Colonialisme franco-latin : les adeptes français du patois angevin-gallo attaquent violemment la langue bretonne

Colonialisme franco-latin : les adeptes français du patois angevin-gallo attaquent violemment la langue bretonne

[PNB] Après avoir ciblé les panneaux en langue bretonne dans l’est de la Bretagne, la petite poignée d’adeptes de la secte gallomaniaque a revendiqué son action en déposant un certain nombre de panneaux volés à Carhaix, ville de Kristian Troadeg, vice-président du Conseil “régional” de Bretagne pour la langue bretonne. 

Les quelques gallomaniaques à l’origine de ce types d’actions contre la langue bretonne en Bretagne sont inspirés par un élément français peu connu des Bretons : Ronan Buis, ennemi de l’Emsav et de Breizh.

Les quelques gallomaniaques hexagonaux derrière cette action ont explicitement exigé que la langue bretonne soit interdite d’affichage public dans la moitié orientale de la Bretagne et que le patois gallo, un parler français dégénéré venu d’Anjou, soit imposé comme doublon du français dans l’espace public. 

De rares communes se sont aventurées à mettre en place cette politique anti-bretonne avec les résultats grotesques auxquels on doit toujours s’attendre. Ainsi de la ville de Sant-Brieg, fondée par le moine breton Sant Briog, dont le nom de la ville est déjà francisé en “Saint-Brieuc”, mais qui a été francisé une seconde fois avec un simple ajout de lettres.

Brieuc devient Berrieu, le “c” ne sonnant pas en français.

Le reste de cette forme de français dégénéré est à l’avenant.

Rappelons que le patois gallo, aujourd’hui disparu, était un dialecte de français qui n’a pu s’étendre en Bretagne que sous l’effet de l’affaiblissement de la nation bretonne face à l’impérialisme franco-latin. Depuis toujours ce parler est intrinsèquement une sécrétion coloniale franco-latine.

La promotion du patois gallo d’importation angevine consiste donc à mettre deux fois plus de français dans l’espace public breton sur la base d’une ligne linguistique depuis longtemps disparue.

La raison de cette nouvelle attaque française contre le Peuple Breton et sa langue nationale est la receltisation des populations bretonnes, lesquelles soutiennent la libération linguistique de l’ensemble de la Bretagne. Malgré l’agressive politique menée contre la langue bretonne par l’Etat français, celle-ci s’est remise en mouvement de manière ordonnée sur l’ensemble du territoire national. Si l’Emsav n’en est qu’au début du processus de reconquête linguistique, 20,000 enfants bretons sont scolarisés en langue bretonne, contre moins de 4,000 il y a 20 ans. 

Le patois exogène qu’est le parler gallo, séquelle de la domination française en Bretagne, ne rencontre à l’inverse que l’indifférence des Bretons. Aucune demande sociale existe. Il n’y a pas davantage de littérature dans ce patois, ni de culture d’aucune sorte, ce que savent et comprennent également les Bretons. Ce patois disparu n’existe que dans l’esprit dérangé de quelques éléments pro-coloniaux qui placent leur agitation dans un rapport exclusif de confrontation avec la langue bretonne.

En s’appuyant sur les idiots utiles du régionalisme de gauche via leurs habituels relativisme et égalitarisme culturels, les agents du latinisme français en Bretagne qui sont embusqués derrière le patois gallo veulent enrayer la dialectique qu’a créé l’Emsav entre langue d’état française et langue d’état bretonne dans le cadre plus général de la lutte de libération nationale de Breizh.

Cette action subversive d’inspiration franco-latine a accouché de la mystification que représente l’expression “langueS de Bretagne” promue logiquement par le Conseil “régional” de Bretagne, instrument de l’administration coloniale. Avec pour objectif avoué de semer la confusion dans l’opinion bretonne, la promotion absurde du patois gallo au rang de “langue” a eu pour effet dialectique de faire régresser le statut politique objectif de la langue bretonne. De langue nationale se dressant face à la langue de l’état colonial français, la langue bretonne se retrouve réduite au rang folklorique de “patois parmi d’autres” privé du rapport de force exclusif face au français. Cette triangulation opérée par les Français a bien sûr pour objectif d’empêcher la receltisation de la Bretagne et la réémergence de la conscience nationale bretonne, prélude à la libération de notre nation.

