[PNB]La forme du régime colonial importe peu, l’impérialisme français est un et indivisible. En témoigne l’installation à Rennes, par le gouvernement français, d’une statue de Louis XIV, commandée par ce tyran sanguinaire lui-même après la sauvage répression de la nation bretonne lors de la révolte des Bonnets rouges.
Le journal d’état hexagonal “Le Télégramme” précise:
À l’occasion des journées du patrimoine, la statuette équestre de Louis XIV sera dévoilée au Musée des Beaux-arts de Rennes, samedi 17 septembre. Le préfet de Bretagne, la maire de Rennes, le directeur général du groupe Norac, et le directeur des Beaux-arts seront présents. Commandée par Louis XIV pour réaffirmer son autorité royale sur la Bretagne suite à la révolte du Papier timbré (1675), cette sculpture d’Antoine de Coysevox avait été fondue en 1793 lors de la révolution française après avoir trôné quelques années sur la Place du palais à Rennes.
La puissance impérialiste française ne regrette rien de ses crimes passés. C’est la principale caractéristique de l’Etat français et sa soif arrogante de domination. L’installation de la statue du tyran, explicitement commandée par l’Ancien régime pour célébrer l’écrasement sanglant du Peuple Breton, exprime plus outrancièrement que jamais le statut colonial de la nation bretonne dans lequel l’Etat français veut la maintenir. La présence du représentant du régime français le démontre.
Ce totem étranger sera renvoyé en France, ce n’est qu’une question de temps. Ce temps, c’est celui que prendra la nation bretonne pour se libérer du joug français.
Face à cette nouvelle provocation du régime impérialiste, le Parti National Breton se félicite qu’une statue du héros national breton Sébastien ar Balp sera érigée à Carhaix d’ici quelques mois. Figure de la rébellion bretonne face à l’oppression française, Sébastien ar Balp, qui a payé de sa vie l’insurrection contre le joug du tyran Louis XIV, incarne les véritables valeurs de notre peuple.
[PNB]Le processus de nettoyage ethnique à bas bruit se poursuit en Bretagne sous occupation française. Le images de la “rentrée” rennaise, telles que rapportées par le média d’état hexagonal Ouest-France, se suffisent à elles-mêmes.
La politique de l’Etat français, de sa bourgeoisie et de son infrastructure politico-médiatique, est de procéder au remplacement complet de la population bretonne par les masses du tiers-monde dont ils veulent faire une masse servile. L’épicentre de ce projet génocidaire est la haine atavique de cet “état” pour les nations de souche européenne, tout particulièrement les nations européennes que cet “état” occupe, à l’instar de la nation bretonne.
Le Parti National Breton, pleinement conscient de ce projet génocidaire contre le Peuple Breton, affronte cette question fondamentale sans faux-semblants. Sous sa direction, la nation bretonne dispose encore des moyens et de circonstances favorables pour enrayer cette destruction ethnique progressive. Toute complaisance de la part des Bretons aura pour conséquence leur anéantissement collectif et le vol de leurs terres ancestrales par des envahisseurs déterminés à les détruire.
Le choix est simple pour notre peuple : c’est la vie ou la mort.
Le Parti National Breton fait le choix de la vie pour notre nation. Aux Bretons de le rejoindre pour organiser la résistance nationale à l’occupation française.
[PNB] Les militants du Parti National Breton du Pays Rennais ont mené une action d’affirmation nationaliste bretonne sur le secteur de Vitré, Janzé et Bain-de-Bretagne.
Cette action a ciblé la question de la colonisation de peuplement avec sa seule réponse possible : l’exclusivité bretonne pour le logement.
Le Parti National Breton rappelle ses 4 exigences d’application immédiates sur le logement :
6 – La création d’un statut de résident encadrant l’accès à la propriété immobilière dans l’un des cinq départements bretons, lequel est possible après une période de 10 ans de résidence continue en Bretagne, à raison de 6 mois et un jour par an sur cette période. Les Bretons nés de parents bretons hors de Bretagne sont exemptés d’un tel permis de résidence.
