Après leur ralliement à l’extrême-gauche franco-régionaliste, le Parti National Breton appelle au boycott des éditions Yoran Embanner

Après leur ralliement à l’extrême-gauche franco-régionaliste, le Parti National Breton appelle au boycott des éditions Yoran Embanner

[PNB] L’Emsav, une nouvelle fois victime de la pollution marxiste d’inspiration hexagonale, perd une maison d’édition de qualité, avec la transformation des éditions Yoran Embanner en succursale du gauchisme intersectionnel français. Le militant d’extrême-gauche français Alain Cloarec reprend en effet cette entreprise, comme nous l’apprend le journal d’état Ouest-France.

Il suffit de lire ce qu’écrit Cloarec dans la publication du groupe régionaliste d’extrême-gauche “UDB” pour mesurer que cet individu n’a rien à voir avec l’Emsav et sa juste lutte pour l’indépendance de la nation bretonne.

Avant cela, le monde, la société, la Bretagne et la France ayant changé depuis les années 1970, il nous faudrait nécessairement nous reposer la question de notre être propre. Qui sommes-nous, que voulons-nous, d’où venons-nous ? À cette dernière question, il ne faut pas répondre que nos origines remontent aux migrations bretonnes du IVème et Vème siècle. Certes, il est toujours amusant de rappeler cette vérité à certains nationalistes dont le fantasme du mythe national naissant d’immigrés peine à dépasser l’actuelle phobie de l’immigration. Mais ce ne sont là que des réalités historiques qui n’inclinent en rien à une quelconque définition individuelle ou collective contemporaine. C’est là l’Histoire de la Bretagne, pas celle des Breton-ne-s. Est-ce un détail, une provocation ou un crachat à la figure du militantisme breton bas de plafond ? Un peu de tout cela, mais c’est surtout au cœur du questionnement la volonté de savoir si l’on cherche plus à lutter pour la liberté de la Bretagne ou pour les libertés du peuple breton.

Le peuple breton qui a forgé la Bretagne – dont elle porte le nom – en venant massivement de Grande Bretagne ? Un fait “amusant” qui doit être mentionné aux “militants bretons bas de plafond”, mais uniquement pour appeler à l’intensification de l’immigration afro-islamique dans notre pays au nom du sans-frontiérisme néo-communiste.

Comprenez le message implicite : nous, Bretons, sommes pour cet individu de trop sur notre terre et devons apprendre à disparaître en silence, submergés par l’envahisseur, afin de répondre aux rêves d’unification planétaire de cet esprit manifestement atteint d’ethno-masochisme, un trait récurrent des Bretons colonisés, acculturés et aliénés sous le poids de l’influence française.

Alain Cloarec (droite), militant d’extrême-gauche français

L’Emsav a pour mission de sauvegarder l’essence ethnique du peuple breton, pas de faciliter son érosion et sa disparition pour le compte de l’Etat français et de sa bourgeoisie. Défendre notre personnalité ethnique est notre combat depuis deux siècles face à l’ennemi de l’humanité qu’est l’égalitarisme révolutionnaire, pas de lui prêter la main.

C’est ici l’occasion pour nous d’interroger Cloarec : qui, des “militants bretons bas de plafond” ou des dealers et proxénètes originaires d’Afghanistan, arrivés de fraîche date sur le territoire breton avec l’aide des autorités françaises, sera susceptible de commander des ouvrages portant sur la Bretagne bretonne ? Qui, des Bretons, ou des migrants du tiers-monde importés par l’Etat français sous les vivats du grand patronat, porteront une maison d’édition bretonne ? Poser la question, c’est y répondre.

Nous ne voulons pas de la tiers-mondisation que cet illuminé, contaminé par la folie du gauchisme hexagonal, prétend nous imposer. Nous ne sommes pas des adeptes de l’église universaliste et millénariste du sans-frontérisme. Nous sommes un peuple et cela nous suffit. Aucune hallucination abstraite, péteuse et moralisante, n’a de prise sur nous. Nous ne voulons pas de la prétention “morale” de ces curetons de gauche étrangers à l’esprit de Breizh. Nous voulons notre nationalité, notre terre, notre sang, notre état. Nous voulons être une nation fière, forte et libre, pas un club de sodomites socialistes interchangeables avec n’importe quel autre club de sodomites socialistes de la planète. Notre sang et notre sol, c’est-à-dire Breizh, voilà ce que l’Emsav veut et rien d’autre.

