Provocation franco-marxiste au Festival de Cornouaille : le Parti National Breton met en garde la gauche coloniale

Provocation franco-marxiste au Festival de Cornouaille : le Parti National Breton met en garde la gauche coloniale

[PNB] Confortée par le pouvoir colonial français, l’impunité marxiste a prospéré dans la Bretagne acculturée sous la botte républicaine. Cette aliénation prend un tour tragique quand le communisme d’exportation française se drape dans le folklore d’un peuple humilié qui étale fièrement son délabrement mental, croyant épater la galerie française quand elle ne fait que revendiquer sa déchéance nationale.

Le Parti National Breton ne tolèrera pas ce genre d’humiliation rituelle portée par des éléments dégénérés à la botte de la gauche coloniale française. Ses militants, partout où ils les rencontreront, procèderont à une rééducation politique éclair des bêtes malades qui osent infecter la culture bretonne par le virus du franco-marxisme.

La thérapie du redressement national breton sera appliquée avec dureté, sans autre forme de procès. 

Breizh Atav !

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Violences entre policiers français et allogènes venus de France dans le train Rennes / Saint-Malo

Violences entre policiers français et allogènes venus de France dans le train Rennes / Saint-Malo

[PNB] La désinformation d’état française en Bretagne occupée est une nouvelle fois démontrée à la faveur d’une rixe entre policiers français et allogènes issus de l’Hexagone.

France 3 :

Avec les fortes chaleurs de lundi, le TGV faisant Paris – Saint-Malo a dû s’arrêter vers 13h à la suite d’une panne entre Rennes et Saint-Malo. La climatisation a également arrêté de fonctionner. Selon une source policière, des jeunes mineurs montés en gare de Rennes, énervés par la situation, ont perturbé les voyageurs. Des policiers en civil, présents dans la rame, ont tenté de calmer les adolescents mais la situation a dégénéré.

Le train a fini par arriver en gare de Saint-Malo, vers 15h. Les jeunes avaient appelé des renforts et à la sortie du train les 4 policiers en civil faisaient face à un groupe entre 15 et 20 jeunes. “Une bagarre a éclaté. Nos collègues ont pris une dérouillée” commente attristé Frédéric Gallet, du syndicat Alliance Police 35.

Conclusion du média colonial français France 3 : des “Bretons” sont à l’origine de la rixe.

Il s’agit bien évidemment de Français d’origine extra-européenne implantés par l’Etat français sur le territoire breton, plus particulièrement à Rennes.

Pour mettre un terme à ces déprédations, l’expulsion vers la France des ressortissants français indésirables est une priorité du Parti National Breton.

Breizh Atav !

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Rennes : deux Français de Guyane poignardent à 6 reprises une personne de 71 ans

Rennes : deux Français de Guyane poignardent à 6 reprises une personne de 71 ans

[PNB] L’immigration française en Bretagne continue de produire ses pleins effets. En l’occurrence, un homosexuel de 71 ans, apparemment en quête d’un prostitué de race noire dans le quartier afro-musulman de Maurepas, à Rennes, a été poignardé à six reprises par un couple de Français de Guyane.

Ouest-France :

Dans la nuit de vendredi 15 à samedi 16 juillet 2022, vers 5 h 15, un homme a été découvert grièvement blessé au niveau du rond-point des Douz’arômes, à Betton, près de Rennes. Un témoin, constatant la présence de cette personne sur le bord de la route, s’arrête et constate que la victime est blessée. Il alerte pompiers et gendarmerie.

La victime, âgée de 71 ans et domiciliée à Saint-Grégoire, était inconsciente. Les secours ont constaté que l’homme était très grièvement blessé et présentait au moins six plaies liées à des coups de couteau. Il avait aussi le visage tuméfié.