7 – L’exclusivité bretonne pour l’accès au logement social. Tout logement social neuf ou vacant sera prioritairement réservé aux personnes dont au moins un des deux parents est né en Bretagne de deux parents nés en Bretagne.
8 – La taxation à 50% des revenus des locations saisonnières dans les zones de logement en crise. Son produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement.
9 – La taxation annuelle des propriétaires de résidences secondaires ne résidant pas en Bretagne à hauteur de 10% de la valeur du bien immobilier concerné. Le produit sera reversé aux communes bretonnes afin qu’elles développent l’offre de logement locale pour les Bretons exclusivement. Les propriétaires de résidence secondaires qui ne résident pas en Bretagne mais qui justifient d’au moins un parent breton ou de deux grands-parents bretons sont exemptés de cette taxe.
Il rappelle en outre que son programme prévoit un plan de logement national dans le cadre de l’Etat breton qui, outre l’exclusivité bretonne qui est à son épicentre, intègrera la variable de la natalité. Le Parti National Breton entend créer un ministère breton du logement qui agira dans le cadre d’une stratégie globale de reconquête démographique dirigée par le gouvernement breton. Pour chaque enfant né, il prendra à sa charge 25% du montant du prêt souscrit par un couple breton marié pour la construction de sa maison individuelle. Un foyer de quatre enfants acquerra ainsi son logement gratuitement.
[PNB] La désinformation d’état française en Bretagne occupée est une nouvelle fois démontrée à la faveur d’une rixe entre policiers français et allogènes issus de l’Hexagone.
Avec les fortes chaleurs de lundi, le TGV faisant Paris – Saint-Malo a dû s’arrêter vers 13h à la suite d’une panne entre Rennes et Saint-Malo. La climatisation a également arrêté de fonctionner. Selon une source policière, des jeunes mineurs montés en gare de Rennes, énervés par la situation, ont perturbé les voyageurs. Des policiers en civil, présents dans la rame, ont tenté de calmer les adolescents mais la situation a dégénéré.
Le train a fini par arriver en gare de Saint-Malo, vers 15h. Les jeunes avaient appelé des renforts et à la sortie du train les 4 policiers en civil faisaient face à un groupe entre 15 et 20 jeunes. “Une bagarre a éclaté. Nos collègues ont pris une dérouillée” commente attristé Frédéric Gallet, du syndicat Alliance Police 35.
Conclusion du média colonial français France 3 : des “Bretons” sont à l’origine de la rixe.
Il s’agit bien évidemment de Français d’origine extra-européenne implantés par l’Etat français sur le territoire breton, plus particulièrement à Rennes.
Pour mettre un terme à ces déprédations, l’expulsion vers la France des ressortissants français indésirables est une priorité du Parti National Breton.
[PNB] L’immigration française en Bretagne continue de produire ses pleins effets. En l’occurrence, un homosexuel de 71 ans, apparemment en quête d’un prostitué de race noire dans le quartier afro-musulman de Maurepas, à Rennes, a été poignardé à six reprises par un couple de Français de Guyane.
Dans la nuit de vendredi 15 à samedi 16 juillet 2022, vers 5 h 15, un homme a été découvert grièvement blessé au niveau du rond-point des Douz’arômes, à Betton, près de Rennes. Un témoin, constatant la présence de cette personne sur le bord de la route, s’arrête et constate que la victime est blessée. Il alerte pompiers et gendarmerie.
La victime, âgée de 71 ans et domiciliée à Saint-Grégoire, était inconsciente. Les secours ont constaté que l’homme était très grièvement blessé et présentait au moins six plaies liées à des coups de couteau. Il avait aussi le visage tuméfié.
L’enquête a été confiée à la Brigade de recherche de la gendarmerie de Rennes. Selon nos informations confirmées par le procureur de la République, Philippe Astruc, la victime a croisé la route d’un jeune homme de 18 ans, dans la rue à Rennes dans la nuit du 14 au 15 juillet 2022. Après quelques échanges, un rendez-vous était convenu pour le 16 juillet. Le septuagénaire est allé le chercher en voiture vendredi soir, dans le quartier rennais de Maurepas. C’est dans la voiture que l’agression a commencé. Le jeune homme l’a frappé à la tête et donné six coups de couteau. Il s’est ensuite débarrassé de la victime sur le rond-point avant de s’enfuir en voiture.
