À l’invitation du Voorpost, une délégation du PNB s’est rendue à la 23e édition de l’IJzerwake, festival du patriotisme flamand

Une délégation du Parti National Breton, menée par son président, a réalisé son premier déplacement international en Flandre, ce weekend, à la 23e édition de l’Ijzerwake, le plus grand festival annuel du nationalisme flamand. Nous avions été invités par nos camarades flamands du Voorpost, organisation patriotique qui milite en faveur d’une Flandre libre et réunie à la Hollande.

Dans la journée du samedi, guidés par deux camarades flamands, nous avons pu déposer une gerbe au cimetière militaire breton, où, avec beaucoup d’émotion, nous avons chanté notre hymne national face à un calvaire typique de notre pays afin d’honorer les morts de notre peuple qui reposent en ce lieu.

Notre visite s’est ensuite poursuivie dans différents cimetières militaires, si nombreux dans cette terre terriblement ravagée par les combats fratricides de la 1ere guerre mondiale. Nous avons notamment rendu hommage aux irlandais et aux gallois, peuples si proches du notre.

Enfin, nous nous sommes rendus à la tour de l’Yser, à Dixmude, monument à la gloire de la liberté flamande. Une premiere version de cette tour fut détruite par l’État belge après la Seconde Guerre Mondiale, poussant les nationalistes flamands à reconstruire une tour plus grande encore. Dans cette tour, visible de très loin se trouve un musée racontant d’une part l’histoire poignante du premier conflit mondial et d’autre part l’histoire de l’émancipation flamande.

Notre journée s’est terminée sur le lieu du rassemblement patriotique du lendemain par une veillée particulièrement conviviale de chants patriotiques. Au cours de cette soirée, nous avons eu le privilège de chanter des chants bretons et notamment le Bro gozh ma zadoù, devant une assemblée qui s’était spontanément levée par respect pour notre hymne national.

Le lendemain, jour du rassemblement, après avoir assisté à une cérémonie religieuse dédiée à la liberté flamande, les discours patriotiques se sont succédés suivi par un défilé du VNJ, le mouvement de jeunesse patriotique flamande, au son des hauts-tambours et de la fanfare. C’est à cette occasion que nous avons nous-même fièrement défilé avec nos drapeaux et les avons présentés au public flamand.

Cette belle journée s’est poursuivie par la visite de nombreux stands installés pour l’occasion et par des discussions avec un grand nombre de festivaliers.

Ceux-ci se sont montrés enchantés de la présence d’une délégation bretonne à l’IJzerwake, et ont dit être heureux de pouvoir nous retrouver l’année prochaine, pour la 24ème édition de ce festival.

Le Parti National Breton remercie ses amis du Voorpost pour leur invitation, ainsi que pour leur chaleureux accueil et la grande disponibilité dont ils ont fait preuve. Le PNB remercie également le Vlaamse Volksbeweging (VVB) et son président, Michael Discart, pour sa gentillesse et les échanges très constructifs avec notre délégation. Enfin, notre président se félicite des rencontres avec des représentants du Vlaams Belang, parti national flamand, et du Nationalistische Studentenvereniging, organisation étudiante.

Le PNB entend poursuivre le développement de ses relations avec les organisations flamandes, ainsi qu’avec d’autres partenaires européens qui partagent l’idée de l’Europe des peuples.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Décolonisation de la Kanaky : les médias français réalisent que l’impasse de la campagne de pacification

Comme en Indochine et en Algérie, en sabotant le processus d’indépendance de la Kanaky, l’État français a ouvert une ingagnable guerre de décolonisation. Les médias français commencent à mesurer l’ampleur du désastre politique et géopolitique.

Le Parti National Breton soutient la nation kanak dans sa lutte pour son indépendance. La défaite de l’impérialisme français en Océanie n’est plus qu’une question de temps.

Le Kuzul Meur du PNB

Hôpital de Nantes en crise : assez de la gabegie française !

