Le Parti National Breton dénonce les opportunistes Viala, possédants de Kerlouan qui défiscalisent en hébergeant des migrants d’abord !

Le Parti National Breton dénonce les opportunistes Viala, possédants de Kerlouan qui défiscalisent en hébergeant des migrants d’abord !

[PNB] La jeunesse bretonne souffre de nombreux maux qui peuvent tous se résumer en un mot : la dépossession. 

Le dernier exemple, exalté par les médias Ouest-France et Le Télégramme, médias de la bourgeoisie française, le démontre. On apprend que le couple Viala, possédants confortablement installés à Kerlouan, sur les magnifiques côtes du Léon, engrange les profits en défiscalisant en louant aux colons afro-musulmans d’abord.

Ouest-France :

C’est un bel appartement. Propre et fonctionnel. Spacieux et bien entretenu. Siddig Abdallah, Soudanais d’une trentaine d’années, est assis dans un fauteuil. Il parle un français approximatif. Mais c’est un pas de géant par rapport à l’été 2017, lorsqu’il est arrivé à Kerlaz (Finistère) avec d’autres migrants. Siddig épelle parfaitement son prénom et son nom. Il récolte ce qu’il a semé durant les cours de français, à la maison pour tous de Penhars, à Quimper (Finistère).

« En consentant une baisse de loyer de 15 à 45 %, le propriétaire obtient une réduction d’impôts de 25 à 65 %, détaille Claude Le Garo. Chaque locataire touche l’allocation logement et nous règle le reste du loyer, que nous versons ensuite au propriétaire. Nous assurons le suivi, des visites régulières et l’entretien. Nous soutenons le locataire. Le propriétaire a la garantie de toucher son loyer, et ce sans carence locative. »

C’est l’obscénité d’un monde, d’une société qui nous éclate au visage. Pendant que les fiers privilégiés Viala, établis à Kerlouan, profitent du patrimoine accumulé après un demi-siècle d’endettement et d’inflation, ils maximalisent leurs rentes en défiscalisant sur le dos des jeunes Bretons, grâce au dumping migratoire organisé par le patronat et l’Etat français à coup de primes fiscales, elles aussi ponctionnées sur les jeunes Bretons.

Kerlouan

C’est écœurant et injuste, c’est également ce pourquoi le Parti National Breton combat. La jeunesse bretonne doit se révolter, non seulement contre cette colonisation de peuplement étrangère – hostile par construction – imposée par l’Etat français en Bretagne, mais aussi, et en fait surtout, contre une bourgeoisie acculturée, dénuée de scrupules, qui crée les conditions d’une destruction pure et simple de notre pays et de notre peuple pour se remplir un peu plus les poches, quitte à plonger les générations bretonnes futures dans le chaos interethnique dont nous voyons déjà les effets dans l’Hexagone.

La Bretagne est devenue malade de l’individualisme et de l’appât du gain, ce virus du chacun pour soi qui divise les Bretons qui devraient pourtant être des frères. Cela doit changer et ne changera que par le réveil nationaliste. Contre ceux qui veulent vendre notre patrie à la découpe, le Parti National Breton défend l’exclusivité bretonne pour le logement, afin de protéger le plus modeste de la communauté bretonne de ceux qui, sans la protection de tous, devient du gibier facile. Chaque Breton lucide peut voir à quel point ce principe, résumé par notre slogan “La Bretagne aux Bretons”, est une urgente nécessité.

Le Parti National Breton combat sur ce thème depuis les premiers jours de son engagement et il ne cessera de lutter pour que les Bretons redeviennent les maîtres de leur terre, tout à la fois contre l’état colonial français, mais aussi contre son parti, le parti de l’étranger, le parti des opportunistes, des profiteurs, des vendus qui exprime, sans aucune retenue, ses sentiments antinationaux, son avarice, son besoin de trahir.

Face aux puissants, face à l’Etat français, le Parti National Breton combat pour tous les Bretons, y compris les plus démunis, et le fera jusqu’au bout, parce qu’ils sont notre peuple.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Action d’affirmation nationale bretonne dans le Pays Rennais !

Action d’affirmation nationale bretonne dans le Pays Rennais !

[PNB] Les militants du Parti National Breton ont mené une opération d’affirmation nationale dans la région rennaise. 

Après des mois d’enracinement militant durant toute l’année 2022, le Parti National Breton s’implante dans la région rennaise avec pour objectif une présence dans la longue durée.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Libérons la Bretagne de la sauvagerie française !

