“STOP aux résidences secondaires, Breton reprends ta terre !” : la nouvelle campagne du PNB pour l’exclusivité bretonne au logement est lancée !

“STOP aux résidences secondaires, Breton reprends ta terre !” : la nouvelle campagne du PNB pour l’exclusivité bretonne au logement est lancée !

[PNB] Première campagne thématique et nationale du Parti National Breton, la résistance à la colonisation française qui frappe de plein fouet la jeunesse bretonne a commencé. Elle a ciblé le Léon, le Trégor, le Porhoët, la Cornouaille en attendant d’autres régions bretonnes. Cette campagne vise spécifiquement le nettoyage ethnique objectif organisé par l’Etat Français à travers toute la Bretagne qu’implique le rachat des terres bretonnes par la bourgeoisie française.

Progressivement chassés de centaines de communes par les étrangers, privés de logement, les Bretons affrontent la perspective de ne plus pouvoir vivre là où ils sont nés et où ils ont grandi. Qu’il s’agisse de terrains à construire ou de logements anciens, partout les Bretons sont asphyxiés par la prédation française, méthodiquement appuyée par l’Etat français et ses préfectures, protégée par des politiciens à la botte de Paris, souvent grâce à l’arme de la corruption.

Ce processus d’évincement et de ségrégation est encore aggravé par la colonisation extra-européenne organisée par l’Etat Français qui réserve les logements sociaux, pourtant payés par l’argent des travailleurs bretons, aux allogènes. Ainsi, à Saint-Nazaire, 72% des individus postulant pour des logements sociaux sont des allogènes d’arrivée récente.

Devenue une colonie au sens littéral du mot, la Bretagne n’appartient plus aux Bretons, mais à tous les possédants de l’Hexagone et aux colons du tiers-monde qui veulent s’emparer de la terre de leurs ancêtres. Cette domination totale de l’argent et du pouvoir français ne rencontrait, à ce jour, aucune opposition déterminée pour rendre la Bretagne aux Bretons.

C’est maintenant chose faite !

Le Parti National Breton engage une campagne de longue haleine pour que l’exclusivité bretonne au logement en Bretagne soit la seule et unique règle en ce domaine.

Dans son programme d’application immédiate, 4 des 14 exigences du Parti National Breton concerne l’exclusivité bretonne pour le logement :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.

Le Parti National Breton met en garde les Bretons : aucun parti français ne les défendra, car tous, sans exception, sont dirigés par Paris où vit la bourgeoisie française qui s’empare de nos terres. Leurs relais politiques en Bretagne leur sont vendus. Pas plus qu’une dinde ne fête Noël, cette bourgeoisie, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, ne soutiendra des mesures visant à stopper la spéculation immobilière dont elle profite, bien au contraire.

Seul le Parti National Breton, en exigeant l’exclusivité bretonne pour le logement – privé et social – agit en totale cohérence et avec détermination pour les intérêts du Peuple Breton. Les Bretons ne peuvent compter que sur leurs ressources : ils doivent se mobiliser seuls, sous la direction de leur parti, le Parti National Breton, pour redevenir les maîtres de leurs terres et de leur destin collectif.

La Bretagne doit retrouver sa dignité et ne doit plus être une colonie, que ce soit pour la bourgeoisie française, singulièrement parisienne, ou pour le trop plein démographique du tiers-monde afro-islamique que cette même bourgeoisie déverse chez nous. Pour cela, seule une lutte implacable pour l’indépendance nationale bretonne et la restauration de l’Etat Breton sera à même de rendre aux Bretons leur pays.

C’est cette lutte qu’entreprennent les militants du Parti National Breton dans tout le pays !

Breton, reprends ta terre ! Rejoins le Parti National Breton !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton 

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Colonisation à Moëlan : privée de logement par les retraités français et l’immigration allogène, Sylvie finit à la rue et perd son emploi

Colonisation à Moëlan : privée de logement par les retraités français et l’immigration allogène, Sylvie finit à la rue et perd son emploi

[PNB] Les Bretons sont progressivement chassés de leurs terres par les migrants français et extra-européens. Résultat : les populations bretonnes ne peuvent plus se loger.

Dernier exemple à Moëlan-sur-Mer.

Le Télégramme

Sylvie n’a plus de domicile depuis fin mars. L’habitante de Moëlan-sur-Mer a pourtant multiplié les démarches depuis des mois. Cette situation lui a fait perdre son travail.

Sylvie a pourtant cherché partout durant des mois, anticipant le moment où elle allait devoir quitter le logement qu’elle partageait avec son ex-compagnon. Après la séparation, elle ne pouvait plus assumer seule leur maison en location de Moëlan-sur-Mer malgré son salaire d’auxiliaire de vie, qu’elle qualifie de « confortable ». « J’ai fait une demande de logement social il y a deux ans et demi. J’ai renouvelé la demande régulièrement. J’ai envoyé mon dossier à plein de propriétaires mais il y a toujours un meilleur dossier. D’ailleurs, pour une annonce qui paraît, il y a cinquante dossiers », raconte-t-elle avec exaspération.

