Après leur ralliement à l’extrême-gauche franco-régionaliste, le Parti National Breton appelle au boycott des éditions Yoran Embanner

Après leur ralliement à l’extrême-gauche franco-régionaliste, le Parti National Breton appelle au boycott des éditions Yoran Embanner

[PNB] L’Emsav, une nouvelle fois victime de la pollution marxiste d’inspiration hexagonale, perd une maison d’édition de qualité, avec la transformation des éditions Yoran Embanner en succursale du gauchisme intersectionnel français. Le militant d’extrême-gauche français Alain Cloarec reprend en effet cette entreprise, comme nous l’apprend le journal d’état Ouest-France.

Il suffit de lire ce qu’écrit Cloarec dans la publication du groupe régionaliste d’extrême-gauche “UDB” pour mesurer que cet individu n’a rien à voir avec l’Emsav et sa juste lutte pour l’indépendance de la nation bretonne.

Avant cela, le monde, la société, la Bretagne et la France ayant changé depuis les années 1970, il nous faudrait nécessairement nous reposer la question de notre être propre. Qui sommes-nous, que voulons-nous, d’où venons-nous ? À cette dernière question, il ne faut pas répondre que nos origines remontent aux migrations bretonnes du IVème et Vème siècle. Certes, il est toujours amusant de rappeler cette vérité à certains nationalistes dont le fantasme du mythe national naissant d’immigrés peine à dépasser l’actuelle phobie de l’immigration. Mais ce ne sont là que des réalités historiques qui n’inclinent en rien à une quelconque définition individuelle ou collective contemporaine. C’est là l’Histoire de la Bretagne, pas celle des Breton-ne-s. Est-ce un détail, une provocation ou un crachat à la figure du militantisme breton bas de plafond ? Un peu de tout cela, mais c’est surtout au cœur du questionnement la volonté de savoir si l’on cherche plus à lutter pour la liberté de la Bretagne ou pour les libertés du peuple breton.

Le peuple breton qui a forgé la Bretagne – dont elle porte le nom – en venant massivement de Grande Bretagne ? Un fait “amusant” qui doit être mentionné aux “militants bretons bas de plafond”, mais uniquement pour appeler à l’intensification de l’immigration afro-islamique dans notre pays au nom du sans-frontiérisme néo-communiste.

Comprenez le message implicite : nous, Bretons, sommes pour cet individu de trop sur notre terre et devons apprendre à disparaître en silence, submergés par l’envahisseur, afin de répondre aux rêves d’unification planétaire de cet esprit manifestement atteint d’ethno-masochisme, un trait récurrent des Bretons colonisés, acculturés et aliénés sous le poids de l’influence française.

Alain Cloarec (droite), militant d’extrême-gauche français

L’Emsav a pour mission de sauvegarder l’essence ethnique du peuple breton, pas de faciliter son érosion et sa disparition pour le compte de l’Etat français et de sa bourgeoisie. Défendre notre personnalité ethnique est notre combat depuis deux siècles face à l’ennemi de l’humanité qu’est l’égalitarisme révolutionnaire, pas de lui prêter la main.

C’est ici l’occasion pour nous d’interroger Cloarec : qui, des “militants bretons bas de plafond” ou des dealers et proxénètes originaires d’Afghanistan, arrivés de fraîche date sur le territoire breton avec l’aide des autorités françaises, sera susceptible de commander des ouvrages portant sur la Bretagne bretonne ? Qui, des Bretons, ou des migrants du tiers-monde importés par l’Etat français sous les vivats du grand patronat, porteront une maison d’édition bretonne ? Poser la question, c’est y répondre.

Nous ne voulons pas de la tiers-mondisation que cet illuminé, contaminé par la folie du gauchisme hexagonal, prétend nous imposer. Nous ne sommes pas des adeptes de l’église universaliste et millénariste du sans-frontérisme. Nous sommes un peuple et cela nous suffit. Aucune hallucination abstraite, péteuse et moralisante, n’a de prise sur nous. Nous ne voulons pas de la prétention “morale” de ces curetons de gauche étrangers à l’esprit de Breizh. Nous voulons notre nationalité, notre terre, notre sang, notre état. Nous voulons être une nation fière, forte et libre, pas un club de sodomites socialistes interchangeables avec n’importe quel autre club de sodomites socialistes de la planète. Notre sang et notre sol, c’est-à-dire Breizh, voilà ce que l’Emsav veut et rien d’autre.

