30 novembre 1793 : le héros des chouans de Guérande Thomas de Caradeuc est décapité par les terroristes républicains de Robespierre à Nantes

30 novembre 1793 : le héros des chouans de Guérande Thomas de Caradeuc est décapité par les terroristes républicains de Robespierre à Nantes

[ISTOR BREIZH] Le 30 novembre 1793, le héros Thomas de Caradeuc, chef des chouans bretons de Guérande, est décapité à Nantes sur ordre du tribunal révolutionnaire robespierriste.

Le 18 mars précédant, avec son compagnon Gueriff de Lanouan, Thomas de Caradeuc avaient conquis la ville de Guérande aux républicains venus de France avec une force de 2,000 chouans bretons. Membre de l’Association Bretonne, premier parti autonomiste breton de l’histoire fondé par Armand de la Rouërie, il fonde la milice bretonne dès la conquête de Guérande.

Le 21 mars, il participe à la libération du Croisic.

Thomas de Caradeuc est arrêté au château de Heinlex, à Guérande, puis emprisonné au Bouffay avant d’être sauvagement décapité par les terroristes français. 

Breton, souviens-toi !

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Ni droitisme, ni gauchisme. Un seul ennemi pour la nation bretonne : l’Etat français, son régime et sa société !

Ni droitisme, ni gauchisme. Un seul ennemi pour la nation bretonne : l’Etat français, son régime et sa société !

[PNB] Depuis la Révolution française, gauche et droite françaises ont constitué les deux principaux obstacles dressés sur la voie de l’émergence de la conscience nationale bretonne. Soumise à l’Etat français et à sa bourgeoisie, donc aux contradictions de la société hexagonale, la Bretagne a été le théâtre secondaire de cette guerre civile entre droite et gauche coloniales. Le Parti National Breton s’est constitué pour dépasser cette contradiction, en se donnant pour but d’arracher les Bretons de cette dialectique franco-française et ce en les nationalisant.

La dérive gauchiste de la société française en Bretagne est bien connue. Elle entraîne organiquement la collusion d’éléments acculturés, aliénés et francisés s’autoproclamant paradoxalement “bretons” avec les diverses factions de la gauche hexagonale. La dérive droitiste, moins remarquable car beaucoup plus isolée socialement, a régulièrement tenté d’entraîner de la même façon un certain nombre de Bretons dans le camp de la réaction hexagonale. Comme une barricade n’a que deux côtés et si l’on raisonne en termes d’affrontement contre la gauche (française), les régionalistes de gauche et de droite finissent invariablement par promouvoir un rapprochement, honteux ou assumé, entre Bretons et éléments factions françaises.

A droite, les prétextes sont connus depuis un quart de siècle dans ce registre : le pragmatisme – la France d’abord, la Bretagne une autre fois – et le bougisme, c’est-à-dire l’agitation désordonnée, qui, en pratique, accouchent systématiquement de l’opportunisme pro-français. Le produit concret en est une formule hétéroclite et régionalisante où chaque Breton est convié à participer sans regard pour la théorie politique et historique, tant que l’on se classe “à droite” du spectre français. Deux notions sont habituellement convoquées pour justifier ce genre de bricolage opportuniste de la part des régionalistes de droite en Bretagne : l’opposition à l’immigration extra-européenne et une vague référence à “l’identité bretonne et européenne”. Rien de nouveau là-dedans, du Mouvement Régionaliste de Bretagne, excroissance du MNR de Bruno Mégret (Nouvelle Droite) à Jeune Bretagne (régionaliste), le droitisme fransquillon a usé de ce véhicule.  Le premier effet de cet opportunisme, c’est que se bousculent dans ce genre de boutiques droitistes des Français établis en Bretagne qui ne tardent pas à revendiquer la même légitimité que les Bretons sur leurs terres ancestrales et à appeler à perpétuer l’état de sujétion coloniale au même titre que l’ensemble des partis français et, plus encore, l’Etat français.

