Nantes : un homme de 66 ans assassiné gratuitement en pleine rue, la gauche française stop ou encore ?

Nantes : un homme de 66 ans assassiné gratuitement en pleine rue, la gauche française stop ou encore ?

[PNB] L’insécurité est hors de contrôle à Nantes. La municipalité franco-socialiste dirigée par Johanna Rolland, en organisant l’immigration de remplacement à grande échelle pour le compte de l’Etat français, a livré la capitale bretonne à tous les maux qui l’accompagnent : meurtres gratuits, guerre des gangs ethniques pour le contrôle de la drogue, viols de Blanches en pleine rue, vols, émeutes raciales.

Cette fois-ci, un homme de 66 ans a été assassiné en pleine rue.

Ouest-France :

Un mineur de 17 ans, qui habite chez ses parents, a été mis en examen pour meurtre, ce jeudi 15 septembre. Il est accusé d’avoir violemment frappé un homme de 66 ans, à Treillières, au nord de Nantes, le 28 août. La victime est décédée d’un hématome cérébral le 8 septembre.

Aucun changement radical n’aura lieu dans le cadre institutionnel français. Il faut une rupture idéologique, étatique et politique qui permette à une direction révolutionnaire de libérer la nation bretonne des menaces existentielles que l’Etat français fait peser sur elle.

Le Parti National Breton défend le principe d’automaticité de la peine de mort par pendaison dans les cas exposés dans son programme, sans possibilité d’être commuée :

  • Faire ou tenter de faire la guerre ou être complice de la guerre contre le gouvernement breton
  • Trahison au profit d’une puissance étrangère ou d’un groupe hostile à la nation bretonne et à son gouvernement
  • Pénétrer illégalement sur le territoire national breton
  • Organiser l’infiltration illégale du territoire national breton au profit de ressortissants étrangers
  • Désertion
  • Piraterie mettant en danger la vie d’autrui
  • Complicité de mutinerie
  • Parjure entraînant l’exécution d’une personne innocente
  • Meurtre commis sur le territoire breton ou sur la personne d’un ressortissant breton
  • Provocation au suicide
  • Tentative de meurtre commise par un prisonnier purgeant une peine de prison à vie
  • Enlèvement en vue de commettre un meurtre
  • Vol qualifié entraînant la mort d’une personne
  • Viol
  • Enlèvement d’enfant
  • Détention de drogue (500 grammes de cannabis, 15 grammes pour tout autre drogue)

Il est de la ferme conviction du Parti National Breton que les premières centaines d’exécutions entraîneront une réduction drastique des activités criminelles, faute de criminels pour les poursuivre, ceux-ci ayant été éliminés.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Nouvelle tentative de meurtre pour une cigarette à Nantes : l’Etat français installe l’insécurité et le crime en Bretagne !

Nouvelle tentative de meurtre pour une cigarette à Nantes : l’Etat français installe l’insécurité et le crime en Bretagne !

[PNB] La capitale bretonne a été une nouvelle fois le théâtre d’une sauvage agression à l’arme blanche le weekend dernier. La victime, grièvement blessée, a échappé de peu à la mort.

Ouest-France :

Un jeune homme de 19 ans a été grièvement blessé à l’arme blanche, dimanche 28 août, un peu avant 18 h, sur un chemin de terre proche de l’allée des Îles-Loyautés, dans le parc de la Mulotière, à Nantes. Et c’est à peu près tout ce que l’on sait de cette affaire pour le moment. Un témoin, présent au côté de la victime dit qu’un homme s’est approché, a réclamé une cigarette avant de porter le coup de couteau au niveau de l’abdomen. C’est une version qui doit encore être confortée par les investigations en cours.

Pour l’heure, la victime est toujours hospitalisée et n’a pas pu être entendue par les enquêteurs de la Sûreté départementale. Si dimanche soir, on annonçait que son pronostic vital non engagé, on se montre désormais beaucoup plus réservé.

Le Parti National Breton pointe l’évidente origine de cette intensification des attaques de tous ordres dans les rues bretonnes : l’immigration extra-européenne organisée par l’Etat français. A Nantes, c’est la municipalité franco-socialiste qui mène une effrayante politique de nettoyage ethnique par procuration contre le Peuple Breton en organisant son remplacement par l’arme de l’immigration de masse.

