Le PNB dénonce la convention signée en le Conseil “Régional” de Bretagne et l’armée d’occupation française

COMMUNIQUÉ – Le président du Conseil “régional” de Bretagne a une nouvelle fois porté atteinte à la dignité de la nation bretonne. En se mettant en scène aux côtés du ministre français de la Guerre, Sébastien Lecornu, Loïg Chesnais-Girard  a endossé la fonction qu’il affecte, celle d’un serviteur obséquieux de l’Occupation.

Le Parti National Breton souligne que le devoir de tout président dudit Conseil, en tant que représentant de fait, sinon de jure, de la continuité de l’État breton, se doit de tout faire pour avancer vers l’indépendance stratégique de la Bretagne, particulièrement en appelant à la fin de l’occupation militaire française de la Bretagne.

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Construire l’État breton : un peuple, une volonté (Éditorial)

Construire l’État breton : un peuple, une volonté (Éditorial)

ÉDITORIAL – L’Emsav ne soucie pas prioritairement de la société, mais de l’État. L’État est l’instrument suprême et décisif du politique, le politique est la forme active de la volonté d’une communauté humaine, une communauté humaine procède du sang qui l’unit et dont découle l’esprit national. 

L’homme breton est aujourd’hui un sujet psychologiquement, culturellement et historiquement aliéné, c’est-à-dire étranger à lui-même, empêché d’être pour lui-même et par lui-même, résultat de l’oeuvre d’assimilation coercitive menée par l’État français. La volonté de l’homme breton est réprimée, à dessein, par l’État français qui le réduit à un rouage docile dans sa propre machine. Toute impulsion vers l’État breton est par nature une impulsion révolutionnaire, de renversement de l’ordre établi, vers l’émancipation de l’homme breton comme plein sujet historique, c’est-à-dire comme homme libre d’être ce que son sang, socle de son esprit, lui commande d’être. 

On le voit, la question de l’État breton n’est pas une question administrative, ou de principes démocratiques, comme trop souvent des têtes creuses le répètent, mais une question existentielle : être ou ne pas être ! 

Le nationalisme breton est l’expression consciente et agissante de cette volonté d’être, la volonté commune vers l’État breton, l’affirmation, contre le diktat de l’étranger, que l’essence de l’homme breton est vivante, qu’elle veut et agit. Cette volonté n’est pas seulement réalisée avec l’État (stad), au sens technique du mot, mais dans la lutte (stourm) pour l’État. Bien avant que l’État breton ne soit matériellement constitué, il existe par l’action d’affirmation des nationalistes bretons, avant-garde de la volonté vers l’État. 

Construire l’État breton et le nationalisme breton ne sont qu’une seule et même chose.

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Les errements du média loyaliste Breizh-Info contre le nationalisme breton

Les errements du média loyaliste Breizh-Info contre le nationalisme breton

Lorsque le média régionaliste Breizh-Info, vaguement proche de la mouvance d’Éric Zemmour, publie des articles à propos du nationalisme breton, ceux-ci sont d’ordinaire peu rigoureux, volontiers caricaturaux et, last but not least, hostiles. Nous l’avons déjà évoqué en août dernier. Pour autant, jouant volontiers du confusionnisme, il n’hésite pas à se prévaloir dudit nationalisme breton pour mieux disqualifier tous ceux qui objecteraient légitimement à ses positions régionalistes.

Le dernier texte diffusé par ce média, produit par un certain “Mathurin Le Breton”, s’inscrit dans cette continuité. Adressé aux Corses qui n’avaient rien demandé, un soi-disant “nationaliste breton” commet une tribune enflammée à la gloire d’un nouveau mouvement dénommé “Palatinu”, d’orientation régionaliste, officiellement associé à Éric Zemmour à qui il a prêté allégeance, se focalise sur l’Islam, et affiche fièrement ses sympathies pour les franges de l’extrême-droite religieuse israélienne les plus fanatiques.