Très vite, dans la pratique, les affinités droitistes françaises priment la question nationale bretonne, qui n’est en réalité que tolérée en tant décorum culturel secondaire. Il n’est pas question d’affronter la France et son état, encore moins son colonialisme, mais bien au contraire de se rapprocher des éléments droitistes français pour faire “cause commune”. Mais cette “cause”, c’est la cause française, invariablement. Dans une Bretagne occupée par la France, cela revient à servir de supplétifs à l’occupant français, au profit de l’un de ses camps politiques, et donc de proroger le statu quo général.

Ce n’est pas peu dire que le thème vaporeux de “l’Europe”, en Bretagne, a agité le régionalisme depuis un siècle. Pour les fédéralistes, elle serait l’entité qui, magiquement, encagerait la France dans un ensemble capable de réduire l’ADN impérialiste de son état et desserrer son étau sur la Bretagne. Pour les droitistes du régionalisme breton, c’est un horizon que l’on exalte pour dépasser la nation française sans avoir à assumer publiquement la confrontation nationale avec la France, confrontation qui hypothèquerait les rapprochements avec la réaction française qu’ils recherchent par ailleurs. L’avantage de l’Europe, comme idée molle, c’est d’entretenir le flou artistique nécessaire à toutes les ambigüités et compromissions et d’éviter ainsi la seule question qui importe : la lutte de libération nationale bretonne.

Le Parti National Breton ne nourrit pas ce genre d’illusions. Il désigne l’ennemi en termes clairs : l’Etat français, son régime, peu importe les factions et les partis. Aucun des moulins à prières agités pendant plus de cent ans par les adeptes bretons de l’illusion européenne n’ont permis à la Bretagne de faire un seul pas en direction de la liberté et de la souveraineté nationale. En Bretagne, le mot Europe est toujours brandi par des gens qui refusent d’assumer le paradigme politique de la nation bretonne en lutte contre l’occupant français. 

Pour le Parti National Breton, la nation bretonne doit tirer les conclusions de son histoire : son salut ne viendra que d’elle seule, contre la France occupante, état et société irréversiblement condamnées à aller au bout de leur logique formulée en 1789. Former l’unité étatique ethno-nationale “verticale” des Bretons en dépassant le clivage “horizontal” droite/gauche de la société française en Bretagne est l’enjeu stratégique du nationalisme breton. Comme d’autres nations européennes, la nation bretonne doit trouver en elle la force nécessaire au salut du peuple. Cela passe par le rejet radical de l’influence française et de l’Etat français, de récuser toute participation active à la société française et encore moins de se subordonner à ses factions.

Ni gauche, ni droite françaises, Nation bretonne seulement !

Breizh Atav !

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Gestion coloniale de la Bretagne : le PNB dénonce la tentative de prise de contrôle du Festival Interceltique de Lorient par l’agent du ministère de l’Intérieur français Jean-Paul Kihl

Gestion coloniale de la Bretagne : le PNB dénonce la tentative de prise de contrôle du Festival Interceltique de Lorient par l’agent du ministère de l’Intérieur français Jean-Paul Kihl

[PNB] L’Etat français a lancé une opération subversive afin de prendre le contrôle du Festival Interceltique de Lorient. Objectif : conditionner son existence à sa subordination au régime de Paris.

Avec l’aide de l’actuel président du Festival Interceltique de Lorient, Denis Le Mentec, l’agent du régime français Jean-Paul Kihl, préfet, a adhéré à l’association du FIL il y a trois semaines et, par une suite de manœuvres internes, exigé de se faire désigner président du FIL d’ici la mi-décembre. Du fait de l’incurie de Le Mentec, aussi dénué de profondeur de vue que de courage et de patriotisme breton, il aura fallu quelques semaines au ministère de l’Intérieur français pour se rendre maître d’un festival vieux de 50 ans fondé par des bénévoles bretons sur l’impulsion du nationaliste breton Polig Monjarret. 