L’enquête a été confiée à la Brigade de recherche de la gendarmerie de Rennes. Selon nos informations confirmées par le procureur de la République, Philippe Astruc, la victime a croisé la route d’un jeune homme de 18 ans, dans la rue à Rennes dans la nuit du 14 au 15 juillet 2022. Après quelques échanges, un rendez-vous était convenu pour le 16 juillet. Le septuagénaire est allé le chercher en voiture vendredi soir, dans le quartier rennais de Maurepas. C’est dans la voiture que l’agression a commencé. Le jeune homme l’a frappé à la tête et donné six coups de couteau. Il s’est ensuite débarrassé de la victime sur le rond-point avant de s’enfuir en voiture.

Dans un communiqué, le procureur de la République, Philippe Astruc, précise que « les investigations ont permis d’interpeller rapidement deux jeunes hommes (un mineur né en 2005 en Guyane, domicilié au Mans, inconnu de la Justice, et un jeune majeur, né en 2004 en Guyane, domicilié à Rennes, faiblement connu de l’institution judiciaire) retrouvés au Mans, dans le véhicule Mercedes dérobé à la victime ».

Au terme de leur garde à vue à Rennes, le jeune majeur a été déféré, ce lundi 18 juillet, au parquet de Rennes. Une information judiciaire criminelle des chefs de tentative de meurtre en raison de l’orientation sexuelle de la victime et vol avec arme a été ouverte. La peine encourue est la réclusion criminelle à perpétuité. Son placement en détention provisoire a été requis.

« Il reconnaît avoir donné des coups de couteau à la victime, dans le véhicule et en dehors de celui-ci. Il explique son acte en raison de l’homosexualité supposée de la victime, mais aussi dans l’optique de voler la voiture, raison pour laquelle il est reparti avec son véhicule. » La situation du mineur, qui n’est pas concerné par les faits criminels évoqués, sera appréciée par le parquet du Mans au regard d’une éventuelle qualification de recel.

La victime bénéficie de trente jours d’ITT (Incapacité totale de travail). Le certificat médico-légal « mentionne la présence de six plaies compatibles avec l’action d’un couteau et des fractures du massif facial ».

Pour le Parti National Breton, tant que le processus de remplacement ethnique se poursuivra, ce type de faits se multipliera, jusqu’à devenir endémique.

Seule une politique d’ordre breton sera à même d’enrayer cette spirale mortelle.

Breizh Atav !

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Contrefeu colonial : l’organisation régionaliste française “Parti Breton” appelle l’Etat français à faire interdire le Parti National Breton

Contrefeu colonial : l’organisation régionaliste française “Parti Breton” appelle l’Etat français à faire interdire le Parti National Breton

[PNB] En quelques mois d’existence, le Parti National Breton, par son activisme, a d’ores et déjà réussi à démasquer, il est vrai sans difficulté, les imposteurs du régionalisme.

Ladite “Union Démocratique Bretonne”, l’organisation française d’extrême-gauche , s’y était déjà livrée en juin avec les habituels slogans de la gauche française :

Hier, c’était au tour de l’organisation anti-nationale “Parti Breton” d’appeler directement l’Etat français à faire interdire le Parti National Breton. Le motif, un message anonyme publié sur Twitter par un inconnu, a servi de prétexte.

Comme de juste, cette organisation d’esprit français tente de promouvoir une caricature folklorique et cosmopolite de notre pays dans le but d’encager la nation bretonne dans les catégories politico-idéologiques de l’occupant français. Notamment en francisant à outrance la Bretagne par l’arme de l’immigration afro-islamique.

Ces appels à la puissance coloniale ne surprennent pas les Emsaverien. Au contraire, ils participent de la clarification dialectique qui s’opère logiquement sous l’action militante du Parti National Breton qui ne laisse, par la limpidité de ses positions ethno-nationalistes et indépendantistes, aucune place pour les oppositions factices à l’ordre français en Bretagne.

Le Parti National Breton poursuit pas à pas sa tâche. Plus il se développera, plus les laquais de la bourgeoisie française feront appel à l’autorité coloniale pour qu’elle réprime les nationalistes bretons. Le Parti National Breton s’en félicite, les attaques des ennemis de la nation bretonne démontrent invariablement la justesse d’une position politique.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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14 juillet du régime de Paris : la fête de l’impérialisme français et de la terreur républicaine n’a pas sa place en Bretagne !