Fiscalement pillée par l’État français, les hôpitaux de la Bretagne tombent en ruines !

Au CHU de Nantes (qui a dépensé 185,000 euros pour un nouveau logo), 4 patients sont morts aux urgences en 3 semaines, dont un de 72 ans qui est décédé après 10 heures d’attente ! 

Le Parti National Breton dit assez de la gabegie française !

 

Le PNB condamne les menaces d’actions violentes contre la famille Bolloré en Bretagne

L’appel de l’ultra-gauche hexagonale à attaquer les résidences privées de la famille Bolloré, en Bretagne, franchissent toutes les limites de ce qui est acceptable. Diffusées sur le site “lagrappe.info” et relayées par l’organisation d’extrême-gauche “Les soulèvements de la terre”, des menaces de sabotage contre les résidences privées de la famille Bolloré ne laissent aucun doute quant aux intentions criminelles des signataires.

Parmi les organisations à l’origine de ces menaces, les anarchistes de la CNT du Finistère et  de la fédération anarchiste de Rennes, les féministes de “Nous Toutes Rennes”, l’Union Locale de la CGT de Nantes, l’Union syndicat solidaire de Loire-Atlantique, mais également une liste de soviets affiliés aux “Soulèvements de la Terre” dont ceux de Lorient, Redon, Quimper, Nantes, Concarneau, Saint-Nazaire ou Sud Vilaine. Enfin, des extrémistes de l’organisation gigogne “Extinction Rebellion” de Quimper ferme la marche des apprentis incendiaires.

Depuis des décennies, en toute impunité, la canaille anarcho-marxiste menace & agresse en Bretagne. Ces appels, loin d’être une forfanterie, traduise une tentation de la violence de plus en plus marquée de la part d’une extrême-gauche française en voie de déliquescence.

Indépendamment des options politiques ou philosophiques qu’on lui prête, le Parti National Breton assure à la famille Bolloré, en tant que famille de capitaines d’industrie attachée à la Bretagne et à la Cornouaille, son soutien moral. Le Parti National Breton appelle à une réaction forte du peuple breton contre les factions de l’ultra-gauche hexagonale qui prétendent semer la terreur en Bretagne.

Le Parti National Breton

Contre l’erreur régionaliste et loyaliste, le PNB doit bâtir la voie vers l’indépendance nationale

Contre l’erreur régionaliste et loyaliste, le PNB doit bâtir la voie vers l’indépendance nationale

La valse des ralliements des organisations régionalistes, de droite ou de gauche, à la faveur des élections législatives françaises a été la démonstration de l’impasse fondamentale qu’elles représentent. Après l’UDB, l’exemple le plus récent est celui de l’association locale An Tour Tan, émanation de l’extrême-droite hexagonale à Vannes, qui a publié une liste de “consignes de vote” à la Prévert qui mérite une critique théorique.

Soutenant tantôt le RN français, partisan revendiqué de la suppression des régions, par opposition à l’immigration, tantôt le régionaliste de gauche Paul Molac, partisan très actif de l’implantation de migrants clandestins en Bretagne, l’association s’avance également à soutenir les candidats régionalistes du Parti Breton, justifiant ce mouvement par le retrait d’un Franco-espagnol des Yvelines parachuté dans le Pays Vannetais par le RN. Et tant pis si le président du Parti Breton pour sa part est un adepte du multiculturalisme et de l’immigration de masse, jusqu’à défendre l’Aide Médicale d’État pour les migrants clandestins en Bretagne.

Cette somme de contradictions constitue ce que ces loyalistes appellent modestement “une position réfléchie”. Une réflexion dont le seul fil conducteur est le désordre intellectuel propre à l’opportunisme régionaliste, qu’il soit de droite ou de gauche.