Après avoir frappé d’interdit le peuple breton, parce qu’ethniquement trop européen pour la gauche d’inspiration hexagonale dont il provient, Cloarec poursuit ses provocations en faisant passer son socialisme cosmopolite en contrebande. Une fois Breizh vidée de sa substance sous sa plume, il prétend y substituer le foutoir sociétal en vogue au sein de la bourgeoisie parisienne:

Comment donc peut-on toujours être Breton-ne aujourd’hui et demain ? En vivant et en luttant au cœur de la société bretonne pour y constituer un nouveau pays plus juste, solidaire et défenseur acharné de toutes les dignités. La Bretonne et le Breton n’ont pas de couleur de peau, pas de genre, ni de religion, ils ont une adresse et une volonté.

Si l’on en croit l’histrion Cloarec, les Bretons sont “indéfinissables”. Curieux – et unique – peuple qu’on ne saurait définir. On ne pourrait pas les distinguer de la faune islamique de Saint-Denis ou de celle l’arrière souk d’Alger, encore moins de la population du Bronx. Bretagne, Madagascar ou Bagdad, c’est indifférent. Nous sommes sommes de nous effacer, de faire place nette, de nous laisser remplacer sur notre terre ancestrale.

Trêve de plaisanterie.

Nous avons affaire à un névrosé du marxisme culturel doublé d’un mégalomane qui croit pouvoir remplacer notre nationalité millénaire par l’imposture contractualiste-rousseauiste d’importation française dont le nihilisme de la gauche post-moderne est le chancre le plus récent. Si cela est conforme à l’idéologie de l’indifférentisme et du relativisme culturel (culturel et racial) propre à l’empire des démocraties finissantes, cela n’a rien à voir avec l’ethno-nationalisme de l’Emsav.

Les Bretons ont plus qu’une couleur de peau, ils ont un profil ethno-racial. Ils sont hétérosexuels, comme le prouvent leur postérité et leur phénotype qu’ils se transmettent de génération en génération, depuis des millénaires.

“Les Bretons n’ont pas de religion”, Alain Cloarec, gauchiste et nouveau commerçant chargé de vendre “Troménies bretonnes”

Quant à leur religion, seul un crétin ou un charlatan peut prétendre, après avoir sillonné le vieux pays, ne jamais avoir remarqué chapelles et calvaires, ni même la Troménie, qu’a produit leur spiritualité. Notre pays n’est pas borné de mosquées, n’en déplaise à ce furoncle.

Si l’exaltation de l’anomie de la petite bourgeoisie individualiste correspond à sa vision du monde, nomade et égocentrique, elle n’a aucun rapport avec celle de notre peuple face à son histoire et son devenir, comme communauté ethnique nationalement consciente et agissante. 

Cloarec donne une piste sur cette obsession étrange, en évoquant le grand non-dit de l’extrême-gauche régionaliste en Bretagne qu’est le vice bourgeois par excellence : l’homosexualité de ses cadres sur fond de rhétorique gauchisante, usée jusqu’à la corde.

De cela, nous ne pouvons que considérer les combats de la Bretagne libre et insoumise dans la famille des luttes des droits civiques, des homosexuels, des peuples autochtones à travers le monde, des mouvements paysans et ouvriers, en somme de toutes les luttes pour la dignité humaine.

Nous le voyons, Yoran Embanner ne sera plus qu’un faux-nez de l’extrême-gauche française, infecté des thèmes obsessionnels de la bourgeoisie hexagonale : LGBTisme, submersion migratoire, haine de la race blanche.

Le devoir de l’Emsav est l’exact inverse : fortifier l’instinct de survie du peuple breton au plan anthropologique et de combattre la glorification des ratés, des faibles, de la culture de l’échec.