14 juillet du régime de Paris : la fête de l’impérialisme français et de la terreur républicaine n’a pas sa place en Bretagne !

[PNB] Le 14 juillet est l’occasion pour le pouvoir colonial français d’exciter un loyalisme de bistrot au sein des masses psychologiquement sidérées dans l’espoir de rassembler les soutiens autour de l’Etat français.

Cet exercice de la part d’un état au bord de l’effondrement final ne doit pas tromper le Peuple Breton sur la force réelle de l’impérialisme français. En 2022, l’Hexagone est une nation aussi factice que déchue, comptant désormais 17 millions d’allogènes, principalement afro-musulmans. Au bord de la déroute financière complète, son sort est scellé.

Le Parti National Breton, confiant dans la victoire finale du nationalisme breton en Bretagne, commémore l’héroïque résistance de la chouannerie bretonne face à la barbarie révolutionnaire française et salue les préfigurateurs de l’émancipation de la nation bretonne qui ont combattu la république française les armes à la main, à commencer par René-Jean de Botherel du Plessis, Armand Tuffin de la Rouërie ou Georges Cadoudal. Il appartient aux nationalistes bretons de solder les comptes et de liquider l’occupation française, vecteur de pestilence.

Que l’Etat français crève !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le patois disparu “gallo” : une imposture française utilisée par le Conseil régional contre l’Emsav et la nation bretonne

Le patois disparu “gallo” : une imposture française utilisée par le Conseil régional contre l’Emsav et la nation bretonne

[PNB] Le Parti National Breton dénonce formellement et définitivement la promotion illégitime du patois français dit “gallo” par le Conseil dit “régional” de Bretagne. Ce patois français, s’il est disparu dans les faits, est devenu l’instrument d’une poignée d’opportunistes déterminés à engranger les subsides publics avec l’aide des idiots utiles de la réaction régionaliste qui prétendent en faire une langue bretonne bis.

Cette politique artificielle qui ne rencontre aucune demande sociale – on serait bien en peine de trouver des parents bretons désireux de faire parler du français dégénéré à leurs enfants, la moitié des Bretons ignorent même de quoi il s’agit – n’a trouvé droit de cité au Conseil régional que par l’aide des régionalistes de gauche, les ennemis fondamentaux de la nation bretonne. Adeptes du misérabilisme et du relativisme culturel, ces réactionnaires français ont systématiquement semé la confusion en prétendant que le patois gallo était “un breton comme un autre”.

Alors que la langue bretonne, par l’action déterminée des Emsaverien, se hisse progressivement dans un rapport de symétrie nationale avec la langue française dans l’esprit du Peuple Breton, l’agitation d’une douzaine de gallomaniaques, soutenus par la gauche anti-ethnique du Conseil régional, ravale, par cette promotion odieuse, la langue bretonne à un simple patois dans l’inconscient des masses. En pratique, s’ajoute donc au latinisme institutionnel triomphant porté par l’Etat français le latinisme asymétrique porté par la secte gallomaniaque. La Bretagne la plus historiquement brittophone se retrouve exposée à un patois français mort et enterré, tandis que la langue bretonne se retrouve diluée dans une farce visuelle grotesque. Chaque centime détourné au profit du patois gallo disparu vise à priver le Peuple Breton des fonds que réclame la défense de sa langue, la langue bretonne.

Demain, selon le même principe misérabiliste, l’arabe dialectal algérien et le turc s’ajouteront sur les panneaux promus par les tenants français du relativisme culturel de gauche actuellement à la tête du Conseil régional.

L’Emsav, comme son nom l’indique, a toujours eu pour objective la régénération brittonnique, donc celtique, du Peuple Breton, acculturé par le latinisme de l’impérialisme français. Il n’a jamais eu de conception inerte de la culture, contrairement à la réaction régionaliste, faction marginale obsédée par la restauration des campagnes du 19e siècle. Promoteur d’une race bretonne forte et dominatrice, tout dans le misérabilisme régionaliste le répugne. L’objectif de l’Emsav est de reconquérir la totalité de la Bretagne du temps de sa plus grande vigueur nationale.

