A Nantes, le bilan effrayant de l’Etat Français et de ses partis politiques en matière de crime ne peut plus être dissimulé, même pas par la presse d’état loyaliste.
Toutefois, cette presse d’état impose la censure de guerre sur l’origine de la catastrophe : l’immigration extra-européenne, très majoritairement afro-musulmane, organisée par Paris en Bretagne.
Le Télégramme :
Cent cinquante-six fusillades recensées en trois ans. À Nantes, le trafic de stupéfiants génère de tels profits, et la concurrence est telle, que les places de deal s’arrachent désormais à coups de kalachnikov. Les pouvoirs publics tentent de briser cette dynamique mortifère.
Fin septembre, dans l’Ouest nantais. En ce mercredi après-midi, des ados tapent la balle sur un terrain de football pour leur entraînement hebdomadaire. Soudain, un tac-tac-tac-tac retentit dans les quartiers avoisinants. Comme un seul homme, l’équipe se fige. Difficile d’être catégorique, mais tous pensent à un tir de pistolet-mitrailleur. Un bruit qui deviendrait presque familier aux Dervallières, au Breil ou à Bellevue*, spots emblématiques du trafic de stupéfiants à Nantes.
*Enclaves afro-musulmanes formées par la politique de repeuplement imposée par l’Etat Français et le Parti Socialiste.
« Des coups de feu ? J’en entends au moins deux fois par mois », témoigne ce Nantais habitant à proximité de l’un de ces quartiers, qui assure « faire la différence entre un coup de feu de pistolet, avec son bruit sec, et un tir de feu d’artifice », sport devenu national, le soir venu.
« Ça s’est accéléré depuis deux ans, confie cette habitante de Bellevue, qui affirme ne plus vraiment y prêter attention. C’est le soir mais aussi en journée… » Comme ce mercredi, « jour des enfants », en plein après-midi, dans le quartier du Breil, au nord-ouest de Nantes, fin septembre dernier. Un individu descend d’une voiture et tire en rafale en direction de trois jeunes adultes assis sur un banc. Les trois seront blessés, dont l’un très grièvement. Depuis 2019, 156 fusillades ont été recensées dans la cité des ducs*, faisant cinq morts et une cinquantaine de blessés.
*Cité des Ducs de Bretagne, précision sciemment effacée par la propagande française pour détruire l’identité bretonne de Nantes.
Le phénomène se serait ancré ici, il y a cinq ans. La marque caractéristique d’un trafic de stupéfiants arrivé à un stade très avancé ? Le lot réservé à toute ville qui franchit le cap des 200 000 à 300 000 habitants ? C’est plutôt oui aux deux questions. Le patron de la PJ nantaise, le commissaire divisionnaire Marc Perrot, pointe aussi d’autres facteurs. Un : l’irruption d’une multitude d’équipes, « plus jeunes, peu réfléchies, impulsives, attirées par l’argent facile, dans un secteur devenu archi concurrentiel », et « un accès très facilité aux armes ». Deux : une « balkanisation » du trafic. « Avant, trois ou quatre équipes tenaient le marché, rapporte Marc Perrot. Aujourd’hui, on ne les compte plus. Certaines sont affiliées aux bandes historiques. Mais tout est brouillé. Dans un même quartier, on peut trouver des membres appartenant à plusieurs clans… et qui peuvent en changer au gré des stratégies et opportunités. »
Aucune mention de la véritable cause par la Police Judiciaire hexagonale : l’immigration non-blanche, africaine et musulmane.
Dans ce milieu, pas de tribunal de commerce pour trancher un litige commercial. Les enjeux financiers sont également devenus tels que les différends se règlent à coups de feu. Soit pour prendre une part de marché – un point de deal -, soit pour le défendre.
Impossible, pour autant, de comparer Nantes à Marseille, qui comptait 15 morts dans des règlements de comptes pour les seuls huit premiers mois de 2021 (un à Nantes).
« Et, à Nantes, on est davantage sur des violences armées que sur des règlements de comptes, relève Marc Perrot. Il y a peu de préparation. C’est souvent de la réaction à chaud, ou de la surenchère. » Les tireurs sont de plus en plus jeunes : 17 ans pour le plus jeune interpellé. « Ils ne savent pas se servir des armes qu’ils ont entre les mains (…). Ce n’est pas comme dans Gomorra (une série TV sur la mafia napolitaine ; NDLR). On ne leur dit pas : tiens voilà un flingue, va buter untel. Non, un de leurs chefs leur en donne en leur disant qu’ils sont menacés et que, s’il se passe un truc, ils devront s’en servir », rapporte une autre source policière. Résultat : ça défouraille à tout va, avec de très nombreuses balles perdues. « Au Breil, en septembre dernier, on en a retrouvé jusqu’en haut des arbres », rapporte Marc Perrot.
Le trafic a pris la ville, et tout retour en arrière semble jusqu’à présent vain. Même si des équipes tombent, si « chaque jour, les services de police nantais interpellent cinq à six personnes », si de nouveaux moyens ont été mis en œuvre et commencent à porter leurs fruits, le nombre de points de deal recensés à Nantes – une soixantaine – reste désespérément « stable ».
Sur le plan des règlements de comptes, la PJ a fait les siens. Depuis 2019, elle a interpellé 124 personnes, dont 55 ont été écrouées. Et 125 armes à feu ont été saisies, dont une majorité d’armes de calibre 9 mm et 7,62 mm (munitions de fusil d’assaut). À ce jour, une trentaine d’enquêtes sont toujours en cours.
Le Parti National Breton entend régler à la source la catastrophe sécuritaire en soldant la question ethnique générée par l’immigration de remplacement mise en place par l’Etat Français.
Le Parti National Breton restaurera l’ordre breton en Bretagne en procédant à une expulsion de masse de tous les étrangers indésirables vers leur état d’origine : la France.
Tous les Bretons qui veulent empêcher l’Etat Français de détruire la Bretagne par sa politique sauvage de remplacement ethnique doivent immédiatement rejoindre ses rangs.
Breizh Atav !
Le Kuzul Meur du Parti National Breton
Pour rejoindre le PNB : [email protected]