« J’ai cherché partout. Même dans les terres, il n’y a rien à louer. J’ai appelé tous les campings pour trouver un mobile home mais avec la saison touristique qui arrive, ce n’est pas possible. Quand je vois au Pouldu toutes les maisons avec les volets fermés… Les annonces pour les locations courte durée, ça ne manque pas non plus », ajoute-t-elle avec une pointe de colère dans la voix.

Fin mars, après des mois de recherches intenses, elle a rendu son logement sans en avoir trouvé un autre derrière. Ses meubles sont partis dans un box. Sylvie, 62 ans, et son chien, élisent domicile dans sa voiture. « Je n’arrivais plus à aller au travail après les nuits dans la voiture. C’était trop dur. Je m’occupais d’une personne âgée handicapée six heures par jour par tranche de deux heures. J’ai dû arrêter de travailler. C’est encore plus dur de trouver quelque chose maintenant que je suis au chômage. Je suis arrivée à l’âge de la retraite, pas à celui de dormir dans ma voiture », soupire celle dont la famille vit loin.

Elle finit finalement par être hébergée quelque temps par une famille dans les Côtes-d’Armor avant de recevoir une proposition d’un couple de Moëlanais, Pascal et Helda, où elle vit depuis trois semaines. « C’était une évidence. On ne pouvait pas la laisser dans sa voiture. Tout le monde peut tomber dans la rue », témoigne Helda.

Sylvie est reconnaissante. Mais se sent gênée aussi. « Je culpabilise un peu. Dans ces moments-là, on a tendance à se renfermer un peu », admet-elle. « C’est une belle aventure pour nous. On restera en contact après. On paie une politique de logements qui a créé une pénurie. On a fait jouer notre réseau. Tout le monde cherche », complète Pascal, qui a peut-être une piste à Rosporden.

Marie-Louise Grisel, vice-présidente en charge de l’habitat à Quimperlé Communauté et maire de Moëlan-sur-Mer, est consciente du problème. « Dans le pays de Quimperlé, des personnes sont obligées de dormir au camping ou dans leur camping-car. Mais la politique de logements est en train de changer. Nous allons construire en moyenne 100 logements sociaux par an dans le pays de Quimperlé pour arriver à 549. Dans ma commune, j’ai mis en place une taxe sur les logements vacants », annonce la première édile, qui demande un peu de temps pour que la politique fasse effet. « C’est un travail de longue haleine ».

Contrairement à ce qu’affirme le maire de Moëlan-sur-Mer, la réponse n’est pas dans la bétonisation accélérée de la Bretagne, surtout par le truchement du logement social, par principe réservé aux allogènes extra-européens que l’Etat Français impose en Bretagne dans le cadre de sa politique coloniale de remplacement des Bretons.

La solution réside dans l’arrêt immédiat de la colonisation de peuplement et l’instauration de la priorité bretonne pour le logement !

Face à la double colonisation de peuplement qu’organise l’Etat Français en Bretagne – par le haut, avec la colonisation franco-parisienne, et par le bas, avec la colonisation extra-européenne – le Parti National Breton va prochainement lancer sa campagne sur le thème de la priorité bretonne pour le logement, social et privé.

Ses 4 exigences d’application immédiate pour le logement :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

Le Parti National Breton veut rendre la Bretagne aux Bretons, à tous les niveaux de la société.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

Immigration, spéculateurs français : un couple breton avec deux enfants privé de logement à Lorient !

Immigration, spéculateurs français : un couple breton avec deux enfants privé de logement à Lorient !

[PNB] Nouvel exemple de l’effet catastrophique de la double colonisation de peuplement que subit la Bretagne sous l’effet de l’occupation française : par le haut avec la prédation de la bourgeoisie hexagonale sur le littoral breton, par le bas avec l’immigration non-européenne qui bénéficie prioritairement des logements sociaux pourtant payés par les contribuables bretons.

Un couple breton de la région de Lorient en est la dernière victime.

Le Télégramme :

Tatiana et Romain Briset doivent trouver une nouvelle location d’ici novembre. Un vrai casse-tête pour ces jeunes parents qui espèrent désormais décrocher un logement social.

« C’est vraiment la galère de se reloger ». Tatiana et Romain Briset, installés à Larmor-Plage depuis novembre 2019, doivent déménager dans six mois. « Notre propriétaire vient de nous signifier la fin de notre bail pour récupérer sa maison en novembre ». Une échéance qui coïncide avec le terme de la grossesse de la jeune femme, déjà maman du petit Marlon, 18 mois.