Le Parti National Breton se fixe comme objectif la liquidation de cette politique d’empoisonnement linguistique d’inspiration franco-latine. Il appelle l’Emsav, tout particulièrement les militants de la langue bretonne, à clairement identifier cette subversion et à y opposer une résistance déterminée, tout particulièrement contre la canaille réactionnaire de régionalisme français qui tente de polluer le combat national breton avec ce contrefeu artificiel. 

Toute provocation dans ce domaine appellera désormais une réponse.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Viol d’enfant à Saint-Brieuc par un migrant afghan : le Parti National Breton instaurera le principe de punition ethnique collective

Viol d’enfant à Saint-Brieuc par un migrant afghan : le Parti National Breton instaurera le principe de punition ethnique collective

[PNB] L’Etat français, par l’immigration extra-européenne qu’il organise en Bretagne occupée, menace les enfants bretons et les jeunes femmes bretonnes. Dernier exemple à Saint-Brieuc où un violeur pédophile afghan a également essayé de violer deux jeunes Bretonnes, l’une d’entre elles ayant essayé de se suicider à 5 reprises.

Actu.fr :

Le 25 juin 2021, la cour d’assise de Saint-Brieuc condamnait un Afghan de 30 ans à 15 ans de réclusion criminelle pour le viol d’un petit garçon de 12 ans.

Des faits qui août 2018, avaient ému les riverains du parc des promenades.

Jeudi 7 juillet 2022, cet homme était extrait de sa cellule à Brest pour s’expliquer sur d’autres faits d’agressions sexuelles, commis il y a 4 ans dans la même ville.

C’est en toute décontraction, sourire aux lèvres, accompagné de son interprète, que le prévenu vient s’expliquer à la barre du tribunal correctionnel de Saint-Brieuc. On lui reproche des faits d’agression sexuelle et harcèlement sur deux jeunes filles mineures en 2018. Des faits survenus quelques jours avant le viol sur le petit garçon.

À la barre, il tente de se justifier : « Dans mon pays, il est normal d’avoir des relations sexuelles avec les jeunes garçons parce que les femmes sont inaccessibles. Quand je suis arrivé en France je ne connaissais pas vos lois, mais depuis j’ai appris que c’était interdit ».

Il débarque sur le territoire français en 2016, et pose ses valises à Saint-Brieuc en février 2018.

Sa première agression sexuelle, il va la commettre le 16 avril de la même année en abordant une jeune fille mineure rue Mansart à St-Brieuc. Prétextant avoir besoin d’aide dans un anglais approximatif, il va réussir à l’attirer dans sa chambre au sein d’un foyer, en prenant soin de fermer la porte à clés. La suite est racontée par la jeune victime.

“Il m’a plaquée au mur en me maintenant avec son genou, il était bien trop fort, j’essayais de résister, mais impossible de me dégager, il tentait de m’embrasser et d’arracher mes vêtements, j’étais terrorisée, il a fini par me dire que si je voulais partir je devais toucher son sexe. Quand je lui ai dit que j’appellerais la police, il a immédiatement ouvert la porte .

Quelques jours plus tard, la jeune victime était hospitalisée pour une tentative de suicide, elle recommencera ce geste de désespoir à 5 reprises.

« Je voulais la toucher un peu, mais elle ne voulait pas. Si c’était une fille correcte, elle ne serait pas montée dans ma chambre ». Assise juste derrière lui, la jeune fille est en pleurs en écoutant son bourreau la salir un peu plus…

Le 22 mai, c’est une autre jeune fille qui déposera plainte. Elle raconte son calvaire à la barre : « Il me disait Mademoiselle, mademoiselle, viens faire du sexe avec moi. Il était insistant et me poursuivait, j’avais très peur, j’ai prévenu mes parents qui ont appelé la police ».

“C’est vrai, j’ai bien dit ça, mais elle criait Dégage, dégage !, mais moi je ne comprenais pas ce mot.”