Ceux qui trahissent le sang breton, doivent recevoir une réponse du sang breton. Il est de la responsabilité du Parti National Breton de combattre la subversion marxiste antibretonne à chaque fois qu’elle se manifeste. Le boycott de cette maison d’édition sera à présent la règle et la consigne sera largement distributée par le Parti afin de prévenir tout achat et toute collaboration. Par un travail inlassable de mise en garde, il détournera les patriotes de cette maison d’édition, jusqu’à ce qu’elle disparaisse, faute de clients. Car ce que les rouges oublient un peu vite, enivrés par leur insolence, c’est que ce monde est régi par la loi de l’offre et de la demande et qu’insulter la nation bretonne quand on prétend animer une maison d’édition héritière de l’Emsav n’est pas un modèle économique viable.

Le temps de l’insulte est passé, l’ère du marxisme et de la démocratie libérale est révolue, l’époque où les idiots utiles de la gauche coloniale française pouvaient provoquer l’Emsav a vécu. Désormais, chaque insulte recevra sa riposte et cette riposte sera coûteuse.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Incendie criminel à Brocéliande : le Parti National Breton veut la peine de mort pour les incendiaires

Incendie criminel à Brocéliande : le Parti National Breton veut la peine de mort pour les incendiaires

[PNB] Après les Monts d’Arrée, un nouvel incendie d’origine criminelle frappe la Bretagne. La Forêt sacrée de Brocéliande a été ciblée par des pyromanes où un foyer a été allumé dans la nuit.

Pour le Parti National Breton, l’absence de peine exemplaire pour des actes à caractère terroriste comme le sont les incendies de masse explique le sentiment d’impunité qui précipite le passage à l’acte.

Un nouveau cadre légal doit être forgé pour la nation bretonne afin de restaurer un ordre pleinement breton en Bretagne. Le Parti National Breton a proclamé dans son programme sa ferme intention d’instaurer la peine de mort pour les crimes les plus graves dans le futur Etat breton. De tels actes entraîneront automatiquement la condamnation à la peine capitale pour les incendiaires.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Brest : une voiture en flammes projetée contre une piscine municipale de l’enclave afro-islamique de Bellevue !

Brest : une voiture en flammes projetée contre une piscine municipale de l’enclave afro-islamique de Bellevue !

[PNB] Brest, tout comme l’ensemble des villes bretonnes soumises à l’immigration extra-européenne imposée par l’Etat français et la gauche coloniale hexagonale, est désormais une ville en état de putréfaction sociale avancée. Les quartiers de la ville, gangrenée par le pourrissement allogène, se transforment en kystes du crime, de la violence, de la radicalisation islamique.

Le Télégramme

Une Alfa Roméo enflammée a été découverte contre l’entrée principale de la piscine de Kerhallet, à Brest, ce mercredi 10 août 2022, vers 21 h 15. Il a fallu l’intervention rapide des pompiers de Brest, épaulés par les marins pompiers, pour éteindre promptement l’incendie du véhicule et éviter que l’équipement public de Bellevue ne subisse des dégâts au-delà de la porte. La voiture est entièrement calcinée. À l’arrivée des secours et de la police, aucun individu n’a été aperçu. Il pourrait s’agir d’un véhicule volé.

La cause de cette sauvagerie est connue : le caractère inassimilable des masses extra-européennes. Plus le temps passera, plus la submersion migratoire organisée par Paris avec l’aide de ses relais politiques locaux, à l’instar du socialiste Cuillandre à Brest, détruira des pans entiers de la Bretagne.

Seule une réponse radicale, à la hauteur de la menace existentielle que représente cette invasion, sera de nature à solder une fois pour cette crise menace.

Le Parti National Breton a une position claire sur cette question : l’expulsion en masse des sujets coloniaux vers la France, leur état de tutelle.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Agissez pour sauver la Bretagne ! Adhérez au Parti National Breton !

Agissez pour sauver la Bretagne ! Adhérez au Parti National Breton !

[PNB] La libération de la nation bretonne et la restauration de son état, l’Etat breton, supposent de franchir le pas de l’engagement direct. Cet engagement ne peut se faire que par l’adhésion au seul parti national en Bretagne : le Parti National Breton.