Depuis un mois, le couple ne trouve rien. « On a répondu à une vingtaine d’offres. On ratisse large, ce n’est pas le moment de faire les difficiles : maison ou appartement, jusqu’à Pluvigner et même Baud ». « Le principal, c’est d’avoir un toit. Pas question de se retrouver à la rue avec nos enfants ». À quatre, compliqué aussi de squatter la famille ou les amis.

Ces locataires ont pourtant tout pour plaire : les deux travaillent (Tatiana est secrétaire dans une concession automobile, lui est intérimaire) et ont des garants solvables. « On nous explique que les maisons sont très convoitées. Les propriétaires, de plus en plus nombreux à récupérer leur bien pour les vendre, ont l’embarras du choix. Autant dire que ce n’est même pas la peine de chercher à Lorient ou Lanester ».

Les Larmoriens ont donc décidé de s’adresser à une assistance sociale. S’ils ne rentrent pas dans les cases pour bénéficier d’aides financières, ils peuvent prétendre à un logement social. « J’ai appelé tous les bailleurs sociaux de l’agglo en expliquant notre situation. Ils ont compris qu’il y avait urgence mais sans pour autant nous promettre quoi que ce soit ». Là aussi, beaucoup de demandes mais peu de logements.

« Ce serait bien qu’on trouve un logement avant l’été, pour préparer l’arrivée du bébé sereinement et enfin se projeter ». En finir avec ces incertitudes. « Ne pas savoir où on va aller est assez stressant. Inconfortable, démoralisant et surtout injuste. On n’est pas les seuls dans ce cas-là. On ne demande quand même pas la lune… »

Le logement social est tout simplement inaccessible aux Bretons : l’Etat Français le réserve aux migrants afro-musulmans dont il organise la colonisation en Bretagne. Ainsi, dans la ville socialiste de Saint-Nazaire, plus de 72% des demandes en liste d’attente pour un logement social sont constituées d’allogènes expédiés sur place par Paris dans le cadre du Grand Remplacement.

L’Etat Français, responsable de cette double colonisation dont souffrent gravement les Bretons victimes de ce nettoyage ethnique à bas bruit, ne sera jamais la solution aux crises dramatiques dont il est l’origine. Paris, qui traite la Bretagne comme une dépendance coloniale, ne mettra à l’évidence aucun frein à la prédation de la bourgeoisie parisienne qui achète pour une bouchée de pain les terres bretonnes, pas plus qu’il ne stoppera la fulgurante afro-islamisation des villes bretonnes.

Seul le Parti National Breton propose les solutions radicales susceptibles de briser cette spirale destructrice de l’expulsion des Bretons de leur propre terre.

Dans ses 14 exigences, le Parti National Breton exige :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

Le Parti National Breton est la dernière chance du Peuple Breton face aux forces qui l’oppriment et organisent son éradication physique. Les Bretons doivent le rejoindre pour libérer leur pays de l’ennemi qui veut les asservir et les détruire.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

 

Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

Saint-Nazaire : 72% des 5,000 demandes de logements sociaux réservées aux migrants non-européens !

En Bretagne, les ravages du socialisme municipal français ne sont plus à détailler à l’opinion bretonne qui ne les connaît que trop bien : endettement massif, urbanisme désastreux et tiers-mondisation du peuplement, sur fond d’explosion de l’insécurité et de l’islamisme, en sont les conséquences les plus spectaculaires.

Le maire PS de Saint-Nazaire, David Samzun

La ville de Saint-Nazaire (Pays Nantais), sous la coupe du Parti Socialiste français depuis des décennies, illustre tristement ce qu’il advient des communes qui se laissent entraîner sur cette voie. Récemment, c’est la politique du logement pseudo social, réservée aux allogènes importés par l’Etat Français, qui met en lumière le désastre ethno-culturel créé par la gauche française.

France Bleu

11 agressions depuis le début de l’année. La plus marquante restera celle de cet agent, frappé par un trafiquant de drogue aux pieds des immeubles dans le quartier de la Trébale fin mai. Avec une triple fracture de la mâchoire et plusieurs mois d’arrêt, l’agent n’a repris le travail que récemment dans un autre quartier. Des coups, mais aussi des insultes, des menaces de mort, “c’est régulier et c’est oppressant pour nos agents qui vont sur le terrain, aux pieds des immeubles,” raconte Maïgwenn Guégan, directrice proximité qui encadre ces 74 travailleurs isolés pour Silène. Elle-même victime de menaces en 2019, elle a porté plainte, son agresseur a été condamné à 3 mois de prison ferme. Mais ces condamnations sont rares, même si à chaque fois, il y a un dépôt de plainte car il est toujours difficile d’identifier les agresseurs.

