallozh dit!”

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Il est temps de chasser l’armée française des évènements culturels bretons !

[AN ORIANT] Les comiques troupiers de l’occupant se servent de nos évènements culturels pour faire la propagande de l’impérialisme français et de son armée.

Il est temps de faire comprendre à ces gens qu’ils doivent retourner en France.

AR C’HALLAOUED ER MAEZ !

 

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Servir la France quand on est breton, c’est trahir son honneur et sa patrie !

[PNB] Pour la plus grande honte de la nation bretonne, on ne compte plus le nombre de Bretons qui ont choisi de servir notre ennemie mortelle qu’est la France et son armée. Comble de l’aliénation coloniale, certains s’en flattent.

Quand on est breton, servir la France mène à la mort et à l’oubli, cette vérité a été amplement démontrée à travers l’histoire : hormis le renégat Duguesclin, qui se souvient des innombrables Bretons stupidement morts pour cette vieille prostituée qu’est la France ?

La France n’honore que les escrocs et ses propres traîtres. La loyauté aveugle, comme celle du chien, avec une pareille garce n’est rétribuée que par les rires et les sarcasmes des Français qui ne se reconnaissent que dans la canaille. 

Que les Bretons servent Breizh, la Bretagne, leur patrie, et non la mère maquerelle française, qui l’a ruinée, et leur vie comme leur mort auront un sens.

Une seule voie : Bretagne libre, fière et forte, enfin débarrassée du chancre français.

Bro C’hall, gwalleur dit!

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Festival Interceltique : folkore et gestion coloniale de la Bretagne occupée par l’Etat français

[PENNAD STUR] Le Festival Interceltique de Lorient, dit des “nations celtes”, était censé à l’origine redonner sa fierté à la nation bretonne dans le cadre plus large d’un panceltisme luttant pour la libération de tous les peuples celtes. Après plus de 50 ans, l’exercice, dont l’intention des initiateurs comme Polig Monjarret, nationaliste breton, était louable et ambitieuse, est un échec.

Ce festival n’est désormais qu’un sous-développement du divertissement massifié qui affecte la Bretagne contemporaine à l’heure du tourisme à grande échelle. Le festival interceltique n’affirme pas la nationalité bretonne, ni une quelconque ambition nationale, donc politique, pour la Bretagne, aucune action d’ampleur n’y est entreprise en langue bretonne pour la langue bretonne, aucune des grandes questions qui se pose à la nation bretonne n’y est formulée, ou seulement en timides pointillés de peur d’irriter le maître français.

Au contraire, le FIL exprime l’intégration de la Bretagne dans l’économie hexagonale en tant que colonie touristique où l’animation culturelle est orientée vers le public hexagonal en villégiature estivale. Les Bretons s’y exhibent dans toute leur soumission et non dans leur rébellion. Si tel n’était pas le cas, le FIL aurait lieu au mois de janvier et non au mois d’août. Nous n’y verrions pas non plus l’odieux pseudo “bagad” de Lann Bihoué, composé de renégats à la botte de l’armée française occupante.

L’évènement est si peu subversif pour l’Etat français, puissance coloniale rappelons-le, qu’il a pu nommer directement un préfet du régime français à la tête de son organisation, Jean-Paul Kihl, tandis que la Libanaise en charge du ministère français de la culture d’état vient s’y pavaner, bien que ce même régime ne débourse aucun centime pour ce festival, contrairement aux 13 millions d’euros alloués au festival d’Avignon.

La Bretagne souffre de sa complaisance pour le simulacre folklorique, fétichisme qui sert à donner aux masses bretonnes le change de la perte de leur culture d’état. Le FIL est ce que l’on appelle du folklore, dans le mauvais sens du terme. Il n’exprime pas une réalité intérieure nationale, mais un ajout théâtralisé cantonné aux marges de la société française en Bretagne. Il participe de cette à la gestion coloniale de la Bretagne comme dépendance du cadre étatique hexagonal, pas de l’émancipation de la nation bretonne.

Dans la réserve des “Indiens d’Armorique” qu’est la Bretagne, nous avons besoin de moins de bretonneries dansantes à destination des pékins français et de davantage de sérieux historique, c’est-à-dire de gravité politique. Beaucoup plus de nationalisme, un peu moins de biniou et Breizh, notre patrie, s’en portera infiniment mieux face à l’Etat français qui lutte chaque jour pour détruire notre peuple.

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