Libérons la Bretagne de la sauvagerie française !

[PNB] Depuis 1789, la France arrogante justifie sa politique ethnocidaire en Bretagne par la même imposture : civiliser les barbares au nom des droits de l’homme, erzatz de religion d’état dont elle s’autoproclame garante sur terre.

Deux siècles plus tard, c’est la sauvagerie française qui fait l’admiration du monde !

Nous, Bretons, comme nation celte, n’avons rien de commun avec ce “peuple”, si ce n’est l’occupation que son état nous impose. Une conclusion s’impose : rompre avec la France est une impérieuse nécessité pour la nation bretonne.

Libérer la Bretagne de la sauvagerie française, voilà la mission du Parti National Breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Breton, agis ! Rejoins le Parti !

Breton, agis ! Rejoins le Parti !

[PNB] L’heure n’est plus à la tergiversation, la nation bretonne est à la croisée des chemins. La France n’est plus qu’une ombre, sa déliquescence, désormais irréversible, n’en menace pas moins Breizh !

La patrie a besoin d’hommes nouveaux, animés de conceptions à la fois archaïques et nouvelles. Ces conceptions sont celles d’une nation bretonne consciente et agissante, à la fois enracinée dans sa tradition et projetée dans sa modernité, ce au moment même où les états, et non les nations, disparaissent, englouties par la chute finale du démocratisme individualiste et sa société utilitariste de consommation.

Breizh a besoin de héros qui portent la flamme de l’esprit antique breton pour redresser la nation. C’est ce que veut faire le Parti National Breton, en brandissant la flamme nationaliste au moment le plus obscur que traverse le peuple breton, dénationalisé, déraciné, maintenu dans l’aliénation par une France arrogante acquise à la barbarie.

Breton, tu ne dois pas attendre un miracle, mais agir avec idéal et discipline !

Chaque jour compte !

Rejoins le Parti, ton seul parti, celui de la patrie, et par ton engagement contribues à la victoire décisive de ton peuple. La nation bretonne n’aura pas d’autre chance. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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30 novembre 1793 : le héros des chouans de Guérande Thomas de Caradeuc est décapité par les terroristes républicains de Robespierre à Nantes

30 novembre 1793 : le héros des chouans de Guérande Thomas de Caradeuc est décapité par les terroristes républicains de Robespierre à Nantes

[ISTOR BREIZH] Le 30 novembre 1793, le héros Thomas de Caradeuc, chef des chouans bretons de Guérande, est décapité à Nantes sur ordre du tribunal révolutionnaire robespierriste.

Le 18 mars précédant, avec son compagnon Gueriff de Lanouan, Thomas de Caradeuc avaient conquis la ville de Guérande aux républicains venus de France avec une force de 2,000 chouans bretons. Membre de l’Association Bretonne, premier parti autonomiste breton de l’histoire fondé par Armand de la Rouërie, il fonde la milice bretonne dès la conquête de Guérande.

Le 21 mars, il participe à la libération du Croisic.

Thomas de Caradeuc est arrêté au château de Heinlex, à Guérande, puis emprisonné au Bouffay avant d’être sauvagement décapité par les terroristes français. 

Breton, souviens-toi !

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Ni droitisme, ni gauchisme. Un seul ennemi pour la nation bretonne : l’Etat français, son régime et sa société !

Ni droitisme, ni gauchisme. Un seul ennemi pour la nation bretonne : l’Etat français, son régime et sa société !

[PNB] Depuis la Révolution française, gauche et droite françaises ont constitué les deux principaux obstacles dressés sur la voie de l’émergence de la conscience nationale bretonne. Soumise à l’Etat français et à sa bourgeoisie, donc aux contradictions de la société hexagonale, la Bretagne a été le théâtre secondaire de cette guerre civile entre droite et gauche coloniales. Le Parti National Breton s’est constitué pour dépasser cette contradiction, en se donnant pour but d’arracher les Bretons de cette dialectique franco-française et ce en les nationalisant.

La dérive gauchiste de la société française en Bretagne est bien connue. Elle entraîne organiquement la collusion d’éléments acculturés, aliénés et francisés s’autoproclamant paradoxalement “bretons” avec les diverses factions de la gauche hexagonale. La dérive droitiste, moins remarquable car beaucoup plus isolée socialement, a régulièrement tenté d’entraîner de la même façon un certain nombre de Bretons dans le camp de la réaction hexagonale. Comme une barricade n’a que deux côtés et si l’on raisonne en termes d’affrontement contre la gauche (française), les régionalistes de gauche et de droite finissent invariablement par promouvoir un rapprochement, honteux ou assumé, entre Bretons et éléments factions françaises.