Pas plus qu’on ne peut éviter le naufrage d’un navire sans refermer la voie d’eau qui en est la cause, le Peuple Breton n’échappera à la sauvagerie qui le frappe sans mettre un terme définitif à cette véritable colonisation de peuplement, puis au renvoi général et définitif des étrangers indésirables.

Le Parti National Breton affirme que l’anarchie que répand sciemment l’Etat français en Bretagne par le truchement de l’immigration allogène ne cessera qu’avec la présence française.

Le Parti National Breton veut une politique d’ordre breton pour Breizh, ce qui passe par la restauration de l’Etat breton et une nouvelle loi bretonne pour mettre un terme à la menace. Le Parti National Breton rappelle à cette fin qu’il entend procéder à la condamnation à mort automatique des assassins reconnus coupables par la Justice bretonne. La philosophie de l’Etat breton à ce sujet sera claire : les assassinats et tentatives d’assassinats seront jugulés, faute d’assassins pour les perpétrer.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du PNB

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Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

Guerre de la drogue entre gangs ethniques à Nantes : un nouveau blessé par balle dans la ville de la franco-socialiste Johanna Rolland

[PNB] La capitale bretonne a une nouvelle fois été le théâtre de l’ultra-violence des gangs ethniques implantés par l’Etat français dans la ville avec l’appui de la gauche coloniale hexagonale, représentée sur place par Johanna Rolland.

Cette violence, outre l’immigration extra-européenne, a pour racine le trafic de drogue.

Le Parti National Breton a une ligne programmatique claire pour la Bretagne nationalement redressée. Sous sa direction, l’Etat breton procèdera automatiquement à la condamnation à mort de tout individu arrêté en possession de drogue, à raison de 500 grammes pour le cannabis, et 15 grammes pour l’héroïne.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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“Espèce de Blanc” : à Binic, un couple agressé à l’armée blanche par un allogène venu de France

“Espèce de Blanc” : à Binic, un couple agressé à l’armée blanche par un allogène venu de France

[PRESSE] Il se baladait avec un nunchaku, dans les rues de Binic, quand il a agressé verbalement un couple se rendant au restaurant. En proférant des insultes « à caractère raciste », a retenu le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc ce mercredi.

Le prévenu n’était pas à l’audience du tribunal correctionnel, ce mercredi 4 mai 2022 à Saint-Brieuc. « Et c’est dommage car on se pose des questions, notamment sur sa santé mentale », a résumé la présidente, au sujet de ce dossier un peu étonnant.

L’homme est poursuivi pour deux faits de violence, mais aussi pour des menaces. Ses premières victimes : un couple, qui cherche tranquillement un restaurant, à Binic, le 28 mai 2021. Ils se souviennent parfaitement de cet individu, qui se promenait avec un nunchaku, et qui tapait dans les poubelles. « Toi espèce de blanc, tu votes FN » a-t-il hurlé à leur intention, avant de menacer de les planter au couteau.

Le Télégramme

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Brest :  règlement de comptes à la machette en pleine rue entre migrants musulmans

Brest : règlement de comptes à la machette en pleine rue entre migrants musulmans

[PNB] La ville de Brest, cité bretonne sous occupation française, suit l’évolution générale impulsée par l’Etat Français dans toutes les villes administrées par le régime républicain hexagonal.

Immigration extra-européenne de remplacement, radicalisme islamique, explosion du trafic de drogue et des crimes en tous genres, le tout sous la supervision d’une direction municipale écolo-socialiste réélue sur la base du clientélisme ethnique et du soutien des cliques corrompues.

Rejoindre le Parti National Breton est la dernière chance pour le peuple breton s’il ne veut pas disparaître, nettoyé ethniquement par l’Etat Français et sa bourgeoisie criminelle.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Immigration française : fusillade dans le centre de la ville socialiste de Quimper

Immigration française : fusillade dans le centre de la ville socialiste de Quimper

[PNB] Nouvel épisode de la mise en œuvre de la société multiraciale par l’Etat Français en Bretagne occupée, une fusillade a eu lieu dans le centre de Quimper, ville sous contrôle du Parti Socialiste français. Les protagonistes sont bien entendu “défavorablement connus”.