Dans cette tribune, on apprend que “la naissance de Palatinu et le discours assumé et abondamment relayé de Nicolas Battini a été pour nous, nationalistes bretons, une bouffée d’air frais !”. Nous, militants du Parti National Breton, seule formation nationaliste bretonne active – car le nationalisme breton n’est pas une littérature, mais un engagement pratique – n’avons pas accordé d’attention particulière à cette association politique étrangère. Tout au plus, lorsqu’a été annoncé sur les réseaux sociaux français son appui au parti d’Éric Zemmour, avons-nous compris qu’il s’agissait d’une association essentiellement liée à l’extrême-droite hexagonale. Partant, là a commencé et s’est arrêté notre intérêt, comme de bien entendu pour des nationalistes bretons en lutte contre l’Occupation.

On apprend ensuite, à en croire la tribune, que cette association régionaliste corse rend “possible d’être nationaliste breton, corse, basque, catalan sans être soit un invraisemblable woke (c’est le cas en Bretagne) soit un nostalgique du nationalisme très à droite de l’entre-deux guerres et sa cohorte de textes et de concepts totalement hors du temps”. On ne voit pas de quel “nationalisme breton woke” il peut bien s’agir, car il n’existe rien de tel. Cette affirmation, récurrente dans les textes d’une grande confusion publiés par Breizh Info sur le nationalisme breton, n’a aucune substance. S’il existait un indépendantisme d’extrême-gauche, il est aujourd’hui cantonné au petit parti marxiste-léniniste “Douar ha Frankiz” qui n’est pas, par définition, nationaliste. Quant aux “nostalgiques du nationalisme très à droite de l’entre-deux guerres”, nous devrons attendre de prendre connaissance de leurs “textes” et “concepts totalement hors du temps” pour juger de quoi il est question.

Puisque le politique consiste à désigner l’ennemi, l’auteur en vient aux faits. “Enfin, quelqu’un dans nos rangs a vu le danger que représentent l’immigration et l’islam. Danger démographique, religieux, politique, terroriste”. Nous ne savons pas de quels “rangs” il est question, mais cela résume à peu près l’impasse permanente du régionalisme, ici dans son versant d’extrême-droite au sens le plus hexagonal du mot. Le “nous” définit tous ceux qui se préoccupe d’islamisme. L’ennui, d’un point de vue national breton, c’est que l’ensemble du spectre politique français dénonce l’islamisme, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, et que cela n’offre aucun axe pratique de nature à aider les Bretons à bâtir leur nécessaire émancipation nationale.

Si l’ennemi (prioritaire) était l’islamisme, voire l’islam ou les musulmans, comme l’affirme le média Breizh Info dans cette tribune, le combat contre l’État français n’aurait plus de pertinence ou d’actualité. Bien au contraire, selon cette logique, il faudrait bâtir une unité contre l’islam et les musulmans, avec tout ce qui peut sembler s’y opposer, surtout au plan hexagonal. C’est certainement ce qu’aimerait entendre de la part des Bretons l’extrême-droite française, viscéralement anti-ethnique et stato-impérialiste : des propos de ralliement inconditionnel. Cette analyse est logique pour le régionalisme, qui, peu importe les époques, a toujours une urgence dans la poche pour légitimer l’alignement de la Bretagne sur la société française. La Bretagne, selon lui, ne peut et ne doit être qu’une subdivision de la société française et réagir à son diapason, moyennant quelques artifices folkloriques.

Le nationalisme breton, qui pense l’histoire en termes politiques, c’est-à-dire étatiques, n’a rien de commun avec les divagations régionalistes, de gauche ou de droite, et récuse avec force cette sommation à l’alignement permanent sur une société étrangère. L’ennemi, pour la nation bretonne, ne peut être que l’État qui prive notre nation de sa liberté en l’empêchant de former son propre état : l’État français. Il n’y a pas de politique sans état et aujourd’hui, en Bretagne, l’État français dispose du pouvoir suprême qui fait l’histoire et dicte leur conduite aux Bretons. Armée, police, justice, impôts, médias, éducation, tout, sans exception, est entre ses mains. Pas entre celles des musulmans ou des islamistes.

