Saint-Brévin, Carhaix, Pont l’Abbé : malgré une formidable couverture médiatique, la gauche française ne mobilise que quelques centaines de septuagénaires !

Saint-Brévin, Carhaix, Pont l’Abbé : malgré une formidable couverture médiatique, la gauche française ne mobilise que quelques centaines de septuagénaires !

[PNB] Cette semaine, la gauche française tentait de montrer qu’elle pouvait mobiliser les masses bretonnes sous sa direction.

Premièrement à Saint-Brévin, dans le Pays Nantais, en faveur de l’intensification de l’immigration afro-islamique en Bretagne. A peine 300 personnes se sont déplacées, pour une moyenne d’âge de 70 ans.

Deuxièmement à Carhaix, où le journal de gauche “Le Poher” prétendait avoir été l’objet de menaces suite à son militantisme radical en faveur de l’implantation de colons d’Afrique à Callac, en concertation avec les millionnaires parisiens Cohen. Environ 200 personnes se sont réunies, pour une moyenne d’âge de 70 ans, chiffre miraculeusement triplé par Ouest-France, corporatisme oblige en faveur du “Poher”.

Troisièmement à Pont l’Abbé en essayant de récupérer la colère des pêcheurs sacrifiés par le régime de Paris.

Le résultat est indiscutable : la gauche française est exsangue en Bretagne. Elle n’a ni énergie, ni jeunesse, et ne peut pas mobiliser en masse. En dépit de l’énorme écho donné en amont à ces actions par l’ensemble du bloc médiatique contrôlé par la gauche française, seuls les agents des partis, associations et syndicats qui en sont membres ont fait le déplacement. Le peuple breton brille par son absence. Ce constat est empirique et corroboré par les photos prises sur place par les médias précités qui, pourtant, s’assurent des meilleurs cadrages possibles pour donner le change.

Après deux siècles d’engagement, la gauche française est démographiquement vaincue en Bretagne, désormais beaucoup trop vieille et marginale pour constituer une force sociale capable de structurer le futur politique de notre pays. Le Peuple Breton a rompu avec l’ensemble des partis et organisations de la gauche française, en dépit de leur appel à l’action commune. 

Que l’on ne s’y trompe pas, l’hyper agitation médiatique à laquelle nous assistons de la part d’une poignée de propagandistes rouges occupant radios et journaux ne permet, au mieux, que de créer un village Potemkine. Cette désertion est le fait politique majeur de notre époque.

Une nouvelle ère commence en Bretagne, sans les héritiers des égorgeurs de la révolution française.

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Le Parti National Breton se félicite du boycott “Gwenn ha Du” du second tour des élections françaises auquel appelle Christian Troadec

Le Parti National Breton se félicite du boycott “Gwenn ha Du” du second tour des élections françaises auquel appelle Christian Troadec

[PNB] Le Parti National Breton acte avec satisfaction de l’intention de Christian Troadec, maire de Carhaix, de marquer son refus du simulacre électoral français en Bretagne en votant “Gwenn ha Du” pour le second tour des élections présidentielles hexagonales.

Ce dernier a en effet déclaré (Ouest-France) :

« Un bulletin “Gwenn-ha-Du” pour plus de Bretagne et la reconnaissance de ses droits : reconnaissance officielle de la langue bretonne, réunification de la Bretagne, statut d’autonomie pour notre région avec pouvoir législatif et réglementaire, et prise de compétences permettant de mieux répondre au quotidien et à la vie des gens : pouvoir d’achat, logement, maintien de services publics de proximité, droit à la santé pour tous, plan de développement pour une Bretagne autonome énergétiquement avec 100 % d’énergies renouvelables d’ici quinze ans… Aucun des deux candidats actuellement en lice au second tour de la Présidentielle n’apporte quoi que ce soit au peuple breton sur ces questions fondamentales. Je voterai donc “Gwenn-ha-Du”. » 

En déclarant vouloir voter Gwenn-ha-Du, M. Troadec s’inscrit dans la démarche patriotique bretonne à laquelle appelle le Parti National Breton depuis le début des élections présidentielles françaises : pas une voix bretonne pour l’Etat Français.

La question qui se pose à la nation bretonne n’est pas l’identité du fantoche occupant fictivement le Palais de l’Elysée, mais celle de la rupture définitive avec l’Etat Français, épave vouée à l’effondrement financier et à la balkanisation ethno-religieuse.

La seule et unique chance pour la nation bretonne, c’est l’indépendance et la proclamation de l’Etat Breton : Breizh.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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