Valeurs Actuelles :

Cohue dans les rues de Quimper. Mardi 29 mars, une course-poursuite a eu lieu dans cette ville du sud du Finistère, rapporte Ouest-France. Vers 15 heure 45, des coups de feu ont éclaté dans le centre-ville. Un véhicule Dacia de couleur rouge venait de refuser de subir un contrôle par une patrouille de police. « Une voiture a circulé à contresens sur les quais, côté boulevard de Kerguelen, du côté de La Poste », ont expliqué des témoins. La voiture folle finira par être arrêtée, non sans avoir essuyé des coups de feu de la part d’un policier en passant à vive-allure devant le commissariat.

Un important dispositif policier a été déployé pour appréhender les fuyards. « Des motards, des fourgons… Je n’ai jamais vu un tel déploiement de policiers », a raconté une dame. À l’intérieur du véhicule, deux adolescents, un garçon et une fille. Ils ont immédiatement été emmenés au commissariat. La voiture serait un véhicule volé en 2002, et les deux jeunes, connus des services de police. Aucun blessé n’est à déplorer. À ce stade, ni la police ni le parquet n’ont voulu commenter cette affaire.

“Connus des services de police” est un des euphémismes employés par la presse d’état hexagonale pour désigner les criminels allogènes. L’objectif des médias aux ordres de Paris est de dissimuler à l’opinion bretonne l’origine ethnique de la criminalité de masse, la bourgeoisie française et l’état colonial voulant poursuivre leur plan de remplacement de la population bretonne par des supplétifs afro-musulmans sans entraîner de résistance populaire.

Le Parti National Breton n’entend pas débattre de la cause de l’explosion du crime en Bretagne qu’est l’immigration extra-européenne.

Le Parti National Breton se focalise sur son programme en la matière, tout particulièrement sur le point n°2 de ses 13 exigences d’application immédiate :

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton

Le Parti National Breton continuera de mobiliser l’opinion bretonne contre le péril existentiel que représente l’Etat Français et sa politique de remplacement de population en Bretagne. Le peuple breton ne retrouvera pas la paix tant qu’un seul mètre carré du territoire breton n’aura pas été libéré de l’occupant français et des prurits qu’il apporte naturellement avec lui.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

Gangs ethniques à Nantes : en 3 ans, 156 fusillades ont été recensées dans la ville, faisant 5 morts et une cinquantaine de blessés

A Nantes, le bilan effrayant de l’Etat Français et de ses partis politiques en matière de crime ne peut plus être dissimulé, même pas par la presse d’état loyaliste.

Toutefois, cette presse d’état impose la censure de guerre sur l’origine de la catastrophe : l’immigration extra-européenne, très majoritairement afro-musulmane, organisée par Paris en Bretagne.

Le Télégramme :

Cent cinquante-six fusillades recensées en trois ans. À Nantes, le trafic de stupéfiants génère de tels profits, et la concurrence est telle, que les places de deal s’arrachent désormais à coups de kalachnikov. Les pouvoirs publics tentent de briser cette dynamique mortifère.

Fin septembre, dans l’Ouest nantais. En ce mercredi après-midi, des ados tapent la balle sur un terrain de football pour leur entraînement hebdomadaire. Soudain, un tac-tac-tac-tac retentit dans les quartiers avoisinants. Comme un seul homme, l’équipe se fige. Difficile d’être catégorique, mais tous pensent à un tir de pistolet-mitrailleur. Un bruit qui deviendrait presque familier aux Dervallières, au Breil ou à Bellevue*, spots emblématiques du trafic de stupéfiants à Nantes.

*Enclaves afro-musulmanes formées par la politique de repeuplement imposée par l’Etat Français et le Parti Socialiste.

« Des coups de feu ? J’en entends au moins deux fois par mois », témoigne ce Nantais habitant à proximité de l’un de ces quartiers, qui assure « faire la différence entre un coup de feu de pistolet, avec son bruit sec, et un tir de feu d’artifice », sport devenu national, le soir venu.