C’est pourquoi Silène, qui héberge un Nazairien sur 3, met en place un plan sécurité, une sorte de boîte à outils pour mieux protéger ses salariés. D’autant que la tension du marché, avec 5 mille candidats au logement social sur liste d’attente dont 3600 primo-arrivants, rajoute du sel sur les plaies. Dans les 7 centres d’accueil Silene, les agents aussi sont souvent pris à parti. Ils ont déjà un bouton directement relié avec la police, mais à partir de janvier, ces locaux seront également équipés de caméras de vidéo-surveillance. Le bailleur a mis 18 000 euros sur la table. Et les candidats au logement qui se comportent mal avec un agent sont exclus des listes pour 2 ans.

Le terme “primo arrivants” propre à la langue de bois du régime désigne en réalité les migrants extra-européens candidats à la colonisation de la Bretagne.

Avec 3,600 allogènes sur 5,000 candidats à l’accession d’un logement social, ces étrangers représentent le chiffre astronomique de 72% des demandes !

Cette véritable invasion prive les Bretons du droit de se loger chez eux et ce avec le plein appui de la municipalité PS de Saint-Nazaire ainsi que du gouvernement français.

Ce n’est pas tout. Les agents de terrain ont récemment reçu un boîtier, avec une dragone, relié à une plateforme de sécurité avec même un code secret pour dire “au secours”. Ce boîtier géolocalise l’agent, et si besoin, les forces de l’ordre peuvent intervenir. Autre mesure mise en place : la sécurisation des halls d’immeubles. Pour mieux lutter notamment contre les trafics de drogue et les guetteurs, l’office HLM a équipé plus de 200 entrées de digicodes et autres badges pour un montant d’1,5 millions d’euros. A propos de trafics de drogue, désormais quand un locataire est officiellement condamné, il est également expulsé de son logement pour trouble du voisinage. Une expulsion est actuellement en cours d’ailleurs, une locataire ayant été condamnée cet été.

“Nous n’avons pas de baguette magique mais nous faisons tout ce que nous pouvons en partenariat avec la Ville, la Police et la Justice” explique Xavier Perrin, président de Silène qui annonce lancer l’expérience de caméras de vidéoprotection dans les halls et les caves des 4 immeubles de Prézégat. Un quartier de Saint-Nazaire où une fusillade a éclaté fin septembre.

Enfin, à propos du vandalisme, 800 plaintes l’an dernier et 200 000 euros de réparations pour le bailleur, “l’équivalent de 7 logements neufs” déplore Sandrine Williamson, la directrice générale de Silène. “Mais par principe, on essaye de remplacer les vitres brisées, d’effacer les tags, car sinon, on donne l’impression d’une zone de non droit et là, ça peut se dégrader très très vite“. Et de rappeler que “c’est toujours une minorité qui pourrit la vie de la grande majorité, c’est aussi pour nos locataires qu’on a voulu réagir”.

La radio d’état française (France Bleu) opère une stricte censure du fait structurant derrière la situation décrite dans les résidences sociales : l’immigration extra-européenne de peuplement, très majoritairement afro-musulmane.

Il ne s’agit pas d’une “minorité”, mais des caractéristiques propres à ces populations inassimilables qui, partout où elles s’installent, recréent les conditions de sous-développement propres à leurs pays d’origine. Saint-Nazaire, pas plus que Brest ou Rennes, n’échappe au sort de Marseille.

Les chiens ne font pas des chats.

Plutôt que de dénoncer en termes clairs l’origine de ce désastre aux conséquences catastrophiques pour le peuple breton, la politique de la municipalité de gauche consiste à accompagner la progression de la sauvagerie en dépensant des millions d’euros qui sont autant de pansements sur la jambe de bois de l’immigration non-européenne.

Le Parti National Breton ne s’embarrasse pas d’euphémismes ou de formules prudentes, il va droit à l’essentiel, désigne la menace qu’affronte la nation bretonne et propose des solutions drastiques qui seules permettront de mettre un terme à la crise fondamentale que pose l’immigration de remplacement imposée par l’Etat Français.

Le Parti National Breton rappelle trois de ses dix exigences d’applications immédiates pour la Bretagne : 

1 – L’arrêt immédiat par les préfectures françaises de l’installation d’infiltrés clandestins dans les cinq départements bretons et l’arrêt immédiat par les collectivités territoriales (communes, départements et région) de toute subvention publique aux associations organisant l’infiltration du territoire breton par des migrants clandestins.

2 – L’interdiction de séjour définitive dans les cinq départements bretons pour tout individu né à l’étranger ou descendant de parents nés à l’étranger qui s’est rendu coupable d’un délit ou d’un crime sur le territoire d’un département breton.

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

Ces exigences répondent à notre principe de gouvernement : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

 

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