Colonisation à Moëlan : privée de logement par les retraités français et l’immigration allogène, Sylvie finit à la rue et perd son emploi

Colonisation à Moëlan : privée de logement par les retraités français et l’immigration allogène, Sylvie finit à la rue et perd son emploi

[PNB] Les Bretons sont progressivement chassés de leurs terres par les migrants français et extra-européens. Résultat : les populations bretonnes ne peuvent plus se loger.

Dernier exemple à Moëlan-sur-Mer.

Le Télégramme

Sylvie n’a plus de domicile depuis fin mars. L’habitante de Moëlan-sur-Mer a pourtant multiplié les démarches depuis des mois. Cette situation lui a fait perdre son travail.

Sylvie a pourtant cherché partout durant des mois, anticipant le moment où elle allait devoir quitter le logement qu’elle partageait avec son ex-compagnon. Après la séparation, elle ne pouvait plus assumer seule leur maison en location de Moëlan-sur-Mer malgré son salaire d’auxiliaire de vie, qu’elle qualifie de « confortable ». « J’ai fait une demande de logement social il y a deux ans et demi. J’ai renouvelé la demande régulièrement. J’ai envoyé mon dossier à plein de propriétaires mais il y a toujours un meilleur dossier. D’ailleurs, pour une annonce qui paraît, il y a cinquante dossiers », raconte-t-elle avec exaspération.

« J’ai cherché partout. Même dans les terres, il n’y a rien à louer. J’ai appelé tous les campings pour trouver un mobile home mais avec la saison touristique qui arrive, ce n’est pas possible. Quand je vois au Pouldu toutes les maisons avec les volets fermés… Les annonces pour les locations courte durée, ça ne manque pas non plus », ajoute-t-elle avec une pointe de colère dans la voix.

Fin mars, après des mois de recherches intenses, elle a rendu son logement sans en avoir trouvé un autre derrière. Ses meubles sont partis dans un box. Sylvie, 62 ans, et son chien, élisent domicile dans sa voiture. « Je n’arrivais plus à aller au travail après les nuits dans la voiture. C’était trop dur. Je m’occupais d’une personne âgée handicapée six heures par jour par tranche de deux heures. J’ai dû arrêter de travailler. C’est encore plus dur de trouver quelque chose maintenant que je suis au chômage. Je suis arrivée à l’âge de la retraite, pas à celui de dormir dans ma voiture », soupire celle dont la famille vit loin.

Elle finit finalement par être hébergée quelque temps par une famille dans les Côtes-d’Armor avant de recevoir une proposition d’un couple de Moëlanais, Pascal et Helda, où elle vit depuis trois semaines. « C’était une évidence. On ne pouvait pas la laisser dans sa voiture. Tout le monde peut tomber dans la rue », témoigne Helda.

Sylvie est reconnaissante. Mais se sent gênée aussi. « Je culpabilise un peu. Dans ces moments-là, on a tendance à se renfermer un peu », admet-elle. « C’est une belle aventure pour nous. On restera en contact après. On paie une politique de logements qui a créé une pénurie. On a fait jouer notre réseau. Tout le monde cherche », complète Pascal, qui a peut-être une piste à Rosporden.

Marie-Louise Grisel, vice-présidente en charge de l’habitat à Quimperlé Communauté et maire de Moëlan-sur-Mer, est consciente du problème. « Dans le pays de Quimperlé, des personnes sont obligées de dormir au camping ou dans leur camping-car. Mais la politique de logements est en train de changer. Nous allons construire en moyenne 100 logements sociaux par an dans le pays de Quimperlé pour arriver à 549. Dans ma commune, j’ai mis en place une taxe sur les logements vacants », annonce la première édile, qui demande un peu de temps pour que la politique fasse effet. « C’est un travail de longue haleine ».

Contrairement à ce qu’affirme le maire de Moëlan-sur-Mer, la réponse n’est pas dans la bétonisation accélérée de la Bretagne, surtout par le truchement du logement social, par principe réservé aux allogènes extra-européens que l’Etat Français impose en Bretagne dans le cadre de sa politique coloniale de remplacement des Bretons.

La solution réside dans l’arrêt immédiat de la colonisation de peuplement et l’instauration de la priorité bretonne pour le logement !

Face à la double colonisation de peuplement qu’organise l’Etat Français en Bretagne – par le haut, avec la colonisation franco-parisienne, et par le bas, avec la colonisation extra-européenne – le Parti National Breton va prochainement lancer sa campagne sur le thème de la priorité bretonne pour le logement, social et privé.

Ses 4 exigences d’application immédiate pour le logement :

6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.

7 – La priorité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.

8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dont le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons d’abord.

Le Parti National Breton veut rendre la Bretagne aux Bretons, à tous les niveaux de la société.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]

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