Les socialistes français en Bretagne ont accordé 60% des subventions publiques reçues par les passeurs de “SOS Méditerranée” : le PNB dit stop au détournement des impôts bretons !

Les socialistes français en Bretagne ont accordé 60% des subventions publiques reçues par les passeurs de “SOS Méditerranée” : le PNB dit stop au détournement des impôts bretons !

[PNB] Les subventions accordées par les collectivités territoriales à l’association française “SOS Méditerranée”, qui organise le trafic de migrants clandestins depuis l’Afrique, sont pour 60%, originaires de Bretagne. Le Conseil “régional” de Bretagne a ainsi accordé 105,000 euros en 2021, tandis que le Conseil département de Loire-Atlantique a accordé 200,000 euros la même année.

L’explication de ce soutien financier à l’immigration illégale de remplacement tient en deux mots : Parti socialiste. C’est la gauche socialiste française en Bretagne, qui, depuis des décennies, prend en otage les travailleurs bretons et détournent le fruit de leur travail.

L’objectif est évident. Premièrement, soutenir la politique d’importation de futurs électeurs captifs dont a besoin la gauche pour se maintenir politiquement. Deuxièmement, importer non seulement de la main d’œuvre peu qualifiée exigée par le patronat dans les services, mais aussi des consommateurs de ces mêmes services. Troisièmement, combler l’effondrement du nombre des actifs autochtones en les remplaçant par la démographie du tiers-monde islamique afin de financer les retraites des fonctionnaires, principale clientèle électorale de la gauche socialiste.

C’est cette convergence entre intérêts patronaux et stato-socialistes français qui explique la brutale politique du fait accompli poursuivie par Loïg Chesnais-Girard, président de région (PS), et Michel Ménard, président du Conseil département de Loire-Atlantique (PS), en soutenant activement les passeurs de migrants clandestins. 

Le Parti National Breton dénonce ce détournement de l’argent des contribuables bretons par le Parti socialiste français. Il exige que soit mis un terme à ce soutien à l’anarchie migratoire qui aboutit, dans les rues des villes bretonnes, à l’explosion de l’insécurité, du trafic de drogue et de l’implantation d’éléments islamiques radicaux. Ces 305,000 euros doivent servir aux Bretons exclusivement, notamment pour le financement de l’enseignement de la langue bretonne.

Le Parti National Breton rappelle enfin qu’il entend mettre en place une grande politique de reconquête démographique en Bretagne grâce à un ensemble de mesures natalistes drastiques exposées dans son programme (lire ici).

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Le Parti National Breton exige la fin de l’immigration patronale et propose un plan breton de reconquête démographique !

Le Parti National Breton exige la fin de l’immigration patronale et propose un plan breton de reconquête démographique !

[PNB] La propagande de la presse d’état hexagonale – en l’occurrence par “Le Télégramme” – en faveur de l’immigration de remplacement, exigée par la bourgeoisie française, s’intensifie. Pas un jour ne passe sans que ce média gouvernemental n’exige plus d’allogènes afro-musulmans, variable d’ajustement du système capitaliste français.

Médias d’état, préfecture coloniale et intrus allogènes convergent pour bétonner les côtes bretonnes, prises d’assaut par les colons français qui évincent les Bretons.

Le Parti National Breton formule une conception radicalement nouvelle des problèmes que le système hexagonal crée et prétend paradoxalement résoudre.

Stopper la colonisation de peuplement

En premier lieu, la Bretagne n’a pas organiquement besoin de logements neufs en grandes quantités. C’est le flux de colonisation étrangère venu de France, orchestré par l’Etat français avec l’appui de politiciens fantoches, qui engendre la crise du logement actuelle en Bretagne.

L’exclusivité bretonne pour le logement

La première mesure d’urgence qu’exige le Parti National Breton est d’imposer l’exclusivité bretonne pour le logement en instaurant le permis de résidence de 10 ans conditionnant pour les non-Bretons toute acquisition d’un bien un immobilier sur le territoire breton. Cette mesure doit être suivie de la taxation massive de chaque propriétaire de résidence secondaire non-originaire de Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien chaque année. Le Parti National Breton exige enfin que les profits réalisés sur le logement locatif de courte durée soient taxés à hauteur de 50% et son produit reversé à un véritable ministère breton du logement chargé de piloter un plan de construction et de rénovation de logement exclusivement dédié aux jeunes couples bretons.

Rompre avec l’égoïsme social-libéral français

La soi-disant “crise de la main d’œuvre” qui s’ajoute à la crise du logement est en réalité le fruit de l’individualisme propre au régime libéral-socialiste qu’est le régime français. Faute d’une politique familiale et nataliste cohérente pour défendre et renforcer le socle de la communauté du Peuple Breton, la dénatalité causée par l’égoïsme culturel de ce régime cause une dépression démographique massive qui touche tous les secteurs professionnels et qui va entraîner à brève échéance l’implosion des mécanismes de solidarité sociale.

Qui peut croire qu’avec des taux de natalité de 1,3 enfant par femme dans une Bretagne sévèrement touchée par l’émigration qui résulte de l’absence d’un état authentiquement ethno-nationaliste, le Peuple Breton pourra disposer d’un système de santé et de retraité par répartition ? L’avortement de masse, le divorce à grande échelle instauré par le matriarcat d’état et la sexualité récréative ne peuvent qu’entraîner l’effondrement démographique qui emportera avec lui les systèmes sociaux que les jeunes générations sont tenues de maintenir à flots au prix d’une imposition toujours plus colossale. Ce qui les prive en retour d’avenir, tant leurs ressources sont consacrées au passé – les retraites et les dépenses de santé de la génération d’après-guerre- et non au futur, c’est-à-dire aux enfants de demain.