A droite, les prétextes sont connus depuis un quart de siècle dans ce registre : le pragmatisme – la France d’abord, la Bretagne une autre fois – et le bougisme, c’est-à-dire l’agitation désordonnée, qui, en pratique, accouchent systématiquement de l’opportunisme pro-français. Le produit concret en est une formule hétéroclite et régionalisante où chaque Breton est convié à participer sans regard pour la théorie politique et historique, tant que l’on se classe “à droite” du spectre français. Deux notions sont habituellement convoquées pour justifier ce genre de bricolage opportuniste de la part des régionalistes de droite en Bretagne : l’opposition à l’immigration extra-européenne et une vague référence à “l’identité bretonne et européenne”. Rien de nouveau là-dedans, du Mouvement Régionaliste de Bretagne, excroissance du MNR de Bruno Mégret (Nouvelle Droite) à Jeune Bretagne (régionaliste), le droitisme fransquillon a usé de ce véhicule.  Le premier effet de cet opportunisme, c’est que se bousculent dans ce genre de boutiques droitistes des Français établis en Bretagne qui ne tardent pas à revendiquer la même légitimité que les Bretons sur leurs terres ancestrales et à appeler à perpétuer l’état de sujétion coloniale au même titre que l’ensemble des partis français et, plus encore, l’Etat français.

Très vite, dans la pratique, les affinités droitistes françaises priment la question nationale bretonne, qui n’est en réalité que tolérée en tant décorum culturel secondaire. Il n’est pas question d’affronter la France et son état, encore moins son colonialisme, mais bien au contraire de se rapprocher des éléments droitistes français pour faire “cause commune”. Mais cette “cause”, c’est la cause française, invariablement. Dans une Bretagne occupée par la France, cela revient à servir de supplétifs à l’occupant français, au profit de l’un de ses camps politiques, et donc de proroger le statu quo général.

Ce n’est pas peu dire que le thème vaporeux de “l’Europe”, en Bretagne, a agité le régionalisme depuis un siècle. Pour les fédéralistes, elle serait l’entité qui, magiquement, encagerait la France dans un ensemble capable de réduire l’ADN impérialiste de son état et desserrer son étau sur la Bretagne. Pour les droitistes du régionalisme breton, c’est un horizon que l’on exalte pour dépasser la nation française sans avoir à assumer publiquement la confrontation nationale avec la France, confrontation qui hypothèquerait les rapprochements avec la réaction française qu’ils recherchent par ailleurs. L’avantage de l’Europe, comme idée molle, c’est d’entretenir le flou artistique nécessaire à toutes les ambigüités et compromissions et d’éviter ainsi la seule question qui importe : la lutte de libération nationale bretonne.

Le Parti National Breton ne nourrit pas ce genre d’illusions. Il désigne l’ennemi en termes clairs : l’Etat français, son régime, peu importe les factions et les partis. Aucun des moulins à prières agités pendant plus de cent ans par les adeptes bretons de l’illusion européenne n’ont permis à la Bretagne de faire un seul pas en direction de la liberté et de la souveraineté nationale. En Bretagne, le mot Europe est toujours brandi par des gens qui refusent d’assumer le paradigme politique de la nation bretonne en lutte contre l’occupant français. 

Pour le Parti National Breton, la nation bretonne doit tirer les conclusions de son histoire : son salut ne viendra que d’elle seule, contre la France occupante, état et société irréversiblement condamnées à aller au bout de leur logique formulée en 1789. Former l’unité étatique ethno-nationale “verticale” des Bretons en dépassant le clivage “horizontal” droite/gauche de la société française en Bretagne est l’enjeu stratégique du nationalisme breton. Comme d’autres nations européennes, la nation bretonne doit trouver en elle la force nécessaire au salut du peuple. Cela passe par le rejet radical de l’influence française et de l’Etat français, de récuser toute participation active à la société française et encore moins de se subordonner à ses factions.

Ni gauche, ni droite françaises, Nation bretonne seulement !

Breizh Atav !

Pour le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Gestion coloniale de la Bretagne : le PNB dénonce la tentative de prise de contrôle du Festival Interceltique de Lorient par l’agent du ministère de l’Intérieur français Jean-Paul Kihl

Gestion coloniale de la Bretagne : le PNB dénonce la tentative de prise de contrôle du Festival Interceltique de Lorient par l’agent du ministère de l’Intérieur français Jean-Paul Kihl

[PNB] L’Etat français a lancé une opération subversive afin de prendre le contrôle du Festival Interceltique de Lorient. Objectif : conditionner son existence à sa subordination au régime de Paris.