Le Festival Interceltique de Lorient ne doit rien à l’Etat français, bien au contraire. Il n’existe que grâce à la volonté du peuple breton par l’action de ses militants culturels. Cet évènement culturel international, qui exalte les qualités ethniques des nations celtes, dont la nation bretonne, est depuis toujours dans le viseur du régime colonial français qui a pour objectif politique constant, depuis 1789, la destruction des caractéristiques ethno-nationales bretonnes. Dans le système soviétique hexagonal que l’on appelle le régime jacobin-républicain, ce sont désormais des fonctionnaires du ministère de l’Intérieur désignés par Paris qui entendent administrer les évènements culturels comme de simples fermes collectivisées.

Cette opération du ministère de de la police française fait suite au chantage exercé par Paris sur la tenue des festivals bretons en 2024. Paris prétend interdire les évènements festifs bretons pour ne pas détourner cette année-là l’attention des Jeux Olympiques qui sont censés servir de village Potemkine médiatique à un état français en voie de désintégration rapide. Le précédent est grave : sauf à désigner des hauts-fonctionnaires du ministère de la police française choisis par Paris, les évènements culturels majeurs en Bretagne seront purement et simplement interdits par l’état colonial français.

Cette attaque contre les libertés et la culture bretonnes par une république française en voie de radicalisation doit recevoir la riposte qu’elle mérite. Traitée en colonie avec la complicité de domestiques recrutés localement, à l’instar de Le Mentec, la nation bretonne ne peut tolérer ces provocations françaises si spectaculairement mises en scène.

Il y a plus important que n’importe quel festival : c’est la dignité de la nation bretonne. Le droit de la culture bretonne à s’exprimer en Bretagne n’est pas un privilège accordé par Paris. Jamais les préfets du régime colonial français ne dicteront leur conduite aux Bretons conscients de leur nationalité. Si le Festival Interceltique de Lorient confirme la nomination d’un commissaire politique du régime colonial français à sa tête, le boycott sera la règle tant que le ci-devant Kihl aura un pied au FIL.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Douarnenez : face aux menaces de l’extrême-gauche, le Parti National Breton apporte son soutien à Henri Savina, maire de Pouldergat

Douarnenez : face aux menaces de l’extrême-gauche, le Parti National Breton apporte son soutien à Henri Savina, maire de Pouldergat

[PNB] Le Parti National Breton apporte son soutien au maire de Pouldergat, Monsieur Henri Savina, pour son vote courageux, lors du dernier conseil de Douarnenez communauté, contre une subvention de 3,000 euros au profit de l’association “Un puits, une école à Madagascar” exigée par les derniers marxistes sévissant à Douarnenez.

Suite à ce vote, l’habituelle nébuleuse de la gauche française en Bretagne – nostalgiques des égorgeurs de 1793, communards, trotskistes, rouges honteux déguisés en écologistes, opportunistes de gauche, anarcho-nihilistes et autres déviants LGBT – a cru bon de vociférer insultes et menaces contre Monsieur Savina pour son soucis des finances des contribuables bretons.

Monsieur Savina a indiqué, avec justesse, qu’après 62 ans d’accès à l’indépendance, les Bretons n’ont pas à être rackettés par les réseaux louches du marxisme pour financer ses “projets” internationalistes à Madagascar dont les résultats théoriques, si prometteurs sur le papier, se font attendre depuis le siècle dernier. 

Le Parti National Breton rappelle que c’est bien la Bretagne occupée par l’Etat français qui doit être décolonisée en 2022 et non le continent africain. Conformément à son principe d’action “La Bretagne aux Bretons”, le Parti National Breton rappelle que l’argent des contribuables bretons doit être exclusivement utilisé par les Bretons, pour les Bretons, afin de régler les nombreuses difficultés que notre peuple affronte. 

