[PNB] Le Parti National Breton réagit après l’odieuse glorification du régime génocidaire soviétique par la municipalité socialo-communiste de Brest, le lundi 18 septembre 2023. Le PNB a alerté les autorités ukrainiennes et polonaises afin qu’elles soient informées du négationnisme pro-soviétique qui continue de sévir en toute impunité en Bretagne, et qu’elles émettent une protestation auprès du gouvernement français afin de faire cesser ces ignobles provocations.
Copie du courrier transmis à son Excellence Vadym Omelchenko, ambassadeur d’Ukraine en France :
Nantes, Bretagne, September 20, 2023
From: Ewen Keranflec’h, National Secretary of the Breton National Party
To: Vadym Omelchenko, Ukrainian Ambassador to France
Your Excellency,
We are writing to draw your attention to the serious incident that took place on Monday, September 18, 2023, in Brest, Brittany, during commemorations organized by the socialist-communist municipality headed by Mayor François CUILLANDRE to mark the 79th anniversary of the surrender of the city’s German garrison in 1944.
On the orders of elected Communist politician Éric GUELLEC, and echoing the propaganda of the criminal Soviet regime, which presents the USSR as having “liberated” Europe, the Brest municipality flew the flag of the Soviet Union (see photo attached). This gesture, which no official protocol justifies since the USSR disappeared 32 years ago, is a deliberate provocation and an insult to the millions of victims of the Soviet system which, for 70 years, occupied the Ukraine and committed countless crimes against the Ukrainian people, the most terrible of which was the Holodomor.
In Brittany, too, the Communist Party’s assassins committed numerous crimes, documented but never brought to trial. For example, the murder of Abbé Per-Vari Lec’hvien, priest of Quemper-Guézennec, on August 10, 1944, or those of the young girls Jeannette Laz and Marie-Jeanne Noac’h, buried alive the same day, in Scaër. Even today in Brittany, the very memory of these crimes is actively fought by agents of the Communist Party and their allies on the French left, nostalgic for Bolshevism, as evidenced by the arson attack in 2019 on the chapel of Koad Kev (see attachment), in Scrignac, where Yann-Vari Perrot, a Breton Catholic priest murdered by the Communist Party on December 12, 1943 for denouncing the USSR’s Katyn crime from the pulpit, lies buried.
Red revisionism continues to dominate with impunity in Brittany, thanks to the decisive support of the French authorities, which have included a significant Marxist component since 1944. In 2023, when many Ukrainians have found refuge in Europe, particularly in Poland, but also in Brittany, including Brest, the glorification of the Soviet genocidal regime that perpetrated the Holodomor is an odious attack on the memory of the victims and a further trauma inflicted on a community in great distress. The aim, on the part of the Marxist brigands who indulge in it, is not only to justify these genocidal acts, but above all to pave the way for their repetition.
We respectfully ask Your Excellency to use the means at his disposal to send a protest to the French authorities to put an end to such actions in Brest and elsewhere in Brittany.
Please accept, Mr. Ambassador, the expression of our sincere gratitude,
E. Keranflec’h, PNB National Secretary
Traduction française :
Nantes, Bretagne, le 20 septembre 2023
De : Ewen Keranflec’h, secrétaire national du Parti National Breton
À : Vadym Omelchenko, ambassadeur d’Ukraine en France
Votre Excellence,
Nous vous écrivons pour attirer votre attention sur le grave incident qui s’est déroulé le lundi 18 septembre 2023, à Brest, en Bretagne, lors de commémorations organisées par la municipalité socialo-communiste dirigée par Monsieur François CUILLANDRE, maire, pour célébrer les 79 ans de la capitulation de la garnison allemande de la ville, en 1944.
Sur ordre de l’élu communiste Éric GUELLEC, et reprenant à son compte la propagande du régime criminel soviétique qui présente l’URSS comme ayant “libéré” l’Europe, la municipalité de Brest a fait flotter le drapeau de l’Union Soviétique (voir photo en pièce jointe). Ce geste, qu’aucun protocole officiel ne justifie, puisque l’URSS a disparu il y a désormais 32 ans, est une provocation délibérée et une insulte aux millions de victimes du système soviétique qui, pendant 70 ans, a occupé l’Ukraine et commis d’innombrables crimes contre le Peuple Ukrainien, dont le plus terrible, l’Holodomor.
En Bretagne aussi, les assassins du Parti communiste ont commis des crimes abondants, documentés et jamais jugés. Ainsi, par exemple, du meurtre de l’Abbé Per-Vari Lec’hvien, prêtre de Quemper-Guézennec, le 10 août 1944, ou de ceux des jeunes filles Jeannette Laz et Marie-Jeanne Noac’h, enterrées vivantes le même jour, à Scaër. Encore aujourd’hui en Bretagne, la mémoire même de ces crimes est activement combattue par les agents du Parti communiste, de leurs alliés de la gauche française, nostalgiques du bolchevisme, comme le prouve l’incendie criminel en 2019 de la chapelle de Koad Kev (voir pièce jointe), à Scrignac, où repose Yann-Vari Perrot, prêtre catholique breton assassiné par le Parti communiste le 12 décembre 1943 pour avoir dénoncé en chaire le crime de Katyn commis par l’URSS.
Le négationnisme rouge continue de dominer en toute impunité en Bretagne grâce à l’appui décisif des autorités françaises qui, depuis 1944, comportent une importante composante marxiste. En 2023, alors que de nombreux Ukrainiens ont trouvé refuge en Europe, notamment en Pologne, mais aussi en Bretagne, y compris à Brest, la glorification du régime génocidaire soviétique ayant perpétré l’Holodomor est une attaque odieuse contre la mémoire des victimes et un traumatisme supplémentaire infligé à une communauté en grande détresse. Le but, de la part des brigands marxistes qui s’y livrent, est non seulement de justifier ces actes génocidaires, mais surtout de préparer leur réitération.
Nous sollicitons respectueusement Votre Excellence pour qu’elle utilise les moyens à sa disposition afin qu’une protestation soit transmise aux autorités françaises afin que cessent de tels agissements à Brest et partout ailleurs en Bretagne.
Veuillez recevoir, Monsieur l’Ambassadeur, l’expression de notre sincère gratitude,
E. Keranflec’h, Secrétaire National du PNB