A chacune de ses revendications concrètes, la petite poignée de gallomaniaques stipendiés par les intérêts français en dénoncera la légitimité ou, lorsque ce ne sera pas possible, exigera l’équivalent au profit de l’imposture franco-patoisante. Un dialecte paysan d’importation, sans locuteurs, mais promu par la machine médiatique coloniale, pourra saturer l’espace de cette confusion et permettre au régime colonial français de s’en servir pour couvrir ses mesures dilatoires contre la langue bretonne. Le breton sera donc prochainement attaqué dans ces financements et sa visibilité publics au niveau le plus officiel.

Cette évolution n’a rien de surprenant. Elle est le résultat de la régression régionaliste en Bretagne qui a méthodiquement entraîné une baisse qualitative de la conscience nationale bretonne contre l’Emsav en l’escamotant au profit d’un conservatisme culturel passéiste au sein de la société française. Il a ainsi pavé la voie à l’imposture franco-patoisante contre la langue bretonne à laquelle nous assistons. Conserver le fatras dialectal français n’a jamais été le projet de l’Emsav, mouvement révolutionnaire ethnonational qui veut créer un état breton d’esprit et de langue celtique contre le franco-latinisme étranger.  De ce point de vue, par leur attaque contre la langue bretonne, les escrocs gallomaniaques à la botte de la France permettent une clarification dialectique rapide.

Les militants de la langue bretonne doivent opérer cette clarification selon les termes explicités supra. Il ne s’agit pas d’alimenter une réaction sociétale issue de la ruralité provinciale du 19ème siècle, ni de juxtaposer le wolof et le turc avec le patois gallo et le dialecte vannetais au nom du nihilisme culturel vomi par la gauche hexagonale. Une telle hypothèse aurait parue délirante à un Roparz Hemon. Il s’agit de créer une langue d’état nationale pour un état national. Faute de le faire pour mieux continuer de végéter dans le relativisme culturel comme le font les geignards de l’égalitarisme linguistique, la subversion étrangère continuera et fera régresser la capacité de la langue bretonne a être enseignée et diffusée avec efficacité.

Bien entendu le gallo est mort et enterré, ce qui rend l’entreprise actuelle encore plus outrancièrement anti-bretonne, mais grâce à une poignée d’agents le zombie peut être agité par un exercice médiatique régulier qui servira de justification à toutes les attaques menées par l’Etat colonial français contre une politique linguistique bretonne conséquente.

En d’autres termes, les militants de la langue bretonne doivent rompre avec le poison incapacitant du régionalisme, politique et sociétal, agir en activistes de l’Etat breton et adopter une politique d’extrême agressivité contre les promoteurs hexagonaux de l’imposture du patois gallo. Sans regard pour le temps qui sera nécessaire à la victoire finale, ils doivent s’organiser pour la domination de la langue bretonne partout et tout le temps en Bretagne, dans la société comme dans les instances officielles. Seuls seront à même de le réaliser des Bretons conscients de leur nationalité, sûrs de leur volonté collective, avec une parfaite connaissance de l’ennemi et de ses buts, pleinement animés de leur droit à la domination ethnonationale sur leur terre ancestrale.

En Bretagne, la suprématie bretonne est désormais à l’ordre du jour.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Gwitreg (Vitré) : le groupuscule adepte du patois français “gallo” détruit les panneaux en langue bretonne

Gwitreg (Vitré) : le groupuscule adepte du patois français “gallo” détruit les panneaux en langue bretonne

[PNB] A Gwitrez (Vitré), les panneaux en langue bretonne récemment installés par la municipalité ont été ciblés par la poignée d’adeptes du patois français dit “gallo”, aujourd’hui disparu mais utilisé pour justifier une campagne de vandalisme contre la langue bretonne en Bretagne.

Actu.fr :

Durant le week-end des 4 et 5 mars 2023, six panneaux d’entrée et de sortie de ville indiquant le nom de Vitré en breton (Gwitreg) ont été volés.

« Cela concerne trois panneaux d’entrée et trois panneaux de sortie de ville, route de Janzé, Balazé et Laval », précise la Ville.Un préjudice d’un montant supérieur à 1000 euros pour laquelle la Ville de Vitré a porté plainte. « Il s’agit d’un délit qui expose les auteurs à une amende voire à une peine d’emprisonnement », rappelle la maire, Isabelle Le Callennec.

Ces panneaux en breton avaient été installés en janvier dernier à cinq entrées de ville, dans un premier temps : route de Janzé, route de Laval, route d’Erbrée, route de Balazé et route d’Argentré.