Le Parti National Breton constate avec satisfaction l’accroissement régulier de son audience, d’abord par le recrutement que par sa propagande de terrain et l’élargissement de sa présence sur internet. Toutefois, commenter ou “aimer” un contenu sur les réseaux sociaux n’est pas en soi ce qui sauvera la nation bretonne des dangers mortels qui la menacent; à commencer par l’Etat français de peuplement afro-musulman. Ces marques de sympathie sont un début vers l’engagement, pas une fin en elles-mêmes.

*Crédit photos : Jean Romegaire

Adhérer au Parti National Breton et militer dans ses rangs sont les seuls actes susceptibles de changer le présent statu quo en Bretagne en dotant la nation bretonne de l’outil révolutionnaire dont elle a besoin pour briser l’occupation française et restaurer l’ordre breton en Bretagne : son parti national.

D’ici à 2030, la république française se sera effondrée sur elle-même.  Il importe de préparer 2032, année charnière pour la nation bretonne après l’annexion de 1532.

Si vous êtes un patriote breton, vous ne devez pas rester un consommateur passif : rejoignez nos rangs, immédiatement, votre avenir et celui de vos enfants en dépend ! Vous aurez diverses façons de servir la cause nationale. Pour que l’émergence de la conscience nationale bretonne atteigne le stade révolutionnaire, il faut que cette conscience soit importée dans les masses bretonnes par un travail permanent d’activisme. C’est votre rôle que d’y participer, en tant que nationaliste breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Destruction du monument de la honte à Rennes : le torchon colonial “Le Télégramme” glorifie l’annexion sanglante de la Bretagne par la France et attaque la résistance nationale bretonne

Destruction du monument de la honte à Rennes : le torchon colonial “Le Télégramme” glorifie l’annexion sanglante de la Bretagne par la France et attaque la résistance nationale bretonne

[PNB] Dans un article inqualifiable publié le 7 août 2022, le torchon colonial “Le Télégramme” se livre à une ignoble apologie de l’annexion et de l’occupation de la Bretagne par le régime français en condamnant, à 90 ans de distance, l’héroïque destruction par les patriotes bretons de la statue glorifiant la sujétion de la nation bretonne à la France.

Utilisant les pires accents de l’exaltation nationaliste française, la feuille de chou de Coudurier ose :

La frange nationaliste qui magnifiait les héros de l’histoire de la Bretagne ne supportait pas cette prétendue offense au particularisme régional (sic) […] La capitale Bretonne conservera longtemps dans son histoire les stigmates de cet acte brutal. Ce creux devant lequel défilent tous les jours les Rennais porte en lui l’absence d’un monument prônant la réconciliation et la vacuité d’un acte qui n’avait pas lieu de se produire.

Dans l’enceinte du parlement national breton, une statue mettant en scène l’annexion sanglante de la Bretagne par l’Etat français, annexion qui sera suivie – jusqu’à nos jours – d’une campagne ethnocidaire de destruction de la langue et de la culture bretonnes par cet état étranger, est qualifiée de monument de la “réconciliation” par ce torchon colonial français. Tel est l’état de la virulente propagande révisionniste française en Bretagne, en 2022. 

Sur ce sujet, le Parti National Breton rappelle la nécessité pour chaque Breton de lire le Petit Livre Bleu de la Bretagne du Professeur Melennec sur l’annexion armée de la Bretagne par la France et l’état d’occupation de notre patrie par la puissance étrangère française. Aujourd’hui, la Bretagne demeure une nation occupée par la France en violation du droit international.

Cet article ne surgit pas par hasard. Les intérêts coloniaux français savent que le temps de la République française est compté et que la Cinquième république n’en a plus que pour quelques années. Ils savent également que le réveil de la nationalité bretonne sera parallèle à cet effondrement, comme celui d’autres nationalités, d’où les attaques contre la nation bretonne par la clique Coudurier, infâme laquais de Paris en Bretagne. 