Rappelons le point de vue national breton : l’immigration de masse, et l’islamisation culturelle qu’elle porte, n’est que le résultat d’une politique d’état, elle-même rendue possible par l’occupation de la Bretagne par l’État français qui la pense et l’organise. Le nationalisme breton, depuis ses origines, s’est construit en opposition aux principes de la révolution française qui ont construit la nation française moderne. Leur antagonisme est irréductible. La révolution française, avec son stato-impérialisme, a poursuivi dès 1789 une politique de destruction des institutions nationales de la Bretagne, ainsi que l’anéantissement de son identité ethnique. Le nationalisme breton, c’est depuis l’origine la résistance ethnique consciente à ce processus impérialiste. 

Jamais la nation française ne pensera la sortie de la révolution française, toutes les tentatives en ce sens ont échoué car c’est une impossibilité dans les termes. Le régionalisme, rêverie sortie de ce tonneau réformiste, est une contradiction interne du système français hérité de 1789. Les nationalistes bretons, eux, ne confondent pas causes et conséquences historiques : Paris, et son état, est l’ennemi, et la sauvegarde de la nation bretonne est indissociable de la fin de l’occupation française. Cela implique de lutter pour la reformation de l’État breton, préalable à la renaissance ethnique de la Bretagne. 

Cette tribune n’est pas produite par un “nationaliste breton”, mais par un auteur satellisé par l’extrême-droite hexagonale. Il suffit encore de citer : “Et nos alliés dans cette bataille qui s’annonce ne sera sûrement pas la coalition des indigénistes mais… les nationalistes français. Là encore, ça ne nous fait pas plaisir, mais c’est la réalité crue”. Rien de moins ! Patience, Bretons, et nous apprendrons bientôt les vertus de la Marseillaise et de l’occupation française, nouveaux piliers de ce bien étrange “nationalisme breton”.

En consultant Breizh Info, on relève que le discours de Mathurin Le Breton brode sans cesse sur ce thème. Le 25 juillet 2023, on lit : “Nous restons donc des indépendantistes bretons mais nous devrons forcément composer demain avec les forces nationalistes françaises pour sauver notre peuple de la victoire du camp du Grand Remplacement. C’est terrible, mais c’est ainsi. Et c’est la dure voix de la sagesse et du réel sur le romantisme”. Décidément, cet “indépendantisme” qui dénonce l’indépendantisme à longueur de tribune est un bien curieux objet politique, aussi unique que son auteur. 

S’y ajoutent des erreurs grossières de taxonomie, l’Emsav étant confondu avec le “mouvement breton”, ce qui permet d’amalgamer l’UDB, organisation d’extrême-gauche régionaliste qui s’inscrit officiellement dans le cadre du fédéralisme français, avec le “nationalisme breton”, qui, pour l’auteur, n’a visiblement pas d’organisation, de militants, ni de programme. Ainsi apprend-on que “les formations nationalistes auraient un boulevard en demandant la priorité au logement pour les Bretons. Malheureusement, par gauchisme viscéral celles-ci ont réussi à faire de ce boulevard une impasse”.

Mathurin Le Breton gagnerait à regarder sur les murs de Bretagne qui, depuis deux ans, ont vu fleurir nos 20,000 affiches, celles du seul parti nationaliste breton en action aujourd’hui.

Il aurait également pu lire nos exigences immédiates qui affirment :

7 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

8 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

9 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

10 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe. 

Breizh Info est-il si peu informé de la vie politique bretonne qu’il ne connaisse pas l’action du PNB qui dément en tout ses affirmations, objectivement dénuées de fondement ?

Parlons clairement : les interminables tribunes de ce média contre un nationalisme breton “woke” qui n’existe pas dans lesquelles s’enchaînent les lamentations sur l’absence de formations nationalistes opposées à l’immigration, qui pourtant existent à travers le Parti National Breton, ne relèvent pas de l’erreur d’analyse, mais de la nuisance organisée. Le but est de détourner les Bretons de l’alternative nationale pour les rabattre vers l’extrême-droite française et ses succursales, peu importe lesquelles, ce que ces tribunes à répétition martèlent explicitement, mois après mois. Cela s’appelle le loyalisme français, l’impasse qui a mené la Bretagne à la ruine depuis la révolution française, et nous ne sommes pas dupes. 