Face à cela, la bourgeoisie française exige de recourir à l’immigration de remplacement.  Le Parti National Breton rappelle l’évidence : un peuple étranger ne peut pas être notre peuple à la place de notre peuple. Aucun argument économique de court terme ne peut justifier l’invasion, définitive et à grande échelle, de la Bretagne, encore moins le nettoyage ethnique à bas bruit qu’elle engendre. C’est au Peuple Breton, organisé nationalement, de trouver les solutions en lui-même.

Logement et politique ethno-communautaire de l’Etat breton

C’est pourquoi le plan de logement voulu par le Parti National Breton, outre l’exclusivité bretonne qui est à son épicentre, intègrera la variable de la natalité. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.

Cette philosophie long-termiste de solidarité ethno-communautaire guidera toutes les politiques du nouvel état breton qu’entend créer le Parti National Breton. Notre Parti enterrera l’ère de l’individualisme de la société capitaliste-socialiste hexagonale et portera une ère nouvelle où le Peuple Breton, organisé en un bloc d’acier, fera face de manière unie à tous les problèmes qu’il affronte.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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Dumping social migratoire à Pontchâteau : stoppons l’utilisation de migrants clandestins par le patronat !

Dumping social migratoire à Pontchâteau : stoppons l’utilisation de migrants clandestins par le patronat !

Le convergence entre la gauche sans-frontiériste et le patronat est consacrée. La presse d’état encense désormais les patrons voyous qui emploient des migrants clandestins. Exemple caractéristique d’un travail de propagande permanent, le dernier reportage de la radio d’état France Bleu à Pontchâteau (Pays Nantais) illustre cette union sacrée en faveur du dumping migratoire.

France Bleu

“Demandez à Pôle Emploi ! Ils n’ont personne ! Nos jeunes ne veulent plus venir dans le bâtiment, c’est trop dur.” Le constat est amer pour Véronique Ecobichon. A terme, c’est la survie de l’entreprise et même de tout un secteur qui est en jeu selon elle. Avec la perte de leur apprenti il y a presque deux ans, Ibrahima Barry, c’est le patron qui doit retourner sur les chantiers pour palier au manque de main d’œuvre. “Si ça continue, vu les commandes qui s’empilent, on sera bientôt contraint de refuser certains chantiers”, explique Alain Ecobichon gérant d’une entreprise de carrelage à Pontchâteau.

Le couple est dépité, désabusé, car malgré les nombreux courriers envoyés à la Préfecture et même à l’Elysée, rien n’y fait. Ibrahima Barry, 20 ans, reste sans papier et sous la menace d’une expulsion depuis janvier 2020. Il ne peut donc plus travailler.

Lui qui, mineur isolé en arrivant de Guinée, a passé deux ans dans cette entreprise. Il a appris le métier, il a appris à l’aimer aussi. Ibrahima a passé son CAP, décroché la médaille d’argent du meilleur apprenti de Loire-Atlantique, et allait poursuivre sur un Brevet Professionnel quand l’obligation de quitter le territoire est arrivée. Il venait d’avoir 18 ans. 

“C’est incompréhensible, illogique”, dénonce Véronique Ecobichon. “On ne comprend pas. On a besoin de lui pour faire tourner notre entreprise et on ne peut pas l’embaucher. Pourquoi n’y a-t-il pas du cas par cas ? Ibrahima mérite son titre de séjour.”

Le discours patronal sur “l’absence de main d’œuvre” occulte une autre réalité : celle des salaires dérisoires que le patronat consent à payer aux travailleurs bretons. Les salaires de Bretagne sont les plus faibles de l’Hexagone.

Dans le même temps, on dénombrait en octobre 2021 133,000 chômeurs en Bretagne dite “administrative”.

L’immigration extra-européenne est la variable d’ajustement choisie par le patronat pour disposer d’un flux incessant d’employés à bas coût. Ce flux est sans cesse renouvelé par le jeu des “régularisations”. Il s’agit d’une politique d’exploitation féroce que soutient l’Etat Français en Bretagne afin de maintenir une fiscalité massive sur le secteur productif breton, la seule alternative aux bas salaires étant une baisse drastique des impôts perçus par Paris. 

Présenter cette politique sous un angle humanitaire est la nouvelle stratégie de désinformation de ce cartel d’exploiteurs. Résultat d’une connivence entre l’Etat Français, les médias d’état, la gauche sans-frontiériste et le lobby patronal, les soi-disant “médailles” délivrées aux migrants clandestins visent à imposer à l’opinion bretonne une politique économique et sociale prédatrice qui inscrit le profit immédiat avant toute autre considération, quitte à organiser l’islamisation et l’africanisation de la Bretagne. Et la mener ainsi à la ruine. 

Les Bretons n’ont pas à payer la voracité d’une poignée de patrons sans scrupules qui organisent le remplacement de population dans les villes et villages de Bretagne dans le seul but de maximaliser leurs profits à court terme !

Le Parti National Breton entend placer la postérité du peuple breton avant les intérêts catégoriels d’une minorité d’exploiteurs sans foi ni loi et mettre un terme définitif à cette politique criminelle. Face au dumping social migratoire, une seule réponse : la Bretagne aux Bretons !

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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