Dans un communiqué, le procureur de la République, Philippe Astruc, précise que « les investigations ont permis d’interpeller rapidement deux jeunes hommes (un mineur né en 2005 en Guyane, domicilié au Mans, inconnu de la Justice, et un jeune majeur, né en 2004 en Guyane, domicilié à Rennes, faiblement connu de l’institution judiciaire) retrouvés au Mans, dans le véhicule Mercedes dérobé à la victime ».
Au terme de leur garde à vue à Rennes, le jeune majeur a été déféré, ce lundi 18 juillet, au parquet de Rennes. Une information judiciaire criminelle des chefs de tentative de meurtre en raison de l’orientation sexuelle de la victime et vol avec arme a été ouverte. La peine encourue est la réclusion criminelle à perpétuité. Son placement en détention provisoire a été requis.
« Il reconnaît avoir donné des coups de couteau à la victime, dans le véhicule et en dehors de celui-ci. Il explique son acte en raison de l’homosexualité supposée de la victime, mais aussi dans l’optique de voler la voiture, raison pour laquelle il est reparti avec son véhicule. » La situation du mineur, qui n’est pas concerné par les faits criminels évoqués, sera appréciée par le parquet du Mans au regard d’une éventuelle qualification de recel.
La victime bénéficie de trente jours d’ITT (Incapacité totale de travail). Le certificat médico-légal « mentionne la présence de six plaies compatibles avec l’action d’un couteau et des fractures du massif facial ».
Pour le Parti National Breton, tant que le processus de remplacement ethnique se poursuivra, ce type de faits se multipliera, jusqu’à devenir endémique.
Seule une politique d’ordre breton sera à même d’enrayer cette spirale mortelle.
[PNB]Le Parti National Breton dénonce l’intention de l’Etat français de vouloir incarcérer sur le territoire breton, à Rennes, des Françaises converties à l’islam, engagées dans le djihad global, après les avoir rapatriées de Syrie.
Il appartient à l’Etat français de traiter ses ressortissants sur son propre sol. En rapatriant ses djihadistes avant de les installer arbitrairement en Bretagne occupée, sans aucun mandat de la nation bretonne, l’Etat colonial met directement en danger les Bretons.
La Bretagne n’a pas vocation à devenir la poubelle de la poubelle du monde que l’on appelle la France.
La prison des femmes, à Rennes, pourrait accueillir des mères rapatriées de Syrie https://t.co/0Jwn32nEIZ
— Le Mensuel de Rennes (@MensueldeRennes) July 6, 2022
Le Parti National Breton rappelle que la proclamation de l’Etat breton entraînera immédiatement l’instauration systématique de la peine de mort par pendaison pour les crimes graves commis contre le Peuple Breton. Tout individu présent sur le territoire breton se rendant coupable de soutien aux islamistes, directement ou indirectement, sera jugé par les tribunaux militaires bretons et exécuté pour intelligence avec l’ennemi.
Le Parti National Breton tient enfin à saluer la mémoire d’Estelle Rouat, Bretonne originaire de Melgven, résidant à Concarneau, assassinée par les terroristes musulmans à Paris, le 13 novembre 2015. Le Parti National Breton ajoute qu’il fera stipuler sur la stèle actuelle le caractère islamique de l’assassinat, caractère sciemment dissimulé sur ordre de l’Etat colonial français en Bretagne, protecteur de l’envahisseur et organisateur de l’invasion islamique.
[PNB] La Bretagne sous influence de l’Etat français se transforme en coupe-gorge : une seule cause, l’immigration extra-européenne que Paris impose au peuple breton par le truchement de ses préfets et des partis fransquillons. Dernier exemple à Rennes, ville sous direction franco-socialiste.