578 : le roi Waroch et ses troupes bretonnes libèrent le Pays Vannetais de l’occupation des barbares francs

578 : le roi Waroch et ses troupes bretonnes libèrent le Pays Vannetais de l’occupation des barbares francs

[ISTOR BREIZH] Aux alentours de 550 après JC, les troupes bretonnes poursuivent leur campagne de libération de l’Armorique du joug temporaire des envahisseurs francs. Le roi du Vannetais, Waroc, va porter des coups décisifs aux soudards de Chilpéric et Gontran qui tentent en vain de conquérir les territoires celtes protégés par l’armée bretonne.

Cette résistance des Bretons est considérablement renforcée par l’arrivée importante de renforts militaires de Grande-Bretagne. L’ambition de Waroc est de poursuivre toujours plus à l’est la reconquête des territoires perdus par les Celtes depuis le début des invasions barbares, à la fin du siècle précédent.

Soldats bretons, VIème siècle

Peu avant 578, l’armée bretonne s’empare de Vannes et s’installe enfin dans le Vannetais oriental, débarrassé de l’occupation franque. Profondément ébranlé par cette progression rapide des libérateurs bretons, le Franc Chilpéric rassemble en 578 un ramassis de soudards pour tenter de reprendre la violente campagne de colonisation et de francisation de l’Armorique.

Rempart de Vannes, IIIème siècle 

La confrontation tourne rapidement au désastre pour l’envahisseur. Par une habile attaque de nuit, le roi Waroc massacre une large partie des mercenaires saxons à la solde de Chilpéric venus piller et tuer les populations bretonnes. Pour concentrer toujours plus de forces, le roi breton fait mine de vouloir négocier et cède Vannes à l’envahisseur. À peine le gros de l’armée franque repartie face à cet apparent recul, Waroc reprend avec succès l’offensive et envoie l’évêque Eunius négocier les termes de la reddition des barbares.

Humilié, Chilpéric exile Eunius. Puis en 579, Chilpéric envoie le duc Beppolène à la tête d’une nouvelle armée d’égorgeurs semer le chaos dans le Vannetais fermement libéré par les troupes bretonnes. C’est un échec sanglant pour les barbares francs. Poussant son avantage militaire, Waroc poursuit sa campagne de libération jusqu’à Rennes. De nouvelles expéditions seront menées par les barbares en 585 et 590 contre les Bretons qui solderont par de terribles échecs.

L’expédition de 590, dirigée par un duc franc, Ebrachaire, parvint jusqu’à Vannes avant d’être brutalement repoussée par les forces bretonnes. C’est la fin du joug franc dans le Vannetais, désormais pleinement intégrés aux royaumes libres de Bretagne.

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Réaction du PNB suite à la démission de Leo Varadkar, premier ministre d’Irlande

Réaction du PNB suite à la démission de Leo Varadkar, premier ministre d’Irlande

[PNB] Le Parti National Breton apprend avec satisfaction la démission du premier ministre d’Irlande, Leo Varadkar. La politique viscéralement anti-irlandaise de Mr Varadkar a mené l’Irlande au bord du précipice.

Le PNB espère un changement radical de cap pour le grand peuple irlandais. 

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

The Breton National Party is delighted to learn of the resignation of Ireland’s Prime Minister, Leo Varadkar. Mr Varadkar’s viscerally anti-Irish policies have brought Ireland to the brink of collapse.

The BNP hopes for a radical change of course for the great Irish people.

The Grand Council of the Breton National Party

 

Ni Kiev, ni Paris : indépendance & neutralité !

Ni Kiev, ni Paris : indépendance & neutralité !

[PNB] Face au danger que représentent les projets de guerre français en Ukraine, le PNB lance une campagne pour alerter les Bretons. Les militants nationalistes ont entrepris la distribution de tracts afin d’appeler la nation bretonne à la mobilisation contre le bellicisme français.

Le peuple breton constate avec une légitime inquiétude l’escalade alimentée par l’impérialisme français en Ukraine. En menant une politique délibérément déstabilisatrice en Europe de l’Est, les intérêts français tentent de prendre la tête du bloc des états européens alignés sur la puissance impérialiste américaine en crise.