Le Parti National Breton avertit le valet Coudurier : à jouer avec le feu, on finit par se brûler. La subordination à l’impérialisme français ne permet pas tout, surtout pas face à des patriotes bretons en ordre de marche pour libérer leur pays. Dans la Bretagne nouvelle qui approche, il n’y aura plus de place pour la propagande française et ses relais : ces gens peuvent d’ores et déjà le tenir pour acquis.

Après 1532 vient 2032. Pour le Parti National Breton, cette année sera une année placée sous le signe de bouleversements révolutionnaires pour la nation bretonne. La décennie qui nous en sépare sera marquée par la débâcle finale de la France, ruinée et submergée par la démographie afro-islamique, la fin de l’humiliation du Peuple Breton et la libération de Breizh. Ceux qui auront osé insulter la nation bretonne du temps de son asservissement répondront alors politiquement de leurs actes face à l’Etat breton.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

[PNB] La capitale bretonne a une nouvelle fois été le théâtre de l’ultra-violence des gangs ethniques implantés par l’Etat français dans la ville avec l’appui de la gauche coloniale hexagonale, représentée sur place par Johanna Rolland.

Cette violence, outre l’immigration extra-européenne, a pour racine le trafic de drogue.

Le Parti National Breton a une ligne programmatique claire pour la Bretagne nationalement redressée. Sous sa direction, l’Etat breton procèdera automatiquement à la condamnation à mort de tout individu arrêté en possession de drogue, à raison de 500 grammes pour le cannabis, et 15 grammes pour l’héroïne.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le Parti National Breton se félicite des propos de la Chine sur l’embrigadement républicain en France et dans ses colonies

Le Parti National Breton se félicite des propos de la Chine sur l’embrigadement républicain en France et dans ses colonies

[PNB] Le Parti National Breton relève avec satisfaction que la diplomatie chinoise a correctement relevé l’hypocrisie insolente de la France sur la scène internationale.

Critiquée par la chaîne BFMTV pour la politique de “rééducation” que la Chine mènerait dans le futur à Taïwan, l’ambassadeur de Chine en France, Lu Shaye, a rejeté la duplicité française et souligné que le régime républicain français rééduquait lui-même la population hexagonale grâce à son ministère de l’Education.

Les nations victimes de l’impérialisme français peuvent en témoigner. Il y a encore 60 ans, la France prétendait que les ancêtres des Africains ou Asiatiques sous sa botte avaient pour ancêtres les Gaulois. Cette funeste rééducation visait à se servir de ces peuples dans les guerres impérialistes de la république française en Europe.

La Bretagne, occupée illégalement et illégitimement par la France, est une colonie. Encore aujourd’hui, le gouvernement français procède à une rééducation radicale du Peuple Breton dès le plus jeune âge. L’enseignement de l’histoire de Bretagne est interdite dans les écoles bretonnes, tout comme l’enseignement de la langue bretonne qui, contrairement au français ou à l’anglais. L’identité nationale de la Bretagne est niée, tout comme celle d’un cinquième de son territoire, actuellement partitionné par la France. Ses droits politiques, comme nation occupée, sont niés. 

De par sa politique de neutralité pour la Bretagne, le Parti National Breton recherche une analyse objective et équilibrée des rapports internationaux. En cohérence avec sa condamnation de l’impérialisme français, il récuse les vociférations françaises à propos d’un continent, l’Asie, dans lequel la France n’est qu’un stigmate colonial. Il constate que la Chine offre un point de vue lucide sur la nature du régime français qui, derrière ses mensonges et son insolence, ne peut masquer ses rêves fantaisistes de restauration impérialiste.

La question qui intéresse les Bretons n’est pas le destin de la province de Taïwan, mais celui de leur patrie dont ils veulent la libération de l’occupant français, le seul occupant qu’ils connaissent.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton 

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3 août 1379 : le Duc Jean IV prend la tête de la révolution nationale bretonne contre l’occupation française

3 août 1379 : le Duc Jean IV prend la tête de la révolution nationale bretonne contre l’occupation française

[PNB] Le 3 août est un jour de gloire pour la nation bretonne. C’est en effet le 3 août 1379 que le Duc Jean IV débarque à Dinan pour prendre la tête d’une révolution populaire antifrançaise consécutive à l’occupation et l’annexion de la Bretagne par les Français.