Les Bretons ne doivent plus se faire soustraire le fruit de leur labeur au profit du tonneau des Danaïdes de l’Afrique. Si d’aventure ce principe de bon sens dérange les illuminés du marxisme français et de sa périphérie proche, le Parti National Breton les invite à se cotiser pour financer par eux-mêmes leurs lubies, en France.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Référendum d’autodétermination en Ecosse : le Parti National Breton exprime sa solidarité avec la nation écossaise

Référendum d’autodétermination en Ecosse : le Parti National Breton exprime sa solidarité avec la nation écossaise

[PNB] Le Parti National Breton exprime sa solidarité avec la nation écossaise suite au rejet de sa demande de référendum d’autodétermination par la Cour suprême du Royaume-Uni.

Pour le Parti National Breton, il appartient à la nation écossaise de déterminer librement son destin et ce refus de Londres de reconnaître ce droit à la liberté nationale des Ecossais repose sur le seul exercice de la force.

Toutefois, le Parti National Breton ne doute pas de la volonté et de la capacité de la nation écossaise de s’affranchir de ce refus brutal – et illégitime – et de parvenir, malgré les difficultés, à l’indépendance. 


The Breton National Party – Strollad Broadel Breizh expresses its solidarity with the Scottish nation following the rejection of its request for a self-determination referendum by the Supreme Court of the United Kingdom.

For the Breton National Party, it is for the Scottish nation to freely determine its destiny and this refusal by London to recognize this right to national freedom of the Scots is based solely on the exercise of force.

However, the Breton National Party has no doubt that the Scottish nation is willing and able to overcome this brutal – and illegitimate – refusal and to achieve independence despite the present difficulties.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Les socialistes français en Bretagne ont accordé 60% des subventions publiques reçues par les passeurs de “SOS Méditerranée” : le PNB dit stop au détournement des impôts bretons !

Les socialistes français en Bretagne ont accordé 60% des subventions publiques reçues par les passeurs de “SOS Méditerranée” : le PNB dit stop au détournement des impôts bretons !

[PNB] Les subventions accordées par les collectivités territoriales à l’association française “SOS Méditerranée”, qui organise le trafic de migrants clandestins depuis l’Afrique, sont pour 60%, originaires de Bretagne. Le Conseil “régional” de Bretagne a ainsi accordé 105,000 euros en 2021, tandis que le Conseil département de Loire-Atlantique a accordé 200,000 euros la même année.

L’explication de ce soutien financier à l’immigration illégale de remplacement tient en deux mots : Parti socialiste. C’est la gauche socialiste française en Bretagne, qui, depuis des décennies, prend en otage les travailleurs bretons et détournent le fruit de leur travail.

L’objectif est évident. Premièrement, soutenir la politique d’importation de futurs électeurs captifs dont a besoin la gauche pour se maintenir politiquement. Deuxièmement, importer non seulement de la main d’œuvre peu qualifiée exigée par le patronat dans les services, mais aussi des consommateurs de ces mêmes services. Troisièmement, combler l’effondrement du nombre des actifs autochtones en les remplaçant par la démographie du tiers-monde islamique afin de financer les retraites des fonctionnaires, principale clientèle électorale de la gauche socialiste.

C’est cette convergence entre intérêts patronaux et stato-socialistes français qui explique la brutale politique du fait accompli poursuivie par Loïg Chesnais-Girard, président de région (PS), et Michel Ménard, président du Conseil département de Loire-Atlantique (PS), en soutenant activement les passeurs de migrants clandestins. 

Le Parti National Breton dénonce ce détournement de l’argent des contribuables bretons par le Parti socialiste français. Il exige que soit mis un terme à ce soutien à l’anarchie migratoire qui aboutit, dans les rues des villes bretonnes, à l’explosion de l’insécurité, du trafic de drogue et de l’implantation d’éléments islamiques radicaux. Ces 305,000 euros doivent servir aux Bretons exclusivement, notamment pour le financement de l’enseignement de la langue bretonne.