« Ça s’est accéléré depuis deux ans, confie cette habitante de Bellevue, qui affirme ne plus vraiment y prêter attention. C’est le soir mais aussi en journée… » Comme ce mercredi, « jour des enfants », en plein après-midi, dans le quartier du Breil, au nord-ouest de Nantes, fin septembre dernier. Un individu descend d’une voiture et tire en rafale en direction de trois jeunes adultes assis sur un banc. Les trois seront blessés, dont l’un très grièvement. Depuis 2019, 156 fusillades ont été recensées dans la cité des ducs*, faisant cinq morts et une cinquantaine de blessés.

*Cité des Ducs de Bretagne, précision sciemment effacée par la propagande française pour détruire l’identité bretonne de Nantes.

Le phénomène se serait ancré ici, il y a cinq ans. La marque caractéristique d’un trafic de stupéfiants arrivé à un stade très avancé ? Le lot réservé à toute ville qui franchit le cap des 200 000 à 300 000 habitants ? C’est plutôt oui aux deux questions. Le patron de la PJ nantaise, le commissaire divisionnaire Marc Perrot, pointe aussi d’autres facteurs. Un : l’irruption d’une multitude d’équipes, « plus jeunes, peu réfléchies, impulsives, attirées par l’argent facile, dans un secteur devenu archi concurrentiel », et « un accès très facilité aux armes ». Deux : une « balkanisation » du trafic. « Avant, trois ou quatre équipes tenaient le marché, rapporte Marc Perrot. Aujourd’hui, on ne les compte plus. Certaines sont affiliées aux bandes historiques. Mais tout est brouillé. Dans un même quartier, on peut trouver des membres appartenant à plusieurs clans… et qui peuvent en changer au gré des stratégies et opportunités. »

Aucune mention de la véritable cause par la Police Judiciaire hexagonale : l’immigration non-blanche, africaine et musulmane.

Dans ce milieu, pas de tribunal de commerce pour trancher un litige commercial. Les enjeux financiers sont également devenus tels que les différends se règlent à coups de feu. Soit pour prendre une part de marché – un point de deal -, soit pour le défendre.

Impossible, pour autant, de comparer Nantes à Marseille, qui comptait 15 morts dans des règlements de comptes pour les seuls huit premiers mois de 2021 (un à Nantes).

« Et, à Nantes, on est davantage sur des violences armées que sur des règlements de comptes, relève Marc Perrot. Il y a peu de préparation. C’est souvent de la réaction à chaud, ou de la surenchère. » Les tireurs sont de plus en plus jeunes : 17 ans pour le plus jeune interpellé. « Ils ne savent pas se servir des armes qu’ils ont entre les mains (…). Ce n’est pas comme dans Gomorra (une série TV sur la mafia napolitaine ; NDLR). On ne leur dit pas : tiens voilà un flingue, va buter untel. Non, un de leurs chefs leur en donne en leur disant qu’ils sont menacés et que, s’il se passe un truc, ils devront s’en servir », rapporte une autre source policière. Résultat : ça défouraille à tout va, avec de très nombreuses balles perdues. « Au Breil, en septembre dernier, on en a retrouvé jusqu’en haut des arbres », rapporte Marc Perrot.

Le trafic a pris la ville, et tout retour en arrière semble jusqu’à présent vain. Même si des équipes tombent, si « chaque jour, les services de police nantais interpellent cinq à six personnes », si de nouveaux moyens ont été mis en œuvre et commencent à porter leurs fruits, le nombre de points de deal recensés à Nantes – une soixantaine – reste désespérément « stable ».

Sur le plan des règlements de comptes, la PJ a fait les siens. Depuis 2019, elle a interpellé 124 personnes, dont 55 ont été écrouées. Et 125 armes à feu ont été saisies, dont une majorité d’armes de calibre 9 mm et 7,62 mm (munitions de fusil d’assaut). À ce jour, une trentaine d’enquêtes sont toujours en cours.

Le Parti National Breton entend régler à la source la catastrophe sécuritaire en soldant la question ethnique générée par l’immigration de remplacement mise en place par l’Etat Français.

Le Parti National Breton restaurera l’ordre breton en Bretagne en procédant à une expulsion de masse de tous les étrangers indésirables vers leur état d’origine : la France.

Tous les Bretons qui veulent empêcher l’Etat Français de détruire la Bretagne par sa politique sauvage de remplacement ethnique doivent immédiatement rejoindre ses rangs.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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