Samedi 11 juin, 4 heures du matin, un appartement de Thorigné-Fouillard est pris pour cible par des tirs d’armes automatiques. 18 impacts de balles criblent le logement d’un père famille et ses garçons heureusement absents au moment des faits. Les auteurs des faits se sont trompés de cible…
Davis -le prénom a été changé à sa demande – est “désabusé, comme tout le monde dans cette histoire”. Alors que l’homme était en weekend dans le Morbihan, il doit rentrer en toute urgence à Thorigné-Fouillard… son appartement a été pris pour cible de tirs d’armes automatiques.
18 impacts de balles seront en tout relevés par la police. Certains sur la façade de l’immeuble, d’autres à l’intérieur même de l’appartement : “Certaines balles ont franchi l’appartement de part en part. Trois projectiles ont transpercé la chambre des enfants, dont l’un est resté fiché à 50 cm de la tête de lit.”
La raison de cette attaque ? Les fils de l’ancienne occupante de l’appartement. Ils seraient liés à des trafics de drogue et se sont faits visiblement des ennemis. Des personnes “qui ont quitté cet appartement deux ans auparavant“. David se considère comme une “victime collatérale d’une guerre de gangs“.
(…) David lui essaye aujourd’hui de retrouver une vie normale avec ses enfants. L’ancien sapeur-pompier de Paris aujourd’hui conducteur de transport collectif à Rennes, a vécu 3 jours dans son van avant d’être hébergé par des amis dans un studio. Après un petit retard au démarrage, son bailleur, Archipel Habitat s’occupe de lui trouver une solution de relogement. “Ils font le nécessaire. On s’occupe de moi. Ce qu’ils ont trouvé pour l’instant n’est pas l’idéal car je ne peux pas y vivre avec mes enfants mais ils cherchent.” La ville aussi semble réagir à la situation. “Ils ont promis qu’ils s’occuperaient des frais annexes, alimentaires, travaux, déménagement”.
Sur le modèle de Nantes, la ville de Rennes se tiers-monde à une vitesse très rapide en raison du repeuplement afro-oriental qu’y organisent les autorités coloniales françaises en Bretagne. Rien n’entravera cette spirale, car les municipalités écolo-socialistes de ces deux villes sont largement soutenues par la bourgeoisie cosmopolite locale, pour une large part d’extraction hexagonale.
La catastrophe ethnique fera rapidement tâche d’huile sur les communes du Pays Rennais, plongeant les classes moyennes bretonnes dans une situation de siège permanent. Le Parti National Breton appelle les Bretons à le rejoindre au plus vite pour structurer une résistance de long terme à la balkanisation qui se met en place.
[PNB]Sous la direction de la municipalité dominée par le Parti Socialiste français, Rennes, capitale administrative de la Bretagne, poursuit sa tiers-mondisation. Après le rodéo urbain – spécialité des bandes ethniques – qui a fait un blessé grave de six ans hier (lire ici), une fusillade a eu lieu en plein centre-ville, blessant un adolescent de quinze ans.
«Selon les premiers éléments, hier soir vers 20 heures, un groupe de personnes est monté dans le bus 820 (…) à l’arrêt République et s’en sont pris physiquement à un jeune mineur âgé de 15 ans, domicilié à Rennes, en lui portant des coups», a indiqué Philippe Astruc, procureur de la République de Rennes, confirmant une information de Ouest-France.
«L’un des agresseurs a également fait usage à plusieurs reprises d’une arme à feu touchant la victime à une reprise à la main. Elle se trouve à l’hôpital et n’a pu encore être auditionnée», a-t-il ajouté, ajoutant que les «circonstances de ces faits restaient cependant à préciser ainsi que leur mobile». Une enquête criminelle, confiée à la Direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Rennes, a été ouverte sous la qualification de tentative d’homicide volontaire. Aucune interpellation n’est encore intervenue, selon la même source.
Le Parti National Breton dresse le constat d’une dérive parfaitement prévisible dont la racine est connue de tous : l’immigration de remplacement afro-orientale.
Face à l’afflux croissant d’allogènes inassimilables, organisé par l’Etat français avec l’aide des partis aux ordres de Paris, Rennes devient progressivement un cloaque du tiers-monde où règne l’insécurité, le trafic de dope et les règlements de comptes qui l’accompagne invariablement, l’islamisation de plus en plus invasive de quartiers entiers, les viols de femmes blanches et le torrent des agressions diverses.