Maître Tabard intervient pour les victimes. « Le prévenu oppose aux 5 tentatives de suicide de la victime un large sourire, et c’est inacceptable, il n’a aucuns remords, aucun regret. »

Après une courte délibération, le tribunal condamne le prévenu à 3 ans ferme au regard de son comportement et refuse toutes demandes de confusion de peine.

Il devra exécuter ses 3 ans à suivre, ce qui porte le total à 18 années de prison. Une provision de 2000 € devra être versée aux parties civiles en attendant le renvoi sur intérêt civil qui est fixé au 3 février.

Le Parti National Breton rappelle inlassablement le danger existentiel que fait peser la submersion extra-européenne organisée par les Français sur le Peuple Breton. 

Parmi ses exigences d’application immédiate figure la 2ème exigence relative à la criminalité d’origine étrangère :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

Pour les crimes les plus graves, le Parti National Breton entend appliquer une justice inflexible pour restaurer l’ordre en Bretagne, une fois celle-ci libérée de l’occupation française.

Comme pour les nationaux, le Parti National Breton veut instaurer la peine de mort par pendaison pour les individus de nationalité étrangère reconnus coupables de viol sur le territoire breton.

Fidèle à sa philosophie empirique ethno-différentialiste, le principe de responsabilité collective sera en outre appliqué par l’Etat breton aux populations non-européennes, par nature ataviquement inaccessibles à la notion de responsabilité individuelle, qui pourraient résiduellement se trouver sur le territoire national.  Face aux crimes commis, l’Etat breton instaurera un éventail de sanctions collectives graduées pour l’ensemble des individus de la même nationalité du coupable s’il est d’origine extra-européenne. A cet effet, l’intégralité des ressortissants étrangers non-européens auront l’obligation d’être enregistrés auprès du Ministère de la Sécurité Intérieure de l’Etat breton. Il en résultera une politique sécuritaire adaptée au profil ethno-culturel des intéressés, les ressortissants extra-européens exerçant la pression sociale interne requise sur l’ensemble des membres leur communauté d’appartenance.

Breizh Atav !

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Nantes : la fête islamique de l’Aïd offerte gratuitement par la municipalité socialiste française ! 

Nantes : la fête islamique de l’Aïd offerte gratuitement par la municipalité socialiste française ! 

[PNB] Nantes : la fête islamique de l’Aïd offerte gratuitement par la municipalité socialiste française ! 

Les Bretons du Pays Nantais doivent rapidement rejoindre le Parti National Breton et s’engager pour la rupture avec l’Etat français, en voie d’afro-islamisation terminale.

Breizh Atav !

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Colonisation : la liste des communes bretonnes où le nombre de résidences secondaires dépasse les 50% !

Colonisation : la liste des communes bretonnes où le nombre de résidences secondaires dépasse les 50% !

[PNB] Voici la liste des communes bretonnes dont le nombre de résidences secondaires dépasse les 50%

Voici les villes et les îles de Bretagne où le taux de résidences secondaires dépasse les 50%. On en compte 41, concentrées à 100% sur le littoral.