Une ligne cohérente

Contrairement à ce qui prévalait en Bretagne avant sa fondation, le Parti National Breton dispose d’une ligne cohérente, historiquement et politiquement. Il place son action dans le cadre de la lutte de libération contre l’État français, sa société et le dépassement des catégories historiques héritées de la Révolution française. Avec l’État français comme ennemi désigné, les choix politiques du Parti National Breton sont clairs : pour ou contre l’État français, pour ou contre l’État breton ? Il n’y a pas de moyen terme.

Le Parti National Breton se conçoit comme l’avant-garde et la matrice de l’État breton qui doit progressivement advenir sur les ruines de l’occupation française, donc du renversement de la bourgeoisie française et de ses intérêts. Le Parti National Breton n’est pas un sous-courant de la société française en Bretagne, mais une alternative totale. Cette cohérence n’est pas contestée, y compris par ses opposants les plus véhéments. Il récuse à ce titre les erreurs théoriques du régionalisme, qui préserve les intérêts de la bourgeoisie française en Bretagne, et ne transige pas sur ses propres conceptions nationalistes, qui sont la base de l’alternative pour laquelle nous luttons et en dehors de laquelle il n’y a que le statu quo hexagonal. Une Bretagne vaguement autonome dont les institutions seraient construites sur les idées françaises héritées de 1789 n’aurait aucune espèce de pertinence historique et ne serait en dernière analyse qu’une délocalisation de la France républicaine à Rennes. Partant, une maladie auto-immune qui produirait les mêmes effets que l’État français lui-même.

Refus déterminé du régionalisme

Le suicide n’est pas préférable au meurtre. Le nationalisme breton n’est pas l’entretien de la pathologie, ni un soin palliatif, mais son traitement radical. Accoucher une conscience nationale claire dans les masses bretonnes et la porter à sa conclusion politique pratique, l’indépendance nationale, est la raison d’être du Parti National Breton. Il ne biaise pas, ni ne s’aventure au cynisme. Toute compromission avec des organisations confuses qui ont l’opportunisme et le cynisme pour pratique conduira toujours à l’empêchement de l’émergence de cette conscience nationale claire et hypothéquera pour cette raison le succès de la lutte pour l’indépendance nationale. Le régionalisme, c’est la régression. 

Le Parti National Breton ne peut pas déléguer à des organisations loyalistes, opportunistes ou idéologiquement alignées sur les conceptions de 1789 la tâche qu’il s’assigne. Il doit donc être intraitable sur le caractère absolu de ses positions fondamentales et les mettre en oeuvre lui-même pour qu’elles s’imposent à des segments toujours plus nombreux de la société bretonne. Le Parti National Breton est bien sûr prêt à discuter avec tous ceux qui souhaitent se rallier à ses positions nationales, mais jamais l’inverse car un parti national ne peut transiger sur les droits nationaux de la Bretagne, peu importe les excuses invoquées. Les opportunistes, les loyalistes ou les sectateurs des idées de 1789 seront toujours opposés à cette rigueur et à cette intransigeance,  qu’ils dénonceront de cent façons.

La lutte pour l’indépendance 

Ce qui n’a pas été fait depuis la moitié du siècle dernier en Bretagne, contrairement à nombre de nations d’Europe, c’est d’offrir une alternative nationale conséquente aux Bretons et c’est à cela que le Parti National Breton s’attèle. C’est la force de sa volonté qui viendra à bout de tous les obstacles et de toutes les oppositions et sa cohérence sera le roc sur lequel il construira pour l’avenir. La tâche est immense, mais contrairement aux partisans de l’opportunisme ou des adeptes frileux des demi-solutions, chaque pas en avant réalisé sera un acquis historique irréversible. 

Strollad Broadel Breizh

Parti National Breton

“Ni droite, ni gauche, breton seulement !” (Communiqué)

Moins d’une semaine après l’annonce de la tenue de nouvelles élections législatives dans l’Hexagone, les factions loyalistes en Bretagne se sont déjà alignées sur les diverses factions parisiennes. Les uns pour contrer un imaginaire “péril rouge”, désormais représenté par l’ancien président français François Hollande, les autres pour s’opposer à un tout aussi fantasmatique “péril brun”.