Cette cause fondamentale qu’est la submersion migratoire n’est guère plus niée par personne. Désormais, il y a ceux qui embrassent totalement cette déchéance comme une opportunité à des fins de basse politique et ceux qui, parfaitement conscients de ce que cet effondrement démographique implique, annoncent le cataclysme.
Les prisons étant déjà saturées, l’immigration extra-européenne continuant à un rythme toujours plus rapide, la suite est un simple exercice de logique : demain, les fusillades seront hebdomadaires, après-demain, quotidiennes. Les Bretons auront disparus des rues de Rennes, ou pratiquement, tandis que les gangs ethniques mâtinés de salafisme contrôleront directement ou indirectement la municipalité. Les politiciens français, plus lâches que jamais, se féliciteront du désastre.
Le Parti National Breton refuse ce nettoyage ethnique à bas bruit contre le Peuple Breton. Il appelle les masses bretonnes à la résistance en rejoignant ses rangs : le salut de Breizh en dépend.
[PNB]Les 4 et 5 juin, l’extrême-gauche française planifie une attaque en règle contre le groupe industriel breton Le Duff et son projet de site de production agro-alimentaire à Liffré, dans le Pays Rennais. Au prétexte de l’imposture écologiste, la lie anarcho-marxiste rennaise entend créer une nouvelle ZAD sur le terrain prévu pour cette implantation qui pourrait employer jusqu’à 500 travailleurs en Bretagne. Face à ces menaces, le Groupe Le Duff songe d’ores et déjà à créer ce site en Allemagne ou en Espagne.
L’objectif des agitateurs du front rouge, protégés par les municipalités rouge/verte voisines de Rennes et de Nantes, est de créer une enclave où les marginaux, habitués de la nébuleuse anarcho-communiste, pourront venir se défoncer collectivement, en toute impunité, tout en structurant un centre névralgique destiné à étendre l’influence de l’extrême-gauche française dans l’est de la Bretagne. Parmi eux : CoLERE Liffré-Cormier ; Confédération Bretonne pour l’Environnement et la Nature (CoBen) ; Solidaires 35 ; Extinction Rebellion ; Youth for climate ; Deep Green Resistance ; Alternatiba Rennes ; Halte aux marées vertes ; Attac Rennes ; Oxfam Rennes…
Des affiches du week-end de mobilisation ont été collées dans les rues de Rennes. Ici dans le centre-ville, dimanche 22 mai.
Le Parti National Breton, conformément à sa ligne de défense patriotique de l’économie nationale bretonne, dénonce cette tentative d’intimidation orchestrée par la canaille marxiste dont le but est la ruine des entreprises bretonnes et des travailleurs bretons.
Le Parti National Breton apporte son soutien au Groupe Le Duff, et par là même, à l’économie nationale bretonne.
Le Parti National Breton dénonce l’impuissance des autorités françaises face à la racaille marxiste et rappelle son intention, dans le cadre de l’Etat Breton pour lequel il mobilise le Peuple Breton par son action, d’en débarrasser la Bretagne une bonne fois pour toute.
[HISTOIRE NATIONALE DE BRETAGNE ]Une cérémonie de couronnement pour un duc de Bretagne existe au moins depuis Conan Ier de Bretagne, car elle fut racontée par les chroniques de Raoul Glaber. Il est cependant très probable que des cérémonies équivalentes se soient déroulées dès l’époque du Royaume de Bretagne et aient inspirées les rituels ducaux. La prestation de serment devant la Porte mordelaise remonte quant à lui au moins à 1213 pour le début de régence de Pierre Mauclerc.
Porte mordelaise au 15e siècle
Porte mordelaise actuellement
Si le cérémonial du couronnement date au minimum du XIe siècle, la première description précise que nous possédions date du couronnement de Jean V de Bretagne par Anselme de Chantemerle en 1401 et décrit en latin dans le Chronicon Briocense. Au 15e siècle, sous la dynastie Monfort, les couronnements ducaux développent réellement leurs fastes et leurs rituels au même moment où, dans son affirmation d’indépendance face au royaume de France, les ducs utilisent la formule « par la grâce de Dieu » dans les actes de leurs chancelleries.
