L’assassinat de l’Abbé Perrot : de la barbarie sans-culotte à la barbarie marxiste

L’assassinat de l’Abbé Perrot : de la barbarie sans-culotte à la barbarie marxiste

[PNB] Dans cette lecture nationaliste n°2, l’assassinat de l’Abbé Yann Vari Perrot, le 12 décembre 1943, est replacé dans son contexte géopolitique, idéologique et historique.

En abattant la figure de la résistance culturelle et linguistique bretonne, à Scrignac, à l’automne 1943, ce n’est pas qu’un prélat que les assassins du Parti communiste français ont visé, c’est l’âme de la vieille Bretagne que les héritiers des terroristes de 1793 ont voulu tuer. Ce meurtre préfigurait l’entreprise d’anéantissement qui devait suivre le coup d’état révolutionnaire léniniste auquel s’activaient les bandes rouges de Staline en France et en Bretagne, à la veille du débarquement allié.

L’objectif des agents de l’Internationale marxiste était l’élimination préventive des cadres de la résistance anticommuniste qui ne manquerait pas de s’organiser au lendemain de l’établissement d’une république bolchevique pro-soviétique dans l’Hexagone. L’Abbé Perrot, de par son charisme débordant sur l’ensemble de la Bretagne, était une cible politique évidente pour les bolcheviques.

Le martyre de l’Abbé Perrot est un legs fondamental pour l’Emsav et les patriotes bretons. Pour ceux qui luttent contre les ennemis mortels de la Bretagne, le crime scelle dans le sang du prêtre la promesse de mener le combat jusqu’à la victoire finale.

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