À titre d’exemple, l’UDB (extrême-gauche régionaliste) a rapidement rejoint le “front populaire” hexagonal, d’orientation néo-jacobine car dominée par LFI, tandis que  l’association An Tour Tan (extrême-droite régionaliste) soutient “l’Union Nationale” d’orientation toute aussi néo-jacobine car dominée par le RN. Ces supplétifs remplissent leur fonction naturelle d’appoint des partis du système hexagonal.

Où se trouve la nation bretonne dans cette valse hexagonale ? Pour le Parti National Breton, les Bretons doivent agir sur la base d’un constat politique et historique clair. Depuis 1789, c’est l’annexion de la Bretagne par l’État français qui conditionne la destruction progressive de sa personnalité ethnique, tant par la politique d’assimilation autoritaire menée contre elle par Paris que par la négation de ses droits nationaux. L’idéologie fondamentalement révolutionnaire et anti-ethnique de l’État français le rend irréformable. Qu’il s’agisse du “front populaire” ou de “l’union nationale”, les politiques menées par l’État français s’inscriront dans la poursuite de cette ligne historique contre la Bretagne.

La défense de la nation bretonne, de son identité comme de ses intérêts, que ce soit contre l’immigration massive ou pour la langue et la culture bretonnes, entre autres, nécessite une rupture avec le système français. Cela suppose de dépasser le clivage “gauche/droite” que l’État a importé en Bretagne pour recréer l’indispensable unité nationale qui, grâce à l’indépendance, sera à même d’assurer la prospérité du peuple breton.

C’est bien à la faillite de l’État français qu’il faut préparer nos compatriotes, et non à les maintenir dans l’illusion hexagonale. Pour cela, une seule position : ni droite, ni gauche, breton seulement !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

 

 

Communiqué du PNB suite aux résultats des élections européennes en Bretagne

Les élections européennes en Bretagne ont été le théâtre d’une puissante abstention de la part des Bretons, à 48,5%.  Si l’on constate une progression du RN français, arrivé en tête avec 25% des suffrages exprimés, il ne représente que 12,5% du corps électoral breton réel.  Ensemble, les loyalistes du centre (Renaissance) et de gauche (PS) ont réuni un tiers des voix auxquels il faut ajouter les écologistes d’extrême-gauche (7%) et la gauche jacobine radicale (6%). 

Ces élections, en privant la Bretagne d’une circonscription européenne dotée d’un périmètre conforme à ses frontières historiques, ont à nouveau privé les Bretons d’une représentation nationale légitime. Le Parti National Breton constate que de nombreux Bretons ne se reconnaissent pas dans le système politique et institutionnel français et européen actuel. Cette dilution géographique y contribue.

Le Parti National Breton remarque également que les questions d’immigration, d’insécurité, de logement et de déclassement social représentent des préoccupations croissantes pour nos compatriotes.

Le Parti National Breton souligne qu’en dépit d’une forte propagande “écologique”, les Bretons se sont massivement détournés du vote écologiste (- 10%).

L’annonce d’élections législatives anticipées par le chef de l’Etat français est accompagnée de promesses de changement radical par les diverses factions hexagonales. La réalité demeure : la France, bureaucratisée et surendettée, n’a aucune marge de manœuvre financière. Les désillusions seront nombreuses.

Pour la nation bretonne, l’alternative ne se situe pas dans le maintien de la Bretagne au sein du système hexagonal, mais en dehors de celui-ci. C’est par l’indépendance nationale que le peuple breton pourra répondre à la crise croissante qui frappe notre pays. Le Parti National Breton continuera de s’engager pour qu’une voie politique nationaliste et indépendantiste soit offerte aux Bretons. 

Le Kuzul Meur du Parti National Breton