Bas-relief en Bronze sur le débarquement de Jean IV de Bretagne à Dinard – Promenade du Clair de Lune (Sculpteur : Armel-Beaufils)

Coalisant l’ensemble de la nation bretonne, Jean IV brise les Français qui doivent fuir. Breizh est à nouveau libre.

Ce que les Bretons ont su faire en s’unissant au 14e siècle, ils pourront le refaire au 21e siècle sous la direction du parti de la patrie: le Parti National Breton.

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Paul Molac et l’impasse du régionalisme français : ethno-nationalisme breton contre socialisme régional

Paul Molac et l’impasse du régionalisme français : ethno-nationalisme breton contre socialisme régional

[PNB] Un entretien récent accordé par le député régionaliste breton Paul Molac au journal d’état français “Ouest-France” (Ouest-Eclair) a suscité l’intérêt des uns et des autres, et surtout entraîné la satisfaction du mouvement régionaliste breton. La cause de cet intérêt et de cette satisfaction est la déclaration de Paul Molac à propos de sa “nationalité bretonne”.

Face aux nations écossaise, catalane ou flamande, les Bretons font pâle figure tant, encore aujourd’hui, ils se comportent en peuple colonisé, obséquieux devant la puissance française occupante. Dans un tel contexte, on se satisferait de peu et une déclaration, en apparence audacieuse, pourrait rassembler à un rayon de soleil. Pourtant, contrairement au mouvement régionaliste breton, contradiction interne du système français, l’Emsav doit analyser avec rigueur les propos tenus par Paul Molac et en tirer les conséquences politiques.

Que dit Paul Molac, député de la nation française à l’Assemblée nationale française, dans cette interview ? Le champ lexical qu’il utilise est révélateur. Il parle de la Bretagne comme d’une “région” à plusieurs reprises et déclare même, un peu plus loin, “Nous, les Français”. Lorsqu’il développe ce point de vue, il oppose finalement “la France” aux “technocrates parisiens”, et non pas la nation bretonne à un état étranger qui l’occupe, l’Etat français. La question nationale bretonne n’existe pas en tant que telle dans la bouche de Paul Molac, la Bretagne demeure une “région” parmi d’autres qui souffrirait simplement d’une mauvaise organisation de la structure politique française.

Cette conception régionaliste est clairement affirmée ensuite :

Je suis citoyen français de nationalité bretonne. Il ne suffit pas de parler français pour devenir citoyen français. C’est plus complexe. Avoir une langue commune est un projet politique. Avoir une langue unique relève d’un projet nationaliste. Les gens qui forment une identité n’expriment pas nécessairement l’envie d’un État indépendant. Vivre son identité n’est pas un projet politique. Cette expression n’a d’ailleurs pas d’obédience politique.

Quelle est la portée historique d’une nationalité dépourvue de droits nationaux propres ? En pratique, aucune. Si les Irlandais avaient été guidés par des gens animés par de semblables conceptions, ils seraient restés des sujets britanniques au lieu de mener une révolution nationaliste. Une personne de “nationalité bretonne” réduite à l’état de citoyen français en Bretagne ne diffère en rien d’un citoyen français tout court, comme aujourd’hui c’est le cas pour les Bretons fondus de force dans un état étranger. En plus de n’avoir aucune conséquence pratique, la déclaration de Paul Molac contient en elle-même l’impasse que représente le régionalisme : maintenir la nation bretonne au sein d’une structure d’état hostile et fondamentalement impérialiste, au nom d’un “pragmatisme” qui se résume le plus clair du temps à de la pusillanimité.

Paul Molac, en cohérence avec ces déclarations, reproche à l’organisation régionaliste d’extrême-gauche UDB sa timide demande d’un permis de résidence d’une année, pourtant accessible à tous les Français et même aux autres étrangers.

J’ai un différend avec le parti sur sa proposition d’un statut de résident. Cette différence entre citoyens me gêne.