Avec l’aide de l’actuel président du Festival Interceltique de Lorient, Denis Le Mentec, l’agent du régime français Jean-Paul Kihl, préfet, a adhéré à l’association du FIL il y a trois semaines et, par une suite de manœuvres internes, exigé de se faire désigner président du FIL d’ici la mi-décembre. Du fait de l’incurie de Le Mentec, aussi dénué de profondeur de vue que de courage et de patriotisme breton, il aura fallu quelques semaines au ministère de l’Intérieur français pour se rendre maître d’un festival vieux de 50 ans fondé par des bénévoles bretons sur l’impulsion du nationaliste breton Polig Monjarret. 

Le Festival Interceltique de Lorient ne doit rien à l’Etat français, bien au contraire. Il n’existe que grâce à la volonté du peuple breton par l’action de ses militants culturels. Cet évènement culturel international, qui exalte les qualités ethniques des nations celtes, dont la nation bretonne, est depuis toujours dans le viseur du régime colonial français qui a pour objectif politique constant, depuis 1789, la destruction des caractéristiques ethno-nationales bretonnes. Dans le système soviétique hexagonal que l’on appelle le régime jacobin-républicain, ce sont désormais des fonctionnaires du ministère de l’Intérieur désignés par Paris qui entendent administrer les évènements culturels comme de simples fermes collectivisées.

Cette opération du ministère de de la police française fait suite au chantage exercé par Paris sur la tenue des festivals bretons en 2024. Paris prétend interdire les évènements festifs bretons pour ne pas détourner cette année-là l’attention des Jeux Olympiques qui sont censés servir de village Potemkine médiatique à un état français en voie de désintégration rapide. Le précédent est grave : sauf à désigner des hauts-fonctionnaires du ministère de la police française choisis par Paris, les évènements culturels majeurs en Bretagne seront purement et simplement interdits par l’état colonial français.

Cette attaque contre les libertés et la culture bretonnes par une république française en voie de radicalisation doit recevoir la riposte qu’elle mérite. Traitée en colonie avec la complicité de domestiques recrutés localement, à l’instar de Le Mentec, la nation bretonne ne peut tolérer ces provocations françaises si spectaculairement mises en scène.

Il y a plus important que n’importe quel festival : c’est la dignité de la nation bretonne. Le droit de la culture bretonne à s’exprimer en Bretagne n’est pas un privilège accordé par Paris. Jamais les préfets du régime colonial français ne dicteront leur conduite aux Bretons conscients de leur nationalité. Si le Festival Interceltique de Lorient confirme la nomination d’un commissaire politique du régime colonial français à sa tête, le boycott sera la règle tant que le ci-devant Kihl aura un pied au FIL.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Douarnenez : face aux menaces de l’extrême-gauche, le Parti National Breton apporte son soutien à Henri Savina, maire de Pouldergat

Douarnenez : face aux menaces de l’extrême-gauche, le Parti National Breton apporte son soutien à Henri Savina, maire de Pouldergat

[PNB] Le Parti National Breton apporte son soutien au maire de Pouldergat, Monsieur Henri Savina, pour son vote courageux, lors du dernier conseil de Douarnenez communauté, contre une subvention de 3,000 euros au profit de l’association “Un puits, une école à Madagascar” exigée par les derniers marxistes sévissant à Douarnenez.

Suite à ce vote, l’habituelle nébuleuse de la gauche française en Bretagne – nostalgiques des égorgeurs de 1793, communards, trotskistes, rouges honteux déguisés en écologistes, opportunistes de gauche, anarcho-nihilistes et autres déviants LGBT – a cru bon de vociférer insultes et menaces contre Monsieur Savina pour son soucis des finances des contribuables bretons.

Monsieur Savina a indiqué, avec justesse, qu’après 62 ans d’accès à l’indépendance, les Bretons n’ont pas à être rackettés par les réseaux louches du marxisme pour financer ses “projets” internationalistes à Madagascar dont les résultats théoriques, si prometteurs sur le papier, se font attendre depuis le siècle dernier. 