L’agitation patoisante, limitée dans les faits à une poignée de marginaux, est le relais du latinisme franco-angevin, front ouvert sur les arrières bretons, dont la finalité est d’entraver le réveil de la conscience celtique de la Bretagne orientale pour l’encager dans le cadre de l’état hexagonal. Cet effort est répliqué ces dernières semaines dans le Pays Nantais contre le drapeau national breton.

Pour le Parti National Breton, cette agitation frontalement anti-bretonne est aussi logique que prévisible. Forme mal orthographiée de français rural jadis parlé dans l’ouest de la France, le patois gallo a été ces 20 dernières années promu par des niais issus de la gauche régionaliste, pétrie de relativisme et de misérabilisme culturel. Cette promotion a permis de mettre sur le même plan rhétorique et politique la langue brittonique et un parler français. Le rapport de force national créé par l’Emsav entre langue bretonne d’une part et langue française d’autre part est remis en cause grâce à la confusion engendrée. Embourbé dans un débat absurde entre la survie de la dernière langue celtique du continent et un patois de ferme disparu, le français d’état, dominant partout, ressort vainqueur, faute d’un opposant de sa stature politique et symbolique.

Enhardis par cette erreur politique grossière, les intérêts français hostiles à la langue bretonne entendent empêcher la diffusion et l’enseignement du breton dans la moitié de la Bretagne au profit du patois “gallo” qui, par ailleurs, ne rencontre aucune demande sociale. Aucun Breton ne veut en effet apprendre une forme de français rural fleurant bon le fumier quand le français unifié, langue de culture et d’état, est à sa disposition.

Rappelons les vérités d’évidence : le breton est partout chez lui en Bretagne. A l’argument fallacieux de la langue bretonne “jamais parlée dans l’est breton”, le Parti National Breton rappelle que le français ne l’a jamais été dans une grande part de la Bretagne et que le celtique breton est légitime dans tous les territoires où le celtique a été parlé historiquement en Bretagne. Le breton contemporain est une langue d’état, vecteur de la receltisation des masses bretonnes. Pas plus que l’anglais ou une autre langue, il ne s’interdit un territoire, surtout dans les frontières nationales de la Bretagne. Par définition, il n’existe pas de Bretagne où les Bretons ne pourraient pas parler leur langue : le breton.

Le Parti National Breton appelle les acteurs de la langue bretonne à cesser d’alimenter cette confusion funeste qui ne pourra avoir pour seul effet que de frapper la langue bretonne et elle seule, à refuser toute collusion avec la poignée de marginaux qui promeut pour le compte des intérêts franco-latins le patois gallo et à lutter pour une confrontation nationale entre la langue bretonne et la langue de l’Etat français.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le patois gallo, instrument des Français contre la langue bretonne : le PNB se félicite de la fin de l’imposture

Le patois gallo, instrument des Français contre la langue bretonne : le PNB se félicite de la fin de l’imposture

[PNB] L’agitation française en faveur du patois gallo a enfin accouché de sa véritable finalité : servir de paravent aux intérêts français dans leur lutte contre la langue bretonne.

En voie de disparition après deux siècles d’intense répression française, le breton, dernière langue celtique du continent, est dénoncé par ces agitateurs comme “hégémonique”… en Bretagne !

Outre que le breton n’est pas hégémonique en Bretagne, puisqu’il est gravement menacé sous l’effet de la répression étatique française, son hégémonie théorique est par définition aussi logique que légitime sur le territoire breton. Sauf, naturellement, pour le colonialisme franco-latin et ses partisans.

Le Parti National Breton se félicite de cette nécessaire clarification. Depuis trop longtemps l’ambigüité était entretenue à propos de ce dialecte français par des confusionnistes qui cherchaient, par sa promotion, à réduire par contrecoup la langue bretonne à un patois parmi d’autres. Le but étant de subvertir l’Emsav pour le réduire à une simple réaction régionaliste franco-compatible en polluant de latinisme. 

Désormais, la confusion n’est plus possible entre le mouvement national breton et le provincialisme roman au service de l’Etat français car ce patois disparu sert d’instrument aux Français et à leurs idiots utiles pour lutter contre la langue et l’identité brittoniques, donc celtique, de la Bretagne orientale.

Le Parti National Breton le dit : aucune distinction ne peut, ni ne doit être faite entre les promoteurs du patois gallo disparu et les partisans des intérêts français. Les premiers sont les laquais des seconds. 

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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La promotion artificielle du patois gallo : une imposture franco-socialiste pour affaiblir la nation bretonne !