Couronnement du Duc François Ier, chef de l’Etat Breton
En 1442, François Ier réalise son couronnement, dans une cérémonie et représentée dans la Compillation des cronicques et ystoires des Bretons de Pierre Le Baud. Les rituels ducaux ne se modifieront quasiment plus après cela.
Le dernier « vrai » couronnement breton est fait en 1489 pour Anne de Bretagne, dans un contexte de guerre avec la France. La cérémonie, considérée comme peu représentative des coutumes en raison de la faiblesse des moyens, est cependant probablement la plus exactement décrite dans le Missel pontifical de Michel Guibé.
Anne de Bretagne
En 1532, dans le contexte d’annexion de la Bretagne par la France au terme d’un coup d’état orchestré par la monarchie française, un dernier couronnement ducal est réalisé pour François de France, dauphin de France, et qui devient duc sous le nom de François III de Bretagne.
Même si la Bretagne commence à ne devenir plus qu’un simple province du royaume, le roi François Ier veut que son fils soit « receu et couronné en vray duc et seigneur propriétaire de Bretagne, avec toutes solemnitez et autres choses requises et acoustumées d’estre faictes, gardant les louables et anciennes coustumes dudit pays ». Le dauphin-duc se présente par le nord, via la Porte aux Foulons, à cause de son cortège trop nombreux3 et sera ensuite couronné par Yves Mahyeuc.
Entrée solennelle
Avant d’entrer dans la ville, le duc en costume de cérémonie se présente à l’entrée de Rennes, capitale du duché, par la porte mordelaise avec cortège, précédé des hérauts.
Devant l’évêque de Rennes et le gouverneur de la ville, il fait le serment sur les reliques de maintenir les « droitures, souverainetés, noblesses, libertés et franchises du patrimoine de Bretagne », de protéger l’Église et de rendre une Justice impartiale. Il reçoit alors les clés de la ville et se place sous un dais porté par quatre gentilhommes. Il entre alors dans la ville décorée et pavoisée aux couleurs nationales pour se faire voir du peuple breton.
Après avoir écouté les vêpres, il se retire dans le manoir épiscopal nextant la cathédrale Saint-Pierre et passe une nuit de veille en prière.
Couronnement
François Ier, Duc de Bretagne
Le lendemain, le duc habillé d’une robe de cérémonie blanche et d’un habit royal bleu entre dans la cathédrale, où il est revêtu d’un manteau pourpre doublé d’hermine.
Une fois installé sur son trône, on lui remet les regalia de Bretagne : la bannière royale, l’épée ducale bénie par l’évêque et le sceptre. En lui remettant l’épée, l’évêque récite la formule liturgique :
« On vous donne cette épée au nom de monseigneur saint Pierre, comme on l’a donnée aux rois et ducs vos prédécesseurs en signe de justice, pour défendre l’Église et le peuple qui vous est commis, en prince équitable. Dieu veuille que ce soit ainsi, et que vous en puissiez rendre vrai compte au jour du jugement, au sauvement de vous et dudit peuple. »
Enfin, le duc est couronné avec le cercle ducal. En le couronnant, l’évêque récite :
« On vous baille, au nom de Dieu et de monseigneur saint Pierre, ce cercle qui désigne que vous recevez votre puissance de Dieu le tout puissant, puisque étant rond, il n’a ni commencement ni fin. Ce Dieu vous réserve une couronne plus durable dans le ciel, si vous remplissez vos devoirs en contribuant par vos soins à l’exaltation de la foi et à la tranquillité de l’Église et de vos sujets. »
Depuis son trône, le duc répond « Amen » à chaque partie du sermon récité par l’évêque. Il retourne ensuite à son prie-Dieu pour entendre un Te Deum. Avant de sortir, il adoube plusieurs nobles bretons, généralement les premiers pairs du duché. Il monte alors sur son palefroi et parade en triomphe dans les rues de Rennes avant d’aller présider un grand banquet festif.
Ainsi, le Duc de Bretagne, successeur des rois de Bretagne, exprime la puissance souveraine de l’Etat Breton.