Le peuple breton affronte une véritable colonisation de peuplement, au point où, en 2022, seulement 70% des quelques 4,8 millions d’habitants en Bretagne sont des Bretons. Cette colonisation de peuplement revêt deux dimensions :
- par le haut, avec la prédation de la bourgeoisie française sur le littoral,
- par le bas, avec l’immigration extra-européenne, organisée par l’Etat Français, qui menace à moyen terme l’existence même de notre peuple sur sa terre
C’est dans ce contexte d’évincement territorial du peuple breton que la crise du logement en Bretagne devient paroxystique, avec une envolée des prix de l’immobilier privé et une priorité des migrants extra-européens pour l’accès au logement social, comme à Saint-Nazaire où plus de 70% des individus inscrits sur les listes d’attente sont des allogènes candidats à la colonisation de notre pays.
La conseillère sociale-bourgeoise Aziliz Gouez (UDB) veut aider la bourgeoisie française à s’emparer des terres bretonnes au rythme de 400,000 colons d’ici 2040
Face à cette crise, les élus socialistes-bourgeois de l’UDB au Conseil Régional de Bretagne assurent qu’il faut accueillir “tout le monde” mais “dans de bonnes conditions”, bourgeois français en tête (lire ici) !
Cette position est parfaitement conforme avec la conception purement matérialiste et utilitariste de la Bretagne qu’ont ces promoteurs immobiliers de gauche qui proposent au peuple breton, moyennant des aménagements de détail, de servir d’aides à domicile et de laquais accueillants aux 400,000 candidats à la colonisation que l’Etat Français entend installer en Bretagne d’ici 2040.
Le Parti National Breton quant à lui a une conception radicalement différente : la terre de Bretagne n’est pas une colonie ou un hôtel, ni un ensemble de lots mis à la vente au plus offrant, c’est un pays qui appartient au peuple breton et à lui exclusivement. Le peuple breton n’a pas à “s’adapter” à la colonisation ou à l’impérialisme de la bourgeoisie française, il doit s’en émanciper intégralement en remportant la lutte de libération nationale.
Sous couvert de bons sentiments cosmopolites, les conseillers régionaux de l’UDB se font une nouvelle fois les facilitateurs de la bourgeoisie française en n’opposant aucune résistance sérieuse et articulée à la colonisation de peuplement.
Le Parti National Breton, par sa conception nationale de la Bretagne, engage pour sa part une lutte de rupture avec l’état bourgeois français et son projet colonial en Bretagne. Il veut restaurer l’Etat Breton et sa pleine souveraineté, condition essentielle de la défense les droits nationaux du peuple breton en Bretagne contre la prédation de la bourgeoisie française dont il est la cible.
Contrairement aux politiciens de la bourgeoisie franco-bretonne, le Parti National Breton n’entend pas “accueillir tout le monde” pour satisfaire les partisans du colonialisme français, mais bien expulser les étrangers indésirables qui transforment la Bretagne en colonie de peuplement et évincent le peuple breton de sa terre. Il n’entend pas “aménager” la perte de la dignité de son peuple, mais la raffermir en redonnant la terre de Bretagne aux Bretons.
C’est pour cela que le Parti National Breton, dans ses 12 exigences d’application immédiate, exige :
6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.
7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.
8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.
9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.
Le Parti National Breton rappelle que la bourgeoisie franco-bretonne, notamment socialiste, sera toujours solidaire de la bourgeoisie française et qu’elle évitera constamment de nuire sérieusement à ses intérêts. La jactance régionalisante et réformiste de cette bourgeoisie franco-bretonne est le paravent de cette alliance de classe contre le peuple breton pour l’empêcher de s’émanciper de la tutelle française.
Par son slogan “La Bretagne aux Bretons”, le Parti National Breton pose l’affrontement entre le peuple breton et la bourgeoisie française dans sa dimension nationale et décoloniale. Il clarifie la situation politique et démasque l’opposition factice à la présence française en Bretagne dont elle est le produit.
Que ce soit les bourgeois venus de France ou leurs esclaves de fraîche importation, le Parti National Breton les chassera sans ménagement pour rendre la Bretagne aux Bretons.
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
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