La promotion artificielle du patois gallo : une imposture franco-socialiste pour affaiblir la nation bretonne !

[PNB] Depuis de nombreuses années, la régression régionaliste française en Bretagne a considérablement semé la confusion dans les esprits bretons en faisant la promotion d’un passéisme provincial situé aux antipodes du futurisme national que portent l’Emsav et le nationalisme breton. L’un des stigmates de cette arriération incapacitante est la promotion du patois français dénommé “gallo” par la réaction régionaliste, au seul prétexte que ce parler avait cours dans le passé. Un appel signé par 300 individus exigeant sa systématisation en Bretagne orientale en est l’expression la plus récente.

Le patois “gallo” a été absorbé par le français moderne et tous les locuteurs francophones ne voient dans ce parler qu’un doublon inutile, souvent grotesque. Il n’existe aucune demande sociale en sa faveur, comme en témoigne l’absence d’ouvertures d’écoles ou de productions intellectuelles quelconque. La langue bretonne en revanche permet aux Bretons de se receltiser psychologiquement et spirituellement, c’est-à-dire de renouer avec leur sang et leur âme brittoniques. C’est la raison pour laquelle des familles bretonnes se mobilisent, même inconsciemment, pour ouvrir des classes bilingues ou des écoles par immersion dans des zones de Bretagne où le breton n’est pourtant plus parlé, après des siècles de recul. Au delà de la langue, c’est une nation celte qui, sous la cendre, continue de vivre sur l’ensemble du territoire breton. Pour le dire simplement : quand un Breton veut parler la langue de ses ancêtres, il parle la langue bretonne, comme son nom l’indique.

Le patois “gallo”, séquelle malheureuse du latinisme, n’a pour seule fonction utilitaire que politique, objectivement anti-bretonne, brandie en négatif du combat pour la langue bretonne. Grâce à l’ouverture d’un second front contre la langue bretonne, cette prise à revers permet de trianguler la lutte que mènent les brittophones pour mettre sur un pied d’égalité dialectique, symboliquement et institutionnellement, langue bretonne et langue française. Bref, de réaffirmer le caractère national de la langue bretonne face à la langue officielle de l’Etat français. C’est une manœuvre habile. Faute de pouvoir détruire le mouvement linguistique breton organisé par le haut, où il gagne en reconnaissance institutionnelle sous la pression lente mais réelle de l’opinion publique bretonne, il est désormais attaqué par le bas, en réduisant la langue bretonne à un “patois parmi d’autres” en Bretagne. 

Ce relativisme linguistique a fleuri jusque dans certains cercles brittophones grâce à une poignée de naïfs pétris de misérabilisme qui établissent un parallèle absurde entre la condition d’oppression de la langue bretonne et celle de ce patois français. La nation bretonne paie une nouvelle fois le prix de l’influence toxique du marxisme culturel d’importation hexagonale, avec son vieil imaginaire victimaire tiers-mondiste, qui se fiche des frontières et des peuples et préfère exalter l’égalité des ratés dans l’échec. C’est une “compagnie” dont la nation bretonne ne veut pas. Le rôle du Parti National Breton est d’appeler les Bretons à la culture de la force et de l’héroïsme pour instaurer la domination des Bretons en Bretagne, et non de participer à l’internationale de la jérémiade en rampant la crotte au cul aux côtés des derniers “damnés” du moment.

Mais l’imposture du patois “gallo” n’est pas qu’un effet de l’acculturation franco-marxiste précitée, elle permet prosaïquement au pouvoir colonial et à ses relais, sous couvert de “diversité” politiquement correcte, de détourner une part des maigres fonds accordés à la défense de la langue celtique pour un patois franco-latin. L’objectif est d’utiliser les armes légales dont se sont dotés les Bretons pour défendre leur langue afin de les mettre au profit d’une des tentacules du fatras français en Bretagne. Non seulement la langue bretonne en ressort affaiblie, mais le latinisme renforcé : ce sont deux formes de français avec lesquelles la langue bretonne se trouvent en compétition au lieu d’une ! 

Chacun comprend que la langue française, soutenue par la toute-puissance de l’Etat français, de ses écoles, de ses médias, de sa bourgeoisie, en ressort considérablement renforcée, la langue bretonne devant se contenter des miettes en compagnie d’un jumeau “gallo” imaginaire.