Après avoir frappé d’interdit le peuple breton, parce qu’ethniquement trop européen pour la gauche d’inspiration hexagonale dont il provient, Cloarec poursuit ses provocations en faisant passer son socialisme cosmopolite en contrebande. Une fois Breizh vidée de sa substance sous sa plume, il prétend y substituer le foutoir sociétal en vogue au sein de la bourgeoisie parisienne:

Comment donc peut-on toujours être Breton-ne aujourd’hui et demain ? En vivant et en luttant au cœur de la société bretonne pour y constituer un nouveau pays plus juste, solidaire et défenseur acharné de toutes les dignités. La Bretonne et le Breton n’ont pas de couleur de peau, pas de genre, ni de religion, ils ont une adresse et une volonté.

Si l’on en croit l’histrion Cloarec, les Bretons sont “indéfinissables”. Curieux – et unique – peuple qu’on ne saurait définir. On ne pourrait pas les distinguer de la faune islamique de Saint-Denis ou de celle l’arrière souk d’Alger, encore moins de la population du Bronx. Bretagne, Madagascar ou Bagdad, c’est indifférent. Nous sommes sommes de nous effacer, de faire place nette, de nous laisser remplacer sur notre terre ancestrale.

Trêve de plaisanterie.

Nous avons affaire à un névrosé du marxisme culturel doublé d’un mégalomane qui croit pouvoir remplacer notre nationalité millénaire par l’imposture contractualiste-rousseauiste d’importation française dont le nihilisme de la gauche post-moderne est le chancre le plus récent. Si cela est conforme à l’idéologie de l’indifférentisme et du relativisme culturel (culturel et racial) propre à l’empire des démocraties finissantes, cela n’a rien à voir avec l’ethno-nationalisme de l’Emsav.

Les Bretons ont plus qu’une couleur de peau, ils ont un profil ethno-racial. Ils sont hétérosexuels, comme le prouvent leur postérité et leur phénotype qu’ils se transmettent de génération en génération, depuis des millénaires.

“Les Bretons n’ont pas de religion”, Alain Cloarec, gauchiste et nouveau commerçant chargé de vendre “Troménies bretonnes”

Quant à leur religion, seul un crétin ou un charlatan peut prétendre, après avoir sillonné le vieux pays, ne jamais avoir remarqué chapelles et calvaires, ni même la Troménie, qu’a produit leur spiritualité. Notre pays n’est pas borné de mosquées, n’en déplaise à ce furoncle.

Si l’exaltation de l’anomie de la petite bourgeoisie individualiste correspond à sa vision du monde, nomade et égocentrique, elle n’a aucun rapport avec celle de notre peuple face à son histoire et son devenir, comme communauté ethnique nationalement consciente et agissante. 

Cloarec donne une piste sur cette obsession étrange, en évoquant le grand non-dit de l’extrême-gauche régionaliste en Bretagne qu’est le vice bourgeois par excellence : l’homosexualité de ses cadres sur fond de rhétorique gauchisante, usée jusqu’à la corde.

De cela, nous ne pouvons que considérer les combats de la Bretagne libre et insoumise dans la famille des luttes des droits civiques, des homosexuels, des peuples autochtones à travers le monde, des mouvements paysans et ouvriers, en somme de toutes les luttes pour la dignité humaine.

Nous le voyons, Yoran Embanner ne sera plus qu’un faux-nez de l’extrême-gauche française, infecté des thèmes obsessionnels de la bourgeoisie hexagonale : LGBTisme, submersion migratoire, haine de la race blanche.

Le devoir de l’Emsav est l’exact inverse : fortifier l’instinct de survie du peuple breton au plan anthropologique et de combattre la glorification des ratés, des faibles, de la culture de l’échec.

Ceux qui trahissent le sang breton, doivent recevoir une réponse du sang breton. Il est de la responsabilité du Parti National Breton de combattre la subversion marxiste antibretonne à chaque fois qu’elle se manifeste. Le boycott de cette maison d’édition sera à présent la règle et la consigne sera largement distributée par le Parti afin de prévenir tout achat et toute collaboration. Par un travail inlassable de mise en garde, il détournera les patriotes de cette maison d’édition, jusqu’à ce qu’elle disparaisse, faute de clients. Car ce que les rouges oublient un peu vite, enivrés par leur insolence, c’est que ce monde est régi par la loi de l’offre et de la demande et qu’insulter la nation bretonne quand on prétend animer une maison d’édition héritière de l’Emsav n’est pas un modèle économique viable.

Le temps de l’insulte est passé, l’ère du marxisme et de la démocratie libérale est révolue, l’époque où les idiots utiles de la gauche coloniale française pouvaient provoquer l’Emsav a vécu. Désormais, chaque insulte recevra sa riposte et cette riposte sera coûteuse.

Breizh Atav !

Le Kuzul Meur du Parti National Breton

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