Arzon (Morbihan) : 77,2%

Saint-Gildas-de-Rhuys (Morbihan) : 77%

Ile de Hoëdic (Morbihan): 75,5%

Damgan (Morbihan) : 74,1%

Ile aux Moines (Morbihan) : 72,4%

Ile d’Arz (Morbihan) : 72,2%

Ile de Bréhat (Côtes d’Armor) : 72,1%

Carnac (Morbihan) : 71,4%

Plénestin (Morbihan) : 71,1%

Ile Tudy (Finistère) : 70,8%

Ile de Molène (Finistère) : 68,9%

Locmaria (Belle-Ile) : 68,8%

La Trinité-sur-Mer (Morbihan) : 67,7%

Le Mont Saint-Michel (Manche) : 67,1%

Saint-Pierre-de-Quiberon (Morbihan) 66,5%

Saint-Cast-le-Guildo (Côtes d’Armor) : 66,4%

Quiberon (Morbihan) : 66,2%

Ile de Batz (Finistère) : 64,5%

Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes d’Armor) : 63,4%

Ile de Houat (Morbihan) : 62,6%

Bangor (Belle-Ile) : 61,9%

Saint-Philibert (Morbihan) : 61,3%

Saint-Nic (Finistère) : 60,4%

Saint-Briac (Ille-et-Vilaine) : 60%

Fréhel (Côtes d’Armor) : 59,9%

Saint-Lunaire (Ille-et-Vilaine) : 59,7%

Lancieux (Côtes d’Armor) : 59,2%

Locmariaquer (Morbihan) : 59%

Sauzon (Belle-Ile) : 59%

Sarzeau (Morbihan) : 57,7%

Erquy (Côtes d’Armor) : 56,7%

Pléneuf-Val-André (Côtes d’Armor) : 55,9%

Bénodet (Finistère) : 54,6%

Larmor Baden (Morbihan) : 54,4%

Ile de Groix (Morbihan) : 52,4%

Locquirec (Finistère) : 52,2%

Gâvres (Morbihan) : 52,1%

Roscanvel (Finistère) : 51,9%

Trévou-Trévignec (Côtes d’Armor) : 51,3%

Saint-Quay-Portrieux (Côtes d’Armor) : 50,5%

Plougrescant (Côtes d’Armor) : 50,3%

Ce n’est qu’un aperçu du fléau de la colonisation de peuplement que la Bretagne, privée d’état national, subit sous le joug de l’administration coloniale française. 

Qu’il s’agisse des logements sociaux ou des résidences secondaires, le Parti National Breton entend promouvoir l’exclusivité bretonne pour le logement sur la totalité de la Bretagne.

La 6e exigence d’application du Parti National Breton stipule :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.

Rejoindre le Parti National Breton, c’est s’engager pour que les Bretons puissent se loger sur leurs terres ancestrales en chassant définitivement les prédateurs étrangers.

Défendez-vous, rejoignez-nous !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Pseudo “Conseil des associations musulmanes” du Morbihan : le Parti National Breton réaffirme son intention d’éteindre l’islamisation organisée par l’Etat français en Bretagne

Pseudo “Conseil des associations musulmanes” du Morbihan : le Parti National Breton réaffirme son intention d’éteindre l’islamisation organisée par l’Etat français en Bretagne

[PNB] Poursuivant sa politique de nettoyage ethnique par remplacement contre le Peuple Breton, l’Etat français prétend organiser l’expansion islamique en Bretagne au profit de ses migrants afro-musulmans. C’est l’annonce qu’ont faite les autorités de Paris par le truchement de leur préfecture dans le Pays Vannetais.

Ouest-France :

Le département dispose, depuis mercredi 6 juillet 2022, d’une organisation des associations musulmanes. Le Conseil des associations musulmanes du Morbihan (CAMM) est né d’une initiative conjointe entre la préfecture, l’association Assalam et l’association culturelle et islamique basées à Lorient, l’association musulmane de bienfaisance de Lanester, la maison culturelle Comoriens de Pontivy et la maison culturelle islamique de Locminé.

Dans le prolongement du Conseil français du culte musulman, créé en 2003 au niveau national, le CAMM souhaite « ancrer le dialogue entre l’État et les représentants du culte musulman à un niveau local », explique Arnaud Guinier, directeur de cabinet du préfet du Morbihan.

La préfecture du Morbihan indique que le CAMM se réunira au moins une fois par an, pour dialoguer sur des thématiques allant de la sécurité à la formation des imams. « Le CAMM a, par exemple, été notre interlocuteur privilégié sur les questions de réglementation de l’abattage rituel pour la fête de l’Aïd », détaille Arnaud Guinier.

Le Parti National Breton rappelle que ces annonces faites par le pouvoir colonial français sont illégitimes, illégales, nulles et non avenues en Bretagne. 

Le Parti National Breton, seul instrument de la volonté nationale bretonne, veillera au démantèlement de toutes les organisations étrangères subversives et expansionnistes présentes en Bretagne. Il procèdera à l’expulsion des étrangers indésirables vers la France, leur état de tutelle. 

Breizh Atav !

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