Le Parti National Breton rappelle que c’est bien la Bretagne occupée par l’Etat français qui doit être décolonisée en 2022 et non le continent africain. Conformément à son principe d’action “La Bretagne aux Bretons”, le Parti National Breton rappelle que l’argent des contribuables bretons doit être exclusivement utilisé par les Bretons, pour les Bretons, afin de régler les nombreuses difficultés que notre peuple affronte. 

Les Bretons ne doivent plus se faire soustraire le fruit de leur labeur au profit du tonneau des Danaïdes de l’Afrique. Si d’aventure ce principe de bon sens dérange les illuminés du marxisme français et de sa périphérie proche, le Parti National Breton les invite à se cotiser pour financer par eux-mêmes leurs lubies, en France.

Breizh Atav !

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Référendum d’autodétermination en Ecosse : le Parti National Breton exprime sa solidarité avec la nation écossaise

Référendum d’autodétermination en Ecosse : le Parti National Breton exprime sa solidarité avec la nation écossaise

[PNB] Le Parti National Breton exprime sa solidarité avec la nation écossaise suite au rejet de sa demande de référendum d’autodétermination par la Cour suprême du Royaume-Uni.

Pour le Parti National Breton, il appartient à la nation écossaise de déterminer librement son destin et ce refus de Londres de reconnaître ce droit à la liberté nationale des Ecossais repose sur le seul exercice de la force.

Toutefois, le Parti National Breton ne doute pas de la volonté et de la capacité de la nation écossaise de s’affranchir de ce refus brutal – et illégitime – et de parvenir, malgré les difficultés, à l’indépendance. 


The Breton National Party – Strollad Broadel Breizh expresses its solidarity with the Scottish nation following the rejection of its request for a self-determination referendum by the Supreme Court of the United Kingdom.

For the Breton National Party, it is for the Scottish nation to freely determine its destiny and this refusal by London to recognize this right to national freedom of the Scots is based solely on the exercise of force.

However, the Breton National Party has no doubt that the Scottish nation is willing and able to overcome this brutal – and illegitimate – refusal and to achieve independence despite the present difficulties.

Breizh Atav !

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Les socialistes français en Bretagne ont accordé 60% des subventions publiques reçues par les passeurs de “SOS Méditerranée” : le PNB dit stop au détournement des impôts bretons !

Les socialistes français en Bretagne ont accordé 60% des subventions publiques reçues par les passeurs de “SOS Méditerranée” : le PNB dit stop au détournement des impôts bretons !

[PNB] Les subventions accordées par les collectivités territoriales à l’association française “SOS Méditerranée”, qui organise le trafic de migrants clandestins depuis l’Afrique, sont pour 60%, originaires de Bretagne. Le Conseil “régional” de Bretagne a ainsi accordé 105,000 euros en 2021, tandis que le Conseil département de Loire-Atlantique a accordé 200,000 euros la même année.

L’explication de ce soutien financier à l’immigration illégale de remplacement tient en deux mots : Parti socialiste. C’est la gauche socialiste française en Bretagne, qui, depuis des décennies, prend en otage les travailleurs bretons et détournent le fruit de leur travail.

L’objectif est évident. Premièrement, soutenir la politique d’importation de futurs électeurs captifs dont a besoin la gauche pour se maintenir politiquement. Deuxièmement, importer non seulement de la main d’œuvre peu qualifiée exigée par le patronat dans les services, mais aussi des consommateurs de ces mêmes services. Troisièmement, combler l’effondrement du nombre des actifs autochtones en les remplaçant par la démographie du tiers-monde islamique afin de financer les retraites des fonctionnaires, principale clientèle électorale de la gauche socialiste.

C’est cette convergence entre intérêts patronaux et stato-socialistes français qui explique la brutale politique du fait accompli poursuivie par Loïg Chesnais-Girard, président de région (PS), et Michel Ménard, président du Conseil département de Loire-Atlantique (PS), en soutenant activement les passeurs de migrants clandestins. 

Le Parti National Breton dénonce ce détournement de l’argent des contribuables bretons par le Parti socialiste français. Il exige que soit mis un terme à ce soutien à l’anarchie migratoire qui aboutit, dans les rues des villes bretonnes, à l’explosion de l’insécurité, du trafic de drogue et de l’implantation d’éléments islamiques radicaux. Ces 305,000 euros doivent servir aux Bretons exclusivement, notamment pour le financement de l’enseignement de la langue bretonne.

Le Parti National Breton rappelle enfin qu’il entend mettre en place une grande politique de reconquête démographique en Bretagne grâce à un ensemble de mesures natalistes drastiques exposées dans son programme (lire ici).

Breizh Atav !

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