La Bretagne, comme nation sous occupation française, se doit, à travers son parti d’avant-garde, de protéger ses intérêts nationaux en rappelant que le seul état objectivement ennemi de notre patrie est l’Etat français. Ce n’est pas Moscou qui constitue une menace naturelle pour la nation bretonne, mais Paris, tête de la puissance occupante.

En alimentant sciemment l’escalade contre un état nucléaire comme la Russie, la Bretagne se retrouve directement exposée aux menées agressives de la France en Ukraine. Brest, en particulier, peut, comme port illégament occupée par la marine française, être la cible d’une risposte nucléaire russe. Pour notre sécurité, il n’y a qu’un seul chemin : neutralité et indépendance de la Bretagne !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Послание Бретонской национальной партии русскому народу

Уважаемые граждане России,

Бретонская национальная партия, представляющая интересы бретонского народа, хочет выразить свое стремление к обретению независимости Бретани.

Мы – отдельный народ со своей культурой, языком и историей, и мы стремимся к свободе и самоопределению.

Мы также хотели бы подчеркнуть, что бретонцы отказываются принимать участие в войне против России на Украине вместе с французами.

Мы не поддерживаем действия Франции на Украине. Мы мирная нация и не хотим быть вовлеченными в международные конфликты.

Бретонская национальная партия, благодаря независимости, хочет провозгласить нейтралитет Бретани и добиваться восстановления мира в Европе.

Да здравствует дружба между Россией и Бретанью, да здравствует дружба между свободными народами!

Политическое руководство Бретонской национальной партии

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Chers citoyens russes,

le Parti National Breton, représentant les intérêts du peuple breton, souhaite exprimer son désir d’indépendance de la Bretagne.

Nous sommes un peuple distinct, avec notre culture, notre langue et notre histoire, et nous aspirons à la liberté et à l’autodétermination.

Nous souhaitons également souligner que les Bretons refusent de participer à la guerre contre la Russie en Ukraine aux côtés des Français.

Nous ne soutenons pas les actions de la France en Ukraine. Nous sommes une nation pacifique et nous ne voulons pas être impliqués dans des conflits internationaux.

Le Parti National Breton, grâce à l’indépendance, veut proclamer la neutralité de la Bretagne et œuvrer pour le rétablissement de la paix en Europe.

Vive l’amitié entre la Russie et la Bretagne, vive l’amitié entre les peuples libres !

Direction politique du Parti National Breton

Email : [email protected]

 

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Dear Russian citizens,

The Breton National Party, representing the interests of the Breton people, wishes to express its desire for the independence of Brittany.

We are a distinct people, with our own culture, language and history, and we aspire to freedom and self-determination.

We also wish to emphasize that Bretons refuse to participate in the war against Russia in Ukraine alongside the French.

We do not support France’s actions in Ukraine. We are a peaceful nation and we do not want to be involved in international conflicts.

The Breton National Party, thanks to independence, wants to proclaim Brittany’s neutrality and work for the restoration of peace in Europe.

Long live friendship between Russia and Brittany, long live friendship between free peoples!

Political leadership of the Breton National Party

Email : [email protected]

Mouezh ar Vroad n°14 est sorti ! (Mois de Mars)

Mouezh ar Vroad n°14 est sorti ! (Mois de Mars)

[PODCAST] Et voici le 14e numéro de Mouezh Ar Vroad ! Aujourd’hui nous parlons d’un sujet particulièrement d’actualité, l’agriculture et le monde paysan en Bretagne. Comme toujours, ce n’est qu’une petite fenêtre ouverte sur le sujet, si l’on discutait de tout ce qu’il y aurait à dire, on en aurait pour des heures voir des jours, mais le Parti National Breton est de tout cœur avec les agriculteurs. Bonne écoute !
Au programme :
00:00 – Générique
00:41 – Introduction
01:38 – Actualités : Le mouvement des agriculteurs
16:25 – Pause musicale : “Droukkinig Nevenoe” (Barzaz Breiz – Dazont)
19:56 – Politique : Causes et solutions de la misère agricole
44:41 – Pause musicale : “Madame la Colline” (Gilles Servat)
51:42 – Culture : Remembrements et Johnnies
1:02:12 – Conclusion
1:04:14 – Générique