Le Parti National Breton rappelle enfin qu’il entend mettre en place une grande politique de reconquête démographique en Bretagne grâce à un ensemble de mesures natalistes drastiques exposées dans son programme (lire ici).

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Face à la crise du logement en Bretagne, le président de région Chesnais-Girard (PS) se félicite de l’arrivée massive de retraités et de migrants : le PNB réagit

Face à la crise du logement en Bretagne, le président de région Chesnais-Girard (PS) se félicite de l’arrivée massive de retraités et de migrants : le PNB réagit

[PNB] Sous la pression de l’opinion bretonne face la crise du logement générée par la spéculation immobilière, notamment sur le littoral, le socialiste français Loïg Chesnais-Girard, président fantoche du Conseil régional de Bretagne, s’est rabattu sur l’exercice habituel des démagogues à la solde du pouvoir colonial français lorsque le peuple gronde : la diversion médiatique pour ne rien faire.

Girard, mandaté par la bourgeoisie parisienne pour préserver le statu quo colonial en Bretagne, s’est donné en spectacle avec l’aide du journal d’état Le Télégramme à Saint-Malo, ville connue pour être une véritable résidence secondaire parisienne.

L’évincement des Bretons de leurs propres terres au profit de vieux possédants français, pour le logement individuel, ou d’allogènes importés d’Afrique et du Proche-Orient, pour le logement collectif public ? Une “une victoire magnifique” pour le peuple breton, d’après Chesnais-Girard qui promet que le torrent de la submersion démographique ne fait que commencer.

Non, la Bretagne “ne va pas bien”. Sa langue disparaît, son territoire est partitionné, elle connaît une émigration de sa jeunesse massive, tandis que le pouvoir français, avec l’aide de la caste politique coloniale représentée par Girard, la remplace par le tiers-monde et de vieux possédants venus de France. Ces étrangers surprotégés par l’état colonial chassent de leurs communes les jeunes Bretons qui luttent pour rester au pays.

Cette déclaration de Girard est un crachat à la face des jeunes Bretons pris à la gorge par un système politique, économique et social conçu pour les rabaisser et les faire disparaître.

Le comble du cynisme a été atteint lorsque le maire de Lannion Fanny Chappé, membre du Parti socialiste français, a repris l’imposture de Girard en écriture inclusive, supplément d’âme à peu de frais oblige, prétendant se soucier du sort des Bretons alors qu’il s’agit pour la gauche coloniale française d’aménager le diktat foncier imposé par les spéculateurs français.

Rappelons que Chappé se soucie tellement de l’accès au logement des Bretons qu’elle exige de repeupler le village de Callac avec la démographie afro-islamique.

Girard est un domestique de Paris, aussi verbeux que soumis. Il fait partie de cette nomenklatura fransquillonne qui évalue toute politique en termes de statistiques et de recettes fiscales, avec l’appui intéressé des spéculateurs et du gouvernement colonial français. S’il est d’une transparente viscosité, Girard s’estime suffisamment protégé par les intérêts français pour se livrer à un appel en règle à faire de la Bretagne une réserve résidentielle pour retraités français ainsi que le déversoir du trop plein démographique de l’Afrique. 

L’absence d’opposition nationale bretonne est sa seule force. Pris en lui-même, Girard, tout comme le socialisme français en Bretagne, n’est rien.

Le Parti National Breton le dit avec force : le peuple breton a des droits historiques et nationaux inaliénables sur sa terre et aucune clique aux ordres de Paris ne peut disposer de sa terre comme d’un promoteur immobilier. 

Les Bretons, s’ils veulent survivre au 21e siècle, ne peuvent continuer sur la voie de la soumission au cartel des partis français, courroie de transmission des intérêts de la bourgeoisie française en Bretagne.