Il faut désigner les responsables de cette manœuvre perfide : la gauche coloniale française ! C’est elle qui a constamment promu le relativisme culturel visant à réduire la légitimité des Bretons et de leur culture en Bretagne sous couvert de “diversité” et de cosmopolitisme bon teint. Quand ce n’est pas pour noyer leur langue sous un salmigondis de dialectes insolites, y compris peul, arabe ou turc, c’est pour les noyer physiquement sous le flot de l’immigration afro-orientale, mais aussi, française. Sous occupation française et sous direction coloniale socialiste, les Bretons sont toujours la variable d’ajustement du parti de l’étranger en Bretagne. Voilà le seul enseignement.

Le Parti National Breton, en cohérence avec les principes intangibles de l’Emsav, réitère une seule et unique politique linguistique : suprématie bretonne en Bretagne, officialité de la langue bretonne en Bretagne comme langue nationale, enseignement obligatoire et immédiat du breton dans sa zone historique ! 

Face aux contrefeux des agents du colonialisme français, le Parti National Breton appelle les patriotes bretons à la lucidité la plus complète sur cette imposture et à la dénoncer avec la détermination qu’exige la cause nationale.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le patois disparu “gallo” : une imposture française utilisée par le Conseil régional contre l’Emsav et la nation bretonne

Le patois disparu “gallo” : une imposture française utilisée par le Conseil régional contre l’Emsav et la nation bretonne

[PNB] Le Parti National Breton dénonce formellement et définitivement la promotion illégitime du patois français dit “gallo” par le Conseil dit “régional” de Bretagne. Ce patois français, s’il est disparu dans les faits, est devenu l’instrument d’une poignée d’opportunistes déterminés à engranger les subsides publics avec l’aide des idiots utiles de la réaction régionaliste qui prétendent en faire une langue bretonne bis.

Cette politique artificielle qui ne rencontre aucune demande sociale – on serait bien en peine de trouver des parents bretons désireux de faire parler du français dégénéré à leurs enfants, la moitié des Bretons ignorent même de quoi il s’agit – n’a trouvé droit de cité au Conseil régional que par l’aide des régionalistes de gauche, les ennemis fondamentaux de la nation bretonne. Adeptes du misérabilisme et du relativisme culturel, ces réactionnaires français ont systématiquement semé la confusion en prétendant que le patois gallo était “un breton comme un autre”.

Alors que la langue bretonne, par l’action déterminée des Emsaverien, se hisse progressivement dans un rapport de symétrie nationale avec la langue française dans l’esprit du Peuple Breton, l’agitation d’une douzaine de gallomaniaques, soutenus par la gauche anti-ethnique du Conseil régional, ravale, par cette promotion odieuse, la langue bretonne à un simple patois dans l’inconscient des masses. En pratique, s’ajoute donc au latinisme institutionnel triomphant porté par l’Etat français le latinisme asymétrique porté par la secte gallomaniaque. La Bretagne la plus historiquement brittophone se retrouve exposée à un patois français mort et enterré, tandis que la langue bretonne se retrouve diluée dans une farce visuelle grotesque. Chaque centime détourné au profit du patois gallo disparu vise à priver le Peuple Breton des fonds que réclame la défense de sa langue, la langue bretonne.

Demain, selon le même principe misérabiliste, l’arabe dialectal algérien et le turc s’ajouteront sur les panneaux promus par les tenants français du relativisme culturel de gauche actuellement à la tête du Conseil régional.

L’Emsav, comme son nom l’indique, a toujours eu pour objective la régénération brittonnique, donc celtique, du Peuple Breton, acculturé par le latinisme de l’impérialisme français. Il n’a jamais eu de conception inerte de la culture, contrairement à la réaction régionaliste, faction marginale obsédée par la restauration des campagnes du 19e siècle. Promoteur d’une race bretonne forte et dominatrice, tout dans le misérabilisme régionaliste le répugne. L’objectif de l’Emsav est de reconquérir la totalité de la Bretagne du temps de sa plus grande vigueur nationale.

Le Parti National Breton se fixe comme objectif la liquidation de cette politique d’empoisonnement linguistique d’inspiration franco-latine. Il appelle l’Emsav, tout particulièrement les militants de la langue bretonne, à clairement identifier cette subversion et à y opposer une résistance déterminée, tout particulièrement contre la canaille réactionnaire de régionalisme français qui tente de polluer le combat national breton avec ce contrefeu artificiel. 

Toute provocation dans ce domaine appellera désormais une réponse.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

Pour rejoindre le PNB : [email protected]