On le voit, Paul Molac considère que les Français doivent bénéficier des mêmes droits que les Bretons en Bretagne, ce qui, derrière l’imposture de l’égalité légale, masque l’inégalité fondamentale dont souffre le peuple breton qui n’est pas souverain sur sa terre et doit donc affronter 63 millions de Français selon les termes dictés par leur l’état qui les représente en Bretagne occupée. Lorsqu’il s’agit de choisir entre l’état colonial et ses sujets d’un côté et la nation bretonne de l’autre, Paul Molac opte résolument pour l’état colonial. Ainsi donc, les Bretons sont priés, au nom du dogme hypocrite de l’égalité issue de 1789, de se considérer comme aussi légitimes sur leur terre que le dernier bourgeois parisien venu s’y établir, ou que le dernier migrant d’Afrique importé par Paris, pour peu que l’Etat français en décide. Avec une telle subordination revendiquée, la “nationalité bretonne” de Paul Molac ne sera d’aucun secours face à la volonté d’hégémonie colonialiste et impérialiste de l’Etat français sur la Bretagne, et encore moins face à la colonisation de peuplement extra-européenne que supervise ce même état.

Cette conception sans-frontiériste, issu du contractualisme rousseauiste, n’est pas nouvelle chez Paul Molac, lui qui a virulemment promu l’implantation sauvage de migrants afro-musulmans dans les villages de Bretagne, y compris contre les nationalistes bretons. La “nationalité bretonne” de Paul Molac n’est qu’un décalque du nationalisme géographique français hérité de la Révolution française. C’est le fruit d’un individu acculturé dont l’inconscient est ethniquement breton, ce qui s’exprime par des propositions à caractère particulariste, mais dont le surmoi est intégralement français, issu de 1789. Depuis l’origine, la nationalité bretonne est une protestation de liberté ethnique contre le projet d’écrasement des peuples par l’étatisme impérialiste français qui fonde sa pseudo “nationalité” sur l’idéologie universaliste de 1789. La conception foncièrement française de la nationalité bretonne qu’exprime Paul Molac, comme ses implications politiques, est la négation même celle-ci. 

Réussir 1789 à l’échelle bretonne est certainement une idée fixe du régionalisme de gauche en Bretagne, mais cela n’a jamais été le combat de l’Emsav. L’Emsav est le projet de libération de la nation bretonne par la création d’un état ethno-national breton, Breizh. Les appels à réformer une France consubstantiellement impérialiste pour régler la question bretonne en semant la confusion entre nationalisme, régionalisme, autonomisme et fédéralisme ne sont ni nouveaux, ni utiles. Leur seule fonction est d’affaiblir le sentiment national breton en le maintenant dans le cadre français. L’Emsav assume la confrontation directe avec l’Etat français. Il veut briser les conceptions mortifères de impérialisme révolutionnaire français dans l’esprit des masses bretonnes grâce à la restauration de l’Etat ethnique breton.

Le Peuple Breton a assez perdu de temps avec les adeptes bretons de la quadrature du cercle français. Ces réactionnaires francisés empêchent la conscience ethno-nationale bretonne d’émerger en forçant les Bretons à se soumettre à un syncrétisme qui contraint la réalité ethnique bretonne à se soumettre à la religion égalitaire française. Au contraire, la tâche de l’Emsav est de pousser le peuple entier dans le séparatisme ethno-nationaliste. Alors que le régime français est à l’agonie, c’est ce qui doit animer chaque jour les patriotes bretons.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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1er août : le Parti National Breton souhaite une heureuse fête nationale à la nation bretonne !

1er août : le Parti National Breton souhaite une heureuse fête nationale à la nation bretonne !

[PNB] Le Parti National Breton célèbre en ce 1er août 2022 la fête nationale bretonne, placée sous le signe de la souveraineté retrouvée de l’Etat Celtique de la Nation Bretonne, Breizh.

Avec la fondation du Parti National Breton cette année, la lutte pour la renaissance de la nation bretonne connaît un tournant. Cette lutte se poursuivra jusqu’à la victoire pleine et entière de la nation, c’est-à-dire jusqu’à la restauration de l’Etat breton et l’indépendance complète de notre patrie.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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