Le Parti National Breton rappelle son programme révolutionnaire pour le logement fondé sur son principe guide : la Bretagne aux Bretons grâce à l’exclusivité bretonne pour le logement avec :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.

Ces mesures d’action immédiate préfigurent le programme d’état voulu par le Parti National Breton. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton marié pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.

Breizh Atav !

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Ephéméride national breton : 19 novembre, la duchesse Anne demande en mariage le futur empereur d’Autriche pour sauver l’indépendance de la Bretagne

Ephéméride national breton : 19 novembre, la duchesse Anne demande en mariage le futur empereur d’Autriche pour sauver l’indépendance de la Bretagne

[ISTOR BREIZH] A l’automne 1490, Anne, duchesse de Bretagne depuis le 9 septembre 1488, continue de faire face au péril de l’annexion par la France. En 1487, une puissante armée française avait envahi la Bretagne au terme d’une effroyable campagne de destruction et de meurtres. Par le traité carthaginois dit du “Verger”, les Français avaient exigé et obtenu de l’ancien duc François II, père d’Anne, que celle-ci ne puisse se marier à quiconque sans l’autorisation préalable du roi de France, Charles VIII. L’objectif de ce dernier était de donner un semblant de légalité à son projet d’annexion sanglant de la Bretagne en obligeant Anne à l’épouser à sa majorité.

Conseillée par son tuteur, le maréchal de Rieux, et par les barons patriotes qui lui sont restés fidèles, Anne cherche à nouer une alliance matrimoniale avec un grand souverain étranger qui pourrait l’aider à repousser les Français et préserver l’indépendance de la Bretagne. Le 19 novembre 1490, en dépit du traité du Verger imposé à François II par l’envahisseur français, elle conclut un mariage par procuration avec Maximilien d’Autriche, héritier du trône du Saint-Empire romain germanique, allié des Anglais et des Espagnols, les ennemis traditionnels de la France. 

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Éphéméride national breton : 18 novembre 1305, mort de notre duc Jean II à Lyon

Éphéméride national breton : 18 novembre 1305, mort de notre duc Jean II à Lyon

[PNB] C’est à Lyon, le 18 novembre 1305, que meurt Jean II, Duc de Bretagne, à l’âge de 64 ans. A 31 ans, il participe à la huitième croisade, en Tunisie, aux côtés de son père, alors duc, Jean I. Il meurt accidentellement lors de sa rencontre avec le Pape Clément V. Il est inhumé aux Carmes de Ploërmel, qu’il avait fondés, après que son corps soit ramené en Bretagne par la Loire.

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Renforcement de l’occupation de Brest par la marine française : le PNB exige l’arrêt du viol de la souveraineté bretonne par la France

Renforcement de l’occupation de Brest par la marine française : le PNB exige l’arrêt du viol de la souveraineté bretonne par la France

[PNB] Le Parti National Breton dénonce avec vigueur le déploiement illégal et illégitime par l’Etat français de trois navires de guerre supplémentaires à Brest, ainsi que celui de 600 de ses marins.

Ce déploiement unilatéral par l’état colonial, prévu pour 2026, expose davantage encore le peuple breton aux conséquences militaires de la politique belliciste poursuivie par l’impérialisme français.

Le Parti National Breton rappelle la position de droit de la nation bretonne. Conformément au droit international, la Bretagne demeure un état occupé illégalement par la France. La durée de l’occupation ne confère aucun droit à l’occupant et certainement pas celui de renforcer cette occupation. Aucun déploiement de troupes étrangères, dans le cas d’espèce, par la France, ne peut se faire sur le territoire national de la Bretagne sans l’accord de son gouvernement. 

Le Parti National Breton exige le respect de la souveraineté nationale de la Bretagne par la France, qu’elle cesse ses activités militaires illégales sur le territoire national breton et qu’elle mette un terme à l’occupation civile et militaire de la Bretagne. 

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