Callac : l’Etat importe une dizaine de migrants musulmans du Soudan, incendie dans un bâtiment occupés par des migrants roumains !

Callac : l’Etat importe une dizaine de migrants musulmans du Soudan, incendie dans un bâtiment occupés par des migrants roumains !

[PNB] L’effondrement démographique de Callac se poursuit sous l’œil amusé de l’ahuri de service préposé au désastre, le vieil élément marxiste Jean-Yves Rolland. Rolland est désormais connu en Bretagne, mais également dans l’Hexagone, pour avoir voulu imposer, sans succès, des centaines de colons d’Afrique à sa commune de 2,000 habitants, en connivence avec les millionnaires parisiens Cohen.

Si l’infiltration afro-islamique ne peut pas atteindre le volume escompté, suite à l’abandon de ce projet délirant, le perfide Rolland s’assure qu’elle se poursuive à basse intensité. L’hebdomadaire d’extrême-gauche “Poher Hebdo”, virulemment engagé pour le repeuplement de la Bretagne par les masses du tiers-monde, s’en fait l’écho avec satisfaction dans ses colonnes. 

Le Poher :

Le conseil se termine (…) Et la question des réfugiés revient. Viltaïs vient d’installer une famille de Soudanais à Callac. Un conseiller remarque : « Ils sont arrivés à dix depuis 15 jours. Viltaïs est juste venu leur donner un peu d’argent pour acheter à manger. Les voisins les ont aidés. Ils n’ont pas de meubles ni de jouets pour les enfants. Ils ont juste des matelas pour dormir… » Choqué, Jean-Yves Rolland répond : « Viltaïs, c’est du ressort de l’État. C’est à eux de faire le suivi, mais on va voir ce qu’on peut faire. » L’un des conseillers ajoute « avec le Secours populaire, on va venir s’en occuper. » « On a l’impression que les réfugiés ne sont qu’un marché », se désole le maire. Il tient à préciser : « On parle de réfugiés. Ce sont des personnes qui ont un statut et des papiers. »

Le Soudan à Callac, ce n’est que le début.

On apprend, par la même occasion, que des Tziganes, là aussi hébergés aux frais des contribuables bretons, livrent aux flammes leur habitation gracieusement offerte par la clique marxiste de Callac. Qu’à cela ne tienne, Rolland est encore prêt à dépenser l’argent de ses administrés sans compter.

Le téléphone sonne. Ce sont les pompiers. Jean-Yves Rolland décroche, puis explique : « On a un incendie à la Villeneuve, dans la zone industrielle. Un bâtiment peut être sous-loué à une dizaine de Roumains. Il n’y a pas de blessés heureusement, mais il y a trois enfants. Comment on va les reloger ? » Les conseillers se concertent pour trouver une solution d’urgence. Il est 21 h 30. Les militants de Reconquête ! sont partis. Un adjoint me rattrape : « On a parlé des frelons asiatiques, ce sont les seuls migrants qui nous ennuient ! » Avant de se raviser : « Vous n’allez pas mettre ça dans le journal quand même ! » Puis, « Ah oui, j’oubliais, la presse est libre ! »

Le fanatisme rouge le dispute à la sénilité, le naufrage humain est complet.

Le vieillissement fulgurant du Centre-Bretagne ne peut plus être inversé, ni le dépeuplement radical qui l’accompagne par effet mécanique. Face à cela, tout ce qu’il reste de factieux socialo-marxistes dans la zone, vieillerie mijotant dans une geste antifa hallucinée, se coalise pour importer autant de sujets afro-musulmans de l’Etat français que possible, apparemment en signe de défi contre leurs propres petits-enfants qui devront apprendre à survivre comme d’autres doivent survivre en milieu ethniquement sinistré. 

Les mêmes causes biologiques produisant les mêmes effets culturels, les communes encore aux mains des bandes marxistes qui se livrent à ces expérimentations ethno-raciales connaîtront le sort de la Courneuve, d’Aubervilliers ou de Sarcelles.

Importez le tiers-monde, devenez le tiers-monde.

Pour des communes de mille ou deux milles habitants comme Callac, quelques dizaines d’allogènes auxquels le tapis rouge est déroulé en grande pompe par des traîtres pathologiques et à qui les idiots utiles de Paris font comprendre qu’ils sont en terrain conquis, auront tôt fait de présenter la longue liste de leurs exigences, griefs et imprécations, sur fond d’agressions, de trafic de dope et d’islamisation abrasive. 

Quand les derniers rouges auront débarrassé le plancher sous l’effet de l’état de leurs artères, l’ampleur du champ de ruines démographique les fera maudire par les nouvelles générations de Bretons qui leur auront survécu et qui se trouveront assiégés par les petits protégés exotiques de leurs aïeux.

Le fanatisme égalitaire hérité de 1789, ennemi fondamental de la nation bretonne, se sera définitivement condamné face aux Bretons.

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